Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Il y a quelques années, j'avais l'habitude de me rendre sur la plage naturiste de Pen Bron, près de Mesquer, en Loire-Atlantique. Dans la journée, cette plage est fréquentée aussi bien par les libertins que par les familles. Mais il est vrai qu'à ce moment-là, les coquins se font discrets... Cependant, vers dix-sept heures, quand les familles commencent à rentrer chez elles, on assiste à un étrange ballet...
Il y a de plus en plus de gens à se promener le long de la mer, qui regardent ostensiblement vers la plage, et non vers l'horizon. On voit les femmes, allongées sur le sable, qui prennent des poses bien moins sages que quelques minutes auparavant. Les couples présents s'embrassent aussi de façon plus lascive, de façon plus intense…
Je ne faisais pas exception. Quand je me rendais compte que dans un rayon d'une centaine de mètres, il n'y avait plus d'enfants, je m'allongeai sur le dos, les jambes en crochet, et bien écartées... Ainsi, les hommes qui passaient le long du rivage, avaient une vue imprenable sur mon intimité.
Quand certains semblaient s'intéresser à moi, je commençais à me caresser les seins d'une façon, je dois le dire, très indécente... Je pinçais mes mamelons, je les faisais se dresser afin que nul n'ignore dans quel état d'excitation je me trouvais.
Quand le soleil commençait à vraiment tomber sur la mer, et qu'il n'y avait vraiment plus que des adultes sur la plage, les choses « sérieuses » commençaient... Je vais vous raconter maintenant l'une des expériences qui m'a le plus marquées.
Ce soir de juillet, il devait être près de dix-neuf heures, il ne restait vraiment plus sur la plage que des adultes visiblement prêts à tout.
Depuis un moment déjà, un certain nombre d'hommes, je dirais une petite dizaine, restaient non loin de moi, alors qu'un moment plus tôt, il n'y avait presque personne. Ils regardaient de façon persistante dans ma direction, et je savais très bien à quoi m'en tenir.
Je décidai de commencer ma petite exhibition. Je m'allongeai sur le ventre, m’arrangeant pour faire glisser du sable sur mon ventre afin de soulever mes hanches. Ainsi, tout le monde avait une belle vue sur mes fesses et sur ma chatte. Je glissai ma main sous mon pubis et commençai à me caresser lentement.
Il n'en fallut pas plus pour que les hommes présents s'approchent, comme des ours vers un pot de miel…
Je me cambrais encore plus, de façon à écarter mes fesses et que tous voient bien ce que j'étais en train de faire. Une chaleur intense irradiait mon bas-ventre et l'excitation montait de façon inexorable... J'adore ces moments, où je sens les regards qui se posent sur moi et le désir des hommes présents monter inexorablement.
D'ailleurs, lorsque j'ouvrai yeux, j'en vis trois ou quatre qui avaient déjà la bite bien dressée et qui me regardaient d'un air gourmand.
Parfois, quand j'y repense, je me dis que j'étais un peu inconsciente, d'être seule avec autant d'hommes qui auraient pu faire de moi exactement ce qu'ils voulaient, que je le veuille moi ou non...
Mais comme je l’ai dit parfois dans d'autres récits, à cette époque-là, et il me fallait mes doses de sexe quotidiennes, que je prenne des risques pour ma sécurité ou pas. Ce soir-là, je savais que j'allais être comblée... Les hommes formaient maintenant un cercle autour de moi, une petite dizaine je pense.
Entre leurs jambes, je voyais pas très loin, un couple qui avait commencé une levrette, et que d'autres personnes les mataient en se branlant avec vigueur... Au moins, je n'étais pas toute seule...
Pour en offrir plus à mes voyeurs, je décidai de me retourner sur le dos et m'allongeai, les bras écartés les jambes tout aussi écartées, totalement offerte à leurs yeux vicieux. Un s'enhardit, et me toucha un sein. Immédiatement, un autre en fit autant. Là, je décidai de poser mes limites :
« Eh les mecs, je suis là pour vous, mais je suis aussi là pour moi. Parmi vous, j'ai un ami. Si l'un de vous dérape, il interviendra et vous ne ressortirez pas indemne de cette plage... »
Je bluffai, bien évidemment, mais ce truc avait souvent fonctionné.
