Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Rencontre au parking
Vendredi passé, après un rendez-vous professionnel en début de l'après midi, j'étais passée au supermarché où je fais habituellement mes courses. Le coffre de ma voiture était plein car une amie d'enfance avec qui j'avais fait les quatre cents coups pendant notre période de lycée devait m'attendre à la maison. J'avais prévenu la gardienne de l'immeuble pour qu'elle lui remette la clé de mon appartement si elle arrivait avant moi. Vers 16 heures, elle m'avait envoyé un SMS pour me dire qu'elle était effectivement arrivée.
Voyant mon coffre plein je me demandais combien de voyages j'allais devoir faire pour monter tout cela au 4ème étage. Soudain un homme à la carrure athlétique s'approche de moi avec un sourire ravageur, ses dents étincelantes de blancheur. « Je crois que nous allons pouvoir nous rendre service », me dit-il en se présentant.
Loïc m'explique qu'il vient rendre visite à un de ses copains qui habite au second étage mais que ce dernier a omis de lui donner le code d'accès à l'ascenceur et qu'ainsi il se trouve bloqué dans le parking. En échange, il me propose de monter mes courses jusqu'à chez moi.
Je lui réponds tout en le détaillant un peu plus. Très grand, au moins un mètre quatre-vingt-dix, les cheveux blonds roux, les yeux bleus rieurs avec quelques petites rides d'expression, Loïc a le torse moulé dans un polo d'une marque bien connue qui laisse apercevoir des pectoraux et des abdominaux bien dessinés. Il porte un étroit pantalon de toile blanche. Waouh, vraiment un beau mec! J'apprécie. « Oh, merci, c'est gentil, cela va réellement me rendre service. »
Lui aussi semble apprécier mon aspect de femme d'affaire : grande blonde aux cheveux longs coiffés en chignon, maquillée légèrement, je porte un tailleur très classique de couleur noire dont la veste laisse discrètement apercevoir la naissance de mes seins opulents et la fente qui les sépare. La jupe droite est courte mais sans excès et des escarpins à talons hauts me font une démarche ondoyante.
Loïc se charge des sacs les plus lourds alors que personnellement je ne prends que trois sacs volumineux mais légers. Dans la cabine exiguë nous nous logeons tant bien que mal. Soudain, j'échappe un de mes sacs en appuyant sur le bouton d'étage. Je me baisse aussitôt pour le ramasser et, en le faisant à peine exprès, je l’avoue, mes fesses te frôlent.
En me redressant, je vois maintenant ton large sourire qui me confirme tes pensées. Et puis, je vois cette bosse... Tu bandes ma parole !!! Waouh... Je sens ma culotte se mouiller instantanément... Je me retourne dos à toi en collant mes fesses sur cette bosse. Pas question que je la laisse repartir ! Hummm! Tes mains aussitôt sur mes hanches, je me cambre un peu plus. Tu bandes de plus en plus. Je me retourne et tu me prends la bouche pour un baiser sensuel. Humm! Que c'est bon! Alors que mes mains descendent vérifier la bosse qui déforme ton pantalon, je sens ma culotte se mouiller instantanément. Cette bosse, je la veux! Je veux y mettre la bouche. Tandis que je stoppe l'ascenseur entre deux étages (ça devient dangereux ! lol) tu ouvres ta braguette. Waouh ! Tu bandes comme un salaud maintenant.
Je lèche, j'enfourne, je crache, j'avale et j'adoooooore ça ! Je crois que ton gland va exploser tant il est gonflé. Tu respires fort et ça m'excite encore plus! Tu me relèves, me retournes avec une force douce à laquelle je n'ai pas du tout envie de résister. Mais je m'écarte, me redresse et relance l'ascenseur. « Rhabille-toi! J'ai une envie... ! »
« Ma copine d'enfance est chez moi pour la semaine , elle m'y attend! On a fait les quatre cents coups ensemble, et même encore aujourd'hui on est toujours prêtes pour de nouvelles folies! Elle ne s'y attend pas, on va lui faire une surprise, tu veux bien? »
L'ascenseur arrive à mon étage, et je comprends à ton visage que tu es plus que d'accord, n'est-ce pas mon cochon? Tu as envie de te faire dorloter ? Tandis que tu reprends les sacs, je m'aperçois que tu n'as pas débandé d'un pouce, à en juger par cette bosse monstrueuse! Humm, parfait! Quand ma copine nous ouvre, je le vois de suite, elle capte et est déjà prête à rentrer dans la jeu ! Ca va être chaud ! On va te faire ta fête mon gars.
En effet, elle est en petite tenue, perchée sur ses habituels hauts talons, elle ne porte qu'un tout petit string de dentelle blanche assorti à un soutien gorge qui a beaucoup de peine à contenir deux seins ronds. Elle a décoloré ses cheveux en blond mais sa peau ambrée de fille brune qui aime le soleil fait un beau contraste. En riant elle nous dit qu'elle allait prendre une douche pour se rafraichir. C'est qu'il règne en ce moment une température caniculaire sur Paris et l’appartement d’Hervé n'est pas climatisé.
« Tu te doucheras plus tard ! »
Les sacs de provisions rapidement déposés dans l'entrée, je t'installe sur un pouf en t'offrant une boisson fraiche. Caroline s'installe sur le divan-lit, à plat ventre en te faisant face. Tu as une vue plongeante sur ses seins ronds et par dessus ses épaules sur le bas de son dos et les fesses nues. J'ai rapidement fait voler mes vêtements, et, intégralement nue, je m'approche de toi en présentant ma chatte à la hauteur de ta bouche.
