Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Cela fait maintenant plus de vingt ans, que Valy, stagiaire dans la boîte d'ambulances où je travaillais et avec qui j'ai eu de multiples soirées ''cul'' mémorables, avait disparu de mon horizon.  Et voilà qu'il y a trois semaines, je réponds à un appel téléphonique qui me surprend très agréablement.

« Allo!  Bruno ? me dit une voix féminine légèrement rauque. C'est moi, Valy ! Tu te rappelles de moi ?'

- Comment aurai-je pu oublier la délicieuse gourgandine que tu étais, ma Valy ? Comment vas-tu, ma chérie ?»

 

S'en suit une conversation où chacun fait assaut de souvenirs communs, histoire de bien nous mettre à jour. Et nous finissons avec cette heureuse conclusion que nos goûts et jeux n'ont pas changé. Valy, experte dans l'art de retrouver ses amis perdus de vue, m'explique qu'elle est divorcée depuis trois ans maintenant et qu'elle vit en couple avec Sofia, la belle et cochonne sicilienne.

 

Elle me dit que son ex-mari garde les enfants durant trois semaines pendant lesquelles, avec Sofia, elles prennent des vacances.

« On aimerait passer te voir, si tu veux bien !

- si je veux ? Et comment. Non seulement je le veux, mais je l'exige ma chérie, je vous attends. Quand serez-vous là?

- Euh... tout de suite, si tu veux, nous sommes dans un bistro à l'entrée de la ville, mais on te dérange peut-être ?

- Vous ! Me déranger ? Tu m'insultes, ma chérie, j'ai hâte de vous voir, aller rappliquez en vitesse. Rien n'est préparé, pardonnez moi.

- Pas grave, nous n'avons pas trop envie de dîner, tu sais… »

 

Je n'en reviens pas de cette surprise, je suis vraiment heureux de revoir Valy de qui j'étais un peu amoureux, impatient de faire l'amour avec elle si elle est d'accord bien entendu. Sa dernière phrase laisse clairement entendre que c'est surtout ça qu'elle veut. Le fait que Sofia, sa vicieuse copine soit avec elle n'est pas fait pour calmer mon impatience. Mais je crains de les décevoir toutes les deux, les vingt ans ans qui viennent de passer ne se sont pas gênés pour attaquer mon physique.

 

Tant pis, je prends le risque. Je suis entièrement nu, comme toujours  chez moi. Valy aimait bien vivre comme ça aussi. Je ne vois pas de raison pour qu'elle ait changé de comportement. C'est donc complètement à poil que je leur ouvre la porte. Juste le temps de fermer la porte  et mes deux copines me sautent dessus. Nous nous embrassons, nous étreignons sans un mot, longtemps, comme si nous voulions rattraper ces années perdues.

 

L'humain est ainsi fait qu'il lui faut respirer, c'est cette seule raison qui nous fait cesser nos effusions, j'en profite pour les faire asseoir sur mon canapé durant que je prépare les boissons de bienvenue. Je leur tourne donc  le dos un instant. Quand je me retourne plateau en mains, je peux admirer  Valy et Sofia nues et splendides. Les vingt ans passés n'ont eu aucune influence sur Sofia.

 

Pas pris un seul gramme, son corps naturellement bronzé est toujours aussi sensuel. Valy, par contre, deux maternités aidant, a pris quelques kilos, mais ils sont harmonieusement répartis. Je suis contre ces trop nombreuses femmes qui s'ingénient à paraître faméliques. Rien de vraiment sensuel dans ces corps anguleux. J’ai joué aux osselets durant les dix premières années de ma vie. Cela m'a suffit.

 

Ses kilos rendent Valy encore bien plus sensuelle et désirable. Ils sont mis en valeur par son visage au sourire si craquant, le quart de sang antillais qui est en elle ajoute encore à sa beauté. Sofia et elle sont, ainsi dévêtues, extrêmement bandantes. Ma bite en érection est là pour le prouver. 

Ca déclenche aussitôt des réactions gentilles mais plus que grivoises de mes deux merveilleuses salopes.

