Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Il y a quelques semaines, j'ai eu un accident de voiture, qui a eu pour principale conséquence de me briser trois côtes. Depuis ce funeste jour, je suis contrainte de rester allongée sans pouvoir faire grand-chose. Et surtout pas l’amour, car l’orgasme me procure une douleur insupportable.
Mais depuis trois semaines, une jeune kiné d'une vingtaine d'années vient me prodiguer ses massages à domicile, afin que les contusions de mon épaule se résorbent plus vite. À la fin des étirements de mon cou et de mon épaule, elle me fait allonger sur le côté droit et commence à me masser l'épaule.
Les premiers jours, son massage était assez « rude ». Mais depuis une semaine, son massage dure beaucoup plus longtemps et est bien plus doux...
En fait, je n'avais pas vraiment fait attention. C'est mon mari qui assistait à une de nos séances, qui me le fit remarquer après son départ.
« Ma chérie tu as vu comment elle te regarde quand elle te masse ?
- Non, je ne peux pas l'avoir vue, puisque je lui tourne le dos !
- Si tu voyais comment elle te regarde ! On dirait qu'elle va te dévorer tout cru !
- Vraiment ? Eh bien je vais être plus attentive à son prochain massage », répondis-je en souriant.
Deux jours après, elle revint et commença la séance normalement. Nous étions seules, Fritz était déjà parti travailler. Puis comme d'habitude, je me couchai sur le côté droit et elle vint s'asseoir contre moi, ses genoux tournés en direction de ma tête. Elle posa son bras gauche sur mon bras gauche, et avec sa main droite, entama son long massage de mon épaule meurtrie. Imaginant le regard qu'elle portait sur moi, j'ai eu la chair de poule.
Visiblement, elle s’en rendit compte, car je sentis son massage s'accentuer et sa main gauche commencer à caresser mon bras, ce qu'elle n'avait jamais fait jusqu'à présent. Pour l’encourager, j'entamai une série de soupirs profonds mais relativement discrets. Immédiatement, sa main gauche entama une lente descente vers mon sein.
Nous n'échangions pas un mot. Je la sentis se pencher un peu plus vers ma tête, car son souffle effleurait mon cou. Très doucement, je m’incline un peu vers elle, lui rendant l'accès à mon paréo plus facile. Comme vous le savez, je vis dans un pays chaud, et ma tenue d'intérieur est uniquement un paréo, que je noue au dessus des seins. De plus, avec mon accident, je ne peux pas m'habiller normalement. Je la reçois donc dans cette même tenue, avec juste un string dessous...
Elle semble comprendre le message, et glisse la main dans l'ouverture du tissu qui me couvre à peine… D'une main aussi ferme que celle qui me massait, elle saisit ma poitrine et commence à la malaxer avec une certaine tendresse. Moi qui ne suis pas vraiment bi, je suis très troublée par cette caresse très érotique... Imperceptiblement, je sens que je mouille de plus en plus. Si ça continue, je vais tacher le canapé sur lequel je suis allongée...
Brutalement, je suis tirée de cet état d'excitation par la sonnette qui me vrille les oreilles. Je sursaute autant qu'elle. Elle m'aide à m’allonger sur le dos et me regarde avec un petit sourire gêné. Pas le temps de lui répondre, la personne qui avait sonné au portail est déjà dans l'encadrement de la porte. Il s'agit de mon voisin Pascal, (qui est un de mes sex-friends) qui vient me rendre une petite visite de courtoisie.
Elle se relève, me salue et me dit qu'elle reviendra le surlendemain comme d'habitude. Pascal semble s'être rendu compte ton de quelque chose en car il me dit :
« Eh bien ma cocotte en on dirait que je t'ai dérangée ?
- Mais pourquoi me dis-tu cela ?
- Mais tu sais que je te connais très bien ! Et je sais très bien reconnaître quand tu es excitée, ma belle !
- Vraiment, je ne peux rien te cacher ! Tu as raison sous ses airs de jeune fille sage, je crois que c'est une grosse coquine ! Tu sais quoi ! Elle était en train de me masser autant le sein que les épaules... Et j'ai adoré cela !
- Et dans quel état es-tu maintenant ma belle ! me demanda-t-il, l'air ironique.
- Tu veux vraiment le savoir ? Je suis trempée...
- Mais je ne peux pas te laisser dans un tel état… Il va falloir que je me dévoue...
- Tu sais, depuis mon accident, j'ai essayé d'avoir à des relations sexuelles avec mon homme, mais la survenue de l'orgasme me provoque une douleur insupportable dans les côtes. Je ne sais pas si je dois te laisser faire...
- Tu peux toujours essayer, et dès que tu me dis « stop », je te promets, j'arrête ! Tu sais que j'adore faire ça ! Cela me fera autant plaisir qu'à toi de te dévorer ton joli minou que j'aime tant...
- Alors, je ne peux qu'accepter ! »
Joignant le geste de à la parole, je m'allongeai de nouveau sur le canapé, laissant s'ouvrir en grand mon paréo. Pascal vint se mettre à genoux sur le sol, et enfouit sa tête entre mes cuisses.
Sa langue familière vint fourrager dans mon intimité totalement détrempée. Avec ses deux mains, il ouvrit en grand mes lèvres intimes, comme j'aime tant qu’on me le fasse...
Je sentais l'air frais du ventilateur venir effleurer l'intérieur de mes chairs. Sa langue habile a titillé mon clito dressé hors de son étui. J'étais tellement excitée et en manque de sexe, que j'ai ressenti venir l'orgasme très très vite. Je le stoppai net, voulant encore profiter de ses caresses magiques.
