Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Fred et moi, sommes tout collants du jus de nos petits camarades, aussi nous allons prendre une douche. Puis nous rejoignons  nos amis. Ils sont tous sur la terrasse, nus comme des vers un verre à la main. Nous les imitons, notre partie de tout à l'heure nous a donné grand soif. Je les regarde tous et suis content,  j'ai six bites à ma disposition, je compte bien les  goûter toutes au moins une fois chacune.

 

Manu s'approche de moi  avec dans ses yeux plein de curiosité car depuis que je lui ai avoué que j'étais bisexuel, nous n'avons pas échangé un seul mot. Il  me dit :

« Bruno, pourquoi tu ne me l'as jamais dit avant ?

-  Ecoute, Manu, tu as vu toutes les conneries que nos collègues disent sur les homos, c'est difficile  de ne pas leur répondre ! C'est pour ça que je ne t'en ai jamais parlé et que nous passons, dans la boîte, pour de simples copains. Lundi en arrivant on continuera comme avant. OK! ?

- D'accord Bruno. Mais dis-moi, ça fait longtemps que tu es bi ?

- Depuis toujours mon ami. J'ai commencé d'abord par les garçons quand j'étais gamin. Et je dois t'avouer que ma queue ne baise que les femmes. Avec les hommes je veux bien me faire sucer, mais je les baise très rarement.  Alors ce Week-end, je vous offre ma bouche et mon cul pour vos queues. D’accord ?

- Entendu, Bruno on va bien s'amuser alors, tu vas en prendre de la bite puisque tu en veux ! »

 

Nous nous étions écartés du  groupe pour parler. En le rejoignant, Manu de sa grosse voix leur annonça  que mon cul et ma bouche était à leur disposition mais que  je n'étais pas du tout un soumis. J’eus le droit à un chœur d'applaudissements et quelques commentaires salaces. J'étais ravi, j'allais pouvoir  «en prendre pour mon grade».

 

Nous avons alors débarrassé la table de ses verres et bouteilles et me suis couché dessus. Je fus aussitôt entouré par mes six nouveaux amis. Celui qui était derrière moi, Jacques bandait déjà et offrit sa bite à ma bouche, elle n'était pas très grosse mais elle sentait bon, elle avait l'odeur de celui qu'elle avait enculé il y a un moment. Je la tétais avec gourmandise, en prenant tout mon temps pour bien faire durer le plaisir. Pierre et William étaient face à face et moi au milieu donc. Je branle leurs queues avec délice, m'interrompant par instant pour caresser leurs belles couilles.

 

Manu se met face à Jacques, j'écarte mes cuisses, il se penche pour sucer ma bite tout en me doigtant, puis je sens sa langue qui me titille  l'anus, j'adore ça. Puis il se redresse, présente son gland à mon ti trou et entre en moi sans prendre la moindre précaution, mais peu importe car je suis souple de ce côté là et en plus je suis excité comme tout. Me voilà complètement investi. Mes envahisseurs sont plus que très bienvenus. Je ne fais rien qui puisse hâter leur jouissance, mais très vite, trop vite même, l'un après l'autre, ils jouissent.

 

Le premier, c'est Jacques qui explose dans ma bouche, puis William qui jouit dans ma main et sur ma poitrine, très vite suivi de Pierre. Manu, j'en aurai confirmation, à chacun des rapports que nous avons eu par la suite, est  très  endurant.  Il me ramone encore un bon moment puis enfin explose en moi. Cela provoque mon éjaculation, c'est tellement bandant ce que je subis.

 

Ne vous étonnez pas qu'à aucun moment je ne parle de capotes. Nous sommes en 71, cette saleté de SIDA ne nous pourrissait pas encore l'existence. On pouvait tout à loisir  s'envoyer en l'air et connaître ce plaisir extraordinaire de sentir le sperme gicler en nous.  Ce plaisir, de nos jours, je le connais encore avec deux copains en qui j'ai toute confiance. Et c'est un v rai bonheur pour nous de connaître encore et toujours ce plaisir de « baiser naturel ». 

 

Vous savez, en tous cas ceux qui m'ont déjà lu, que je suis intégralement épilé depuis l'âge de vingt ans environ, et donc au moment où se passe mon petit gang bang, l'épilation des parties génitales n'existait pratiquement pas. Et donc mon corps sans aucun poil excitait vraiment beaucoup mes petits camarades. Ce qui n'était pas pour me déplaire, vous vous en doutez.

