Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Depuis quelques années, j’avais remarqué que dans la grande ville voisine, il y avait de plus en plus d’étudiants asiatiques des deux sexes. Lorsque je suis entré à l’université et que, grâce à mon statut de boursier, j’ai bénéficié d’une chambre à la Cité U, j’en ai eu la confirmation. Dans toutes les classes, il y en avait : Chinois, Coréens, Japonais, Indochinois…

 

Si dans la journée, ces étudiants et étudiantes s’efforcent de parler en français ou en anglais, le soir dans les couloirs, on se serait cru en Extrême-Orient, d’autant que parfois des odeurs de cuisine exotique se répandent elles aussi dans les couloirs.

 

Il y a quelques semaines, je faisais mon footing autour du plan d’eau qui est situé près du campus. Je profitais de ces belles soirées d’un été indien particulièrement clément cette année pour essayer de garder la forme avant les mois d’hiver. Là, j’ai croisé deux asiatiques que j’avais déjà vues sur le campus et dans les amphis. Nous n’avions pas sympathisé particulièrement, nous contentant de nous saluer brièvement.

 

Ce soir là, je me suis arrêté à leur hauteur et nous avons bavardé un peu avant de reprendre tous les trois la direction de la cité U. Ce sont deux étudiantes japonaises qui après avoir suivi un cursus d’histoire dans leur pays sont venues en France pour étudier l’histoire de la Seconde Guerre mondiale vue de l’Europe. Elles se prénomment respectivement Chika (sagesse) et Akiko (enfant de l’automne).

 

Elles sont assez semblables avec leurs longs cheveux noirs et leurs yeux marron foncé, un petit nez légèrement épaté au dessus d’une bouche bien dessinée dans un visage aux pommettes un peu marquées complète leur portrait. Elles ne sont pas très grandes, entre un mètre soixante, et un mètre soixante-cinq,  mais elles ont une silhouette longiligne que je me plais à deviner sous leurs vêtements épais.

 

Nous habitons deux bâtiments de la Cité U qui sont proches l’un de l’autre et lorsque nous nous quittons, je leur dit que si elles veulent bavarder en français, je peux les aider. Je peux aussi les aider en les transportant avec ma voiture sur les différents lieux de mémoire qui peuvent les intéresser pour leurs études.

 

Ma nuit est peuplée de rêves érotiques où je vois mes deux japonaises se partager mes faveurs, suçant à tour de rôle mon sexe turgescent. Depuis plusieurs années, je fantasmais sur ces jolies fleurs exotiques depuis que j’avais vu un film X avec une actrice franco-vietnamienne. J’imaginais leur douceur et leur savoir-faire érotique… et çà me faisait rêver.

Dimanche dernier, alors que je revenais d’être allé passer le weekend chez mes parents, j’ai rencontré Akiko dans le hall de mon immeuble. 

« Je te cherchais !

- Qu’y a-t-il ?

- Nous n’avons pas de cours jeudi, peux tu nous emmener comme tu l’as proposé ?

- Bien sur mais il faut que je vérifie mon emploi du temps. »

 

Nous sommes montés jusqu’à ma chambre. Effectivement, j’étais libre aussi le jeudi. Je n’avais que deux heures de cours de 8 à 10 heures.

« OK ! Rendez-vous au parking à 10 heures 30 !

- Ça marche ! »

 

Cette jolie fleur s’exprimait avec un accent chantant légèrement nasillard que je trouvais tout à fait charmant, et je commençais à entrevoir autre chose qu’une simple relation de camaraderie. Quelle n’a pas été ma surprise lorsqu’Akiko s’est allongée sur mon lit en relevant ses bras au dessus de la tête… Dans ce mouvement, elle a bombé le torse, et j’ai vu immédiatement que cette coquine ne portait pas de soutif. Les pointes de ses seins saillaient sous le tissu fin de son sweet-shirt.

 

En même temps, sa jupe, très courte, est également remontée sur ses jambes dévoilant à peine son petit abricot tout rose dans la fourche de ses cuisses.

C’était une invitation sans équivoque… Je ne suis assis près d’elle sur le lit et je l’ai enlacée.

 

Nos bouches se sont jointes en un baiser ardent alors que ma main droite partait explorer les dessous de sa jupe. Son petit abricot aux lèvres très charnues était tout lisse mais au dessus de clitoris, il y avait une touffe de poils noirs qu’au toucher je devinai non disciplinée…

 

Akiko était pressée contre moi qui la serrais doucement dans mes bras. Je sentais ses seins menus mais durs et pointus contre mon torse. En la maintenant contre moi avec un bras passé autour de la taille, j’ai glissé mon autre bras sous son sweet-shirt pour aller cueillir ses tétons et les faire rouler entre mes doigts.

 

Je ne sais pas ce qu’elle a dit en japonais quand je lui ai prodigué cette caresse mais elle semblait apprécier. Nos baisers étaient de plus en plus chauds et mon sexe était dressé depuis bien longtemps dans mon slip. Akiko s’est défaite de mon étreinte et elle est venue me chevaucher pour être face à moi qui étais assis sur le bord du lit. Elle a mis ses cuisses de part et d’autre de mes hanches pour se frotter contre moi et sentir ma bite qui n’en pouvait plus…

 

Nous n’avions encore quitté aucun de nos vêtements. Akiko portait encore sa jupe plissée (quarante centimètres de haut au maximum), son léger sweet-shirt et des bottes à talon arrivant sous les genoux. De mon côté, j’vais encore mon tee-shirt, mon pantalon de jogging et mon slip. Nous avons ôté mutuellement nos hauts. Je découvrais la merveilleuse poitrine d’Akiko, menue avec des seins bien ronds et des tétons proéminents. Etaient-ils sortis ainsi par ce que je les avais caressés quelques instants auparavant ?

