Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Nous sommes dimanche, début d'été 1985. Je viens de finir mon weekend de garde. Pas trop crevé par le boulot, tout en prenant ma douche je me demande ce que je vais pouvoir faire durant les deux jours à venir, puisque je suis de repos. Durant que je me change pour quitter la boîte, le coup de téléphone d'un client transporté le jeudi précédent pour demander si nous n'aurions pas trouvé son porte documents dans l'ambulance. Effectivement nous l'avons trouvé.
Comme je n'ai donc rien prévu, je me propose pour aller le lui rapporter, bien que ce ne soit pas tout à fait prés de chez moi. Je l'avais reconduit moi-même chez lui, en retour d'un centre de rééducation à la suite d'une fracture. Cet homme, qui s'appelait Victor, était un grand blond athlétique d'une quarantaine d'années. Il était très sympathique. J'avais senti en lui au moins une certaine homosexualité que son attitude et la cour discrète qu'il me fit durant le transport me confirma.
En quittant son domicile, il avait eu une manière de me dire au revoir, ce qui voulait vraiment dire qu'il le souhaitait, qu'on se revoit. L'occasion était bonne pour moi de savoir si je m’étais trompé ou non, et puis cela faisait quelques jours que je ne m'étais pas fait sauté, j'en mourais d'envie. Victor vivait dans une belle villa du côté de Velizy dans la banlieue parisienne.
Lorsque j'arrive chez lui, dans ma voiture personnelle et que je lui remets son porte-documents, il se confond en excuse pour le dérangement, ce à quoi je lui réponds que étant en repos pour deux jours, rien ne peut me déranger.
« Dans cas, Bruno, entrez donc ! Je vous invite à déjeuner, vous voulez bien ? »
J'accepte avec plaisir sa proposition, d'autant plus que des odeurs fort agréables arrivent des cuisines. Il me précède jusque sur sa véranda en s'appuyant sur une canne, sa jambe est encore un peu fragile. Nous installons. Il nous sert un verre de whisky. Nous commençons à le déguster quand arrive un jeune homme brun de 25 à 26 ans, sa démarche fait un peu « grande folle »'. Dés qu'il me voit il rectifie son allure.
« Bruno, je vous présente Gilles, mon filleul. Il vit chez moi durant ses études ! »
C'est fou ce que nombre d'homos ont comme filleuls. Cela m'a beaucoup amusé. Il est vrai qu'à l'époque dont je parle, pas si vieille pourtant, il était très mal vu pour des gays d'avouer vivre en couple. Je salue Gilles, me disant enchanté de le connaître. Il s'installe avec nous et tout en buvant, nous discutons joyeusement. Victor recommence, en moins discret, à me draguer. J'entre dans son jeu me disant que pour me reposer de ma garde une éventuelle partie à trois serait plus que la bienvenue.
A sa question de savoir si je suis marié je lui répond, sorte de cri du cœur:
« A non alors! Beaucoup de femmes apprécient peu mes goûts !
- Ah! Bon? Pourquoi ? Vous êtes gay ?
– Non, juste bisexuel. »
Soudain l'atmosphère change du tout au tout. Gilles redevient « la folle » qu'il a toujours été, et Victor devient moins discret. J'entre totalement dans son jeu. Après un excellent déjeuner, Victor me propose d'utiliser la piscine avec Gilles et lui.
« Mais je n'ai pas de maillot !
– Nous non plus, et alors ? »
Je suis tout de suite ok, après tout, vivre à poil c'est mon truc. Très vite donc, nous voilà en tenue d'Adam. Je suis déshabillé du regard par mes hôtes, et j'ai droit à leur réflexion étonnée en constatant que je suis intégralement épilé. Je leur fais un bref résumé de ma vie et leur fais remarquer que je trouve très agréable ce qui pend entre leurs jambes.
En effet, ils sont très bien montés et, circoncis, je peux apprécier leurs glands, surtout celui de Victor qui est plus large que sa hampe, juste comme j'aime. Il a quelques poils, mais sa blondeur le sauve (à mes yeux). Gilles quant à lui est très peu poilu. Il a un joli petit cul bien rond et bien ferme. Il me rappelle celui d'une copine très friande de sodomie.
Décidément, l'après-midi s'annonce très bien. Nous nous jetons dans la piscine, chacun de nous fait, quelques brasses, puis nous nous accrochons au bord du bassin et continuons à papoter. Soudain, Gilles se laisse couler et remonte en se frottant à mon corps, il s'arrête à hauteur de ma bite et me la suce.
