Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
François et Valérie, la soixantaine, invitent Arnaud et Audrey, leurs jeunes voisins, âgés de vingt-six ans, à faire une promenade en bateau. C'est Domi, le frère ainé de François, propriétaire de l'embarcation qui tient les commandes. Il est dix-huit heures quand ils quittent le port. Les hommes se défient à la pêche, pendant que les femmes font un brin de bronzette avant que la nuit ne tombe.
Arrive l'heure du diner, Arnaud donne des signes de malaises. La mer, il ne supporte apparemment pas. Valérie lui donne un traitement adapté à ce genre de situation, et lui propose d'aller s'allonger dans sa cabine.
« Te dérange pas petite, dit-elle à Audrey, je m'en occupe, j'ai l'habitude. »
Le repas terminé, Domi, ayant prévu de naviguer de nuit, décide d'aller s'allonger une petite heure. Pendant ce temps, Audrey met la main à la pâte, en profite pour débarrasser la table, elle discute avec François, mais coupe court quand la conversation se dirige sur des questions plus embarrassantes du genre :
« Fait-elle l'amour tous les jours... avale-t-elle quand elle taille des pipes... aime-t-elle se faire bouffer la chatte... doigter le clitoris... »
Questions qu'Audrey veut éviter... Elle les trouve assez indécentes, de la part d’un inconnu total !
Vers vingt-trois heures, elle décide d'aller se coucher, et rejoint sa cabine. Elle voit un trait de lumière provenant de celle de Valérie. Sans bruit, elle pousse la porte, et là, elle voit Arnaud, allongé sur la couchette, entièrement nu.
Audrey pensait que Valérie était en train de soigner le mal de mer de son époux, mais pas de ranimer un point précis de son anatomie. Sa bite, dressée au plafond, est totalement décalottée. Les doigts de la sexagénaire font des mouvements circulaires autour du gland, insistent sur le frein avec le pouce. Elle entend même les râles, certainement de plaisir, de son mari, bien qu'à moitié shooté.
« A ces hommes...tous pareils, vous pouvez pas résister quand une femme vous branle le fifre… »
Sans un mot, elle retourne à sa cabine, et se dit :
« Après tout, pourquoi pas, si ça peut pimenter notre vie sexuelle… Mai il me le paiera, d’une façon ou d’une autre !»
Entre ce qu'elle vient de voir et les propos tenus par François, une douce chaleur envahit son ventre. Soudain, les machines se mettent en route, le bateau s'ébranle. Elle enfile une courte nuisette, sans rien dessous, et monte sur le pont. Dans la cabine, faiblement éclairée, Domi est à la commande. Il est simplement vêtu d'un short.
« Alors, dit-elle, bien reposé ?
- Ca va, ça va, répond-il, et vous pas encore couchée.
- Il fait beaucoup trop chaud, et puis j'ai pas sommeil. Dites moi, ça doit pas être facile de piloter un truc pareil.
- Rien de bien compliqué, répond Domi. Surtout aujourd'hui, on a une mer d'huile. Vous voulez essayer ?
- Vous croyez que je pourrai ? Vous savez, je n’ai jamais fait ça. »
Sans qu'Audrey s'en aperçoive, Domi met le pilotage automatique. L'embarcation navigue seule au fil de l'eau. Doucement, il pose ses mains sur celles d'Audrey, et fait semblant de la diriger.
« Voilà, dit-il, tenez bien les commandes. »
Calmement, il se recule, quitte son short, et revient se coller à elle, la prend par les hanches. Audrey prend ça pour un acte amical, pour la rassurer. Elle ne s’est pas aperçue qu’il est nu….
« Si j'ai bien compris, dit-elle, c'est le volant qui actionne le gouvernail, à moins qu'il y en ait pas. »
Entre temps, Domi s'est rapproché, au point que sa bite en érection frôle la nuisette
« Mais bien sur qu'il y a un gouvernail... donnez votre main. »
Elle la lui tend dans son dos, et lui y glisse sa bite bien raide. Audrey sursaute en sentant le calibre en érection dans sa main, mes ne se débat pas trop quand Domi fait passer la nuisette par dessus sa tête.
« Après tout, avec ce que mon mari est en train de faire en bas avec la vieille, j’aurais tort de me gêner, » pense-t-elle en un éclair.
Les mains du navigateur caressent le corps entièrement nue de la jeune femme, le ventre, les seins.
« Que faites-vous, bégaie-t-elle, déconnez pas, il y a à peine trois mois que je suis mariée… Et puis rendez-vous compte... s'il y a des rochers.... vous êtes fou... si on nous voit... »
Audrey est prise d’agréables frissons.