 

Sur mon plateau, des verres de boissons alcoolisées et des assiettes d'amuse-gueule épicées. Mes deux gourgandines prennent leur verre et boudent les petits trucs à grignoter. Elles préfèrent nettement mon bas-ventre. Qui s'en plaindrait ? En tous cas pas moi. La main de Valy se glisse entre mes fesses pour titiller mon ''point de plaisir'', elle se rappelle combien j'aime qu'on s'en occupe. Sofia, quant à elle, me caresse la queue d'une main douce. Je suis obligé de poser mon verre, trop dangereux. Ce qu'elles me font m'excitent bien trop pour que je le garde en main.

 

vingt ans ont passé sans que nous nous voyions, des gens normaux auraient entamé une  longue conversation pour se raconter et combler ce grand vide. Nous ne devons pas être des gens normaux car visiblement nous nous comportons comme si cela faisait une petite semaine que nous nous étions quitté. Je ne m'en formalise pas, bien au contraire. Je trouve cela ''normal''. Nous aurons tout le temps de bavarder une fois que nos corps seront repus.

 

Sans compter que Valy et Sofia que je retrouve ''quadras'', sont belles ainsi dans leur maturité naissante. Si l'on ajoute à leur gourmandise sexuelle innée,  l'expérience acquise toutes ces années, je ne peux que me féliciter qu'elles préfèrent l'amour à la discussion. La main de Valy dans mes fesses et celle de Sofia en pleine parlote avec ma bite vont me faire juter si je n'y prends garde. Tout de même moins performant qu'il y a vingt ans, je ne tiens pas du tout à ce qu'elles me fassent jouir tout de suite.

 

Sous un prétexte bidon je me libère et vais remplir nos verres. En revenant vers elles, je leur demande :

«  Vous vivez en coloc' ou vraiment en couple ?

- En couple ! me répondent-elles en chœur. 

- Ouai !!! J'vous crois pas, prouvez-le moi ! »

 

Je sais c'est une ruse grossière à laquelle elles n'ont pas été dupes. Mais leur goût pour l'amour, et le fait qu'elles s'aiment, ont suffi pour qu'elles se jettent l'une sur l'autre et s'enlacent. Ouf ! Je pouvais enfin revoir ces chéries s'aimer comme il y a vingt ans. Je m'absente un bref instant pour aller chercher mes godes car je sens qu'elles vont en avoir l'utilité.

 

Quand je reviens, elles sont emboitées, l'une dans l'autre, au point qu'on pourrait croire qu'elles ne font qu'un. Chacune déguste la chatte de l'autre. Comme elles sont belles et excitantes comme ça!  Je les admire un moment, queue complètement tendue. Puis je décide de les aider un peu.  Je les sodomise avec deux de mes godes. Des mouvements lents, comme elles aimaient il y a quelques années. Et ça n'a pas changé, elles adorent ça si j'en crois les gloussements qui viennent s'ajouter à ceux que leurs langues leur procurent.

 

C'est Sofia qui craque la première, elle rugit son orgasme et inonde le visage de Valy. La mouille de Sofia doit être aphrodisiaque car Valy jouit à son touret abondamment qui plus est. L'âge aidant, sans doute, elle éjacule nettement plus qu'autrefois. Elles se séparent pour reprendre leur souffle. J'en profite me coucher sur elles et lécher leur visage. J'aime goûter la jouissance des femmes. Puis je descends et déguste enfin leurs chattes. Ma langue à ce contact me remémore le souvenir de nos baises d'autrefois. Je me régale. C'est à la fois acre et doux sur ma langue, quel délice!

 

Mes coups de langue les ramènent à la surface, leurs bassins battent la mesure, rythmant mon léchage. Des soupirs et des « Oh ! Oui, bouffe-moi !  Vas-y ! »  poussés en alternance, me disent que décidément Sofia et Valy sont toujours les mêmes délicieuses salopes qu'il y a vingt ans. Elles viennent de jouir et en redemandent encore. Je réserve ma bite pour plus tard, pour l'instant je ne veux que les faire jouir et admirer ce merveilleux spectacle qu'est leur orgasme.