Agréable surprise qui me fait bander aussitôt. Mon suceur s'active un bon moment, refait surface pour respirer, mais une de ses mains me caresse la queue. Je le ceinture avec mes jambes, il comprend aussitôt ce que je veux, son gros gland caresse mon sillon culier puis titille mon trou quelques secondes, de mes mains j'écarte mes fesses pour qu'il entre en moi. Il entre doucement. Bon sang qu'est-ce que c'est bon ça ! Enfin, nous ne faisons qu'un lui et moi. Mes mains prenant appui sur le bord du bassin je commence à aller et venir sur lui, lentement comme j'aime pour mieux ressentir le plaisir de la sodo.
Victor pendant un temps joue les voyeurs en se branlant. Mais il ne tarde pas à se joindre à nous, il se place derrière son chéri, ses mains caressent le corps de Gilles. Celui-ci gémit en m'enculant et soudain, il se raidit et son gémissement s'accroit, Victor entre en lui. Gilles, son cher filleul est pris en sandwich. On baise un moment comme ça, nos gémissements se confondent et soulignent notre plaisir. On ne tarde pas à s'arrêter pour sortir de la piscine, ce sera tellement plus agréable de faire ça sur un transat.
Dés que nous sommes sortis, je m'agenouille devant Gilles et Victor pour sucer leurs belles bites. Mon péché mignon c'est de sucer une queue qui sort d'un cul (ou d'un vagin). Elles ont alors un goût que j'adore et qui m'excite. Je me régale donc avec mes deux sucettes. Au dessus de moi Victor et Gilles, gémissent leur plaisir d'une voix étouffée car ils se roulent une pelle goulue.
Enfin, je les sens se contracter, leurs queues ont des soubresauts, ils vont jouir, j'accentue ma pipe et les fais juter quasiment ensemble dans ma bouche. L'un d'eux, j'ignore lequel pour l'instant, décharge une quantité importante de bonne crème. Je n'en perds pas une goutte. Pour me remercier, Gilles prend ma bite en bouche et me suce d'une manière magistrale. Sa langue et ses lèvres sont partout en même temps.
Je les crois sur mon gland, elles sont sur mes couilles, je les crois sur ma hampe, elles sont autour de mon gland. Avec ce régime je suis plus excité que permis et je ne tarde pas à avoir envie de jouir. Je me retiens le plus que je peux, mais Victor m'embrasse à pleine bouche alors je ne me contrôle plus et explose dans la bouche de Gilles.
Après ces émotions, un verre est la bienvenue. Nous sommes affalés sur des transats, et tout en discutant chacun de nous caresse sa bite pour lui redonner figure... euh.... ... humaine. Je lorgne celle de Victor. Elle est longue et épaisse, je veux absolument qu'il m'encule, la sentir aller et venir en moi, connaître le plaisir de me faire ramoner, et enfin goûter ce plaisir formidable de le sentir jouir en moi.
Enfin, Victor bande, je m'approche de lui, m'agenouille et le suce. Sa bite est toute chaude et douce, je la tète avec délices. Ça y est elle, est bien dure, je me relève et m'empale sur la queue de Victor en lui faisant face. Je prends appui sur les bras du transat et commence à faire ma gymnastique. Je monte et descend sur cette belle grosse bite, le plaisir qu'elle me procure me fait bander comme jamais. Puis nous changeons de position, je vais prendre appui sur le transat de Gilles et Victor m'encule en levrette. Ce n'est pas la façon que je préfère mais c'est vrai qu'en levrette on est pénétré plus profond. C'est très très bon aussi.
Gilles se rehausse en mettant un coussin sous son cul, il bande aussi beaucoup et pendant que ses mains caressent mon corps je le suce. Je me dis que j'ai bien eu raison de me charger de venir rapporter à Victor ce qu'il avait oublié. Mes copains m'avaient traité de couillon de faire cela après une garde au lieu de, rentrer toute de suite chez moi. Je ne pouvais tout de même pas leur dire que si je faisais cela c'était parce que j'avais une petite chance de me faire sauter.
Je suis bien, je me fis enculer tout en suçant une queue, je prends un pied d'enfer, à tel point que alors que personne ne s'occupe de ma queue, j'éjacule sans plus pouvoir me retenir. Le beau torse musclé de Gilles est complètement recouvert de ma crème. Il me fait un grand sourire, et de sa main droite, il se masse le torse tandis que sa main gauche caresse ma queue pour bien la vider, puis il se lèche les mains.
Ma jouissance me fait accompagner Victor dans mon enculade. En effet, je donne des coups de reins, Victor ne peut se retenir plus longtemps et jouit en moi en poussant un grand rugissement. Il semble ne plus pouvoir s'arrêter de juter. J'en ai plein le cul, c'est le cas de le dire. On s'affale tous les trois, épuisés. Surtout moi d'ailleurs, car j'ai bossé plus de vingy quatre heures de suite.