Je repris la parole :
« Je vous laisse se faire ce que vous voulez, mais quand je dis stop, c'est stop. Vous pouvez me toucher, me lécher, m'embrasser, me caresser partout, et pour la pénétration, c'est avec capote et quand j'ai dit oui. Vous êtes tous d'accord ? »
Ils semblaient tous un peu surpris de mon petit discours, en mais ils acquiescèrent tous de la tête.
« Alors Messieurs, je suis à vous, je suis votre poupée du soir... »
Ce fut le signal. En quelques secondes, il y avait des mains partout sur moi. Elles me caressaient partout, j'avais l'impression d'un ballet magique qui n’épargnait absolument aucun endroit de mon corps... Bien évidemment, ce sont mes seins et ma chatte qui avait le plus d'attention. Je sentais mes chairs intimes en étirée en tous les sens ouvertes, malaxer, le tout dans un silence impressionnant.
On écarta mes jambes un peu plus en grand. Un homme s'agenouillait entre mes cuisses, et entreprit de me dévorer férocement la vulve. Je n'attendais que ça, et mon excitation monta encore d'un cran. Au-dessus de mon visage, je ne voyais que des que bites, des sexes, des mandrins de toutes tailles, de toutes formes, bien dressés et bien durs.
Cette vision finit par me faire totalement chavirer et j'ai eu mon premier orgasme en criant tout mon plaisir dans le soir couchant...
Certains se reculèrent, un peu surpris par l'intensité de mes cris. Mais j'étais comme ça... J'avais besoin de crier pour que mon orgasme soit total.
Un homme s'agenouillait près de moi, suivit immédiatement d'un second. Visiblement, il voulait que je les suce. Je ne me fis pas prier, attrapant une bite dans chaque main et les suçant alternativement. Je les pompais avec, vigueur, d'autant plus que d'autres hommes continuaient de me dévorer l'entrejambe avec passion.
Me sentir ainsi exhibée, triturée, être aussi « salope » propulsa en moi un nouvel orgasme. Je jouis pour la seconde fois en criant tout aussi fort que la première. Il n'en fallut pas plus pour que les deux mecs que je pompai jouissent sur moi.
D'un ton autoritaire, je leur dis :
« Maintenant vous nettoyez, vous léchez… Je ne veux pas de ça sur moi. »
Un obtempéra, et l'autre s'éloigna en haussant les épaules, mais je vis avec plaisir un autre homme venir lécher la semence qui coulait sur mon sein.
« Enfin, voilà un vrai vicieux comme je les aime... »
Avec la main j'attrapais son bras et je l’amenai vers moi. Je lui dis doucement :
« Tu m'as l'air d'un gros cochon toi... Tu aimerais lécher tous les foutres qui vont couler sur moi ?
- Heu... Oui... Si vous voulez... Vous savez, je suis un peu soumis, et si vous voulez que je sois votre jouet, je serai votre objet sexuel que vous voudrez...
- O.K. tu es embauché. Alors, regarde le gars est en train de mater ton cul, eh bien tu peux aller le sucer pour me faire plaisir.
- Oui maîtresse, j'y vais tout de suite. »
Et effectivement, j'avais remarqué qu'un des hommes présents regardait plus les fesses de celui qui venait me parler en étant à quatre pattes, que les miennes... Je me dis que ce gars-la devait être soit homo, soit bi. Je savais que les homos venaient parfois dans ces regroupements autour des femmes, car ils trouvaient beaucoup d'hommes à disposition.
Il semblerait que je ne m'étais pas trompée, car le mateur se laissa gober la queue sans aucune protestation.
La, mon bonheur était complet, d’autant qu’un autre homme glissa vers moi et me dit :
« Je peux te baiser ? Ta chatte me fait trop envie.
- Oui si tu veux, mais fait en sorte que les autres voient bien ce que tu me fais. Prends mon sac juste derrière moi, il y a des capotes. Fais attention avec le sable, si tu en mets dessus, ça va me faire très mal...
