Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
3. Soirée de clôture du salon.
Comme c’est d’usage dans certains sports, il y a souvent une troisième mi-temps. C’est aussi l’usage lors des soirées de clôture des salons professionnels qui sont parfois l’occasion de fêtes quelque peu débridées.
Cette année, j’étais chargé avec un collègue de la société agro-alimentaire pour laquelle je travaille d’assurer l’après-midi sur le stand jusqu’à la fermeture des portes. Les collègues du matin se chargeraient du démontage du stand le lendemain avec des manutentionnaires.
Les dernières heures avaient été plutôt calmes et, avec Bruno, nous avions bavardé une bonne partie de l’après midi avec deux hôtesses qui tenaient le stand voisin du notre avec un commercial d’une grande entreprise bien connue. En fait elles n’étaient pas du tout dans la profession. Pardonnez moi l’expression, elles avaient été embauchées spécialement pour la durée du salon pour distribuer des échantillons et dépliants publicitaires, c'est-à-dire jouer les « potiches ».
Agées d’environ vingt-cinq ans, assez grandes l’une et l’autre, leur silhouette élancée était mise en valeur par leur tailleur strict mais élégant, des chaussures à talons et des bas à couture, ce qui est rare à notre époque. C’est certainement leur tenue de travail habituelle car une broche dorée et discrète au revers du col indiquait le nom de leur agence. Les cheveux longs étaient artistement arrangés en chignon assez lâche. L’une était brune, très typée méditerranéenne voire même maghrébine, l’autre avait des cheveux auburn avec un visage constellé d’éphélides.
En plaisantant, nous avions lancé quelques allusions orientées « SEXE » auxquelles elles avaient répondu facilement sur le même ton badin. Peut-être avions nous une chance à tenter ? Lorsque nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur le parking des exposants pour reprendre nos voitures respectives, nous les avons invitées à prendre un pot « en toute amitié » dans un des bars-brasseries de l’aéroport de Roissy tout proche. Elles ont accepté sans problème. Personnellement, j’avais tout mon temps, ma copine Anne-Sophie était en voyage pour son travail et Bruno était célibataire.
Nous avions trouvé une table dans un coin discret de la brasserie où nous avons poursuivi notre flirt avec ces deux coquines qui se laissaient draguer aussi facilement. J’avais jeté mon dévolu sur Chaïma la brune et Ludovic était avec la rousse. Assis sur la banquette, ma cuisse gauche pesait sur celle de ma voisine qui se collait à moi. Je sentais la douce pression d’un sein bien ferme contre mon bras ce qui m’a incité à passer mon bras gauche derrière sa tête en laissant négligemment ma main descendre dans l’encolure de sa veste pour empaumer un sein. Elle ne se refusa pas. En face de nous, Bruno et Inès étaient un peu plus avancés. Ils s’embrassaient à bouche que veux-tu et il avait ouvert la veste pour aller caresser un sein par-dessus le corsage.
Le lieu n’était guère propice aussi, avec la complicité du réceptionniste de l’hôtel Campanile, nous avons pu louer une grande chambre avec deux lits où nous avons emmené nos conquêtes. Tous les quatre nous étions bien chauds, non que nous ayons bu un peu trop, mais les préliminaires avec ces deux belles filles nous avaient bien conditionnés pour la suite. Lorsque nous sommes arrivés dans la chambre, ces deux coquines nous ont dit avec un bel ensemble :
« Laissez nous ! Nous allons vous faire le spectacle ! Après vous pourrez nous baiser ! »
Elles se sont enlacées pour s’embrasser à bouche que veux-tu tout en se caressant par-dessus leurs vêtements. Ensuite, elles se sont déshabillées mutuellement, ne conservant que leur soutien gorge et un string pour Inès et un tanga pour Chaïma. Dans cette tenue très sexy, elles ont continué à se caresser, frôlant doucement un sein ou dessinant la courbe d’une hanche, puis, toujours avec un bel ensemble comme dans un ballet bien réglé, elles se sont débarrassées de ces dernières pièces de lingerie. Toutes les deux avaient le pubis nu.
Inès a fait basculer Chaïma sur un des lits et, à genoux sur le tapis, elle a commencé un cunnilingus très appuyé avec une main à moitié enfouie dans le sexe de la brune. Nous avions la vue sur ces deux beaux corps dans une pose oh combien érotique. Le contraste des deux malgré la lumière réduite, était flagrant.
La peau d’une blancheur laiteuse constellée d’éphélides d’Inès contrastait effectivement avec le teint mat de la belle beurette. Nous avions la vue sur le cul fendu, les hanches un peu larges sous la taille fine et au bas du dos, deux belles fossettes. Ses cheveux masquaient un peu le ventre de Chaïma mais on distinguait un joli tatouage représentant un bouton de rose dont les pétales se perdaient dans le creux du nombril.
Sur le torse pointaient deux seins ronds et fermes avec un téton très légèrement sorti. Au dessus du sein gauche il y avait un grain de beauté. D’un geste de la main, elle avait ramené sur son visage l’imposante masse de cheveux de son chignon défait. Inès savait y faire car le plaisir de Chaïma est arrivé très vite. Quelques minutes plus tard, elles se sont relevées et dirigées vers nous.
