Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Alain, beau jeune homme de vingt-cinq ans, et sa copine Stéphanie, pulpeuse blonde de vingt-deux ans, décident de passer le week-end à la mer, afin d'y préparer leur appartement pour les vacances d'été. Il fait une chaleur torride en cette fin de printemps. Une fois le nettoyage terminé, ils estiment avoir le mérite de profiter de la plage avant de rentrer à Tarbes. Stéphanie est magnifique, campée sur ses talons compensés, qui font ressortir ses seins voluptueux. Elle attire pas mal de regards masculins….
Arrivé sur la plage, le couple s'allonge sur leurs serviettes, pour se faire dorer au soleil… Au bout de dix minutes, Alain se lève pour aller se baigner. Stéphanie, elle, s'assoupit.
Alain revient et éclabousse sa copine.
« Tu vas te régaler ma chérie, dit-il, l'eau est comme ta chatte aime : chaude comme une bite !
- Salaud, tu dis ça pour m'exciter ! Allez, je vais faire plaisir à ma chatte », soupire-t-elle d’aise en se levant avec une souplesse toute féline.
Stéphanie fait une queue de cheval avec ses longs cheveux blonds, et s'éloigne en lui lançant un sourire. Il est vrai que l'eau est à une température idéale. Elle nage au large, là où c'est plus calme. La fraicheur de l'eau fait dresser ses seins, ce qui la fait imaginer de suite une scène très coquine… Perdue dans ses pensées, elle ne prête pas attention à la main qui effleure ses fesses. Un geste involontaire, pense-t-elle, comme il y en a souvent quand il y beaucoup de monde.
Par contre, la deuxième fois, la main a tendance à s'éterniser sur le galbe de ses hanches. Elle e= ne peut ignorer sans réagir un tel mouvement, même s’il ne fait qu’accentuer son excitation naissante.
Elle se retourne, et stupéfaite, se trouve face à face avec un mec d'une exceptionnelle beauté. Cheveux noirs, yeux bleus impénétrable. Un vrai mannequin.
« Ben... vous vous croyez où ? dit-elle sèchement, faut pas vous gênez...
- Mais Mademoiselle, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir, sourit-il.
- Mon copain est sur la plage, répond-elle, vous voulez que je l'appelle ?...
- Que cet homme doit être heureux... Mario, se présente-t-il, je suis maitre nageur. »
Stéphanie est fascinée par le jeune homme. Prise dans ses pensées érotiques qui s’amplifient, elle ne voit pas arriver la troisième tentative. Mario la saisit carrément par la taille, la tire à lui. Elle appuie ses mains sur son torse pour se dégager, mais leurs bas-ventres sont déjà en contact. Elle ne peut que sentir le sexe déjà raide de Mario contre son pubis.
Son côté moral sur la fidélité lui dit de le repousser définitivement, mais son corps de femme toujours avide de plaisirs charnels, l'incite à poursuivre. Elle décide de faire ce que son corps lui ordonne…
L'imposante queue, en érection, est sortie du maillot. Elle se sent attirée par la virilité qu'elle dégage. Elle écarte son maillot, prend l'inconnu par le cou et noue ses jambes dans son dos. Elle se laisse glisser lentement, jusqu'à s'empaler sur la bite.
« Salaud, souffle-t-elle, nique-moi maintenant. »
La queue pénètre sans difficulté la chatte humide de Stéphanie. Ses seins, à fleur de l'eau, sautent au rythme des coups de reins de Mario. Les lèvres se rejoignent dans un baiser charnel.
« Et ton copain, dit Mario, ironique. Tu ne l’appelles pas, tu attends d'avoir pris ton coup de queue ???
- Tais-toi idiot... tu ne vois pas que je vais jouir là... ça fait si longtemps que je me le suis pas fait mettre comme ça... Oh putain... ça y est !!!! Et toi salaud... tu viens aussi... »
Elle se cambre sous l’assaut de l’orgasme, et manque de hurler son plaisir… Pour que ses cris n'alertent pas les baigneurs, Stéphanie prend Mario à pleine bouche pour un baiser de feu.
Son intermède érotique terminé, Stéphanie rejoint Alain, comme si de rien n'était. Elle est vaguement honteuse, mais aussi le corps rassasié…
« On ne va pas tarder ma chérie, dit-il, il est déjà seize heures. Le temps de se doucher, il faut qu’on prenne la route…
- Comme tu veux mon amour, c'est vrai qu'une douche avant de prendre la route nous fera le plus grand bien… »
Une fois dans la salle de bains, Stéphanie se pend au cou de son copain, comme si elle avait quelque chose à se faire pardonner, à tel point qu'elle se penche pour lui tailler une pipe sans lui laisser le temps de respirer… Elle le pompe avec une ardeur inhabituelle, mais qui ravit le jeune homme… Il gicle dans la gorge de Stéphanie en bien trop peu de temps... L'eau de la douche chasse le sperme qui coule de sa bouche. Sans plus attendre, elle sort de la douche et commence à s’habiller.
« Vite, si on ne veut pas rentrer trop tard ce soir, on doit partir ! dit-elle à son ami.
- J'ai réfléchi à un truc ma chérie, lui répond Alain, pourquoi tu ne resterais pas ici ? Après tout, je suis là dans une semaine. Ce soir, il y a la fête sur la place avec feux d'artifices. Il y a même un petit bal, qui sait, on peut t'inviter à danser. »
Stéphanie avait envisagé cette éventualité, mais ne pensait que ce soit son mari qui la propose.