 

Je me suis mis à mon aise. En quelques secondes j’étais entièrement nu. Dans le même temps Akiko s’était débarrassée de ses bottes et allongée sur le lit. La jupe troussée autour de la taille, elle me tendait les bras.

« Viens ! Depuis que je suis en France je n’ai plus fait l’amour ! J’ai envie de toi ! »

 

Comment résister à cette invitation ? Depuis bien longtemps j’ai toujours dans mes affaires une provision de préservatifs. On ne sait jamais sur quelle bonne fortune on va tomber et cela sert parfois pour dépanner des copains…

 

Je me couvre rapidement et d’une seule poussée lente et progressive, je m’introduis dans le fourreau humide de ma jolie japonaise. Heureusement que je vais doucement : Oulla ! Qu’elle est étroite ! Je n’ai pourtant pas un sexe surdimensionné mais là, je suis serré comme si je baisais une pucelle.

 

Lorsqu’Akiko est habituée à ma présence au fond de sa chatte, je commence les va-et-vient, tout doucement puis au fur et à mesure que je sens sa jouissance monter, je vais de plus en plus vite dans un mouvement ample en veillant à ne pas sortir de son conin. Là encore elle prononce des mots sans suite dans sa langue ou en anglais où elle exprime son plaisir. Soudain elle pousse un cri strident au moment où son corps se tétanise de jouissance.

 

Je me suis retenu de jouir car je veux profiter le plus possible de cette fille qui s’est offerte ainsi. Je reste fiché dans sa chatte étroite et chaude et avant de reprendre mes mouvements, je la laisse récupérer un peu en lui disant des mots doux au creux de l’oreille.

Et elle me répond :

« Fais-moi encore l’amour ! Fais-moi jouir comme ça encore une fois ! »

 

Oh bien sur, je vais recommencer ! Je redresse mon buste pour moins peser sur elle et je reprends mes mouvements alternatifs. Mais là, à chaque fois je sors de sa chatte pour mieux y entrer à nouveau. Elle est tellement humide que c’est très facile de faire coulisser ma bite dans sa chatte, même si elle est étroite. Elle ferme les yeux et ramène ces longs cheveux sur son visage. Je ne vois plus que sa bouche aux lèvres si délicatement dessinées, entrouvertes laissant voir ses dents d’une blancheur absolue.

 

Bientôt la jouissance nous emporte en même temps et je lance quelques jets de sperme au fond du préservatif et je reste plusieurs minutes ainsi, savourant mon plaisir. Nous nous désunissons et nous nous glissons dans les draps. L’étroitesse du lit fait qu’Akiko se blottit dans mes bras, nos jambes mêlées, pubis contre pubis et nous nous endormons ainsi jusqu’au petit matin.

 

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Depuis cette nuit mémorable, je revois régulièrement Akiko. Nous nous sentons bien ensemble et presque chaque fois, nous faisons l’amour et passons la nuit ensemble. Elle m’a présenté à plusieurs de ses copines asiatiques :

« Mon amant français qui me fait si bien jouir ! »

 

Elle voudrait faire profiter ses copines de mon sexe ? Et bien, elle se trompe. C’est elle que je préfère… au point que j’ai entrepris d’apprendre sa langue pour aller finir mes études au Japon.

Jeu 27 sep 2012 5 commentaires
Ah!! Le matou libertin!! Quelle prose, quelle belle histoire bandante . Qui n'a pas rêvé des petits seins pointus et des petits abricots serrés des asiatiques . bravo
jean - le 27/09/2012 à 10h53

Le Matou sera surement sensible à tes compliments, mon cher Jean...

Sophie de R.
Oui, cette histoire n'est hélas qu'un fantasme (bien qu'une part de réalité y figure). Depuis bien longtemps j'ai eu le fantasme de faire l'amour à une belle asiatique ou à une noire... Pour ce qui est de la noire, c'est fait !
Le Matou libertin - le 27/09/2012 à 17h41

Qui sait ? il n'est jamais trop tard pour assouvir ses fnatasmes !

Sophie de R.
pour ce qui est de la noire, métis, c'est fait aussi.
reste en priorité une asiatique !!
jean - le 28/09/2012 à 15h32

Comme je l'ai dit à Gerard, il n'est jamais trop tard... Je te souhaite de réaliser cette envie....

Sophie de R.
toujours aussi bien écrit, Le Matou.
comme toi, et comme beaucoup bien entendu, je rêve de faire l'amour à une asiatique qu'elle soit femme ou transexuelle.
Brunobi - le 04/10/2012 à 22h04

Je suis assez surprise de voir qu'il y a des experiences que tu n'as pas encore vécues, mon cher;.  ;() c'est vraiment très rare !

Sophie de R.
je ne suis qu'un homme, ma chérie, avec toutes ses imperfections
brunobi46@yahoo.fr - le 17/10/2012 à 23h06

Comme nous toutes et tous !

Sophie de R.