 

Aussi je reprends mes godes, et les fais entrer dans leur cul. Pourquoi les priver de cette sodomie qu’elles adorent ? Un tout petit « Aie » de surprise suivi d'un « Aah ! Ou i!! »  qui m'incite à continuer. Les mouvements de mes godes dans leurs ventres les font danser sur le canapé. Elles ont une manière tellement sexe de remuer leur bassin si excitant !!   Leurs mots d'encouragements, tous aussi grossiers les uns que les autres, sont entrecoupés par les baisers qu'elles échangent. Leur jouissance croît  de plus en plus vite et enfin elles hurlent leur orgasme. Il est plus fort que le précédent. Et moi je n'en peux plus, ma bite me fait mal.

 

Je m'éloigne de mes chéries et admirent leur prostration, puis leur éveil progressif. Elles sont couchées sur le côté, bouche contre bouche. Qu'elles sont belles ainsi. Comme vous êtes belles mesdames dans l'orgasme !!!

 

Sofia est la première à refaire surface. Elle se lève et se dirige vers moi pour me rouler une pelle goulue pour

« te remercier de ce que tu viens de nous faire, petit salopard. Tu vas nous le payer, pas plus tard que tout de suite, tu vas voir ça ! »

 

Elle tourne la tête vers Valy qui s'est assise et nous regarde avec son sourire si craquant. Elle réagit à la phrase de Sofia en disant :

« Tu as raison ma chérie, il va nous le payer et plutôt deux fois qu'une, et pas plus tard que tout de suite… »

 

Elles se jettent sur moi comme deux lionnes sur leur proie. Elles me couchent sur la moquette et sans un mot, sans même se concerter, comme si elles faisaient ça tout le temps, chacune s'occupe dune partie de mon corps. Pendant que Sofia s'occupe de mes pieds, Valy, elle, se penche sur mon visage, et elles parcourent lentement chaque pouce de ma peau de ses belles lèvres charnues. J'en ai aussitôt la chair de poule. Sofia de ses mains agiles me masse les pieds, sorte de massage tantrique qui fait monter ma température, quitte à passer dans le rouge. Et j'ai très vite, un bel orgasme sans éjaculation, un peu comme avec un massage de la prostate.

 

Valy, tout en me jetant parfois un regard plus que coquin, continue à butiner ma peau. J'en tremble de plaisir. Arrivée à ma poitrine elle mordille mes tétons, ce qui me fait comme une décharge électrique dans le corps. Ses mains aux longs doigts fins ne sont pas en reste.  L'une d'elle titille mon gland du bout d'un ongle, puis me masse les couilles. Sofia m'a fait connaître déjà cet orgasme ''à sec'' et ses mains arrivent à mes cuisses.  Valy et elle se sont rejointes hauteur de ma queue. 

 

Elles se regardent et se roulent une pelle gourmande et amoureuse et Sofia écarte mes jambes d'un geste autoritaire et s'agenouille entre elles et pendant que Valy me suce la queue en douceur, comme pour la câliner, Sofia, elle, entreprend de me doigter. Je sens ses doigts s'insinuer entre mes fesses. Elle en rentre deux en moi et pianote en moi tout en faisant des moments de va-et-vient.  Tout ça commence à me chauffer sérieusement.

 

Elles s'en rendent compte. Sofia continue son entrée en moi progressivement jusqu'à, enfin, entrer toute sa main. Elle a fait ça avec une telle douceur que je n'ai ressentie aucune douleur.  Valy en profite pour changer sa façon de déguster ma queue. Elle y va plus franchement, et de temps, elle me mordille sèchement puis reprend avec sa douceur habituelle. Voilà un long moment que je me retenais, mais là, les soins conjugués de mes deux salopes chéries me font exploser dans la sublime bouche de Valy. Voyant ça Sofia sort sa main de mon cul et se jette sur Valy.

 

Et voilà maintenant une lutte joyeuse entre elles deux pour se partager mon sperme. Comme elles sont belles ainsi, nues, chaudes et jouissantes. Je ne connais pas de spectacle plus beau ni plus érotique que deux femmes nues en train de s'aimer.

 

Voilà à peine 2 heures que nous sommes à nouveau réunis, tous les 3 et, déjà nous avons bien fêté nos retrouvailles. Je décrète une trêve pour diner. Mes deux chéries s'inclinent, d'autant plus volontiers qu'elles meurent de faim. Nous nous attablons donc. Le repas bien arrosé se passe dans la joie, nous profitons de ce moment pour combler par nos souvenirs les vingt passés sans nous voir. C'est ainsi que j'apprends que le mari de Valy ne pouvait supporter que sa femme aime une autre femme.