« Vous êtes tellement belle, murmure Domi, et puis, tout le monde dort à cette heure-ci. »
Audrey capitule. Elle tend sa croupe vers la queue qui glisse entre ses cuisses légèrement écartées. Audrey envoie une main entre ses jambes pour saisir l'objet du désir. Elle est en contact direct avec le gland décalotté, puis va plus loin.
« Oh mon dieu...quelle bite...salaud...et cette paire de couilles… Allez-y... prenez moi comme une chienne... en levrette... »
Audrey se recule sur la pointe des pieds, en écartant ses jambes, cambre sa croupe, et invite Domi à la pénétrer sans attendre. Elle sent les couilles pleines cogner contre ses fesses.
« Ah... c'est bon de prendre un bon coup de manche... tu me le mettras dans le cul après... salaud... aaaaah... »
Elle glisse une main entre ses cuisses, teste la dureté des bourses, puis excite son clitoris sorti de sa peau protectrice.
« Tu te caresses le bouton salope, râle Domi, tu vas voir quand je vais te le bouffer... »
Une légère houle se lève, ce qui a pour effet de faire onduler leur corps. Audrey remercie le ciel pour cet évènement météorologique.
« Enfoiré, gémit-elle, tu ne m’avais pas dit qu'il y avait des anguilles dans le coin...
- Pourquoi... tu sens la mienne frétiller dans ta chatte, tu aimes, hein ? Petite pute... tu sais qu'elle aime se faufiler dans tous les trous...
- Tu me feras voir salaud... oh oui... je... jouis... oui... »
Elle hurle tant qu’elle peut, personne n’entend rien, vu la force du vent et le bruit des vagues. Elle crie comme jamais avant dans sa vie sexuelle. Son plaisir est intense et multiple…
La mer devient de plus en plus mauvaise, le temps tourne à l'orage. Un coup de vent expédie la nuisette d'Audrey à l'eau. Domi jette l'ancre ; et lui ordonne de rentrer dans la cabine principale que les marins appellent « le carré ». Il en ferme les portes.
« Il vaut mieux arrêter, dit-il, c'est plus prudent. Prends des couvertures dans le placard, et ouvre la couchette. Je vais rester là cette nuit, toi, descend à ta cabine. »
Dominique s’assure que tout est bien étanche, et finit par se retourner. Il constate qu’Audrey s’est allongée sur la banquette du carré, sous la couverture. Juste sa tête en dépasse.
« Mais...que fais-tu ?
- J’attends l'anguille... jubile Audrey. Allez, viens t'amarrer... regarde-toi, ta queue est toute molle... approche que je te la remette à niveau...A moins que tu aies tout juté... »
Piqué au vif, Domi s'approche de la couchette, soulève la couverture. Il plonge sa tête entre les cuisses ouvertes d'Audrey, pendant que celle-ci lui avale la bite.
« Ah ouiiii... J’ai tout juté, tiens salope... pompe-moi le dard... fais voir si tu es capable de me vider les couilles... viens te faire huiler petite garce... »
Audrey a devant elle, les glaouis énormes de Domi, ainsi qu'une vue imprenable sur le petit trou, avec une envie folle de lui introduire un doigt. Elle s'accroche aux fesses musclées du navigateur. Elle est prête de l'étouffement, quand elle sent les premières giclées de sperme. Domi s'en rend compte et soulève son bassin, ce qui permet à Audrey de garder le gland en bouche et de le nettoyer du bout des lèvres. Dans le même temps, Domi lèche la chatte noyée de mouille et de cyprine, suite au terrible orgasme d'Audrey.
« Oh mon dieu, soupire-t-elle, quelle réserve, il t'en reste encore, tu sais que j'ai un trou qui n'a pas été lubrifié, j'espère qu'il te reste de l'huile…. »
La sodomie dure un bon quart d'heure. Audrey passe sa main entre ses cuisses, saisit les testicules pleins de foutre, et les presse avec passion.
« Tu m'encules salaud... Tu n’as pas honte… Faire ça à une jeune mariée... sans expérience... je vais dire quoi à mon mari s'il me demande qui m'a appris ça ? Qu'un jour, je me suis faite enculer dans le carré d'un bateau... enfoiré...tu te vides les couilles... vas-y, gratte moi le clito... Oh le con... oui.... oui... »
Elle oublie toute notion de temps, de lieu, et crie de plus en plus fort. D’une main, elle continue de malaxer les couilles remplies, et de l’autre, elle martyrise son clito hyper bandé. Ses orgasmes se succèdent, sans qu’elle sache quand un commence et quand il finit. Jamais elle n’a joui autant… Elle subit les coups de reins violents de son amant du soir, l’encourageant à grands cris.
