Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Le Marquis vous invite, Madame, en son boudoir feutré, à partager des échanges virtuels très intimes, dans la complicité....
Aussi, il vous informe, Madame et chère lectrice, de ses écrits, et de son plus vif désir d’établir des liens virtuels privilégiés, courtois et discrets, en toute complicité, avec une jolie femme issue d’un bon milieu, dotée de charme et de sensualité.
Elle sera âgée de 35 à 60 ans, sera élégante et distinguée et dotée d’une écriture aisée autant que coquine en vue d’échanges de qualité : récits, scénarios, confidences avec un bel homme viril, bien conservé, cultivé et distingué, autant qu’élégant et grand admirateur de la Femme.
Ce libertin, marié, mais quelque peu solitaire, nanti d’un caractère agréable autant que charmeur, aimant la vie, les plaisirs des sens, recherche une Amie dont le charme répondra à ses attentes dans une entière et très privilégiée complicité.
Une rencontre éventuelle ultérieurement pourrait être envisagée, si de réelles affinités charnelles se voyaient accompagnées d’échanges de qualité tout au long de cette très intime correspondance.
Paris-île de France en premier lieu et toutes autres régions.
Bienvenue sur mon écran.
Le Marquis de Chair
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Les Amants de la Nuit
Et la nuit nous emmène
Dans ses draps de minuit,
Sous ses pluies de « je t’aime »,
Echos à l’infini
De nos corps qui se cherchent,
Se trouvent et sont unis
Et partent à la recherche
De ces chants interdits
Qui sourdent de nos corps
Aux remous inouïs…
C’est à l’heure des caresses,
Quand nos âmes s’enfuient
Et partent en ivresse
Dans les bras de la nuit ;
L’Absolu n’est pas loin
Et s’en va sur nos peaux
Par les sensuels chemins
Qui nous mènent si haut,
Les sens en gouttes d’eau,
Mon cœur contre ton sein
Qui bat là crescendo ;
Nos haleines ont ce râle
Qui peu à peu s’éteint
Et meurt à petit feu
Dans nos regards mourants
Où s’étalent les Cieux…
Mourir à chaque fois
Que nous sommes à deux,
Que nous sommes heureux,
Nuit qui n’a pas de « FIN »
Et jette dans nos yeux
Ses étoiles en pluies
Jusqu’au bout de nos cœurs,
Chairs au bout de l’Amour,
Toujours, toujours plus loin
J’écoute ainsi ton souffle qui,
Sur ma joue, soudain
M’apprend là que tu dors,
Mon cœur entre tes seins…
Votre Marquis de Chair…
Je suis homme mais j'aime votre façon d'écrire, elle me rappelle que notre Langue Française est si belle