Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Les pales des hélicoptères gros porteurs balaient la neige en se posant devant l'observatoire. Huit hommes et deux femmes sont envoyés pour surveiller le réchauffement de la planète. Ils vont passer huit semaines, isolés du monde.
Vingt chiens de traineaux sont là pour assurer les déplacements sur la banquise.
Samedi, c'est l'anniversaire de Reed. Les chercheurs veulent fêter dignement l'évènement. Les occasions de s’amuser sont rares, dans ce site hostile.
Le bâtiment est composé de quatre pièces. Une chambre de six lits sert de dortoir pour les hommes, une de deux couchages est destinée aux les femmes, une de réfectoire pour prendre les repas. La quatrième contient tout les ordinateurs et autres appareils de contrôles. Le tout est vraiment spartiate !
La première journée est réservée pour à l'installation du matériel. Le lendemain, les hommes partent pour une sortie de deux jours, afin de faire des prélèvements, laissant seules les deux femmes, Barbara et Solène. Ce sont elles qui sont chargées de rentrer les données sur ordinateur. Elles partagent le même lit. Avec le chauffage, elles n'ont pas froid, d'autant que Barbara, belle rouquine de trente huit ans, bisexuelle, connait tous les ingrédients pour réchauffer Solène, belle blonde de vingt cinq ans. Elles se connaissent depuis longtemps, et n’en sont pas à leur première mission…
Lors de leur dernière expédition, Barbara s'était un peu amusée avec Solène, qui avait apprécié, jusqu'à hurler de plaisir.
Cette nuit, la température extérieure affiche moins trente, mais à l'intérieur, la chaleur est plus agréable, à tel point que c'est intégralement nues, que les deux femmes se glissent sous les couvertures. Solène est directe, comme à son habitude :
« Tu me caresses comme la dernière fois ? demande-t-elle.
-Tu veux que je te branle ta petite chatte, que je doigte ton clitoris, c'est çà ?
- Oh oui, tu le fais si bien… J’adore tes caresses…»
Il n’en fallait pas plus à Barbara pour entamer un véritable marathon sexuel.
Pendant demi-heure, Solène va offrir son corps aux mains expertes de Barbara, savourant ses caresses vicieuses. Elle la caresse partout, s’attarde sur les seins lourds et durs. Elle tourmente les aréoles avec ses dents,, alterne avec de caresses puissantes, où elle malaxe sans ménagement le poitrine de Solène. Celle-ci se tord de plaisir sous ces mains habiles. Elle n’est pas en reste pour lui rendre la pareille. Barbara descend ses lèvres le long du vente de son amante, la couvrant d’une foule de baisers légers. Enfin, elle atteint le paradis de Solène, et y enfonce une langue pointue et agile. Elle fouille sa chatte trempée, mordille le clito, aspire les lèvres gonflées et rougies par le désir…
Solène est au bord de la jouissance, quand, au dehors, une bagarre s'engage entre deux chiens. Les deux femmes abandonnent leurs ébats, s’habillent rapidement, et se couvrent de grosses couvertures, et sortent de leur chambre. C'est Dick, un husky de deux ans, qui s'est fait prendre l'oreille. Solène le tire dans le bâtiment, pendant que Barbara prépare la pharmacie.
Ce n'est pas trop grave. Le chien s'assied sur l'épais tapis. Les deux femmes se déshabillent rapidement, la tenue est suffocante pour l’intérieur.
Barbara s'accroupit pour soigner la plaie. La tête de Dick est appuyée sur les genoux de Solène, qui se trouve assise sur la table basse.
Le chien sent la mouille de la jeune femme. Il glisse son museau sous la couverture, et se trouve en contact avec la chatte de Solène, qui s’était abstenue de mettre une culotte. Il envoie un premier coup de langue inquisiteur.
« Chut Dick, calme toi », dit-elle, un peu mal à l’aise d’avoir éprouvé un bref plaisir au contact de cette langue râpeuse.
Le deuxième coup est plus précis, il entrouvre les lèvres humides, et décalotte le clitoris. Vaincue pa l’excitation ressentie, Solène bascule sur le dos, jambes écartées de chaque côté de la table, la tête dans le vide. Barbara fait mine de retenir le chien.
