Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
2. L’effeuilleuse.
Dans le cadre de mon travail, je recevais ce vendredi là Antonio, mon correspondant espagnol d’Alicante. Il était accompagné par sa femme Juanita. La réunion se déroulait sur toute la journée, aussi a-t’elle profité de son temps libre pour faire les boutiques parisiennes.
Le soir, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le hall de leur hôtel puis nous sommes allés diner dans le Quartier des Halles. Après le repas assez vite expédié, nous avons pris un taxi qui nous a conduit Place Clichy. Je voulais leur faire connaitre un cabaret qui venait d’ouvrir dans le secteur et dont on disait beaucoup de bien.
L’enseigne « Humour et délices » clignotait au dessus d’une porte cochère d’un immeuble ancien mais en bon état. De part et d’autre, il y avait des petites vitrines éclairées donnant des vues de la salle et annonçant les spectacles présentés.
Nous sommes entrés dans le hall brillamment éclairé et, après avoir traversé un salon ovale, nous sommes descendus profondément au sous-sol par un large escalier de marbre recouvert d’une épaisse moquette rouge.
Nous avons débouché dans la salle proprement-dite, une immense cave dont la voute était soutenue par de gros piliers de pierre brute. Nous nous trouvions dans une ancienne carrière comme il en existe bon nombre dans le sous sol de Paris. L’architecte avait su tirer parti de ce dont il disposait pour y créer un lieu de spectacle insolite mais particulièrement réussi.
A gauche des marches, il y avait le vestiaire puis le bar avec ses traditionnels tabourets hauts, au fond une petite scène masquée par un rideau rouge était ménagée dans l’amorce d’une vaste galerie. Au centre se trouvait une petite piste de danse animée par un D.J. Tout autour, il y avait deux rangées de tables pour deux ou quatre personnes.
A notre arrivé se déroulait le spectacle d’un jeune humoriste à la renommée montante. Puis la salle a été plongée dans l’obscurité presque totale. Des projecteurs se sont braqués sur deux alvéoles fermées par une grille de part et d’autre de la scène. Deux filles y dansaient au son de la musique, une danse lascive, invitation érotique propre à faire naitre des fantasmes chez les hommes présents.
L’une était une noire sculpturale aux cheveux très courts, grande, avec des seins en obus dressés sur son buste, des hanches galbées et des fesses rondes sous une taille très cambrée. Son faciès n’était pas particulièrement attrayant avec son nez épaté et ses lèvres lippues mais il s’en dégageait, tout comme du reste de son corps un magnétisme érotique très puissant.
L’autre était une européenne, grande également, aux longs cheveux châtain clair légèrement ondulés, avec des formes moins généreuses mais tout aussi attrayantes. Tous les regards se sont dirigés vers elles jusqu’à l’ouverture du rideau pour le clou de la soirée, un spectacle de striptease en couple.
Tout en dansant, la femme et l’homme retiraient mutuellement leurs vêtements ou d’en débarrassaient sur un roulement de tambour. Leurs corps semblaient être enduits d’une huile mêlée de paillettes dorées qui luisaient sous les projecteurs. Lorsqu’ils furent nus, n’ayant plus qu’un minuscule cache sexe, ils continuèrent leur danse lascive pour finir par mimer l’acte d’amour. La femme était de profil par rapport à la salle, le buste légèrement incliné en appui sur le dossier d’une chaise de bois doré avec les seins pendants et les jambes écartées. L’homme était collé contre ses fesses. Etait-il en train de la baiser réellement ? Etait-ce simulé ? Le final fut salué par un tonnerre d’applaudissements, lorsqu’ils firent semblant de prendre leur pied. Peut-être le prirent-ils vraiment car cela avait été assez long ?
Pendant ce spectacle, les deux filles des cages étaient descendues dans la salle pour aguicher les hommes présents. C’est la grande blonde qui est venue à notre table. Elle avait du repérer que j’étais seul en compagnie d’un couple. Elle s’est assise sur mes genoux en frottant ses seins nus contre moi. Puis elle s’est mise à cheval sur mes cuisses et a passé ses bras autour de mon cou. Je sentais son parfum enivrant et dans le même temps ma bite se dressait dans mon boxer.
Elle dut s’en rendre compte ou même le sentir car elle me dit à l’oreille :
« Je te fais envie ? Alors attends-moi dans une demi-heure à la sortie de la boîte ! Tu ne le regretteras pas ! »!
