Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Il est bien évident que ce prénom ne vous dit rien, je m'appelle Laurent, jeune représentant de vingt cinq ans, assez beau gosse, toujours célibataire.

Aujourd'hui, je sillonne les routes enneigées du sud de la France, et décide de rendre visite à un ami de longue date, un vrai, un pur, comme on rencontre peu de nos jours.

Rémi, vingt cinq ans lui aussi, plus petit que moi, dégage une virilité hors du commun. Elodie, sa ravissante épouse, infirmière, se plaint parfois de cette débauche d'énergie. 

« Il me plombe tous les soirs ce salaud, ironise-t-elle, il me faut lui trouver une maitresse. »

 

Je sonne à la porte vers dix huit heures. Je suis accueilli par Elodie.

« Mon dieu, s'écrie-t-elle, mais ce n’est pas vrai... Rémi, viens voir qui est là... »

 

Elle enroule ses bras autour de mon cou, et me prend tendrement les lèvres, sans être vue de son époux.

« Laurent, mon ami, mon frère, quelle surprise, tu bosses dans le coin ? Rentre.

- Oui, je tenais à vous dire bonjour avant de rejoindre mon hôtel.

- Quoi ? sursaute Elodie, tu es fou, tu vas coucher ici, je suis de garde ce soir, ce n’est pas grave,  tu tiendras compagnie à ton copain. Et puis, il neige, c’est plus sûr que tu restes ici tranquillement…

- Non, que je réponds, je ne veux pas vous déranger.

- Tu couches ici j'ai dis, ok ? Vous devez avoir des tas de choses à vous dire tous les deux. »

 

Je croise le regard Rémi, et d'un coup, surgit un souvenir de l'époque ou nous avions dix huit ans.... »

 

Nous sommes en juillet, sur une plage déserte. On joue comme des gamins de dix ans, et ça finit souvent par une bagarre amicale. On a dépassé l'âge des pâtés de sable.


Grace à ma corpulence, je prends souvent le dessus, mais ce jour-là, il se passe un truc plutôt inattendu. Comme d'habitude, je plaque Rémi sur le sable pour le forcer à abdiquer, quand je sens sa main se glisser entre nos ventres, et se plaquer sur mon sexe. Je le fixe du regard, et là, allez savoir pourquoi, au lieu de le repousser, je soulève mon bassin, pour lui faciliter l'accès. Je suis surpris par son attitude, mais il ne s'arrête pas là.

Il écarte l'élastique de mon maillot, et en extrait mes attributs.

« Hey... mais ça va pas, dis-je, qu'est- ce qu'il t'arrive ? »

 

Pour seule réponse, il fait rouler mes testicules entre ses doigts, les serre légèrement, pour me faire couiner. Je me surprends à avoir une petite érection, et Rémi s'en aperçoit.

Sa main remonte sur ma bite raidie, fait coulisser le prépuce pour la décalotter. Lentement, il commence à me branler. Cette situation est tellement excitante, que je n'ose l'interrompre.

Rémi, sur de lui, ne dit pas un mot. Il sait d'après mes premiers gémissements, que je suis à sa merci.

« Salaud... tu vas me faire cracher...

- Je sais, répond-il, tu aimes hein ? Vas-y, vide- toi les couilles, on ira à l'eau après. »

 

Perdant toute retenue, et sans trop réfléchir à cette situation inédite, j’éjacule copieusement en lançant mon bassin en avant. Mais que m'arrive-t-il ?

Pourquoi ai-je pris tant de plaisirs dans cette masturbation imprévue ?

 

Une fois debout, Rémi se charge de nous ôter nos maillots. Il me prend par la queue toujours en érection, bien décalottée, et me tire sur la plage, comme on promène un chien.

« Marchons un peu », me dit-il.

 

Les secousses dûes à la marche font coulisser ma bite dans sa main. Je sens une nouvelle fois la sève monter en moi, je n'y tiens plus. Je pose une main sur son épaule. Rémi a compris.

Il s'arrête net. Je me mets alors à donner de violents coups de rein.

« Ah... ah.... enfoiré... tu me fais jouir.... ça fait deux fois... salaud... »

 

Rémi ne prend même pas la peine de se retourner. Il attend calmement que je me vide les couilles pour la seconde fois, il me les presse, comme pour en extraire les dernières gouttes.

Il me regarde enfin, un large sourire éclaire son visage.

« J'ai toujours rêvé de cet instant, sourit-il, allez, rentrons maintenant... »

 

Nous sommes rentrés chez nous, et nous n’en n’avons plus jamais reparlé.

 

Mais comment, à cette époque, ai-je pu accepter une telle relation, moi qui collectionnais les conquêtes féminines ?....

 

Il est minuit, et il neige toujours. C'est Rémi qui me tire de mes pensées érotiques.

« Eh, me dit-il, tu es où ? Tu rêves ? Fais passer à boire. »

 

Nous sommes à genoux sur le tapis, devant la cheminée, assis sur nos talons, vêtus d'un peignoir. J'ai les couilles douloureuses, la bite tendue, entièrement décalottée de m'être remémoré tout ça. Je bande si fort, qu'en me retournant pour prendre les verres, ma queue jaillit d'entre les pans du peignoir. Je me retourne confus, et croise le regard de Rémi.