J’ai enlacé Chaïma qui tout de suite s’est collée à moi de tout son corps. Elle a noué ses bras derrière ma nuque, pressé ses seins contre ma poitrine et son bassin contre le mien a entrepris cette dans lascive qui faisait tournoyer ses hanches et achevé de faire dresser ma bite dans mon boxer pendant que sa langue fouillait ma bouche.
Puis elle a dégrafé mon pantalon qui a glissé jusqu’à mes chevilles. Elle s’est agenouillée devant moi et elle est allée chercher mon sexe pour l’engloutir jusqu’au fond de sa gorge. Tout en faisant les mouvements de va-et-vient avec sa tête, elle se massait la vulve de la main droite. Le buste nu avec ses jolis petits seins bien ronds et fermes collés contre mes jambes, elle a continué sa fellation. Je me suis déshabillé, faisant voler mes vêtements dans un angle de la chambre alors qu’elle n’avait conservé que ses bas. Waaouuh ! Quelle belle fille et quel talent de suceuse ! Nous avons basculé sur le lit, bras et jambes emmêlés, roulant l’un sur l’autre en nous embrassant.
Bruno et Inès étaient nus eux aussi. Il lui faisait un cunnilingus en même temps qu’il lui pelotait les seins, les bras allongés devant lui. J’avais le sexe bandé à mort. J’ai bloqué Chaïma sur le dos, doucement j’ai ouvert la fourche de ses cuisses et je me suis amusé à titiller l’entrée de sa chatte avec le bout de ma queue. Elle était prête à m’accueillir, mais avant, j’ai rapidement enfilé un préservatif. D’une lente poussée continue, j’ai pénétré sa grotte d’amour.
Qu’elle était chaude et humide, préparée par sa complice. Chaïma a relevé ses jambes en les repliant au niveau des genoux. Elle se livrait totalement. Je prenais mon temps pour bien la baiser. Une belle fille comme elle, on ne la saute pas à la va vite. Chaque fois que j’arrivais au fond de son vagin elle poussait un petit cri ou un soupir. Je sentais son plaisir et le mien monter doucement. Quand je l’ai sentie sur le point de jouir, j’ai accéléré mes mouvements et au moment où elle venait, j’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond du préservatif. Je ne sais pas comment Bruno baisait Inès, toujours est-il que celle-ci avait la jouissance plutôt bruyante. Quand elle a joui, elle l’a bramé haut et fort.
Après un bref temps de repos, Inès s’est écriée :
« Allez ! On change ! »
Elle a quitté le lit sur lequel Bruno l’avait baisée pour venir remplacer Chaïma. Au passage, elles se sont bécotées rapidement. L’une comme l’autre, elles ont entrepris de faire renaître notre bandaison. Quand ma bite a été au gout d’Inès, elle s’est mise en levrette, les bras en appui sur la tête de lit en disant :
« Ton copain m’a pris la chatte, à toi mon cul ! »
J’avais devant moi ses fesses bien fendues et au fond de sa raie, l’œillet plissé qui semblait m’appeler. Joli spectacle ! Je me suis couvert à nouveau (j’ai toujours plusieurs préservatifs avec moi) et après avoir fait quelques mouvements rapides dans sa chatte, j’ai placé le bout de ma bite sur son œillet. Pendant que je poussais, elle en faisait autant si bien que mon bas ventre est rapidement arrivé au contact de ses globes fessiers. Elle était étroite mais son sphincter était bien souple. Ce devait être une adepte de la sodomie.
Chaïma avait enfourché Bruno en lui tournant le dos dans la position de l’amazone. Elle montait et descendait sur sa bite dressée, les mains reposant sur ses genoux. Quand elle montait, je voyais Bruno titiller l’anneau plissé du cul de la belle pour finalement y introduire deux doigts. Excitée par cette caresse Chaïma s’est dégagée et d’elle-même, elle est venue empaler son cul sur la bite toujours dressée. Une fois bien positionnée sur la queue, elle s’est déchainée, se sodomisant elle-même comme une furie et jouissant deux fois avant que Bruno ne se lâche.
Je sodomisais Inès plus calmement, faisant de lents et profonds mouvements de va-et-vient jusqu’au contact de ses fesses qui se moulaient bien dans les creux de mes hanches. Au moment où elle jouissait, je lui donnai un violent coup de reins et je lâchai trois ou quatre belles giclées de sperme dans le préservatif.
Les deux coquines ont à nouveau changé de partenaire pour venir toiletter nos bites. La journée de travail et notre partie de jambes en l’air ont eu raison de nous. Nous nous sommes endormis tous les quatre, Chaïma dans mes bras et Inès dans ceux de Bruno.
Le lendemain vers neuf heures nous avons commandé un solide petit déjeuner au service d’étage, puis nous avons repris nos voitures au parking de l’hôtel. Chacun rentrant chez lui.
Notre troisième mi-temps avait été géniale !
J’aurais des choses à raconter à Anne-Sophie à son retour.
FIN !
Je suis entièrement d'accord avec toi !
Ayant été commerciale il ya quelques années en France, c'etait comme ça, et les hotels de province étaient de vrais baisodromes pendant la semaine !
J'espère que lal suite t'a plue ! bisous à toi
En effet, j'y ai passé de belles années très excitantes et très jouissives;. D'autant que nous etions toujours peu de femmes, donc nous avions un choix infini !!!!