Comme c’était l’heure de la danse et que le lendemain la journée commençait assez tôt, j’ai payé nos consommations et nous avons regagné la sortie de la boite. Julia, notre gogo-girl, nous attendait déjà. Elle nous proposa de l’accompagner jusqu’à son studio tout proche pour une partie à quatre. Antonio et Juanita acceptèrent mais pour eux, ils n’étaient pas question d’échangisme.
Après cinq minutes de marche, nous sommes arrivés devant son immeuble. Son appartement se trouvait au second étage. Elle nous fit entrer dans une pièce immense ou trônait un grand lit éclairé par des projecteurs. Dans un angle de la pièce, il y avait une barre allant du sol au plafond et à quelque distance on pouvait voir deux caméras vidéo sur leur trépied et un ordinateur. Devant notre étonnement elle expliqua qu’elle était sur un réseau de caméras où des animatrices proposaient des petits spectacles érotiques. C’était son lieu de travail une grande partie de la journée.
J’enlaçai Julia et je lui ôtai ses vêtements. C’était vraiment une belle femme, vingt-cinq ans environ, des hanches étroites et de longues jambes de danseuse, une belle poitrine aux seins ronds et haut placés agréables à regarder et à caresser. Lorsqu’elle a été nue, elle me déshabilla à son tour et lorsque ma bite apparut, elle se baissa pour venir gober le gland. J’étais déjà bandé comme un taureau.
De leur côté Antonio et Juanita n’avaient pas perdu de temps. Certainement excités par l’érotisme du spectacle de la soirée, ils étaient déjà nus, en position de 69 sur le grand lit. Nous avions la vue magnifique du cul haut levé de la belle Juanita avec ses hanches un peu larges de latine. Elle avait un cul magnifique. Je ne l’avais jamais vu et j’étais surpris de la beauté des deux beaux globes charnus avec une fente profonde dans laquelle quelques poils folâtraient autour du petit trou plissé. Je me surpris à envier Antonio mais j’étais bien loti aussi avec ma copine Anne-Sophie.
J’inversai les rôles. Je fis mettre Julia sur le dos et je me mis tête-bêche au dessus d’elle pour lui manger la chatte. De son côté, au début, elle avait avalé ma bite jusqu’au fond de la gorge et maintenant elle se contentait de chatouiller le gland avec sa langue.
Je voulais la baiser réellement aussi, je la fis basculer pour qu’elle vienne s’empaler sur ma bite dressée dans la position du cheval renversé mais avant, elle couvrit mon sexe d’un préservatif. Lorsqu’il fut dans sa chatte, je relevai les jambes pour que Julia se mette en appui sur elles. Ainsi elle avait plus facile pour faire les mouvements de haut en bas, telle une cavalière sur sa monture lancée au trot ou au galop.
Chaque fois que ma bite arrivait au fond de sa chatte, elle s’inclinait légèrement pour m’offrir la vision de son anus plissé. Soudain nous entendîmes Antonio et Juanita bramer leur plaisir haut et fort. Cela nous fit partir à notre tour et je lâchai au fond de la capote quelques belles giclées de sperme.
En se dégageant de mon étreinte, Julia s’est tournée vers Juanita et l’a embrassée amoureusement. Cette dernière n’a pas protesté, bien au contraire, elle a entraîné Julia vers le sexe d’Antonio et elles en ont fait la toilette à deux. De les voir ainsi, cela nous a fait bander à nouveau et nous avons retrouvé nos partenaires respectives pour les baiser à nouveau. J’ai opté pour la levrette, position que j’affectionne particulièrement car elle permet de changer facilement d’orifice en cours de route. Mais là, je me suis contenté de prendre à nouveau la chatte de Julia. Antonio avait opté pour le bateau ivre. Il maintenait les jambes de Juanita de chaque côté de son buste et il la besognait avec ardeur. Et la jouissance finale nous a emportés une fois encore.
Julia nous a offert une boisson désaltérante. Nous en avions besoin après cette dépense d’énergie. J’ai appelé un taxi puis nous avons quitté notre belle effeuilleuse. En me quittant, Antonio et Juanita me dirent :
« Serge, tu nous as fait découvrir les nuits de Paris. Merci ! C’était très chaud comme nous l’imaginions. »
Après avoir déposé mes amis à leur hôtel, le taxi ma ramené chez moi. Quand ma copine Anne-Sophie va rentrer de son voyage d’affaires au Mexique, j’aurai des choses à lui raconter. C’est l’accord que nous avons passé quand il nous arrive de telles aventures.
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A suivre demain !
On ne fait pas toujours comme on veut... ;-)
Dommage, je croyais qu'il s'agissait de tes souvenirs coquins... mais ca n'elève rien à l'excitation procurée !