 

Me voilà donc le torse ruisselant de sperme et « mon intérieur », plein de celui de Manu.  Je suis bien, détendu, heureux du plaisir reçu et donné.  José qui ne se contente pas d'être ''un peu folle'' mais qui est aussi très tactile et câlin, reste prés de moi. Il masse mon corps délicatement comme pour faire entrer dans ma peau le sperme de mes amants. Ceci, ajouté   à la pensée que dans un moment cela va recommencer, me rend très  impatient de remettre le couvert. Ma bite se redresse à nouveau, je bande, et pour une fois, j'ai grande envie d'enculer un mec.  Je le dis à José aussi bien que je peux car il ne parle pas français et moi pas portugais, mais avec les mains on se comprend facilement. Il est ravi de mon offre et m'aide à me relever.

 

Ses coudes appuyés sur la table il me tend son cul en cambrant les reins. J'écarte ses fesses et je découvre un délicieux petit trou du cul sur lequel ne règne aucun poil. Il est bien dessiné, aucune ride ne le dépare. Il me rappelle celui d'une femme que j'ai beaucoup aimé. Je ne peux m'empêcher de le lécher. José est tellement chaud et excité que son petit trou est tout humide. Il sent bon et accentue encore mon érection. Ce salaud est de plus en plus excité sous mes coups de langue, il me le dit, ou plutôt il me le crie presque: '' Vas-y encule-moi, vite!!''  Cette phrase est dite en portugais mais je la pige facilement, j'ai déjà eu des amants portugais. Il y a comme ça des expressions que l'on retient facilement.

 

Je ne me le fais pas dire deux fois, je me relève, José écarte bien ses fesses et cambre ses reins. Je le prends par les hanches et entre lui jusqu'au fond, il est vraiment bien ouvert. Dedans c'est bien humide et une douce chaleur me donne envie d'y laisser ma queue le p;lus longtemps possible. Il a sans doute la même envie  car il ne bouge pas lui non plus. C'est un moment de pur plaisir qui sembla durer une éternité. Jacques affalé sur un transat nous regarde et s'exclame :

« Putain, vous êtes superbes comme ça tous les deux, vous me faites bander ! Attendez moi j’arrive. »

 

Il se lève et nous rejoint en se branlant. Moi, ça me convient parfaitement car il y a bien longtemps que je n'ai pas joué au p'tit train, et j'adore ça.

 

Jacques se place derrière moi, et me lèche le petit trou, c'est un petit truc qui me donne toujours des frissons. Puis il se relève, entre en moi avec une grande délicatesse, non pas par crainte de me faire mal, mais simplement parce que il adore entrer dans un cul de cette manière, pour faire durer le plaisir. Il est vrai que je ne trouve rien de plus excitant que cette manière de m'enculer. Et alors qu'il avait entré les trois quarts de sa queue, il poussa d'un seul coup pour être complètement en moi. Sans nous concerter, nous sommes alors restés immobiles un instant tous les trois, histoire de déguster ces moments magiques où on se sent délicieusement investi par quelqu'un. Ça n'est pas le meilleur moment de l'amour mais ça y prépare.

 

Je pense que c'est à moi de donner le signal du départ puisque c'est moi qui fait le jambon dans ce sandwich. Gourmand comme je le suis je donne un coup de rein vers l'arrière pour enfoncer un peu plus la bite de Jacques en moi. Puis je me pousse dans le cul de José qui pousse un petit cri de plaisir. Comme je suis la locomotive de ce petit train, c'est à moi de faire ''le boulot'', aussi  je balance mon bassin d'avant en arrière lentement, comme j'aime quand on m'encule. Ça a l'air de plaire à mes petits camarades, si j'en juge par leurs gémissements.

 

Nous nous donnons du plaisir comme ça un long moment. Manu le cul sur une chaise les pieds sur la table se branle et se doigte en même temps tout en nous regardant et nous encourageant de la voix. Fred et William s'approche de nous, Fred se met derrière Jacques, lui écarte les fesses et le lèche avec gourmandise. Ça a pour effet d'entendre mon enculeur redoubler de gémissements. William se rapproche de José et lui tète goulument la queue qui est toute tendue de plaisir. José attaqué des deux côtés n'en peut plus, il remue son bassin comme si un essaim d'abeilles était en lui.

