Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
3. En club libertin.
En vacances pour une semaine au Cap d’Agde, je voulais aller voir ce que pouvait être un club libertin dans une petite ville. A Paris, j’avais rencontré un couple qui, l’été précédent, avait fréquenté l’Alibi d‘O à Fitou, non loin de mon lieu de villégiature. Je m’étais renseigné sur internet et cela confirmait ce qui m’avait été dit.
Ce club de rencontres libertines était un must. Malheureusement je devais me trouver une compagne de soirée pour y entrer car les hommes seuls n’y étaient pas autorisés. Au camping où je séjournais, tout le monde était en famille, sur les plages naturistes du secteur, tous se livraient le soir venu à des échanges de partenaires et personne n’avait besoin d’aller dans ce genre d’établissement pour assouvir sa soif de libertinage.
A tout hasard, je lançai un ballon d’essai à une des hôtesses de l’accueil de mon camping. En riant elle me dit en me tutoyant d’emblée :
« Tu ne m’étonnes pas ! Je sais ce que tu es venu chercher ! Je sais où ce club se trouve ! C’est bien connu dans la région. »
Alors sur le même ton badin, je lui dis :
« Si tu veux je t’invite !
- D’accord, je suis partante ! Passe me prendre à l’accueil à vingt-deux heures, le bureau sera fermé. »
A l’heure dite, je l’ai vue arriver et se glisser à côté de moi dans ma voiture. Petite rousse d’environ cinquante ans, avec des cheveux tombant sur les épaules, elle portait une mini robe en tissu léger qui descendait à mi cuisse, serrée par un cordon au dessus des seins dont les tétons pointaient. Elle dégageait un parfum épicé qui allait lui bien. Son visage, illuminé par des yeux marron rieurs, était constellé de taches de rousseur. Par l’autoroute nous avons mis à peine plus d’une heure pour faire le trajet. Situé au centre du village dans une grosse maison cossue, le club semblait ce soir là attirer beaucoup de monde car il y avait de nombreuses voitures garées à proximité.
Effectivement il y avait foule. Le bar était plein de monde et sur la piste de danse il y a avait une dizaine de couples. Avec Nadja ma compagne d’un soir nous avons parcouru les divers salons un verre à la main et découvert aussi la nouveauté de l’année, le sauna et le jacuzzi.
La soirée était lancée car dans les « coins câlins » il y avait déjà des couples et trios en pleine action. Nous avions laissé le principal de nos vêtements dans les casiers sécurisés prévus à cet effet à l’entrée du sex-shop et du bar. Je ne portais plus qu’un boxer siglé au nom du club et Nadja n’avait plus sur elle qu’un mini string dont les cordons barraient ses fesses. Au bas de son dos, elle avait un soleil tatoué et ses seins menus avaient des tétons saillants qui, sans doute sous l’effet de l’excitation du moment étaient sortis.
On avait envie de les croquer, ce que je me suis empressé de faire dès que nous avons trouvé un endroit propice pour nous livrer à nos ébats. Je n’allais pas me priver de baiser cette « couguar » qui savait pourquoi elle avait accepté mon invitation. Nous étions allongés sur un podium recouvert de tissu satiné.
D’une main, je massais la chatte de Nadja et de l’autre, j’agaçais le bout des seins et je les suçais et les croquais. Ma belle ronronnait de plaisir et de son vagin s’écoulait une mouille abondante pendant qu’elle massait ma bite à moitié sortie du boxer. Nous étions prêts. Je me plaçai entre ses cuisses à genoux et, remontant son bassin à la bonne hauteur je me glissai dans sa chatte. Oulla qu’elle était chaude et humide!
Il ne nous a pas fallu attendre longtemps pour atteindre la jouissance. Nadja me travaillait la queue avec ses muscles intimes et au moment où la jouissance l’emportait j’ai déversé dans le préservatif quelques jets de sperme violents. Depuis que j’étais en vacances, je baisais plusieurs fois par jour avec des partenaires différentes. A chaque fois l’ambiance de luxure était tellement excitante que cela nourrissait mes réserves. Nous sommes restés enlacés quelques minutes.