 

Pauvre Valy, je comprends d'autant mieux ce qu'elle a pu vivre que, moi-même, j'ai vécu la même mésaventure car ma femme me traitait de tous les noms parce que j'étais bisexuel.  Valy donc, en désespoir de cause, se résigna à divorcer et retrouva  Sofia, cette belle sicilienne très chaude et vicieuse pour former un couple de lesbiennes qui ne ferma jamais sa porte aux hommes. Cependant Valy en bonne mère soucieuse du bon équilibre de ses enfants ne fit des grosses folies de son corps que lorsqu’ils étaient avec leur père.

 

Repas fini, mes deux jolies salopes, un peu gaies, acceptèrent un digestif sous la forme d'un très bon cognac offert par un vieil ami. L'occasion était belle pour déboucher cette bouteille et déguster ce nectar. Un peu salop je forçais sur la dose dans les verres de Valy et Sofia. Très vite elles en acceptèrent un second. Je sais qu'elles n'ont nul besoin de se cacher  derrière l'alcool pour se laisser aller dans les jeux du sexe.  Je voulais juste qu'elles se déchaînent un peu plus.

 

Je ne me suis pas trompé, l'alcool les a non seulement rendues plus gaies, mais aussi il a accentué leur envies de jouir.  Elles me prennent par la main et me conduisent à ma chambre où elles n'étaient pas entrées depuis leur arrivée. Elles sont surprise, agréablement, en voyant trôner sur ma table de nuit mon gode-ceinture, un egin du plus beau noir, qui brille et semble nous appeler.  Posé à côté de lui un double gode que j'aime utiliser parfois avec des copines de passage.

 

Sofia se jette sur ce double gode, s'installe sur mon lit et s'ingénie à se pénétrer avec. Il est assez long et souple pour se plier en deux, aussi Sofia se met une extrémité dans la chatte et l'autre dans le cul. Valy, ma salope chérie prend le gode-ceinture, s'approche de moi en minaudant, et de sa belle voix me dit :

« Bruno chéri, pendant que cette salope de Sofia se baise toute seule moi je vais t'enculer avec ce beau gode-ceinture. Ca fait longtemps qu'on l'a pas fait, je meure d'envie de recommencer je vais t'enculer, tu seras ma salope, dis, tu veux bien ?

- Bien sûr, mon amour, pour fêter nos retrouvailles tu peux faire tout ce que tu veux avec moi, je te laisse faire ! »

 

Elle pousse un cri de joie, s'harnache avec le gode et me pousse sur le lit. Allongé sur le dos, j'attends le bon vouloir de ma belle. Valy mouille l'extrémité du gode avec sa salive, le pointe face à mon petit trou, et tenant mes jambes aux chevilles pour les écarter, elle s'enfonce en moi, d'un seul coup. Je ne pousse qu'un petit cri de surprise. Aucune douleur, je sus très souple de ce côté là. Sans compter que durant mes vingt ans de vie après Valy, j'ai vécu  beaucoup plus de rencontres homos qu'hétéros, cela m'a assouplit encore un peu plus l'entrée.

 

Valy se déchaine en moi, elle s'enfonce à grand coup de rein, pour ressortir entièrement et entrer à nouveau jusqu'au fond. Elle ponctue ses mouvements de mots orduriers : « Hein ! Ma salope, t'aimes avoir ma bite dans le cul. Tiens ! Prends ça, et encore ça ! Regardez moi ça comme elle aime se faire enculer cette salope ! »

 

Je n'en reviens pas de voir ma Valy parler et agir comme ça. Je dois avouer que je n'aurais jamais laissé quiconque me traiter de salope, hormis Valy.

 

Ceci dit, elle a raison, j'aime, j'adore même me faire enculer. Et quand c'est une femme comme Valy qui me le fait, le plaisir est encore plus grand. Ma queue bande comme jamais, j'ai des sortes de frissons de plaisir qui envahissent mon corps. Sofia, du coup, arrête de se faire du bien, se débarrasse de son double gode et s'approche de Valy, l'embrasse à pleine bouche, lui caresse les seins puis la saisit aux hanches et l'aide dans ses gestes pour me sodomiser.

