Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Pique nique au bord de l’eau.
Moi : Après notre précédente rencontre chez toi et nos multiples échanges sur la toile, j’ai enfin la possibilité de passer quelques jours de repos dans ta région. C’est sciemment que j’ai choisi cette destination afin d’être plus près de toi et te rencontrer dès que tu seras libre.
Nous avons décidé de passer cette belle journée de juin au bord de l’eau pour un pique nique d’amoureux. Cela fait longtemps que nous parlons de cette escapade complice, en toute liberté. Lors de mes randonnées dans la région il y a de nombreuses années, j’avais découvert un site qui devrait nous convenir : Un peu éloigné des sentiers dans un coin discret avec une cascade.
Nous avons laissé ma voiture en bord de route, et, après environ une demi heure de marche, nous arrivons au bord du gave (encore un torrent à cet endroit). Nous avons avec nous tout le nécessaire pour être bien. Le sentier est assez difficile, mais je crois que c’est le prix de notre tranquillité.
Tu es surprise de ce lieu. Nous allons être bien. Au pied de la cascade, il y a un petit bassin où les eaux sont plus calmes. Nous allons pouvoir nous y baigner.
Notre campement est vite installé, un grand plaid étendu au soleil, le sac à dos à l’ombre d’un saule. Personne ne viendra nous déranger. Nus tous les deux, comme deux enfants que nous ne sommes plus, nous nous précipitons dans l’eau et nous commençons à nous ébattre en passant sous la cascade. Nous nous poursuivons dans l’eau et sur la petite plage, en nous éclaboussant à grands coup d’eau fraiche jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de désir refréné et des caresses échangées, nous nous écroulions sur le plaid.
Après quelques minutes où nous reprenons notre souffle, tu viens au dessus de moi en présentant ta chatte au dessus de mon visage.
C’est une invitation. De ton côté, tu engloutis ma bite déjà à moitié bandée au fond de ta bouche étroite et tu me fais une gorge profonde savoureuse. L’un comme l’autre nous sommes bien excités et l’envie de baiser nous tenaille.
Tu te remets en levrette pour bien m’exciter encore plus en frétillant de la croupe. Tu sais combien j’affectionne cette position ! Rapidement couvert, d’une seule poussée je prends possession de ta chatte toute humide d’eau et de ta mouille. De mes mains je viens emprisonner tes petits seins et j’agace tes jolis tétons bien saillants. Que c’est bon de te faire l’amour en entendant les chants d’oiseaux et le bruit de la cascade proche.
Prenant mon temps malgré le désir intense que j’ai de toi, je fais de lents va-et-vient dans ton fourreau bien humide. J’entends tes soupirs et la manifestation de ton contentement. Puis, au bout d’un long moment, ta jouissance éclate, soudaine et violente à la fois. Je n’ai pas encore joui. Tu dégages de ma pénétration pour retirer le préservatif et venir gober ma bite pour gouter nos odeurs mélangées jusqu’à ce que je gicle abondamment sur tes seins que tu caresses pour les enduire de mon sperme.
Aiyana : Cette cascade! Quelle jolie trouvaille. Le calme et la discrétion de ce coin charmant en font un merveilleux nid d’amour. Tes mains puissantes enserrant mes petits seins gonflés de désir… Grrrrrrr que c’est bon mon cœur ! Comme tu sais me combler ! Et cette levrette au soleil mais cachés par les arbres complices La tiédeur de mon corps encastré contre le tien, ton membre raidi serré entre mes fesses rondes, collées contre ton bas-ventre. Mon bassin qui commence à onduler doucement, mon sexe s’humidifiant. Je me cambre pour t’exciter encore plus, pour que tu ne puisses pas résister.
C’est une journée merveilleuse qui commence bien. Merci mon doux amant.
A suivre....
Signé : Gérard le Matou
Alors, il faut faire pareil ! qu'est-ce qui t'en empeche ?
Te quoi ??? Je l'ai deja dit, quand vous affirmez cela, je veux des PREUVES !...
Elle arrivera très bientot, promis...