Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Il y a quelques années, j'étais marié à une très jolie femme, alors âgée de quarante deux ans, brune cheveux longs, 95 de tour de
poitrine, aux pointes rose et extrêmement sensible, 70 90 pour le reste, toujours totalement épilée, bras, jambes, aisselles, sexe, anus, un mètre soixante-cinq, cinquante kilos, tout cela pour
vous dépeindre la personne. Elle aimait énormément le sexe, et j’avais parfois du mal à la satisfaire…
Nous avions fait des photos comme beaucoup de couples, je le pense, à notre domicile tout d'abord, dans toutes les positions ce qui nous avait beaucoup excités, séances suivies par des nuits torride.
Plus tard, elle a accepté de faire des photos nue, dans des coins de campagne isolés, parant de la maison uniquement vêtue d'une micro
jupe, un petit haut aussi transparent qu'échancré laissant voir pratiquement la totalité de ses seins. Sous la jupe rien, une paire de chaussures à talons de onze centimètres l'obligeant à
marcher les fesses très cambrées, la poitrine bien pointée, déjà.
Elle m'avoua que cette tenue l'excitait beaucoup. Ce qui me le confirma, c'est qu'a peine montée, dans la voiture, la jupe déjà si courte remonta encore laissant voir son pubis imberbe et les lèvres déjà mouillées... Mon épouse alors d'un air très coquin me dit en écartant ses jolies jambes :
« Les voyeurs vont en avoir pour leurs envies ! »
Et joignant le geste à la parole, elle défit le dernier bouton du haut. Sur la route, j'ai entretenu son excitation par des caresses
sur les lèvres de sa chatte, en titillant sournoisement son clito rose et dur. A toutes occasions du dépassement de camions, je prenais bien soin de ralentir, je vis alors le grand plaisir que
prenait ma femme de découvrir complètement sa poitrine, pinçant ses bouts de seins tout en écartant très largement les cuisses. Nous étions souvent remerciés par un concert de coups de
klaxon.
J'ai donc un soir proposé a ma femme de l'exhiber en public, elle accepta sans hésiter, je vais même dire avec plaisir, lui proposant une nuit complète pour assouvir tous ses phantasmes. Après une seconde de réflexion, elle me donna son accord.
Ce soir là, elle se maquilla plus que d'habitude, mit une micro robe boutonnée sur le devant et des talons de plus de douze centimètre,
et rien sous la robe...
Nous primes la voiture et direction le Bois de Boulogne, une zone voyeurs bien connue des habitués. Après avoir stationné la voiture,
ma femme se débarrassa de sa robe et ainsi nue, elle se mit à se caresser les seins, pinçant les pointes, les étirant avec force, les cuisses largement ouvertes.
Sa chatte était maintenant dégoulinante, poussant un soupir d'aise, car elle venait de s'apercevoir qu'une douzaine d'hommes étaient là en train de la mater. Tournant la tète vers moi, elle baissa sa vitre, pratiquement tous les hommes étaient le sexe hors de leur pantalon se branlant bouche ouverte devant le spectacle offert par ma femme. Celle-ci, les deux mains sur sa chatte qu'elle ouvrait au maximum, se frottait le clito avec un pouce.
Un des hommes me demanda alors si ils pouvaient la toucher et la, suite à mon approbation, la meute devint complètement folle, des
mains, encor des mins, cinq, six, huit, plein de mains…
Je ne peux le dire combien entrèrent dans la voiture, les unes palpant les seins en triturant les pointes, les autres fouillant sans
ménagement cette chatte baveuse et offerte, roulant le clito sous un pouce puissant, le capuchon étiré méchamment entre deux doigts…
J’étais ébahi et excité par ce spectacle hallucinant de mains sans propriétaires bien définis qui malaxaient ma femme de
partout…
Pendant ce temps, ma femme les mains croisées derrière la tète, s'offrant au maximum projette des jets de cyprine sur le sol de la voiture, où j'avais eu la précaution de mettre un vieux plaid.
Un des hommes me demanda alors que par sécurité, je pense la peur de la police, si ma femme accepterait de les suivre à quelques
dizaine de mètres à l'intérieur du bois. Je lui signifiai alors la totale liberté de ma femme, elle se pencha vers moi, me fit un baiser sur la bouche, et ouvrit la portière, allant vers la
direction indiquée, totalement nue, mis a part ses chaussures. Les hommes la suivaient de très prés comme une meute de chiens affamés, ce qui me permis de les compter... 14.... et 15. Pour
surveiller ma femme et être certain qu’elle ne se fasse pas déborder, je sortis moi aussi de ma voiture.
Arrivée dans la clairière bien éclairée par le clair de lune, je pus constater qu'il y avait deux bancs ; l’un avec dossier, l'autre sans, les hommes ne perdaient pas de temps et plusieurs mains courraient sur le joli corps cambré de ma femme, toujours debout.