On reprend des forces en mangeant un peu, le tout arrosé de whisky. Ensuite je leur demande de me conduire à la douche. Je me rafraichis et dis à mes deux nouveaux amis que je dois rentrer car je suis sur les rotules. Ils ne veulent rien savoir et insiste pour que je reste dormir et :
« Tu repartiras demain matin, tu seras plus en forme pour rentrer ! »
Je me laisse convaincre en pensant que demain matin, qui sait, je me ferais peut-être mettre une ou deux petites pétées, pour la route.
Nos parties de jeux ont duré assez longtemps. Il est autour de vingt heures, j'accepte volontiers leur invitation. Nous dinons, et après une heure ou deux à discuter de choses et d'autres, je me couche et laisse Victor et Gilles faire leur vie.
Je ne tarde pas à m'endormir d'un sommeil de plomb. Mais soudain, un bien-être extraordinaire m'enveloppe. Je me laisse envahir, mais cette impression devient telle que je suis obligé de me réveiller. Je suis extraordinairement reposé. J'ouvre un œil, il fait grand jour et je comprends la raison de mon bien-être. C'est Gilles qui en est la cause. Il est nu, agenouillé sur le sol et il suce ma bite. J'adore qu'on me réveille comme ça, surtout que Gilles me suce comme une reine. Je me laisse aller à ce plaisir, je ne fais aucun brusque.
Maintenant que je suis conscient, l'envie de jouir monte vite, je gémis, Gilles accélère sa sucette, mon jus monte et j'explose dans sa bouche. Il ne s'y attendait visiblement pas car il a un léger sursaut mais s'applique à ne rien perdre de ce que je viens de lui donner.
« Hey ! Gilles ! N'avale pas tout, j'en veux moi aussi un peu de ma crème »
Il me regarde en souriant et me prend la bouche. Nos langues jouent dans ma bouche à celle qui récupérera le plus de sperme. Ce petit jeu l'excite et je constate que sa belle bite est toute dure, prête à servir.
« Gilles, encule-moi, s'il te plait, c'est mon cul qui va sucer ta bite. »
Je m'allonge en travers du lit lève mes jambes et les écarte bien, Gilles me tient les chevilles et regarde mon petit trou qui est tout dilaté par l’excitation, il n'a donc aucune difficulté à me pénétrer. Il entre d'un seule coup en moi son ventre claque contre mes fesses. Je pousse un petit cri de plaisir. Décidément je ne me lasserai jamais de me faire enculer, moi. Gilles se met à aller et venir en moi tout en imprimant un mouvement de rotation de son bassin. C'est proprement génial ce qu'il est en train de me faire.
Nos gémissements attirent Victor qui apparaît dans la chambre. Il est entièrement nu. Il a un corps splendide, il s'approche en claudiquant un peu, sa jambe est encore sensible. Il grimpe sur le lit, met ses jambes de chaque côté de mon corps et s'accroupit en me tournant le dos. Il écarte les fesses, je comprends sa demande, je le prends par la taille et le baisse un peu plus de ma bouche et je lui fais une feuille de rose. Ses soupirs de plaisir sont étouffés, car il roule une pelle à Gilles qui accélère ses mouvements, il va jouir, il sort de mon cul et explose sur mon ventre. Victor se relève, j'en profite pour étaler le sperme de Gilles sur mon ventre. J'adore sentir cette crème chaude gicler sur moi…
Victor, que ma langue a chauffé, se présente entre mes jambes, et sans même prendre la moindre précaution, il m'encule, je sens bien son gros gland pénétrer, c'est bon. Et puis, il me perfore à grands coups de rein. Après « la danse' » de Gilles, les assauts de Victor sont juste ce qu'il me faut pour me faire jouir, ce que je ne tarde pas à faire d'ailleurs, tant je suis bien baisé. Victor me prend un long moment encore avant d'exploser en moi. Qu'est-ce que c'est bon ça !!!
Enfin, après une bonne douche et un p'tit dèj' copieux, je rentre chez moi non sans avoir accepté leur invitation à venir chez eux de temps en temps. Ce que je fis d'ailleurs deux ou trois fois….
Je n'en doute pas un seul instant !
On se découvre parfois des envies cachées !
On évolue, avec le temps.. mais je sais que tu es surtout un libetin convaincu !
Mais de rien ! je suis toujours heureuse de faier decouvrir de nouvelles choses, grace au blog !
Je regrette de ne pas pouvoir te regarder faire !
Et comme j'aurais aimé vous regarder tous !!!
hummmm , excellent j'aurai aimé participer , ai juste fais a deux , donc avoir plusieurs sexes a prendre en bouche et ailleurs quel delice cela serait !!!!!
nous les gays, on sai depuis longtemps qu'on s'eclate à fond entre mecs.. si les heteros savaient, ils deviendraient tous au moins bi !