Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Fin février 2012. Nous sommes sur la route entre Daytona et Miami, en Floride. Il se fait tard, et nous décidons de passer la nuit à Fort Pierce, une petite ville à mi-chemin vers Miami. Sur le net, nous avons trouvé un motel pas trop cher, mais qui semble bien. Les sites nous disent que c’est une ville américaine classique, sans rien pour la distinguer d’une autre…. Peu importe, nous ne voulons qu’y dormir... Et découvrir l’Amérique profonde, c’est bien aussi !
Mais peu avant de prendre la sortie, un immense panneau barre le coté de la route. Au lieu des sempiternelles pubs pour des cabinets d’avocats, celui-ci vante... un sex-shop ! Ici, on les appelle des « sex stores ». Cela nous semble incongru, dans ce pays qui se dit si prude. Et d’un commun accord, nous décidons d’y aller faire un tour après le diner.
Nous trouvons notre motel sans difficulté, un comme tous les autres, grand, propre et pas cher. Après un rapide diner « typically american » avec hamburger et « french fries » énormes, nous prenons la route vers le fameux sex-shop.
Après de longues minutes de route, nous le trouvons, dans une des multiples zones commerciales qui cernent littéralement toue les villes américaines, même les plus petites. Contre une station essence et face à un Mac Do, le voilà : un énorme cube, grand comme un supermarché de chez nous… Impressionnant !
Nous entrons, et sommes salués chaleureusement par une jeune femme, très simplement habillée d’un jean et d’un pull à col roulé...
Première surprise : c’est éclairé en grand, tous néons dehors, sans zone d’ombre. C’est agréable, on n’a pas du tout une sensation de glauque.
Deuxième surprise : pas mal de monde, des gens qui discutent, échangent, comparent les avantages des articles devant les rayons comme on le ferait devant un étalage de perceuse dans un magasin de bricolage…
Nous laissons de coté le rayon des vidéos, absolument immense, pour nous diriger les sex-toys. Il y en a pléthore, et tous plus jolis et originaux les uns que les autres. Pas facile de faire un choix !
Je finis par en sélectionner une dizaine, mais il n’est pas question de tous les acheter ! Fritz me dit en riant :
« Ce serait bien de pouvoir les essayer !
- Chiche ! Peut être que ca se fait ?
- Oh ca m’étonnerait, quand même…
- Je vais demander ! »
Le fait d’être loin, dans un pays étranger, permet peut être des audaces qu’on éviterait près de chez soi… Je me dirige vers la jeune caissière, et lui formule ma demande.
Sans sourciller, elle me répond que j’ai des cabines à disposition au fond du magasin, les grandes portes que je n’avais pas remarquées… Elle me tend un rouleau d’essuie-tout, et un produit désinfectant.
« C’est pour les modèles d’exposition. A nettoyer avant et après ! »
Je suis malgré tout un peu interloquée, mais vais rejoindre mon mari.
« Chéri, c’ets possible d’essayer !!!
-Ah bon, et où ?
- Là regarde, les grandes protes..
- Mais on essaye quoi ?
- Tout ce qu’on veut, à désinfecter avant et après…
- Tu as envie ?
- Oh oui, mais bon, l’hygiène…
- Ne t’en fais pas, on va les couvrir d’une capote. »
Toujours la bonne solution, mon cher mari !
Sans plus hésiter, nous allons vers les portes. On ouvre la première, la cabine est occupée. Un home est train de se masturber avec une fausse bouche… Amusant, on referme la porte, même s’il proteste…
La seconde est tout aussi occupée par un couple de gays, en train d’essayer un énorme gode dans une sodomie sauvage. Je serai bien restée, mais là, c’est Fritz qui ne veut pas. Il me tire par le bras, et m’emmène directement à la dernière cabine.
Elle est grande, sans doute près de 10 mètres carré, et vide. Il y a au centre un grand fauteuil style club… Elle est tout aussi éclairée que le magasin, mais on peut baisser la lumière. Ce que nous faisons d’emblée. Aussi ne vais-je remarque que plus tard les trous qui ornent les cotés de la cabine... certains à hauteur de bassin, d’autres à hauteur de visage… Mon homme me dira plus tard les avoir vues de suite…
Je déroule le non-tissé qui sert à protéger le siège, il y a aussi un lavabo et du savon au fond, et tout est super propre, comme partout dans ce pays. Sans l’ombre d’une hésitation, je m’assieds, les jambes grandes ouvertes, les mollets posés sur les accoudoirs. Nous rions de cette position super indécente, dans un magasin…
Mon chéri nettoie un joli vibro rose, en latex, tout doux et très silencieux. Puis il le recouvre d’une capote. Il se met à genoux devant moi, et entre prend de me masser les lèvres intimes avec… Furtivement, j’entends des bruits à coté, et pense qu’il s’agit d’autres clients faisant la même chose. Je me laisse aller, de plus en plus excitée… Frit m’ouvre les chais en grand, laissant sortir facilement mon petit bouton. Je sens que je vais jouir une première fois...
