Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Myrym m'avait dit de choisir.
Myrym était ma maîtresse. Une femme que j'ai connue au travail. Tout de suite, nous avons flashé l'un pour l'autre, Myrym sachant que j'étais marié. Nous faisions l'amour le plus souvent possible
chez elle. Un jour, Myrym me demanda de choisir entre ma femme et elle. J'ai hésité longtemps pour lui dire que je ne quitterai pas ma femme, mais que j'aimerai bien continuer notre relation
extra-conjugale. Myrym ne me répondit rien de spécial sur mon choix. Je crus le sujet clos, et qu’elle acceptait ma décision.
Un jour que l'on faisait l'amour, Myrym se mit dans la position de l'Amazone, et m'attache les mains. Et soudainement, elle arrête de faire l'amour, m'attache aussi les pieds et se lève en disant
:
« Cette fois ça suffit, j'arrête ça. Arrive l'heure ! »
Je lui répondis :
« Que se passe t-il ? Tu n'a plus envie ? Et pourquoi tu dis ça : arrive l'heure ? »
Myrym ne répond pas.
Je lui demande de me détacher. Mais elle semble ne pas le vouloir. Elle remet sa culotte et son t-shirt. Elle me regarde et me dit :
« T'avais le choix entre ta femme et moi. Tu as mal choisi, tant pis pour toi. »
Myrym me saisit le sexe en érection avec sa main et commence à me branler. Et je lui lance :
« Haaa !!! Tu ne veux plus faire l'amour et tu me branles pour une dernière fois ? Mais j'adore être branlé par toi ! Ça ne me dérange pas... »
Soudain on sonne à la porte et quelqu'un entre. Une femme se met à parler :
« Myrym tu es là ?
- Oui maman je suis là, répond-elle. Viens vite, Minucien est à poil et je commençais justement à la préparer… »
Totalement surpris, je la questionne :
« Tu me prépares à quoi ?
- On va te couper la queue., sourit-elle, les yeux brillants.
La mère de Myrym, qui se nomme Manuella, est une espagnole de la cinquantaine un peu rondelette et assez jolie. Elle est infirmière. Elle entre dans la chambre en disant :
« Wouah Minucien à poil !!! »
Myrym propose à sa mère de me finir de me branler. Cette dernière me prend le sexe et me masturbe en me
disant :
« Haaa !!! C’est ça la queue qui baise ma fille ! Profite bien de ton dernier orgasme mon salaud. »
Je ne peu rien dire, tant je suis ahuri et assommé de ces propos surréalistes. Pourtant, je continue de bander comme un taureau.
En riant, Myrym dit à sa mère :
« Je vais chercher le couteau à viande à la cuisine….
- Attends, regarde dans mon sac. J'ai ramené un scalpel du boulot. Ce sera mieux pour lui couper le sexe…. »
Soudainement j'éjacule. Manuelle rigole et rajoute :
« Hé ben dit donc tu en as du sperme. Ma fille va regretter ta bite juteuse... »
Myrym revient avec le scalpel, et dit à sa mère.
« Je la coupe ou c'est to i?
- Pour moi c'est égal. C’est ton amant.
- Vas-y, tu as l'honneur de couper la bite de mon amant !
Manuella m’a saisi le sexe ramolli. Elle me le tripote tout en caressant le sexe avec la lame me disant :
« Tu aimes quand je te tripote le sexe ? Tu aimes sentir la lame caressant ton sexe ? »
Je lui murmure :
« Mmhhh !!! C’est pas mal. Mais arrêtez vos conneries vous me faites flipper. Détachez-moi !! »
Manuelle me tiraille le sexe avec des vas et vient comme pour une branlette. Mais mon sexe et encore mou. Malgré la situation incongrue et dangereuse, j'aime bien.
Malgré moi, je crie :
« Oh oui !!! Vas-y donne moi un deuxième orgasme !
- Mais oui Minucien tient le voilà ton orgasme. Jouis bien mon chéri…. C’est le dernier de ta vie ! » rigole-t-elle.
Et d'un coup de scalpel, Elle me coupe le sexe. Myrym regarde la scène avec un petit rire moqueur. Moi, je pousse un hurlement et gémis de douleur. Je les traite de salopes qui ont osé à me
couper le sexe. Manuella donne mon sexe sanguinolent dans la main de sa fille, qui le met en partie dans sa bouche en le mâchant comme un chewing-gum.
« C'est coriace un sexe d'homme, dit Myrym. J'en ferai ce soir une collation pour nous deux en le cuisinant. »
Pour moi cela devient une routine de me faire chaque fois couper le sexe par des femmes. Cette fois-ci, c'est Myrym ma maîtresse qui me laisse eunuque. Chaque fois que je la croise dans la rue,
elle me regarde avec un regard moqueur. Et quand elle est avec des copines, elles me regardent en riant. Il est clair que toutes ces copines savent qu'elle m’a coupé la bite avec sa mère.
Rien de mieux pour humilier un homme, de surcroît un amant qui a mal choisi avec qui il ferait sa vie….
Ce récit est assez spécial, je le reconnais...