Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

 

Un 5 à 7 qui se prolonge.


 

 Aiyana : Après nos rencontres virtuelles et nos multiples échanges sur internet, nous nous voyons pour la première fois en chair et en os. C’est si troublant de t’accueillir ainsi à l’aéroport…

Sans mot, nous nous serrons l'un contre l'autre comme deux amants qui se retrouvent après une séparation trop longue. Je mets mes mains autour de ton cou, caresse ta belle barbe. Et je t'embrasse. Nos langues s'entremêlent, enivrant nos corps d'une sensation excitante et légère. Tes mains glissent le long de ma taille.

« Enfin tu es là ! Depuis trois semaines bientôt, je ne tiens plus en place depuis que nous avons prévu de nous retrouver cet après midi ! »

 

Non ce n'est pas un rêve, tu es bien là ! Je lis dans tes yeux la même excitation que la mienne. Sur la route qui nous conduit à mon appartement, je sens que tu m'observes et que tu n’es pas insensible à la petite robe légère et courte qui laisse apparaitre mes jambes et le haut de mes cuisses. Tu as envie de laisser glisser tes mains sur ma peau et de remonter doucement vers mon trésor intime ! N’est-ce pas grand coquin ? Tu me regardes, tu souris et je me sens alors si bien !

 

Nous arrivons chez moi où je suis seule pour deux semaines encore, car mon copain est sur un chantier à l’autre bout de la France. Je craque dans l'ascenseur qui nous monte dans mon appartement. Je me colle contre toi et tu m'embrasses à nouveau. Tu glisses tes mains derrière mes cuisses, remontes, caresses doucement mes fesses. Mumm… C’est bon que tu sois enfin près de moi.

L'ascenseur s'ouvre, et je te fais entrer chez moi. La porte à peine claquée tant je suis surexcitée, nous reprenons notre étreinte.

« Viens vite, j’ai soif de toi ! Tes coquineries sur la toile et tes histoires coquines m’ont bien chauffée ! »

 

Tu arraches ma culotte humide et fais glisser les bretelles de ma robe qui tombe sur la moquette. Mes petits seins libres sous la robe sont tendus de désir. Tu les embrasses et lèches délicatement les tétons. Je les sens durcir sous ta langue experte. Tu me portes et me déposes sur le canapé...

La tête entre mes cuisses, tu embrasses mon intimité :

« Oui ! C’est bon ! Continue, je sens bien ta langue dans ma fente ! »

 

J'ondule de plaisir et laisse échapper des gémissements. Tu te relèves, tu te couvres et me pénètres enfin. Ton sexe entre en moi si facilement, je suis si mouillée ! Cette sensation chaude, douce et humide me transporte.

 

Tu me prends ainsi, de plus en plus vite, et de plus en plus fort alors que je suis à moitié allongée sur le canapé. Ta bouche enfouie dans la chair tiède de mon cou, tes mains explorent les recoins les plus intimes de mon corps, me secouent de délicieux frissons. Tu me fais gémir, haleter, retardant au maximum ma jouissance pour qu'elle soit divine. Je sens ta bite qui sort de mon petit abricot fendu pour y entrer à nouveau.

 

Puis, n’y tenant plus, tu t’enfonces d’un seul coup de reins dans ma chatte inondée. Tu plies légèrement les genoux pour te redresser, et, d’un élan violent, bestial, ton sexe triomphant s’introduit jusqu'à la garde. Tu prends possession de moi mon amour et je me mords les lèvres pour ne pas exploser de plaisir. Jusqu'à ce moment magique où, te sentant jouir entre mes cuisses désarmées, je ne peux plus me retenir, submergée, inondée de plaisir...

« Oh mon trésor que c’est bon ! »

 

Moi : Oh oui que c'était bon ! Je suis ravi de ton accueil. J'avais deviné quand tu m'as ouvert les bras à l'aéroport de Biarritz que tes seins coquins étaient libres de toute entrave sous ta robe légère.

C’est vrai aussi qu’ils n’ont guère besoin de soutien ! Lorsque nous sommes arrivés dans ton grand studio, j'ai ainsi eu vite fait de te dénuder entièrement ! Tu étais à ma merci mais consentante à tout ce qui allait se dérouler. L'un comme l'autre, nous savions ce que nous attentions de cette rencontre : prendre beaucoup de plaisir ensemble…

 

Après avoir récupéré un peu de nos émotions en buvant un verre de jus de fruits, tu quittes le canapé pour débarrasser les verres. A ton retour, je te vois avec surprise te mettre à genoux devant moi. Tu écartes mes cuisses et de ta jolie bouche tu viens gober ma bite qui est au repos. Quelques léchouilles et aspirations plus tard, elle commence à se redresser et reprenant uniquement mon gland entre tes lèvres, tu continues cette divine fellation.

 

Je sens ta langue jouer avec le bout, caresser le méat. Humm ! Que c’est bon ! De ta main droite tu caresses mes couilles pour accentuer la nouvelle montée de sève et ta main gauche est entre tes cuisses pour caresser ta chatte.

 

Le spectacle vaut son pesant d'or ! Lorsque tu sens que je suis prêt pour une nouvelle joute, tu te places à genoux sur le canapé en te mettant en levrette. Nos conversations antérieures avaient évoqué notre goût respectif pour cette position dans laquelle toute l'animalité de l'Homme se révèle. J'ai compris le message !