 

Je gémis de plus en plus, je pense que c'est ma plus jouissive sodomie depuis longtemps.  Sofia fait cesser Valy

« Ma petite chatte, arrête, j'ai une idée. Puisque il a l'air d'aimer avoir quelque chose dans le cul, on va lui en donner, tu vas voir… »

 

Valy se défait du gode-ceinture et regarde avec moi Sofia qui enduit sa main du lubrifiant que j'avais sorti auparavant. Elle s'approche de moi et me fait une feuille de rose d'enfer. Une merveille, à me faire jouir si je n'y prends garde.

 

Je sens ses doigts qui gratte mon trou, je les sens pénétrer un à un. Enfin sa main aux doigts longs et fins est enfoncée en moi  jusqu'au poignet. Et elle joue avec en moi comme le faisait Valy il y a un instant. Celle-ci monte sur le lit et s'accroupit au dessus de mon visage pour que je lui lèche la chatte et le cul. Elle est toute mouillée et l'odeur à la fois acre et douce me rend fou d'elle. Valy bouge son bassin pour mieux guider ma langue là où elle veut du plaisir.

 

Mais sur un ordre de Sofia, elle s'arrête et la rejoint entre mes jambes. Elles  chuchotent et rient en même temps, apparemment heureuse de l'idée qu'elles viennent d'avoir. Je ne tarde pas à comprendre en sentant se qui se passe autour de mon trou du cul. En effet le double gode plié en deux de manière à ce que les deux glands se rejoignent. Elles me font subir une double sodo.

 

Je n'en ai eu qu'une d'en ma vie et c'était avec deux vraies queues. Mais là être pris en double par ces deux jolies garces est plus que je ne peux supporter et j'explose d'un coup. Mon torse est plein de mon sperme. Je  suis exténué, mort de  plaisir. Mais elles continuent leur double sodo, plus pour leur plaisir que pour le mien. Mais je les aime ces  deux-là, alors je les laisse faire. Et j'avoue que ce n'est pas désagréable du tout.

 

Elles cessent enfin leur jeu, m'aident à me relever et nous nous dirigeons vers la salle de bain. Elles m'allongent dans la baignoire, se mettent face à face debout au dessus de moi, les pieds sur les rebords et ensemble lâchent leur pisse sur moi. J'adore les jeux uro, mais avec les femmes seulement. C'est un jeu que Valy et moi pratiquions souvent. Elle dirige son jet vers mon visage et j'ouvre la bouche pour la déguster. Son pipi n'a pas changé, il est toujours aussi sucré. Vessies vides, elles se décident à me laver vraiment, avec de l'eau et du savon.

 

 Enfin nous allons nous coucher tous les trois dans mon grand lit. Je les baiserai demain, ou, qui sait, tard dans la nuit, si ces dames ont une envie pressante. Ce qui ne m'étonnerait pas du tout d'elles. En attendant je m'endors comme un bien heureux, allongé au milieu du lit et une femme nue de chaque côté. Je suis au paradis en somme.

 

C'est vers quatre heures du matin que je suis réveillé par des gémissements et mon lit remue un peu.  J'allume la lumière et je vois mes deux magnifiques copines en train de se goder mutuellement. Elles me font  «  coucou chéri !! On avait envie de s'aimer ! »

 

Comment leur en vouloir ? Elles sont si belles et excitantes ainsi. Une furieuse envie de la prendre me prend, mais, je veux les laisser s'amuser encore un peu. Alors, je me rapproche de Sofia. Je me rappelle que ces pieds aux longs doigts bien faits et vernis sont très sensibles aux caresses, et moi qui suis toujours ému par de beaux pieds de femmes. Je lèche ses pieds et ses orteils un à un, je les mordille aussi parfois, Sofia commence à réagir et ses gémissements redoublent. Voyant ça, Ma Valy s'acharne un peu plus sur le cul de sa chérie qu'elle est en train de goder. Le résultat  ne se fait pas attendre, Sofia a un super orgasme.