Comme il me l'avait promis, il arrêta immédiatement. Je lui fis un sourire et lui demandai de s'approcher. Il comprit très vite, et comme nous n'en étions pas à notre première fois sur ce canapé, il attrapa un petit banc de bois, le positionna au bout du canapé, et vint s'agenouiller dessus.
Il défit rapidement son pantalon, et sorti sa bite bien dressée. J'ai incliné ma tête en arrière, et ainsi, il put introduire son gland entre mes lèvres gourmandes. J’adore sucer ce bâton d'amour épais et long comme. Cependant, mes côtes m'empêchaient de m'incliner autant que je voulais pour lui faire une gorge profonde. Pourtant, je parvins à engloutir à la moitié de cette queue odorante, et la léchai avec application et appétit.
Et visiblement la situation devait l'exciter, car il ne lui fallu que quelques minutes pour décharger au fond de ma gorge. Je reçu le jet épais et un peu amer avec délice, et j’ai avalé tout jusqu'à la dernière goutte.
« Eh ma belle, tu aurais pu en garder un peu dans ta bouche...
- Vraiment ! Mais pourquoi donc ?
- Mon sperme soit dans ta bouche en soi sur table belle chatte...
-, Je sais bien, mais là tu étais trop profond et je ne peux pas bouger beaucoup tu le sais bien.
- Allait, je vais recommencer à te dévorer car vraiment une en a pas eu assez...
- Mais je t'en prie chez très très très ses envies de ta langue au plus profond de moi... »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il n'y glissa à nouveau sa tête entre mes cuisses un, écarta presse que violemment élèvera, et il planta sa longueur d'un seul coup. Soit il m'avait ouvert vraiment au grand, soit sa langue avais pris de la longueur, car j'eus l'impression qu'il arrivait directement sur mon. J'ai. Il me dévorait avec passion glissant sa langue partout, mordillant au passage de mon clito décalotté, grognant presque de l'envie de me faire plaisir. Je gémissais de plus en plus fort, faisant mon maximum pour ne pas jouir... Je savais que la douleur serait fulgurante et je ne voulais pas gâcher ce moment par un cri de souffrance.
Je senti les premières contractions de mon vagin, et à contrecœur, en je lui demandais dans un souffle de s'arrêter. En fait, il ne fit que ralentir le rythme, laissant retomber la pression qui m'envahissait. Puis il reprit une lente caresse du clito, très doucement, très tendrement... Je le lassai faire, tant j’étais frustrée de ne pas avoir joui. La caresse linguale contribua à apaiser ma frustration.
Et je senti venir le nouvel orgasme, étonnant, léger comme une plume, et du coup, je me laissais m'envahir doucement, et j'ai ressenti une chose nouvelle, loin du déferlement des orgasmes que je peux ressentir d'habitude. Il m'envahit comme une vague lente et en profondeur, mais sans entraîner une contraction de tout le corps, comme d'habitude. Je ressenti un apaisement et une satisfaction profonde dans devant mon plaisir enfin rassasié. Cela faisait la cinquième semaine que je n'avais pas eu de plaisir.
Pascal vint s'asseoir à côté de moi et m'embrassa tendrement.
« Tu vois ma belle, nous y sommes arrivés... C'est la plus qu'à en parler ce soir avec ton mari, et vous n'aurez plus qu'à recommencer !
- Oui, tu as raison... Il est sûr que nous recommencerons ce soir !
- Et si j'ai bien compris, après-demain, ta jolie kiné revient ! Je pense que cette fois-ci, tu ne t'en sortiras pas avec seulement une caresse sur le sein...
- Tu as raison, je le pense aussi. J'aime la façon dont elle me touche, et je ne pensai pas être aussi émoustillée... Et si jamais tu passes par là à la même heure, et bien cette fois-ci, tu ne sonnes pas, et tu rentres très doucement...
- Je vais y penser... Je reconnais que te regarder de faire gouiner par une femme m'excite au plus haut point.
- J'avoue qu'elle m'a particulièrement excitée... Je ne m'y attendais pas... Rien que de penser et à sa jolie bouche en sur ma chatte, regarde je mouille de nouveau... -
- Allez, appelle ton mari, il va s'arranger de ça très très très très bien, je le sais.
- Tu as raison je vais le faire tout de suite ! »
Il m'embrassa à nouveau et se releva pour partir. Je saisis mon téléphone et appelai aussitôt mon cher mari. Je lui racontai tout en détail, en et avant que j'ai fini de parler, un il m'interrompait en me disant :
« J’arrive ma chérie, je t'assure je vais te baiser comme un fou... »
À suivre...
J'espère qu'elle t'a plue !
Hélas, elle n'est ps revenue lundi, comme prévu ! elle s'est fait remplacer par une collègue bien moins coquine !
Enfin on va avoir droit au récit d'une aventure de notre Sophie avec une femme.
vite la suite
Tu as tout à fait raison, Pascal est un excellent voisin.. j'avais d'ailleurs deja raconté nos ébats, il y a quelques mois...
J'espère que depuis, tu as apprécié la suite... ;-)
L'as-tu lue ??? Donne-moi ton avis ! bisous à toi
Merci Eddy, ça va mieux, mais je ne peux pas encore faire tout ce que je voudrais !
Tu connais mes fantasmes, ce récit y est en plein dedans.
Merci Sophie...
je suis toujours heureuse de te faire plaisir, mon cher ami...
Comme tu as pu le constater avec la suite, elle a eu sa part deux jours après... lol
et pour mon voisin, cela fait longtemps que nous "jouons" ensemble... il est en effet très serviable !
Merci mon cher, tu es le bienvenue, tu le sais bien.. et de plus, tu as une attache de voiture à récupérer !