Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ronan et moi, Gwenaëlle, nous sommes jumeaux et comme tous les jumeaux, nous sommes inséparables. Agés de vingt ans, nous vivons encore chez nos parents à quelques dizaines de kilomètres à l’ouest de Rennes, où nous poursuivons nos études en faculté.
Notre père est maitre de manège à l’Ecole Militaire de Saint Cyr et notre mère passe le plus clair de ses journées à peindre. Elle a un talent certain et commence à être connue. Ils se sont rencontrés à Paris, au Salon du cheval où notre père, alors à la Garde républicaine, participait à une présentation et ma mère, qui était aux Beaux Arts, croquais sur le vif des scènes qu’elle allait peindre ensuite ou faisait des caricatures au fusain. Malgré une dizaine d’années de différence d’âge, ce fut le coup de foudre.
Alors que nous avions une douzaine d’années, nous avons quitté Paris et nos parents sont venus s’installer dans une ferme à quelques kilomètres de Guer où nous avons pu facilement abriter les chevaux de la famille. De longues chevauchées occupaient notre temps libre. Nous courrions cette forêt bretonne pleine de légendes qu’est la belle et grande forêt de Paimpont, tantôt seuls, tantôt accompagnés de notre mère qui était devenue une écuyère remarquable.
Quand nous étions adolescents, nous nous arrangions pour espionner nos parents lors de leurs étreintes amoureuses. La première fois, nous avions quinze ans, notre attention avait été attirée en pleine nuit par des sortes de gémissements venant du rez de chaussée de la maison.
Ronan et moi nous sommes sortis de nos chambres et, depuis la mezzanine, nous avons découvert nos parents en train de baiser sur la table de la salle de séjour. Notre mère, dans la plénitude de ses quarante ans, était allongée nue sur la table, les jambes relevées en appui sur les épaules de notre père qui la besognait avec vigueur. Nous n’étions pas ignorants des choses du sexe, mais nous n’avions encore jamais vu un couple faire l’amour.
Le spectacle nous a particulièrement excités. Je sentais comme une sorte de chaleur dans ma chatte et en me tournant vers mon frère, je vis qu’il caressait sa bite par-dessus son boxer. Sans bruit, nous sommes retournés dans sa chambre où nous avons continué de nous caresser. Pour être à notre aise, nous nous sommes mis nus tous les deux. Ce n’était pas la première fois que je me caressais ainsi, mais là, devant mon frère jumeau, ma jouissance fut encore plus vive.
Lui, de son côté, se masturbait également avec vigueur jusqu’à ce qu’une giclée de sperme vienne maculer mes pieds. Discrètement nous avons éclaté de rire puis, tout aussi discrètement, j’ai regagné ma chambre.
Après cette nuit mémorable, il nous arrivait encore de surprendre nos parents qui ne se doutaient de rien. Ronan et moi, nous nous retrouvions chaque fois pour des séances de masturbation et de caresses mutuelles.
Nous n’avions plus de secrets l’un pour l’autre, nous connaissions le corps de l’autre comme deux amants se connaissent mais jamais il ne m’a pénétrée, tout juste a-t-il fait, une fois ou l’autre, courir un doigt entre les lèvres de ma chatte pour y cueillir ma cyprine après la jouissance pour la gouter. Puis nous avons eu des flirts. Là encore nous partagions nos impressions mais c’est là que, l’un et l’autre, nous avons fait une découverte pour le moins inattendue.
Nous avons constaté en échangeant nos impressions que lorsque je me trouvais avec une fille ou plus rarement un garçon Ronan le sentait. Lorsque nous nous retrouvions, il me taquinait. Réciproquement, je savais quand il avait fait une conquête.
Nous le sentions au fond de nous et nous ressentions le plaisir que le partenaire éprouvait. Par exemple, le jour de nos 17 ans, lorsque Ronan a baisé pour la première fois, j’ai ressenti la douleur puis le plaisir que j’ai ressenti plus tard lorsque j’ai été déflorée par mon premier copain. Initiée aux plaisirs saphiques par Hermine, une camarade de lycée, jusqu’à ce jour j’avais toujours préféré les filles. Plus le temps a passé, plus cette sensation commune s’est développée et nous en avons bien profité.