 

Je viens me placer derrière toi, j'enserre ta taille de mes mains et après avoir enfilé un préservatif, d'un coup, j'enfonce mon sexe jusqu'à la garde dans ta chatte en faisant claquer mes cuisses contre tes fesses.

 

Après avoir savouré cette intrusion, je commence un va-et-vient lent et profond. Tu ne tardes pas à exprimer ta satisfaction ! Tes soupirs et gémissements se font de plus en plus forts et je sens notre excitation monter à nouveau vers le paroxysme. Ma jouissance est assez longue à venir car mon âge est là (j’ai presque le double du tien) et je la retarde aussi pour que la tienne soit aussi complète que possible.

Tu jouis une première fois alors que je ne me suis pas encore libéré !

« Encore ! »

 

Oui, je reprends le va-et-vient dans ta chatte qui est trempée de mouille. Je glisse sans effort dans ta gaine et je sens tes muscles internes me travailler le sexe. Nous jouissons ensemble au moment où je me répands au fond du préservatif. Tu te retires d'un mouvement souple et mes dernières giclées de sperme finissent entre tes fesses et au bas de ton dos ! J’ai enlevé prestement cet accessoire barbare mais nécessaire.

 

Restant dans cette position tu viens recueillir mon sperme qui a maculé tes reins et tu suces ensuite tes doigts pour en apprécier la saveur en mélangeant aussi ta mouille qui est abondante.

« Humm ! Que c'est bon ! »

 

Je ne sais si c'est le goût ou les sensations retirées de notre étreinte. L'un et l'autre nous avons besoin de souffler un peu et nous nous allongeons sur ton divan collés l'un à l'autre dans la position de la cuillère.

 

Je suis le dos contre le dossier et tu es collée à moi. Après quelques mouvements tu trouves ta position : tu t'es arrangée pour que tes fesses viennent au contact de mon bas ventre pour sentir ma bite dans ton sillon fessier. De mon côté, je viens cueillir ton sein droit et je triture le téton qui est bien dressé. Tu ronronnes comme une chatte satisfaite des caresses de son maître.

 

Quelques temps plus tard, en fait nous nous sommes endormis, il fait nuit. Dans la pénombre, je te vois te diriger, entièrement nue, vers ta cuisine et, alors que je n'ai pas bougé, savourant mon bonheur, tu reviens avec un en-cas que nous dégustons à la lumière de quelques bougies que tu as allumées. Nous bavardons ensuite quelques temps et au moment où je veux te quitter pour regagner la chambre d'hôtel réservée à l'avance, tu me dis :

« Reste ! J’ai envie que nous passions la nuit ensemble ! Cela fait quelques temps que je n'ai pas eu cette opportunité ! Mon copain est absent depuis trop longtemps ! »

 

La nuit, après un sommeil réparateur, nous apporte de nouvelles forces. Au réveil, tu es blottie entre mes bras et ta main droite part en exploration vers ma bite qui, comme presque tous les matins, est déjà bien bandée.

 

Ta caresse achève de rendre mon sexe turgescent. Tu enjambes mon corps et te mettant accroupie, tu viens t'empaler sur mon sexe dressé. Je n’ai pas eu le temps de me couvrir. C'est toi qui effectue le va-et-vient alors que je me contente de te maintenir par la taille.

 

Je sens ma sève monter et comme hier soir tes muscles intimes travaillent pour augmenter mes sensations. Je vois tes seins qui se tendent vers moi. Sans que je les caresse, les tétons pointent au point que l'on croirait que deux bouches invisibles les sucent pour les faire se dresser.

 

Quel spectacle tu m'offres ! Bientôt nous jouissons ensemble et sans nous désunir, tu t'allonges sur moi en me gardant prisonnier de ta chatte. Quelle douce sensation de rester dans ton fourreau brûlant où nos jouissances se sont mêlées.

 

Après quelques temps nous nous séparons et tu pars vers ta salle de bains nue comme au premier jour ! Tu en ressors habillée d'un petit tailleur avec une jupe courte qui dévoile la moitié de tes cuisses. Pendant que tu nous prépares un petit déjeuner reconstituant, je passe également dans la salle de bains où tu as tout prévu pour moi : rasoir jetable, lotion, etc. Oh quelle coquine tu fais ! Tu avais tout manigancé pour me retenir jusqu'au matin.

 

Malheureusement nous sommes obligés de nous séparer : J’ai rendez vous à Bordeaux en début d’après midi et toi, tu en as un pour ton boulot vers onze heures. Nous nous promettons de renouveler cette excellente expérience dans quelques temps mais tu me poses de conditions ! Nous conservons notre entière liberté, pas question d'aller au delà d'une amitié complice. Cela me convient ! Je commande un taxi pour aller à la gare et je prends congé de toi non sans un dernier échange de baisers fous.

 

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A suivre !

Signé : Gérard le Matou

Mar 29 mai 2012 4 commentaires
Merci, le Maatu, de nous regaler encore !
Allan - le 29/05/2012 à 15h46

Et il n'a pas fini de le faire ! Il aura très vite sa propre rubrique...

Sophie de R.
j'ai bandé comme un turc !!!!
Hervé - le 30/05/2012 à 16h34

Je veux la preuve !!!! lol

Sophie de R.
Merci matou..tu m'as faites mouiller...
Francine - le 30/05/2012 à 21h08

Dommage qu'on n'en n'ait pas la preuve...  ;-)

Sophie de R.
J'attends la suite, avec une raideur non dissimulable!
Joel - le 31/05/2012 à 20h55
J'espère qu'elle t'aura plue !
Sophie de R.