Ils la guidèrent vers le banc sans dossier et après l'avoir allongée deux hommes, lui bloquèrent les cuisses écartelées. Ils commencèrent à la fouiller de partout, la chatte d'abord avec plusieurs doigts… Un des hommes d'une cinquantaine d'années réussit même à rentrer complètement sa main dans le vagin écartelée, les lèvres tenues ouvertes pas plein de doigts… Ma femme se tordait de douleur et de plaisir à la fois, elle criait sans aucune retenue…
Ses jets de cyprine étaient de plus en plus fréquents et prolongés, accompagnés de gémissements particulièrement bruyants. Un vieil homme se mit a parler aux autres, qui lui laissèrent la place sans protester… Il sortit des poches de sa veste plusieurs pinces a linge en plastique, il en mit une à chaque tétons hypertendus par le plaisir. Après un petit cri de douleur ; ma femme ne fit pourtant aucun geste pour les retirer ; me faisant découvrir que ma gentille épouse aimait les jeux sado-maso…
Ensuite, il lui en mit une directement sur le clito et quatre à chaque lèvre. Ma femme était paralysée par la douleur et le plaisir… La portant à plusieurs, les hommes entreprirent de la mettre à plat ventre, deux vestes et un imper roulés en boule glissés sous le ventre les jambes de chaque cotés du banc.
J’apercevais alors la chatte de ma femme, ornée de ses pinces à linge et ses fesses bien ouvertes, laissant son anus bien découvert.
Un des hommes lui pénétra la chatte pour bien l'humidifier et lui doigtait l'anus sans ménagement. Après plusieurs va et vient, ma femme accompagnait les mouvements du doigt, bientôt rejoint par deux autres. Cette introduction était facilité par l'habitude régulière de la sodomie dans nos ébats intimes…
Je vis alors les hommes se distribuer des préservatifs, et l'ayant bien dilatée, le premier se présenta à l'entrée de son conduit anal et la sodomisa sans ménagement. Ma femme, accrochée au bord du banc, subit l'assaut rn suivant les mouvements de l'homme et lui demandant de bien lui défoncer le cul. Les uns après les autres, ils se sont succédés et cela depuis maintenant deux heures.
Depuis un moment déjà, je me branlais, tant j’étais excité par la vue de ma femme ainsi baisée come une chienne. Je suis candauliste, et ce genre de spectacle me met dans un état second. Sans m’en rendre compte,, tant j’étais absorbé par le divin spectacle, une main vint se poser sur la mienne, et accompagna ma masturbation. Ca ne m’était jamais arrisé, et surpris, je regardais vers le sol. Un homme, accroupi, la bite aussi à l’air, me regardait avec envie. Il me dit dans un souffle :
« Laisse-moi te sucer.. je te demande rien en retour..
-Vas-y, suce, » répondis-je presque malgré moi…
Comme un animal affamé, il se jeta sur ma queue raide et l’aval dans une super gorge profonde… J’étais au septième ciel, sucé divinement bien et regarda&nt ma femme se faire mettre par tous les orifices… Mais j’étais trop en manque, de voir ma femme ainsi baisée come une truie.
Plus loin, le manège infernal du gang-bang se poursuivait : le premier passé se faisant sucer lorsque le dernier se présenta devant l'anus béant et dégoulinant de ma femme, un noir au sexe démesuré à coté duquel le mien devait ressembler à un sexe d'enfant.
Trenet centimètres au bas mot, de chair noire et luisante, le gland rouge gros comme une petite pomme… Son propriétaire approcha son gland de l'anus bien ouvert, il commença doucement à rentrer, ma femme, surprise de la taille monstrueuse de cet engin, voulut se dégager mais le noir la maintenait d'une main ferme sur le dos.
Je ne pouvais pas intervenir, mon suceur me pompant toujours à fond, et j’étais au bord d’exploser... Ce qui se passa quand je vis l’homme continuer sa progression dans les entrailles de mon épouse. Je jouis comme jamais, inondant la gorge et le visage de l’homme. Il s’enfuit sans un mot, me laissant la bite molle, mais rassasiée…
Le black continuait sa progression, par petites poussées. Le gland était déjà rentré, il réussit à tout enfoncer, jusqu’aux testicules grosses comme deux gros kiwi. Ma femme se tordait de plus belle, gémissant et pleurant à la fois. Le noir fit quelques va et vient, éjacula tout en provoquant le dernier orgasme de ma femme.
Les hommes la firent d’assoir, les cuisses grandes ouvertes, et se mirent à tirer sur les pinces afin de lui infliger une dernière
humiliation… Puis un à un, ils partirent… Une fois le dernier sortit de la clairière, j'allais chercher mon épouse pantelante, meurtrie et... momentanément rassasiée.
Nous sommes rentrés à la maison, sans un mot, je l’ai baignée, enduite de crème pour apaiser ses irritations anales et vaginales, et l’ai couchée pour sommeil réparateur…
Il faut qu’elle recommence très vite, vu comme son appétit semble s’être révélé…
Moi aussi, cela m'a enormement excitée, et rappeler des souvenirs...
Il est plus que temps que tu te mettees serieux au regime ! tu as pplus de 150 kilos à perdre... mets-y toi enfin !
Relooke toi !! bien maquillée, bien coiffée, vêtements adéquates pas forcément amples comme des sacs et tu verras des hommes auront envie de s'insinuer dans tes bourrelets !!
En fait, Aline a un énrome surpoids.. tu connais l'animatreice Laurence Boccolini ? Eh bien Aline fait le double... et mis à part des vetements qui ressemblent à effectivement des sacs, elle ne peut pas porter grand chose. Ses bourrelets fontquand même peur à une grande malorité d'hommes...
Dans son cas celà est considéré comme invalidant et pris en charge à 100% par la sécu .
Je crois qu'elle s'en fiche, que ce soit remboursé ou pas, car elle tire partie de son statut d'handicapée...
Malheureusement, il n'existe pas ! sauf un peu aux Salines, à Montjoly.. mais juste un peu !