C’est ainsi que lors de notre dernière année de lycée et les premières années en Faculté, nous avons multiplié les aventures amoureuses. Avant que mon frère n’ait jeté son dévolu sur une fille, je pressentais celle qu’il allait tenter de conquérir et je faisais tout pour les rapprocher. De son côté il procédait de la même manière.
On aurait dit que nous agissions par télépathie pour savoir qui allait succomber à nos charmes. Mais notre meilleure prise, si on peut dire, nous l’avons réalisée peu de temps après notre entrée à la Faculté. En bavardant avec Mélanie, une étudiante comme nous, j’ai découvert qu’elle aussi avait un frère jumeau et que nous habitions sans le savoir le même village.
Métisse originaire de la Martinique, elle possédait un teint mat très foncé, des cheveux longs et noirs légèrement ondulés. Grande et longiligne elle possédait une paire de seins de belle taille haut placés (j’ai immédiatement pensé qu’ils seraient certainement très au gout de Ronan) et de hanches galbées. Je l’ai invitée à venir nous voir à la ferme avec son frère Nicolas le samedi suivant afin de faire plus amplement connaissance.
Mélanie et Nicolas sont arrivés en voiture en début d’après midi. Oulla! Quel beau gosse ce Nicolas! Grand et mince avec des épaules carrées moulées dans un teeshirt très ajusté qui laissait apercevoir ses muscles, avec la même peau mate que sa sœur, les cheveux coupés presque ras, et des mains, larges faites pour caresser.
Nicolas poursuivait ses études dans une école d’ingénieurs à Nantes, ce qui explique que jusqu’à aujourd’hui nous ne l’avions pas vu. En bavardant tous les quatre, nous sommes arrivés près des boxes des chevaux mais Mélanie et Nicolas ont décliné notre invitation pour une ballade à quatre. En revanche, Nicolas nous a indiqué connaitre un endroit si nous voulions profiter de ce bel après midi d’automne encore ensoleillé pour un bain dans la rivière proche. Je suis passée rapidement à la maison chercher des serviettes et enfiler mon maillot de bain.
Après quelques kilomètres de voiture, Nicolas s’est engagé dans un petit chemin forestier. Soudain nous avons débouché dans une petite prairie bordant la rivière. C’est vrai que le coin était charmant et discret au possible. Ronan et Nicolas ont quitté rapidement leurs vêtements, ne conservant que leur boxer.
Mélanie a fait glisser sa mini jupe et ôté son teeshirt et son soutien gorge, ne conservant que son string. Waouh! Quelle poitrine! J’en serais presque jalouse: de beaux seins en pomme avec des aréoles très foncées et des tétons gros comme un pois chiche. Je l’ai rapidement imitée mais en conservant le soutif car mes seins (trop petits à mon gout) me complexaient un peu. Nous avons rejoint les garçons qui s’ébattaient déjà dans l’eau encore tiède pour la saison. Comme des enfants, nous avons commencé à nous éclabousser, à nous poursuivre sur le semblant de plage à l’ombre d’un grand saule. Mélanie et moi, nous sommes sorties de l’eau.
Les garçons nous ont rejoints. Prenant une grande serviette, Nicolas est venu la poser sur mes épaules et il a commencé à m’essuyer:
« Il ne faut pas prendre froid. »
A quelques pas de nous, je voyais Ronan. Il semblait fasciné par Mélanie, le regard fixé sur ses seins. J’ai pensé: « Fais en autant ». A son tour, il a pris une serviette et a essuyé d’abord les cheveux longs de Mélanie, puis ses épaules et le reste de son corps.
Soudain, Nicolas a fait sauter l’agrafe de mon soutif, et posant une main sur mon sein gauche il est venu cueillir le téton en le faisant rouler entre ses doigts. De l’autre en empaumant une de mes fesses, il a glissé une de ses cuisses entre les miennes. Déjà conquise, je me suis ouverte. Il est venu masser mon petit abricot tout lisse par-dessus le string mais il n’a pas tardé à le faire glisser.
