Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Quand je m'installe, comme aujourd'hui pour écrire mes souvenirs de baises, ou une histoire que j'invente, je suis confortablement assis, nu, sur mon siège avec un gode, souvent gonflable, entre les fesses. Le plaisir de me sentir ''garni'' titille mon cerveau et ravive mes souvenirs. En vous révélant ça certaines femmes y trouveront la confirmation de cette blague qui veut que les hommes aient leur cerveau au bout de leur gland et/ou de leur cul. Pas grave cela ne me gâchera pas le plaisir que nous éprouvons dans les jeux du sexe.
Il faut se rendre à l'évidence, ce qu'il y a de vraiment super dans l'amour, c'est la pénétration. Sentir sa bite prisonnière volontaire d'un endroit chaud, doux et dont l'humidité va croissant est un plaisir exceptionnel. Ceux qui meurent puceaux passent à côté de moments paradisiaques.
Bien que j’aie connu cette joie dans maintes chattes et culs féminins, je dois avouer que mes plus belles jouissances furent celles obtenues en me faisant sodomiser par plusieurs personnes à la file. Que ce soit avec des hommes aux belles queues épaisses et chaudes ou avec des femmes avec des godes, ceinture ou non.
Je me souviens d'une fois justement où je passais un weekend chez un collègue de travail d'origine portugaise qui vivait en couple avec un homme très sympa. Il ignorait ma bisexualité ce qui ne nous empêchait pas d'être de bons copains. Il m'avait invité à passer un weekend dans son pavillon. Il devait y avoir également 4 autres gars. Mon copain qui se prénommait Manuel me faisait une cour aussi assidue que discrète. Une cour que d'ailleurs je feignais d'ignorer. Mais je me doutais que derrière cette invitation se cachait l'intention de me faire accepter de baiser avec lui et son copain William.
J'arrive donc chez lui le samedi en milieu d'après midi. Manuel et William étaient en plein préparatif, Manuel était au fourneau préparant des plats typiquement portugais tandis que William préparait les amuse-gueules. Nous étions à la belle saison, ils étaient tous les deux en mini short moulant bien leur petit cul, et sur le torse un marcel. William était un gars athlétique, cette tenue lui donnait belle allure.
Afin de ne pas dépareiller, je me suis mis en teeshirt et short, non moulant, et je leur donnais un coup de mains car leurs amis n'allaient pas tarder venir. Effectivement, nous venions juste de tout préparer quand ils sont arrivés. Parmi eux, un jeune se faisait remarquer par l'exubérance que l'on remarque chez les « folles ». Manuel me présente à ses amis. La folle, un jeune portugais tout droit débarqué de Lisbonne s'appelait José. A peine nous étions-nous présentés que José me donna une grande claque sur les fesses en disant d’une voix rieuse quelque chose que je ne compris pas.
Par contre, je compris parfaitement ce que Manuel lui dit dans leur langue maternelle :
« Laisse tomber, j'ai essayé, il aime pas les hommes ! »
Alors je me suis senti obligé d'intervenir, en français bien sûr, pour lui dire :
« Qu'est-ce t'en sais, Manu C'est pas parce que j'ai pas répondu à tes avances que tu dois dire ça ! »
Manuel fut étonné de ma déclaration et traduisit à José ce que nous venions de nous dire. Son visage s'éclaira aussitôt. Visiblement je lui avais tapé dans l'œil. Manuel quant à lui, me regardait bouche bée. Il n'arrivait pas à se remettre de ma déclaration. Pour qu'il s'en remette je lui ai donc dit :
« Tu sais, ça fait un moment que je te vois me draguer, mais je faisais semblant de ne pas m'en apercevoir. Tu sais bien que dans notre boîte, les histoires entre mecs sont plutôt mal vues ! »
Manuel fut content de savoir qu'enfin, on pourrait baiser ensemble de temps en temps. Moi aussi, dans le fond, car il était très sympa et si on pouvait ajouter la baise à l'amitié, pourquoi s'en priver ?
José, excité comme une puce, n'avait pas assez de ses deux mains pour caresser mon corps, ça m'emmerdait un peu. Cependant, j'avoue qu'il commençait à me chauffer sérieusement. Il faut dire qu'une de ses mains me tripotait le service trois pièces par dessus le short, tandis qu'un doigt de l'autre me caressait la raie. J'ai été obligé de demander à Manu de le calmer un peu, qu'on jouerait après le diner.
Fort de cette promesse José se calma un peu. Nous avons pu prendre notre apéro et notre repas assez copieux, dans la joie et la bonne humeur. Et c'est au moment des pousse-café que tout a très agréablement dégénéré. Les trois autres gars arrivés en même temps que José, c’est à dire, Pierre, Jacques et Fred qui avaient été assez discrets jusque là, ont commencé à s'agiter, sans doute sous l'effet des boissons qu'on avait absorbées.
Fred affalé dans un fauteuil, un café à la main, pose sa tasse et entreprend un strip-tease et finit à poil. Il est légèrement ventru mais ce qui pend entre ses jambes me met l'eau à la bouche. Je ne peux m'empêcher de lui en faire compliment. Il ne se trompe pas en pensant que c'est une invite de ma part, aussi il vient directement devant moi et me regarde en souriant. Je prends sa bite dans ma main et la caresse délicatement, elle est douce et chaude et elle dégage une odeur aphrodisiaque. Faut dire qu'il a le gland tout humide. Alors, je commence à le lui sucer en le mordillant légèrement. Fred apprécie qui gémit doucement. Puis ma langue parcourt sa hampe tandis que je lui caresse ses couilles qui pendent joliment.