 

Et pendant qu'elle semble inconsciente, Valy se jette sur moi et nous nous étreignons comme des affamés. Nous nous soixanteneuvons goulument et  Valy toute chaude et frémissante me présente son cul pour que je l'enfile. Je me souviens que Valy autrefois, avait des orgasmes en se faisant sodomiser, alors je m'applique à la prendre comme elle aime, à savoir très doucement, en remuant mon bassin, façon lambada. Valy m'accompagne dans cette dans érotique.

 

Les mouvements de sont bassin complètent bien les miens, comme si nous ne nous étions jamais quittés. Nos gémissements communs font une musique de fond excitante.  J'ai envie que cela dure une éternité tant je suis bien en Valy.  Sofia refait surface tout doucement. Elle nous regarde un moment, sourires d'encouragement aux lèvres. Puis ds envies de participation semblent l'habite, elle rampe sur le lit, nous caresse, nous embrasse, nous lèche et enfin passe derrière moi, prend un gode et m'encule d'un coup. Aussitôt un feu semble se répandre en moi.

 

Je ne peux plus continuer comme je le fais, il me faut transmettre mon feu à ma Valy. Aussi j'accélère mes mouvements de plus en plus, Valy chez qui le plaisir monte de plus en plus, me gueule plus qu'elle ne me dit :

« Oui, Bruno chéri, vas-y à fond et jouis en moi. Je veux sentir ton jus dans mon ventre ! »

 

Comment résister à une telle invite ? Je ne sais pas alors je me laisse aller et me répand en Valy. Sofia, toujours à l'affût, approche son joli bec du cul de Valy, et embouche ma bite dés sa sortie. Elle lui fait une toilette très gourmande, elle ne juge sans doute pas son travail assez bien fait car elle insiste longuement et ma queue commence à me faire mal.

 

Valy vient involontairement à mon secours en se jetant sur Sofia pour l'embrasser voracement et profiter elle aussi de ce qu'elle a recueilli. Et revoilà mes deux jolies salopes en train de s'aimer comme si c'était la première fois. J'aurais été malheureux de ne pas rencontrer ces deux femmes qui considèrent le vice aussi sainement que s'il s'agissait de vertu. Et c'est pour cela que je les aime beaucoup.

 

 

Sens apaisés, tout à fait provisoirement,  nous jouissons, blottis les uins contre les autres, du bonheur du contact de nos peaux nues, de l'odeur de nos corps qui viennent de jouir et de cette sorte d'amour que nous éprouvons. Nous nous endormons comme ça, jusqu'à ce que Valy, étrange idée vraiment saute du lit et nous dise à trop haute voix :

« Mes petits chéris, vous n’avez pas faim, vous ? Moi si, alors allons manger

- Ben vas donc préparer le p'ti'dèj, tiens ,et tu nous appelleras' ! »

 

Valy, bonne fille s'exécute, et se dirige vers la cuisine. Nous l'entendons chantonner  joyeusement.  Sofia et moi, sommes maintenant seuls, tous les deux dans mon lit. Nous sommes collés l'un contre l'autre. Son corps est doux et chaud. Une odeur forte et aphrodisiaque, fruit de notre baise d'il y a deux heures environ, envahit mon cerveau. Et comme c'est lui qui commande, fatalement je me mets à bander à nouveau. Sofia qui le sent se met à onduler contre moi, pour frotter sa chatte contre ma queue. Elle ronronne  et me sourit. Ses mains parcourent mon corps avec une grande douceur, ses lèvres me baisent le visage et la bouche. Je suis bien, je ne fais aucun mouvement, je profite au maximum de  ce moment béni.

 

Sofia s'écarte un peu de moi, me fait m'allonger sur le dos et me dit d'une voix rauque :

« Ne bouge pas, laisse moi te faire plaisir comme j'aime. »

 

Moi lui désobéir ? Moi refuser sa proposition quand celle-ci est prometteuse de plaisir ?  Vous rêvez !  Me v'là donc, allongé sur mon lit, bras et jambes écartés, yeux fermés qui attends l'assaut de ma chaude sicilienne. Celle-ci, à quatre pattes, sourire aux lèvres et œil brillant entreprend de me dévorer érotiquement.