« Hé... tu ne serais pas sur un coup toi ? Tu veux rentrer seul ironise-t-elle. Et si on me drague... je fais quoi ?...
- Mais je te fais confiance ma chérie... tu sais bien que tu es tout pour moi !
- Je plaisante mon chéri... toi aussi tu es l'amour de ma vie. Je vais y réfléchir. »
Mais dans sa tête, sa décision est déjà prise. Elle le lui confirme pendant leur rapide dîner.
Il est vingt et une heures quand Stéphanie accompagne Alain à la voiture. Ils se donnent un langoureux baiser, se font un signe de la main.
Dès qu’elle rentre, Stéphanie s'installe sur le canapé, dans sa tenue favorite, à savoir, toute nue, ce qui lui permet de se procurer des plaisirs solitaire. Elle ferme les yeux sous ses vicieuses caresses, sa respiration s'accélère. Elle se revoit dans l'eau en train de se faire prendre par Mario. Elle retire ses doigts plein de mouille et de cyprine. Elle vient de se doigter, de se faire jouir comme une garce, et elle aime ça… Elle va à la salle de bains, admire son corps dans la glace.
« T'es canon, se dit-elle, ce serait dommage que personne profite de ça... j'y vais. »
Elle enfile une courte jupe, un petit bustier, et des chaussures à talons.
Arrivé sur la place, Stéphanie en fait le tour, se dirige vers la buvette en jetant un regard circulaire.
« Deux babys, s'il vous plait, dit Mario, bonsoir vous. »
Stéphanie reconnait la voix. Elle se retourne et ne peut s'empêcher de lui sourire.
« Bonsoir, répond-elle d’une voix aussi neutre que possible.
- Alors, et ton homme, il est où ? il te laisse sortir toute seule, coquine comme tu es ?
- Il est rentré cz nous, je m’ocroie une petite semaine de vacances en célibataire…
- Mhumm, intéressant tout ça », murmure Mario.
Deux gorgées plus tard, il emmène Stéphanie sur la piste de danse. D'emblée, elle passe ses bras autour de son cou. Il lui murmure tendrement à l'oreille des propositions très très cochonnes.
« Mais ça va pas, balbutie-t-elle, enfin... vous êtes fou...
- N'ayez pas peur, personne ne nous verra... allez... c'est bien de vivre dangereusement. »
Mario parvient à la convaincre. Elle lui sourit, et hoche la tête d'un signe affirmatif. Il entraine derrière la scène, et la cloue contre un platane. Il lui prend les lèvres, lui donne un sulfureux baiser.
Lentement, Mario descend le long du corps de Stéphanie, caressant au passage les seins sous le bustier. Son visage arrive entre les cuisses, contre la culotte qu'il fait glisser au sol. La chatte est là, offerte. Avec deux doigts, le clitoris est extrait de sa capuche. Les premiers gémissements de plaisir se font entendre, quand la langue de Mario, force les lèvres humides, suce le bouton déjà bien érigé.
Stéphanie lui maintient la nuque, caresse les cheveux bruns de ce mâle qui lui procure tant de plaisir. Elle sent le bout de ses seins durcir. Pour mieux s'offrir, elle pose un pied sur un caisson de bouteilles. Elle se cambre dans un terrible orgasme. Ses cris sont heureusement couverts par le bruit de l'orchestre.
« Allons chez moi, souffle-t-elle, j'habite à côté.
- Tu déconnes Stéphanie, et ton copain, tu y penses ?
- Fais-moi voir si tu es capable de me le faire oublier une nuit… »
Dans le lit, c'est un combat de titans. C'est à celui qui anéantira l'autre.
« Je vais tellement te vider les couilles, que demain, tu vas partir avec un sac vide !
- Hum... sure d'elle... indomptable... j'aime ce genre de femelle... »
Tout y passe. De la levrette au missionnaire, de la pipe au cuni, du grand au petit trou. Stéphanie s'aperçoit vite qu'elle a sous estimé son partenaire. Petit à petit, elle succombe sous les performances de son increvable amant. Les orgasmes se suivent a un rythme qu'elle n'a jamais connu.
« Ah... ah... tu m'encules salaud... mais d'où tiens-tu cette force... sauvage ??? Assez… s'il te plait... va t'en... j'en peux plus... »
Mario s'écroule sur elle, lui mord le cou, comme un chat mord sa chatte.
« C'est vraiment ce que tu veux ? » demande Mario.
Stéphanie ne répond pas. Elle git, épuisée, les bras en croix, en travers du lit. Elle est seule quand elle se réveille vers dix heures du matin. Sur la table de chevet, un simple mot.
« Merci pour cette merveilleuse nuit, qui restera gravée à jamais. »
Stéphanie sait qu'elle ne le reverra plus. Elle se lève et va prendre une douche, épuisée mais comblée.
Il va juste falloir qu’elle s’arrange avec sa conscience…
Tu n'es pas le seul, rassure-toi !
Provoque un peu ta chance... ;-)
Une fille de genre existe surement.. et même plusieurs !
Chacun voit midi à sa porte ! le principal est qu'elle arrive à s'arranger avec sa conscience...
Hélas, tous les maris ne sont ps comem toi !
Tu as raison, il n'y a pas tromperie quand tout le monde est au courant, et consentant ! et le plaisir est démultiplié...