« Oh, l'enfoiré, gémit Solène, mais c'est qu’il me bouffe le minou ce salaud… Ha… Regarde Barbara... »
Barbara, tout aussi excitée par ce spectacle, décide de profiter de la situation, pour jouer avec sa collègue. Elle passe sa main sous le ventre de Dick, et lui caresse le sexe. La queue, toute rouge, sort très vite du fourreau de poils. Le chien couine légèrement. Il bande dur. Il lèche de plus en plus fort Solène, qui jouit dans un grand cri. Le chien ne la lâche pas pour autant. Il continue de laper la chatte et la rosette bien offertes.
« Qu'est-ce-que tu fais à la petite chatte de ma copine, sourit Barbara. Polisson, regarde comme tu la fait mouiller, c'est çà qui te fait bander, gros vicieux ?
- Oh putain, soupire Solène, que c'est bon... Comme il me suce bien le bouton… Mieux qu'un homme… Vas-y… Lèche bien là...
- Et moi, ma chérie, fait remarquer Barbara, si tu savais ce que je tiens entre mes mains, une belle bite, bien dure. Tu veux qu'il te la mette, çà ne doit pas être mauvais tu sais...
- Cà risque rien tu crois ? J'ai tellement envie de prendre un bon coup de queue ! Si çà fait mal, tu le retires, d'accord ? »
Barbara place les pattes du chien de chaque côté de la table basse. Elle approche son énorme queue près de la chatte de Solène. Elle accompagne vivement la pénétration du mandrin rouge. Comme le chien qu’il est, il la pénètre d’un grand coup, butant au fond du vagin de Solène. Barbara fait la grosse bite aller et venir entre les lèvres pleines de mouille. L'instinct animal fait le reste, Dick la baise violemment.
« Whoua… Qu'il est gros... quel mâle ! Ha, que c'est bon !!! »
Barbara finit de se dévêtir, en ne perdant pas une miette de la saillie de son amie par l’animal.. Elle apparait superbe dans toute sa nudité. Elle fait le tour de la table basse, et vient se placer, jambes écartées, au dessus du visage de Solène. Lentement, elle amorce une descente. Solène admire le corps magnifique qui la surplombe. D'abord, les lèvres intimes humides, le ventre plat, les seins aux bouts énormes, puis le regard coquin. Barbara saisit la nuque de la jeune chercheuse, et la colle contre sa chatte.
« Sens comme je mouille moi aussi, sens mon bouton comme il est dur ! Ma petite chienne, suce-le, mords-le… Vas-y ! Bouffe- moi la cramouille… J'ai envie, tu sais... Oui, oui...jouissons ensemble ma chérie ! Oh ouiiiiiiiiiii !!! »
Solène, agrippée aux fesses de Barbara, mord littéralement dans le fruit juteux ainsi offert, arrachant des cris de plaisir à sa collègue. Barbara gémit de plus en plus, s'écarte d'avantage, se prend le bout des seins qu'elle fait rouler entre ses doigts. Dick, lui, accélère ses coups de boutoirs, jusqu'à se vider en abondance dans les entrailles de Solène.
Les hurlements provoqués par l'orgasme traversent la chambre. Les deux femmes ont joui ensemble. La cyprine de Barbara coule sur les joues de Solène. Le chien se retire lentement, et nettoie de sa grosse langue la chatte de la jeune chercheuse, ce qui est loin de lui déplaire. Barbara s'avance pour se faire lécher la sienne. Les deux femmes roulent sur l'épais tapis, enlacées, soudées par un sulfureux baiser, puis regagnent le lit.
« Whoua ! Ben dis-donc ! Quelle partie de cul, soupire Barbara.
- Samedi, c'est l'anniversaire de Reed, rappelle Solène. Si on en profitait pour se faire mettre ? On a plein de baux mâles sans doute en manque…
- Excellente idée, répond Barbara. Mais au fait, on en était où ? A oui, j'étais en train de caresser une chatte toute mouillée.