A quelques pas de nous, Ronan et Mélanie, nus tous les deux étaient déjà bien en train. A genoux entre les cuisses de Mélanie qui était en levrette, mon frère la besognait avec ardeur. J’ai basculé sur la serviette qui était tombée à terre en entrainant Nicolas qui, d’une longue et puissante poussée a pris possession de ma chatte chaude et humide. Que c’était bon cette séance improvisée qui nous a conduit tous les quatre vers une belle jouissance partagée.
Quelques temps après, de retour à la maison, Mélanie me complimenta sur ma chatte lisse. J’avais vu qu’elle avait une belle touffe de poils bien drus et crépus. Je lui répondis alors que j’aimais bien cette sensation de nudité totale et que dès que j’avais pu le faire, j’avais subi une épilation au laser. Ainsi, j’étais débarrassée définitivement de mes poils. Je lui offris de la raser lorsqu’elle en aurait envie.
Sur le coup, elle ne dit ni oui ni non. Nos parents étant absents pour plusieurs jours, nous improvisâmes un barbecue et nous avons ainsi passé ensemble le reste de la soirée en bavardant. Nous avions chacun nos partenaires pour la nuit. C’était génial, une belle nuit de baise en perspective.
Mélanie m’entraina à l’écart quand nous sommes arrivés devant nos chambres respectives:
« Je suis décidée, veux-tu me raser ce soir ? »
Pas de problème. Nous sommes allés dans la salle de bain attenante aux chambres où je savais trouver ce dont j’avais besoin parmi les affaires de Ronan. Pour être plus à notre aise, nous nous sommes mises nues toutes les deux.
Avec des ciseaux, j’ai d’abord enlevé un maximum de poils puis j’ai enduit la toison restante d’une mousse abondante. Avec de petits gestes précis, j’ai éliminé d’abords les poils de l’entrejambe puis ceux bordant les lèvres. Je voulais terminer par les zones les plus délicates.
Après un premier rinçage il ne restait plus que quelques poils qui avaient échappé au rasoir. Je les ai enlevés à leur tour avant d’enduire la zone d’une pommade apaisante et de la poudrer pour éliminer le feu du rasoir.
Pendant toute l’opération, les deux garçons nous avaient observées, la bite dressée dans le boxer et moi j’avais la chatte en émoi. J’étais mouillée comme jamais mais c’est vers Mélanie que je suis allée, j’ai pris ses seins dans mes mains pour les masser et je lui ai embrassé la chatte, faisant courir ma langue entre ses lèvres intimes. Elle ne m’a pas repoussée. Elle aussi avait la chatte baveuse de cyprine.
Ce jour là, nous ne sommes pas allées plus loin. Je ne voulais pas l’effaroucher en précipitant les choses. Mais le fait qu’elle ne me repousse pas ouvrait des horizons…
J’ai entrainé Nicolas dans ma chambre et Ronan a conduit Mélanie dans la sienne. Les uns et les autres, nous avons baisé plusieurs fois au cours de la nuit.
Nicolas et Mélanie nous ont quittés après le petit déjeuner. Quelques semaines plus tard, Mélanie m’a téléphoné un soir car elle voulait que je la rase à nouveau. Elle avait acheté le nécessaire et elle voulait que je passe chez elle.
Cette nouvelle séance de rasage s’est terminée par une belle partie saphique. Nous étions bi toutes les deux. Nous avons passé la nuit à faire l’amour, nous contentant tantôt de caresses buccales ou manuelles tantôt en usant de gadgets divers. Au matin, nous étions ivres de jouissance. Cela m’ouvrait des perspectives intéressantes.
A suivre...
Moi aussi...
Ca ne m'etone pas de toi !
Il y en aura beaucoup, sois rassuré !
Je confirme, grâce à la bell plume de ce Matou Liberttin, vous ne resterez pas sans histoires !
Pour le moment, pas de suite à cette série.. Mais qui sait...
Je l'ai bien reçue, elle sera publiée en décembre...