Nous étions bien. Nous avons été rejoints par un couple d’une trentaine d’années, l’homme, un beau gosse aux muscles bien dessinés avec un sexe long et fin. Sa compagne, une beurette grande et mince avec des seins menus, un piercing au nombril orné d’un tatouage avait le pubis nu et une chaînette pendant entre les cuisses. Nadja me dit alors :
« J’ai envie d’une double pénétration, sa bite devrait me faire du bien dans mon cul ! »
Je n’étais pas contre et je le dis à nos futurs compagnons de jeux. La beurette m’a gobé immédiatement la bite pendant que Nadja achevait de faire monter la pression en faisant une gorge profonde à son copain. Ce dernier s’allongea sur le dos, prenant Nadja par la taille, il l’a plaça sur lui et introduisit sa queue dans le petit trou plissé. Après quelques mouvements de va-et-vient, il coucha Nadja sur lui, le dos contre son torse et, pour la maintenir dans cette position, il lui prit les seins. Je n’avais plus qu’à investir à nouveau la chatte qui s’offrait à moi.
Nous avons accordé nos mouvements pour que les pénétrations alternent. Je sentais au travers de la paroi le sexe de notre partenaire progresser jusqu’au fond de la gaine étroite de Nadja. J’avais déjà vécu ce genre de situation, c’est très excitant. Nadja exprimait bruyamment son plaisir. Elle avait de l’expérience et j’avais dragué sans le savoir une bonne baiseuse.
La beurette se faisait plaisir toute seule en nous regardant. Au début, elle s’était contentée de caresser sa chatte les cuisses ouvertes, la chaînette partait des grandes lèvres où les extrémités étaient pincées, mais ensuite, elle a pris un gode articulé et l’a introduit au fond de son vagin. Notre jouissance est arrivée soudainement, tous les quatre en même temps. Nous sommes allés au bar prendre un verre tous ensemble puis nous nous sommes séparés.
De retour au Cap d’Agde, Nadja m’a invité à finir la nuit dans son appartement. Après une douche prise ensemble, je l’ai baisée encore une fois, mais là, c’était à mon tour de la sodomiser. Elle aimait çà la coquine et elle jouissait aussi facilement d’être prise devant ou derrière.
4. Voyeurs.
L’été dernier, je passais une semaine en camping au Cap d’Agde où j’étais venu faire du naturisme pour me changer un peu des sites que je connais sur l’Océan atlantique. C’était l’avant dernier soir et avant de retourner à mon bungalow sur le terrain de camping, je prenais un dernier verre au bar de la plage. Il n’y avait plus guère de clients car l’heure de la fermeture approchait. Nous étions quatre, deux jeunes femmes, Sergio, le barman, et moi. Les deux filles semblaient bien excitées par les nombreux verres d’alcool qu’elles venaient de boire depuis que je me trouvais là à bavarder avec Sergio avec qui je m’étais lié d’amitié.
Elles avaient environ vingt-cinq ans, bien bronzées, l’une légèrement plus grande que l’autre, des formes agréables bien que menues et de longs cheveux châtain clair. Vu l’heure tardive, elles portaient un bermuda taillé dans un jean et un teeshirt qui laissait deviner une paire de seins libres de toute entrave. Après avoir payé leurs consommations, elles se sont éloignées en direction de la mer serrées étroitement l’une contre l’autre.
Avant qu’elles ne disparaissent dans l’obscurité nous avons pu voir qu’elles s’enlaçaient et s’embrassaient à bouche que veux-tu. Le barman me dit alors qu’elles allaient certainement vers « la chambre d’amour ». Je connaissais le lieu pour y être allé le premier soir pour découvrir ce dont il s’agissait. C’était le lieu de retrouvailles des couples d’un moment. On y voyait des hétérosexuels et des homosexuels hommes ou femmes.