Il semble qu'on ait donné le signal de départ, car on voit aussitôt Jacques et Pierre en corps à corps, et William entreprendre Pierre. José se met à poil lui aussi et me débarrasse de mon short. Il pousse un WOUAHHH! de plaisir en voyant que je n'ai pas de slip et que je suis totalement épilé. Il arrête son cri de joie en refermant sa bouche sur ma bite et me suce comme un affamé.
Tout en suçant Fred, je regarde l'entrejambe de José, il bande fort, sa bite est plutôt sympa, à vue d'œil elle doit avoir 5 cm d'épaisseur, il est circoncis, on peut voir son gland, beau champignon qui trône au dessus de sa hampe. Spectacle excitant, j'adore ce genre de gland.
Nous nous arrêtons un instant pour écarter les fauteuils et nous nous allongeons sur le tapis pour que Fred puisse sucer José. Nous formons ainsi une espèce de cercle vicieux. Nos 4 compères ne sont pas en reste. On peut voir Pierre se faire sucer par Manu qui est assis sur la queue de William, Jacques s'est placé derrière José et entre doucement en lui. Une double sodo, voilà ce qu'est en train de subir Manu, et cela a l'air de plutôt lui plaire si j'en juge par les cris de plaisir qu'il pousse. La grosse queue de Fred dans ma bouche la mienne dans la bouche de Fred, je suis si excité que je me dis que tout à l'heure j'essaierai dans prendre deux dans mes fesses, c'est trop bon ce truc.
Nous nous arrêtons tous au bout d'un moment pour débarrasser le salon de ses fauteuils et canapés. Ainsi seulement meublée d'un grand tapis la pièce parait plus grande nous pourrons faire à peu prés tout sans être gênés. Nous serons plus à l'aise pour jouer. Fred est le premier à s’allonger, son énorme bite que ma langue a bien fait durcir est tentante. Mon petit trou passablement excité palpite d'envie et il est tout humide. Je me place au dessus de Fred et m'accroupis en lui faisant face. Il prend sa bite en main et me titille un peu l'anus avec son gland. J'aime beaucoup ça mais j'ai trop envie alors je m'enfonce sa queue complètement jusqu'à ce qu'elle soit entièrement en moi. Nous ne bougeons pas pendant quelques secondes, pour profiter de ce moment où je me sens bien ''garni''.
Puis Fred jette son bassin vers le haut, c'est le signal du départ je commence à le chevaucher doucement pour que le plaisir dure plus longtemps. Pendant ce temps, José est allé offrir son cul à William. Pierre et Jacques sont l'un dans l'autre, hurlant des mots orduriers à chaque mouvement de leurs reins.
Du coup, Manu se retrouve seul sa bite à la main et nous regarde faire. Me souvenant que cela fait longtemps qu'il me drague en vain, je lui fais signe de me rejoindre, il se met face à moi et au dessus de Fred. Je mets mes mains sur ses hanches, et tandis que je chevauche Fred, je suce Manu. Il a une jolie queue toute épilée comme moi, elle n'est pas très longue, mais a une belle épaisseur. Je le suce avec plaisir, il a l'air d'aimer ça car il me prend la tête dans ses mains et rythme lui même la cadence, ça me donne l'impression qu'il me « baise » la bouche. C'est loin d'être désagréable, d'autant plus que Fred es sous moi qui m'encule avec ardeur. Je suis baiser des deux côtés en même temps, quel régal pour un gourmand.
L'atmosphère est très chaude, nous sommes tous très excités. Les quatre autres se séparent et nous rejoignent. Manu se joint à eux pour former cercle autour de Fred et moi tout en se branlant. Tous les 5 nous entourent maintenant tout en se branlant énergiquement. Moi je suis trop bien avec une queue en moi, aussi je continue ma chevauchée. Cela ne semble pas gêner les autres.
Leurs mains accélèrent leur mouvement sur leurs bites et en râlant de plaisir ils explosent sur le corps de Fred. Les éjaculations sont puissantes, je suis moi aussi copieusement arrosé. J'aime sentir cette crème chaude exploser sur ma peau. Fred, je l'appris après prenait toujours son pied en se faisant juter sur le corps, finit par jouir aussi, me remplissant le cul. Je me relève à regret. Je les vois alors tous se coucher contre le corps de Fred pour nettoyer son corps en le léchant. Et comme j'en ai moi aussi, je suis attaqué par des langues assoiffées. Je trouve cela si bon qu'à mon tour je jouis et José se précipite sur mon gland pour tout boire. Et une langue aussi inconnue que gourmande s'insinue entre mes fesses pour consommer le bon jus de Fred qui suinte lentement. Bon sang de bon sang qu'est-ce que c'est bon tout ça!
Cette petite séance n'est que le début d'une partouze qui s'annonça riche en plaisirs. Elle me fit profondément regretter de n'avoir pas accepté beaucoup plus tôt les invites discrètes de Manu pendant nos journées de boulot. Je compte bien rattraper le temps perdu. Et si tous ses potes sont comme ceux qui sont là aujourd'hui je passerai à l'avenir des soirées très intéressantes.
Et c'est effectivement ce qui se passa pendant une paire d'années durant lesquelles, je me suis fait ramoner copieusement. Et j'ai envie de me les remémorer.
Voulez-vous en profiter ?
Je suis comme toi, j'adooooooooooooooore !!
Le fais-tu de temps à autre ?
Bruno sera sans nul doute ravi du compliment !