Tu comprends l'invitation. Tu prends mes hanches dans tes mains puissantes mais douces et tu plaques ta bouche sur mon clitoris qui sort déjà de son capuchon. Tu l'embrasses et tu le suces merveilleusement bien à tel point que rien que cette caresse va me faire jouir si tu continues. J'ai ôté ton polo et j'agace tes tétons. Je te sens frissonner : tu aimes ! Caroline ne perd pas de temps, son string et son soutien gorge enlevé, elle a roulé sur le dos. Je sais ce qu'elle attend. Je me dégage de ton étreinte et te disant de te mettre nu et je te tends une poignée de préservatifs.
La croupe haut levée je me mets au dessus de Caroline en position de 69, offrant la vue de mes fesses fendues et de mes orifices déjà prêts à accueillir une langue agile ou une belle queue.
Tu n'y résistes pas. Tu places tes mains sur le côté de mes hanches et je sens le souffle de ta bouche entre mes fesses. Ta langue s'introduit à l'orée de ma chatte et tu me lèches rapidement avant de venir titiller ma rondelle plissée du bout de ta langue. C'est tellement bon que j'en frémis. J'ai introduit deux doigts dans la vulve de Caroline dont je suce le clitoris en même temps. Elle ronronne de plaisir.
Bientôt tu te relèves et je sens le Dieu Priape se présenter en face de ma chatte. Lentement tu me pénètres, m'envahissant de ton pénis dur comme du bois, je le sens long et gros à la fois. « Waouh! dit soudain Caroline, quelle bite il a, j'en ai rarement vu une aussi grosse et longue à la fois ! »
C'est vrai que je me sens bien remplie. Chaque fois que le gland vient butter au fond je ressens dans tout mon corps comme une décharge électrique. Tu me baises lentement mais vraiment à fond. Je sens le plaisir monter en moi. Caroline, je la sens, caresse tes couilles qui pendent sous ses yeux et je pense qu'elle fait aussi ce qu'elle aime: elle doit te titiller la rondelle au passage. Je la connais bien, elle ne doit pas s'en priver.
Soudain, tu pressens mon plaisir, tu le laisses éclater et tu te dégages de ma vulve. Prestement tu retires le préservatif et je sens tes giclées inonder le bas de mon dos et ruisseler entre mes fesses où Caroline viens en cueillir quelques gouttes. Je roule ensuite sur le dos. Tu t'installes entre nous deux et Caroline d'un mouvement souple viens gober ta bite encore à moitié bandée. Elle lèche la hampe, suce le gland et malaxe doucement tes bourses.
Mon coquin de Loïc, tu ne tardes pas à bander à nouveau comme un cerf en rut. Caroline prend un préservatif dont elle déchire rapidement l'emballage, elle encapuchonne le gland et avec sa bouche elle le déroule le plus qu'elle peut avant de venir te chevaucher en amazone. Elle te fait face. Tes mains vont cueillir ses beaux seins ronds pour les pétrir et pincer les tétons. Elle commence les mouvements de va-et-vient sur ton sceptre de chair. Je vois passer dans ses yeux les éclairs de lubricité qui les habitent quand elle est bien baisée. C'est aussi une cérébrale: elle jouit aussi avec sa tête.
Je ne suis pas en reste. Je suis venue me mettre à genoux de part et d'autre de ta tête et je te présente ma chatte et mon petit trou dans une invitation non équivoque. Tu relèves la tête et je sens ta langue envahir à nouveau ma vulve toute dégoulinante de cyprine. J'ai enlacé Caroline et nous nous embrassons amoureusement. Je ne l'avais pas vue depuis plus de six mois et c'était bon de nous retrouver, complices de toujours dans nos frasques sexuelles. Soudain, elle me dit :
« Je vais partir ! »
Aussitôt elle exhala un râle de jouissance tout en s'agitant furieusement sur le sexe fiché en elle. Loïc crie également son plaisir en se vidant dans le préservatif avant de sortir du sexe de Caroline.
Quel baiseur ! Il ne s'est pas passé une heure depuis notre arrivée à l’appart ! C'est vrai qu'au milieu de la trentaine comme nous sommes tous les trois, cela n'a rien d'extraordinaire surtout quand on a deux gourmandes de sexe à satisfaire.
Malheureusement tout a une fin. Tu dois rejoindre ton copain! Avant de nous quitter, je te glisse mon numéro de téléphone :
« Si ça te dit, appelle-moi ! »
Bien sur tu m'appelleras mais ta profession de skipper t'appelle souvent sous des horizons lointains...et moi, j’ai mon complice de libertinage Hervé que j’attends avec impatience vers 20 heures pour lui raconter ma fin d’après-midi avec Caroline. Je suis sur que lui aussi, après une petite semaine d’absence, il aura des choses à nous raconter.
Merci de tous ces compliments, mais je dois te préciser que cette suite, sur Diane, n'est pas de moi, mais du Matou Libertin et de son amante... Son nom figure en fin recits, et il a sa propre rubrique...
Mais ce fait très plaisir de lire tes mots !
Tout est finesse dans tes plaisirs et tu sais bien décrire la montée du plaisir et l'orgasme féminin. Merci ma belle