 

Du coup, moi pris entre deux agités du cul frénétiques, je ne peux plus me contrôler et explose dans le ventre de José qui à son tour emplit la bouche de William. La langue agile de Fred  provoque la jouissance de Jacques qui emplit mon ventre  de sa bonne crème. C'est un éjaculateur prolifique, à chacun de ses orgasmes il produit une quantité impressionnante de spermes. Et ça fait le bonheur de tous les gourmands dont je fais partie.

 

Manu se lève précipitamment de sa chaise et s'approche de nous en se branlant de plus belle, il est au bord de l'explosion. William qui n'est relié à aucun de nous se jette sur la queue de Manu pour le boire.  Nous nous séparons enfin, Jacques, José et moi. Nous nous allongeons au sol et nos langues nettoient nos corps barbouillés de plaisir. C'est très excitant de faire ça. En tous cas moi ça m'excite terriblement et me redonne encore envie de me faire prendre. Je le dis à mes petits camarades qui protestent et me demandent de patienter quelques minutes , le temps qu'ils reprennent des forces.

 

Bien qu'aussi ''HS'' que les autres, Manu qui me draguait depuis si longtemps vient prés de moi et commence à me caresser le corps. Ces mains sont douces et expertes, elles me donnent encore plus envie de me faire baiser. Sa bouche me parcourt le corps, s'arrête un moment sur la mienne, puis redescend doucement, sa main droite me caresse les fesses, puis mon petit trou encore tout plein de la jouissance de Jacques. Je sens un puis deux puis trois doigts entrer en moi. Manu commence alors à me sodomiser ainsi, il ne se contente pas d'entrer et sortir, mais il les fait tourner aussi.

 

« Oui, Manu, comme ça, oui, continue, c'est bon ce que tu me fais !

- Tu aimes ça hein? Attends je vais t'en donner encore plus, tu vas voir ! »

 

 En effet je ne tarde pas « à voir » comme il dit, car il fait entrer ses deux autres doigts, puis sa main entre en moi jusqu'au poignet. Je ne peux m'empêcher de hurler,  pas de douleur mais de plaisir tellement c'est bon. Et il commence à me sodomiser avec sa main.

 

Cela a le don d'activer la remise en forme des autres qui agenouillés autour de nous, se branlent et jouissent à nouveau sur moi. Je ne tarde pas à en faire autant. Manu qui m'avait senti partir se hâte de me prendre en bouche pour me boire. José grand gourmand se couche alors sur moi pour lécher tout ce sperme qui me sert de vêtement.  Nous nous affalons tous sur le sol, épuisés et heureux. Tout à son plaisir Manu en avait oublié de retirer sa main de mon cul. J'ai attendu un tout petit peu avant de le lui dire, pour en profiter encore.

 

Les heures avaient passé, nous étions tous épuisés et affamés. Nous avons fait un bon dîner et  nous sommes couchés. Il nous fallait reprendre des forces, demain nous devions encore nous amuser, dans le jardin, car la météo annonçait du beau temps bien ensoleillé.......

 

Et effectivement, nous nous sommes bien baisés.

 

À suivre............

 

 

Sam 19 mai 2012 5 commentaires
miam miam, belle orgie de mecs!
Steeven - le 20/05/2012 à 20h55

En effet, moi aussi, j'ai beaucoup aimé !

Sophie de R.
Une découverte pour moi, qui suis 100% hetero. ca m'a pourtant fait bander !
Germain - le 21/05/2012 à 21h10

On a parfois des surprises... et c'est tant mieux !

Sophie de R.
Ô Bruno, tu m'as fait bander avec cette aventure. J'aurais bien ailé être avec vous et me faire prendre par tous ces hommes!!!
Mario - le 23/05/2012 à 09h34

Et j'aurai bien aimé y assister !

Sophie de R.
Toujours excitant Bruno...super mon ami..
L'amoureux - le 30/05/2012 à 21h13

Entre coquins, vous êtes faits pour vous comprendre !

Sophie de R.
merci l'amoureux. Dans le genre tu n'es pas mal non plus.
Brunobi - le 06/06/2012 à 17h44

Je vous laisse vous envoyer des fleurs reciproquement...

De toutes façons, vous etes supers tous les deux ! Quand allez-vous enfin vous rencontrer ???

Sophie de R.