- Hum...mais elle l'est toujours, murmure Solène. Avec encore un reste de sperme du chien…
- Viens ici petite chienne…. »
Pendant toute la nuit, elles vont se gouiner, se lécher, faire des 69 à n’en plus finir. Tous les objets longs de la base y sont passés : légumes, marqueurs, bouteilles de vin. Tout est bon pour se baiser la chatte et le cul à fond….
Le samedi de l'anniversaire arrive. L'ensemble des chercheurs remarquent que Reed et Joe s'attardent sous la douche. Ils les soupçonnent d'avoir eu des relations sexuelles. Ils n’ont pas tord. Les deux hommes sont bi, et comme le sexe leu manque cruellement, ils profitent de la douche pour se tailler mutuellement des bonnes pipes. Ils se purgent ainsi les couilles, rapidement. Mais cela leur laisse un gout de « pas assez »…
Les deux femmes arrivent dans le dortoir des mâles dans une tenue plus que provocante. Elle sont bien décidées à baiser toute la nuit…
Pierre sent que la soirée va être chaude. Il enquille un CD de musiques chaudes dans le lecteur. Les deux chercheuses se frottent et ondulent sur une lambada effrénée. Les hommes les entourent, lancent des plaisanteries douteuses. Leurs mains s’égarent sur les corps chauds des deux jeunes femmes. Elles sentent des doigts partout, qui s’infiltrent, s’insinuent, commencent à bien les exciter…
Sans plus de façon, les hommes les entrainent sur deux lits mis côte à côte.
Là, elles vont servir pendant des heures de vides couilles aux chercheurs en plein sevrage. Elles vont se faire niquer, enculer. Elles vont tailler des pipes. Elles seront prises par tous les orifices… Le top de la nuit étant Solène en double pénétration, avec Barba en travers de son visage. Elle lui bouffe la moule avec avidité, pendant que Barbara se fait enculer sans ménagement par Pierre, et qu’elle pompe Reed à fond, debout devant elle.
Joe, lui doigte la rosette de l’homme qui sodomise Solène… La scène est dantesque, inimaginable : la luxure à l’état pur ! Ils jouissent sans entraves, criant leur plaisir dans la base encore et encore.
Puis, enfin repus, tout le monde sombre dans un léger sommeil.
Les deux femmes sont réveillées par des gémissements provenant du lit d’à côté. C'est Reed qui se fait enculer par Joe. Elles ne perdent pas une miette de leurs paroles salaces.
« Bon anniversaire Reed, çà fait longtemps que je ne t’avais pas mis un coup de queue, hein ? Tu aimes toujours autant à ce que je vois.
- Oh oui mon chéri, comme tu m'encules salaud, murmure Reed, que c'est bon ! Décalotte-moi, s'il te plait… Branle-moi fort ! Tant pis si tu me fais gueuler ! De toutes façons cette nuit, on a tous baisé comme des sauvages ! »
Barbara et Solène se regardent, l’air entendu :
« Cà t'a excitée de voir çà ? Alors, tu sais ce qui t'attend. Fais voir que je m'amuse avec ta petite chatte. Je suis sure qu'elle est toute baveuse, cette salope.
- C'est vrai qu'elle est toute mouillée mon amour, vas-y, amuse-toi. Mon petit clitoris aussi ! Régale-moi… Je veux être ta pute cette nuit ! »
Elle ne croit pas si bien dire. Les deus hommes voyant les deux femmes se lécher la chatte avec ferveur, ont vite fait de les retrouver. C’est dimanche, ils ne travaillent pas. Toute la journée va être semblable à la nuit passée, une énorme partouze des six hommes avides de sexe, et des deux jeunes femmes en chaleur….
Les chiens ne seront pas oubliés non, plus, rassurez-vous !!!
Sinon, je t'ai ecris dimanche. Depuis, le rythme infernal de la semainea repris, toujours sans pont. Donc, avec des temps de trajets quintuplés...
Bisouxxx doux, Sophie
Pour info, ce matin, il fauit encoe 31° ici...
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A très vite......
Perso. pourquoi je n'ai plus de tes nouvelles. bisous.