Mais un bruit plus prononcé que les autres me fait sur sauter. Mon mari est mort de rire... et moi, je finis par suivre son regard, et voir deux belles bites qui sortent de la cloison ! je lève le visage, et deux paires d’yeux me fixent. Je suis surprise, pour le moins... Mais agréablement surprise.
« On continue ? me chuchote Fritz.
- Mais bien sur, tu sais comme j’aime ça !!
- Et s’ils veulent te toucher ?
- Là, mon chéri, c’est toi qui décides ! »
Je tends un bras pour saisir la queue la plus proche. Elle est ferme douce, et se raidit bien dans ma paume. Je le masturbe lentement, et je sens sa respiration s’accélérer. Je me tourne un peu, pour qu’il me voie mieux. Fritz continue de me branler avec le vibro, et moi, de me savoir observée ainsi, impudique et vicieuse, je jouis une première fois, sans trop de discrétion…. L’homme se retire, et je le vois jouir juste devant l’orifice. J’apprécie son savoir-vivre, de ne pas m’imposer une giclée de sperme…
Je suis bien, mais je n’en n’ai pas eu assez. Mon homme prend un autre gode, un genre de pince mauve super douce. Il la couvre aussi d’une capote, et au moment où il allait me lécher copieusement, la porte s’entrouvre. Je reconnais furtivement l’homme qui se branlait dans la fausse bouche, plus deux autres, qui se hissent derrière lui pour m’apercevoir. Fritz leur fait signe d’entrer, et pose ses conditions :
« You can watch, but don’t touch, except if she asks for… »
Les hommes acquiescent d’un signe de tête. Je suis aux anges, et je n’aurais jamais imaginé une telle tournure !
Mon homme reprend sa caresse, me dévorant à fond, sous le regard de plus en plus rapproché des hommes. Ils sont déjà tous sortis leurs bâtons de chairs, et se branlent plus ou moins férocement.
L’un tend la main vers mes seins. je le fais sortir du haut que je porte sans soutien- gorge, et il s’en empare comme un affamé. Il me triture, et vient le sucer comme un dieu. L’autre qui est à coté, ne se prive pas de faire la même chose, après m’avoir demandé mon accord. Qu’ils sont bien élevés, ces américains !
Me voilà les jambes écartelées, deux hommes tenant mes tétons, deux autres se branlant à coté de moi… J’aperçois aussi les deux orifices occupés. Ils sont six, six pour moi toute seule... le rêve !
Je ne peu m’empêcher de saisir une bite dans chaque main.. ca me fait trop envie. Et pour ma plus grande joie, l’un des hommes branle une des queues qui sort du trou... Je me demande si son propriétaire sait qui le caresse…
Devant une telle situation, je jouis une deuxième fois, avec encore moins de retenue que la première. Du coup, cela en fait jouir deux, ceux qui me dévoraient les seins. Ils se retirent, et laissent la place à d’autres...
Je saurai plus tard, par la vendeuse, que plus de quinze hommes ont ainsi défilé dans le box, sans que je m’en rende vraiment compte….
Fritz s’test retiré, il me tient la chatte grande ouverte, et un inconnu me dévore à grands coups de langue. Il a une vraie bite à la place de son organe lingual ! Il me pénètre le vagin très loin. Si loin, que je jouis encore. Je commence à avoir la tête qui tourne. Je sens mon homme, vigilant, qui régule les appétits masculins, laissent les uns et les autres me toucher... Je palpe plein de verges, de toutes tailles, de toutes couleurs. Certains jouissent vite, d’autres sont plus longs…
Je me dis furtivement qu’ils sont tous très respectueux, car pas un ne passe les limites fixées. Mon mari continue de me labourer à l’aide des différents godes, et vient me chuchoter à l’oreille :
« Tu ne veux pas te faire prendre pas une belle queue d’ébène ?
- Si tu veux, je commence à avoir envie de chair humaine, plus de latex !
- Il y en a une là, il te plaira surement…. »
De la masse des visages qui me surplombent, je vois au milieu un black au crane rasé, bien bâti. Je baisse les yeux pour regarder son chibre, un bâton très épais mais assez court, comme je les aime.…
Je suis trempée de mouille, de plaisir, d’excitation... Dans un coin, je vois ce que j’adore : un homme en suce un autre à genoux. Celui qui est debout lui baise la bouche sans ménagement. Du coup, je me retourne carrément à quatre pattes sur le fauteuil, pour mieux suivre le spectacle. Décidemment, ce soir, c’est ma fête !!!!