« Tu rêves éveillé ? me demande-t-il. Ou un vieux souvenir peut-être ? »

 

Il me lance un sourire entendu. Visiblement, lui non plus n’a pas oublié…

 

En disant ça, et avec un naturel déconcertant, Rémi me prend la bite en main, soupèse mes bourses. Calmement, il dénoue mon peignoir, le fait glisser au sol. Une légère pression sur mon torse, et me voilà cambré en arrière, en appui sur les mains. Ma bite ne peut pas être plus offerte.

Rémi se penche, la prend en bouche, et entame une lente fellation. Je suis tétanisé, et n’ose  faire aucun mouvement. Dois-je accepter ou non ? Ma queue a décidé pour moi.

 

Comme il y a sept ans, je ne me dérobe pas, bien au contraire, je fais des va et vient dans la bouche de mon copain en lui caressant les cheveux. Puis, je lui soulève la tête.

« Déshabille toi, lui dis-je, je veux te donner du plaisir moi aussi. »

 

Je ne me reconnais plus.

« Tu veux qu'on se turlute ? sourit-il, pourquoi pas ? »

 

Nous voilà dans une position extrême, en « 69 » en train de nous tailler une pipe. Si je suis novice, maladroit dans ma façon de faire, j'avoue que Rémi suce divinement, bien mieux que certaines de mes conquêtes féminines !

Il me gobe en entier, me fais une gorge profonde. Je me sens à l’étroit dans sa gorge, et j’en suis plus excité que jamais dans ma vie… J’essaie de ne pas être en reste, et je le pompe goulument. Je le lèche, le mordille, le lape avec une passion dont je ne me serai jamais cru capable. Nous arrivons tout les deux au point de non retour, ça se sent. Rémi donne un violent coup de rein pour dégager sa bite de ma bouche, et m'asperge le visage de son foutre visqueux.

Sûr, il a voulu m'épargner le pire….

 

Je veux en faire autant, mais il me ceinture avec force, pour m'empêcher de me retirer.

Je ne peux me retenir, je largue en abondance ma semence au fond de sa gorge, constate, au va et vient de sa pomme d'Adam, qu'il est en train de tout avaler, et qu'il y prend un réel plaisir. Je suis vraiment surpris de son attitude.

 

Il se retire lentement, et met son visage à hauteur du mien. Avec délicatesse, il lèche mes joues, mon nez, pour en ôter toute sa semence épaisse. Je suis sidéré par un tel acte, moi qui n’aie jamais osé lécher mon propre sperme sur le corps de mes amantes… Je le laisse me nettoyer comme le ferait un chat…

 

« Allons au lit, me propose-t-il, je veux que tu m'encules... bien profond.

- Mais Rémi… Tu es fou, je n'ai jamais fait ça... »

 

Soudain, on sonne à la porte. On enfile notre peignoir.

« Ouf… sauvé par le gong ! » me di-sje en soupirant de soulagement.

 

Rémi va ouvrir.

« Elodie...mais, comment se fait-il...

- Excuse moi chéri, dit-elle, j'ai oublié ma clé...  Je ne vous ai pas dérangé au moins ? Vu la météo, on nous a proposé de rentrer plus tôt. Au fait, t'as pensé à mettre  le chauffage dans la chambre de Laurent ?

- Oh merde, répond Rémi, j'ai complètement zappé, quel con.

-  Ce n’est pas grave, que je dis, je coucherai sur le canapé, près de la cheminée.

-  Hors de question, poursuit Elodie, et pourquoi tu ne coucherais pas avec nous... Je me  ferai toute petite entre vous deux... ça me dirait assez de me faire niq... heu... réchauffer par deux beaux mâles, qu'est-ce tu en dis chéri ? »

 

Présenté comme ça, Rémi n'a pas trop le choix.

Quant à moi, je trouve la proposition d'Elodie très intéressante, et son regard coquin.

Ce serait dommage qu'elle attrape froid ! Une nuit pleine de bonnes surprises s’annonce, et je  ne vais pas laisser passer une telle occasion !

 

Sam 28 avr 2012 4 commentaires
Houa...super récit qui donne envie de sauter le pas. Je connais un ami branché dans ce genre de relation, je vais sérieusement y réfléchir.
Merci Sophie.
Le bouliste - le 28/04/2012 à 22h04

Alors, il faut le faire !!! Il ne faut jamais rater une bonne occasion de se faire plaisir...

Sophie de R.
je bande, je bande tant et plus en lisant cette anecdote qui avive en moi quelques souvenirs.
J'attends le récit de ta nuit avec tes amis
Brunobi - le 02/05/2012 à 10h26

Que ce spectacle doit etre beau à voir !

Sophie de R.
Faut pas hésiter comme ça Laurent, c'est si bon de se faire sucer et de sucer une belle queue. Crois-moi, il n'y a rien de meilleur
Mario - le 02/05/2012 à 10h28

Il faut suivre ce judicieux conseil !

Sophie de R.
Hou c'est chaud, je me sens durcir… Vivement la suite !
John Priape - le 04/05/2012 à 00h25
Mhummm.... j'aurais aimé voir ça !!!
Sophie de R.