Toute à son plaisir, elle n’a pas vu la porte du carré s’ouvrir, ni la tête de son mari qui la regarde, effaré. Sans un mot, il finit par refermer la porte, se disant qu’il n’a que ce qu’il mérite... vu comment il a baisé un peu plus tôt avec la femme de Domi…
Mais Domi, lui, a vu le visage décomposé d’Arnaud. Il jubile intérieurement :
« Mhum et un cocu de plus... Et une chienne de plus à mon tableau de chasse… Quelles garces, ces femmes mariées… »
Ragaillardi par ces pensées, il besogne encore plus fort Audrey, et se vide en elle dans un grand ahanement de bucheron. Audrey, elle jouit une dernière fois, en hurlant son plaisir dans le carré qui résonne, malgré la tempête.
Il jouit violement au fond des entrailles de la jeune femme, qui hurle une dernière fois son plaisir inédit… ils retombent tous les deux, comme deux pantins désarticulés et exténués.
L'accouplement est fini. Les deux amants reprennent leurs esprits dans un langoureux baiser, puis, Audrey, sans nuisette, rejoint sa cabine en essayant de passer inaperçue. Elle pénètre dans l’trois espace, et se rend compte, là, qu’elle empeste le sperme et la cyprine...
« Pourvu qu’Arnaud ne sente rien... je vais m’emmitoufler dans le sac de couchage, » pense-t-elle dans un éclair de lucidité.
Mais son mari ne dort pas, il l’a vue rentrer et s’allonger. Il est à la fois dégouté et excité par l’odeur écœurant de sexe qui est entrée avec sa femme. Presque machinalement, il sait sa queue, et commence à se branler, repassant dans sa tête les images de sa femme sodomisée à fond par ce vieux cochon. Il est de plus en plus excité, et ne peut s’empêcher d’avoir de « mauvaise » pensées… Il se lève tant bien que mal, car le bateau bouge beaucoup, avec la tempête. Il s’approche de sa femme, et frappe avec son engin bien dur le visage qui semble endormi…
N’y tenant plus, il force quasiment la bouche de son épouse. Elle ouvre de grands yeux étonnés, mais n’ose pas protester… Docilement, elle ouvre les lèvres, et gobe la bite dressée de son mari. San ménagement, il la baise comme il aurait fait avec sa chatte. Audrey tente de suivre le mouvement, tant bien que mal… Dans un gros soupir, Arnaud lâche sa semence au fond de le gorge de sa jeune femme. Elle avale tout, sans un mot, une larme coule juste de son œil droit…
Toujours ans rien dire, il va se coucher, et lui tourne le dos… le sommeil les prend tous les deux, dans une ambiance lourde et pesante…
Le bateau arrive à quai le lendemain matin. Arnaud a encore le visage décomposé… Audrey ne sait pas si c’est à cause de la tempête, ou à cause de la honte d’avoir trompé sa femme... Ou de l’avoir forcée à son retour dan la couchette… elle ignore encore qu’il a tout vu…
« J'ai prévu une sortie le week-end prochain, ça vous dit ? annonce Domi
- Non merci, très peu pour moi, répond Arnaud.
- Oh mon chéri, intervient Audrey, est-ce que moi je pourrai y aller, s'il te plait ?
- Pas de problème ma chérie, j'ai confiance en nos amis, » repond-t-il, el regard noir de sous-entendus.
Audrey embrasse tout le monde, s'attarde au cou de Domi, et lui murmure à l'oreille.
« Pense à faire le plein d'huile. »
Mhummm.. j'aurais bien voulu en voir la preuve !....
En effet, l'âge n'est que dans la tete ! j'ai un couple d'amis, lui a 60 ans, elle, 57 et je sais qu'ils font encore l'amour preque tous les jours, et qu'ils organisent regulièrement des soirées à plusieurs couples...
L'amour, plus on le fait, plus on en a envie, et plus on le fait... il faut juste enclencher le cercle vertueux !
Oh.. pas forcément une jeunette... ;-)
Le tout est de ne jamais capituler !
Mais si, pourquoi pas.. ou sans le caleçon d'ailleurs... ;-)
Les voyages et les croisières sont toujours propices à des aventures formidables.
@Jean
je suis d'accord avec Sophie. Il n'est pas indispensable que ce soit une jeunette (ou un jeunot) qui passe à portée de.....mains.
Foi de sexagénaire
Quand on est motivé, l'age ne fait rien à l'affaire ! j'ai connu des jeunes de 20 ans totalement amorphes, et des "vieux" de plus 65 ans qui étaient des amants hors pair !
Quand allons-nous retrouver ce couple d'auteurs sur l'Atlantique.
En effe,t l'air marin est un puissant stimulant...
Oui, bien sur.. A publier.. ou pas !
Bisou XXXXX partout où tu aimes
Je n'en doute pas un seul instant.. j'epsère que tu ssupportes bien ta période pas si facile pour le sexe....
Apex_Predator