Dans cette positon, je sens des mains qui passent furtivement de mon vagin à ma petit rondelle qui frétille… Je ne retourne pas, toute à attentive à la fellation entre hommes à cinquante centimètres de mes yeux. Des doigts me massent, des langues me lèchent, je ne sais pas qui fait quoi, mais c’est divin ! Je sens le plaisir monter une fois de plus. Je jouis, avec en fond d’image, le sperme qui déborde de la bouche du pompeur, et de deux autres bites qui giclent…
Ca sent fort le sperme partout... Le temps de reprendre mes esprits, Fritz me dit à l’oreille :
« Tu es prête ? Il va te prendre en levrette… »
L’homme entame sa progression dans ma grotte qui n’attendait que ça. D’un coup de rein, je le force à s’enfoncer d’un coup. Mon mari vient devant moi, et m’embrasse amoureusement. Je suis littéralement défoncée par ce pieu large, qui m’écartèle avec bonheur… un doigt fouille ma rosette brune… Mon mari se redresse, et défait son pantalon. Je le gobe sans sourciller, toute heureuse de le faire participer à notre mini orgie. Je suis dans un état second, et je l’aspire au rythme des coups de boutoir de mon amant du moment. Les autres l’encouragent, et je vois des mains branler des bites encore plus vite ; Certains crachent leur jus sur le fauteuil.
Je me ferai la réflexion plus tard que pas un n’a éjaculé sur moi….
En attendant, je suis pilonnée sans ménagement par l’homme, tandis que, j’en suis sure, une langue dévore mon anus qui apprécie follement… je jouis comme une dingue, clouée sur le fauteuil par le black. Fritz jouit dans ma bouche, et j’avale avec plaisir cette crème adorée.
Je sens les saccades de foutre au travers de la capote, et je regrette de ne pas l’avoir senti « en vrai » !
La fureur retombe dans la cabine, ils sont encore cinq dedans. Le black me fait une bise, et me glisse une carte de visite. Il vit à Miami…
Les quatre derniers se branlent en me caressant, je leur laisse libre accès à mes orifice, mais juste manuellement ou avec leurs langues. Je suis épuisée, mais ces caresses sont doucement excitantes. Un à un, ils jouissent, et se rajustent. Nus finissons pas nous retrouver seuls.
Fritz verrouille la porte.
Je me demande si j’ai rêvé ou pas : il me confirme que non…. Il me redresse, et m’embrasse fougueusement. Comme je l’aime, mon Fritz à moi !
« Tu me fais l’amour ? lui murmurai-je.
- Ici ? Où à l’hôtel ? »
J’hésite, et j’opte pour l’hôtel. Je ne recommencerai pas un nouveau marathon !
Nous nous rhabillons, et constatons que pas une trace de sperme ne subsiste. Je n’y avais pas fait attention, mais chaque homme a consciencieusement nettoyé ses propres souillures. La cabine est propre….
Nous sortons, et aux regards que nous recevons, je constate que tout le magasin savait ce qu’il venait de se passer ! La vendeuse encaisse les produits que nous achetons, et nous fait quatre cadeaux, pour nous remercier d’avoir « animé » la soirée ! Elle le fait le plus naturellement du monde, comme si c’était courant... Après tout, peut être que ca se passe comme cela tous les soirs !
Nous sommes rentrés à l’hôtel et avons fait l’amour toute la nuit, tant j’étais excitée….
Le lendemain matin, nous avons eu la surprise de constater que le black était dans la chambre à coté ! Dommage que nous ne l’ayons pas vu la veille ! mais je vous rassure, nous nous sommes rattrapés le lendemain à Miami, avec lui….
Merci.. seul mon mari peut le dire...
Bien raconté, et bien excitant, comme toujours!
@+ JM
Merci JM, cela me fait plaisir de te lire à nouveau ici !
Je permets, je permets, bien entendu !
tu as raison, ils devraient en prendre de la graine,, et verraient leur clientèle changer.. en bien !
J'aurais adoré être à votre place pour consommer toutes ces belles queues
Vraiment ? Je crois que j'aurais aimé te voir faire... ;-)
Ravie que cela te plaise ! j'epsère qu'il en sera de même avec d'autres recits !
j'aurais bien aimé être là, au moins comme spectateur.
je te caresse partout
J'aurais aussi apprécié que tu sois là, mon cher...
Un bel a-m dans ton voyage de noces, et avec un seul regret : ne pas avoir été des convives de cette cabine ....
Dommage que tu n'est pas demandée à la sécurité du magasin, de te donner un double de la vidéo de ton séjour en cabine. Elle n'aurait pas déparer pour illustrer ton récit ...... lol
Merci de tes compliments... mais je n'ai pas le souvenir qu'il y avait une camera de sruveiallnce... Elle doit etre annoncée, si c'est le cas, et je n'ai rien vu de tel...
Oh que oui ! je ne demande qu'à y retourner !
Je vais y invité Sophie...
Je viendrais avec plaisir.. Une telle invitation ne se refuse pas !