 

Ses jolies mains parcourent mon corps  en le frôlant, s'arrêtant parfois en des endroits dits « stratégiques ». Ca me colle des frissons partout...  Ensuite ces lèvres prennent le relai. On dirait le cratère de l'Etna, le chaud volcan de son île, tant elles dégagent de chaleur. Je bande comme une harde de cerf. Sofia feint de l'ignorer, tourne autour, l'évite soigneusement. Voilà un beau supplice de tantale.  Elle ne me juge pas encore assez à point car elle change de  façon d'agir. Après sa bouche et ses lèvres, c'est sa chatte qui entre en  œuvre. Mais là, c'est aussi pour se faire plaisir.

 

Elle s'accroupit au dessus de mon visage, frotte son clito sur mon nez assez longtemps pour bien mouiller et m'inonder de son parfum intime. Elle s'allonge ensuite sur moi et caresse mon corps avec le sien, en remuant, souple comme une liane.  Et enfin, enfin,  elle daigne s'occuper d'une partie de moi qui est toute congestionnée. Ma bite.  Sofia se penche vers elle et ne s'aidant que de ses lèvres et de sa langue, elle flatte et lèche ma queue et mes couilles qu'elle gobe avec dans les yeux l'air d'aimer ce qu'elle fait.  Tout en câlinant mon sexe, elle entre deux doigts dans mes fesses et me masse la prostate, un longtemps au point qu'elle me procure un super orgasme sans éjaculation qui me fait hurler de  plaisir.

 

A-t-elle soudain pitié de moi ?  A moins que, égoïstement, elle est simplement envie de jouir ? J'ignore, mais ce que je sais c'est, c'est qu'elle s'installe à califourchon sur moi, enfonce sa chatte sur ma queue et s'emballe aussitôt, montant et descendant sur moi en soupirant et gémissant de plus en plus fort. Avantage de mon âge, je sais que ma jouissance n'arrivera pas trop vite et que ma jolie salope aura le temps de bien se faire plaisir.

 

Sofia est de plus en plus bruyante, au point que Valy l'entend et se précipite dans la chambre.

« Ah ! Bande de salopards, vous attendez que j’aie le dos tourné pour vous envoyer  en l'air ! Et puis, regardez moi cette salope comme elle s'agite sur une bite !! » dit-elle sur un ton qui est loin d'être de reproche.

 

Et comme elle n'est jamais à cours d'idées, elle s'empare d'un gode de dimension « intéressante », nous rejoint et se  plaçant derrière Sofia, lui enjoint de s'arrêter un moment, la couche sur moi et entre le gode dans son cul.

 

Sofia pousse un cri qui de douleur se change aussi vite en un grand soupir d'aise. Alors Valy et moi la baisons et l'enculons longtemps. Enfin n'en pouvant plus, et criant de plus en plus fort, Sofia s'écroule sur moi et jouit tant et plus. Etant un peu fontaine, elle m'inonde de son plaisir. Valy continue un moment à l'enculer avec le gode  puis, laissant le gode dans le cul de Sofia, elle se hâte de boire la jouissance de son amante.  Je n'ai pas encore joui, moi, et Valy se précipite sur ma queue et me suce avec une gourmandise qui n'appartient qu'à elle et avale le jus que sa bouche experte a bien su faire venir.

 

Une bonne douche sage, un petit déjeuner aussi copieux que  long et voilà mes deux gourgandines prêtes à reprendre la route, non sans m'avoir promis qu'elles reviendraient vite me voir…

Ven 22 jun 2012 4 commentaires
Merci Bruno, je ne me lasse pas de tes aveentures avec Valy!
Allan - le 23/06/2012 à 13h38

Moi non plus... je les adore !

Sophie de R.
Il faut peut-etre que je me tourne vers les femmes... les hommes ne veulent plus de moi, je suis trop grosse.
Aline C. - le 26/06/2012 à 13h18

Essaie, on ne sait jamais... mais il faudrait surtout que tu penses serieusement à maigrir. Passer la barre des 200 kgs est insensé !

Sophie de R.
Retour gagnant...super récit Bruno...merci...
L'amoureux - le 28/06/2012 à 00h02

Je le pense aussi !

Sophie de R.
venant de toi,c'est un grand compliment, merci l'Amoureux
Brunobi - le 28/06/2012 à 17h30

Je n'arrete pas de vous le dire : vous etes faits pour vous rencontrer !

Sophie de R.