Entre temps, le barman avait terminé ses rangements et fermé boutique. Tous les deux nous nous sommes également dirigés vers la chambre d’amour. Le ciel était éclairé par la pleine lune et les étoiles ce qui fait que nous pouvions voir distinctement à une certaine distance ce qui se passait entre les dunes de sable en haut de la plage. Nous nous sommes approchés discrètement.
Il n’y avait personne d’autre que nos deux femelles en chaleur. A genoux, elles continuaient de s’embrasser à pleine bouche et de se caresser les seins sous les teeshirts à moitié relevés. Nous allions avoir le spectacle d’une baise lesbienne. Nous nous sommes encore approchés. Nous n’étions plus qu’à une dizaine de mètres et, si elles nous avaient vus, elles n’en poursuivaient pas moins leurs échanges. J’étais émoustillé par le spectacle et ce qui allait suivre, au point que ma bite était dressée dans mon bermuda et faisait une belle bosse sur le devant.
Les deux coquines se sont mises nues et pendant que l’une d’elle s’allongeait sur le sable, l’autre se mettait au dessus en 69. Elles allaient se donner mutuellement du plaisir en se mangeant la chatte.
Dans le clair obscur qui régnait sur la plage, nous voyions la langue de celle qui était au dessus laper la vulve de l’autre alors que de sa main elle pénétrait tantôt le vagin où elle disparaissait presque entièrement ou tantôt faisait aller et venir le majeur dans son cul. La même chose devait se passer à l’autre extrémité car la fille qui nous faisait face ondulait de la croupe, certainement sous les assauts de sa complice. C’était chaud. Nous observions en silence afin d’éviter de nous faire remarquer, cependant, nous entendions les soupirs de volupté de nos deux belles, jusqu’à ce que l’une et l’autre exhalent presque en même temps leur jouissance.
Elles sont restées enlacées quelques minutes avant de se remettre à genoux et de nous faire face.
« Approchez ! Vous nous avez bien matées et laissées tranquilles ! A nous de vous faire plaisir.»
Ces coquines savaient depuis le début que nous étions en train de les regarder. Nous avons fait les quelques mètres jusqu’à elles pour voir leur anatomie en détail. Elles avaient effectivement les seins menus mais avec des bouts assez proéminents. Toutes deux avaient la chatte dépourvue de toison. Elles dirent en même temps :
« Approchez encore! »
Comme un ballet bien réglé elles ont tendu leurs bras pour nous prendre au niveau des hanches. La plus petite a fait glisser mon bermuda et, libérant mon sexe dressé face à elle, elle l’a pris en bouche et englouti d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge. Sergio avait le même traitement. Ma fellatrice savait y faire. Elle n’utilisait que sa langue et l’aspiration des joues pour me pomper. Je me retenais pour retarder ma jouissance tellement la caresse était bonne, mais je n’en pouvais plus. Je me suis retiré de sa bouche et j’ai craché mon sperme sur ses seins. Aussitôt, elle m’a repris en bouche pour extraire les dernières gouttes. Sergio a joui aussi presque en même temps que moi.
Céline, ma fellatrice, et Coralie se sont rhabillées et tous les quatre, nous sommes retournés vers la route du bord de plage. Chaque couple s’est séparé. J’ai terminé la nuit avec Céline que j’ai baisée à deux reprises. Au petit matin elle s’est esquivée en me disant qu’elle allait retrouver son mari !
Voila ce que sont les plages naturistes de la région du Cap d’Agde.
A suivre...
El e est arrivée depuis bien longtemps, et j'espère qu'elle t'a plue !
Si tu y arrives... lol
Le Matou nous a dit qu'elle etait vraie.. et pour ce qui est d'Aline que je connais bien, disons que son physique n'incite pas au désir... c'est très diffficile pour elle de trouver un mec...
Je ne suis pas fan.. le sable rentre partout, et ca fait parfois très mal !
Je n'endoute pas un seul instant ! je reve d'y passer une semaine comme la tienne....
Comme Gérard écrit autant que toi, tu n'es pas pret d'arreter de te regaler, mon cher Bruno....
Il faut être patient... ;-) mais je sais que tu sais attendre !
mille baisers...