- Oui je vais faire attention c'est promis tu es trop belle pour que je t’abîme… »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il attrapa dans mon sac un la boîte de capotes, en sortit une et en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, il avait enfilé. Il se positionna devant moi, posant mes mollets sur son torse, il me pénétra d'un coup, et son sexe rentra en moi très facilement, tant j'étais déjà trempée par mon excitation, et mes précédents orgasmes…
Deux autres hommes avaient pris la place des précédents et je les pompais allègrement, heureuse de tenir dans ma main de gros engins bien montés. Autour de nous, les autres se branlaient plus ou moins vigoureusement. J'en voyais qui jouissaient, puis s'éloignaient, aussitôt remplacés par d'autres. De loin en loin, j’apercevais des attroupements, et j'imaginais qu'il se passait la même chose un peu partout, soit des femmes seules comme moi, soit des couples en pleine baise sauvage...
La plage était devenue un gigantesque baisodrome à ciel ouvert.
J'étais dans un état second, et je sentis à peine le premier homme jouir en moi. De toute façon, il se retira et fut aussitôt remplacé par un autre qui attendait son tour, la queue couverte de son latex, pour me prendre aussi. L'un après l'autre, les deux hommes que je suçais ont aussi joui sur mes seins. Mon nouveau soumis, qui regardait la scène tout en aspirant vigoureusement le mateur, cracha la bite, et vint se jeter sur le sperme fraîchement émis, comme un chien sur un os.
Il nettoya tout avec application, n'en laissant pas une goutte. Puis il retourna vers le sexe toujours dur du bi qui attendait patiemment.
Moi, je me laissais besogner sans fin avec l’autre mec qui, en plus, caressait mon clitoris bien sorti. Avec bonheur, je vis un homme se pencher vers moi et le lécher en même temps que la pénétration continuait.
En peu de temps, mon baiseur jouit aussi et fut aussitôt remplacé par un troisième.
De voir ce mini gang-bang qui s'organisait décupla mon excitation, si c'est encore possible… La langue agile qui me triturait le clito me fit décoller pour la troisième fois. Je criais encore plus fort tant les visions que j'avais autour de moi m'excitaient à mort.
Des hommes qui se branlaient, un peu plus loin des couples qui baisaient comme des fous, un homme en suçant un autre, moi qui me faisais défoncer allègrement, le tout en plein soleil et sur la plage... Tous mes souhaits étaient réunis, tous mes plaisirs favoris étaient là...
J'avais enfin tout le sexe je voulais... Je savais que ça pouvait durer des heures... Mais je n'attendais que ça.
À un moment, un homme prit la parole :
« Messieurs, il faudrait passer aux choses sérieuses, la dame n'a que deux trous occupés. »
Ce langage cochon contribuait à maintenir mon excitation. Aussitôt, les hommes encore présents approuvèrent bruyamment.
« Ouais, ouais, il faut aussi lui défoncer le cul... »
J'attendis que celui qui me baisait avec force finisse de jouir pour me retourner, et me mettre en levrette. Je sortais de mon sac un tube de lubrifiant et une nouvelle boîte de capote.
Avant que j’aie eu le temps de dire quoique ce soit, un homme s'était allongé entre mes jambes, et me bouffait la moule sans vergogne. Je tressaillis, car je ne m'attendais pas à une telle attaque mais j'appréciais, d'autant qu'un autre avait pris le tube de lubrifiant et commençait déjà à me travailler ma petite rondelle avec un doigt bien lubrifié.
D'autres doigts continuaient d'ouvrir ma chatte. J'adorais cette sensation d'être totalement impudique, ouverte de partout, offerte de partout... Ma fleur était béante des différentes pénétrations et mon cul n'allait pas tarder à l'être aussi …
Je sentais plusieurs doigts bien graissés tenter de rentrer dans mon conduit anal, qui s’ouvrait petit à petit. il ne m'en fallait pas plus pour jouir une nouvelle fois. L’homme qui me léchait émis un grognement de plaisir :
« Mhummm elle coule, la garce, elle mouille comme une chienne... Comme ça coule... J'adore ça ! »
Juste à côté de moi, mon nouveau soumis avait fini de pomper l'homme qui s'était éloigné. Il revint près de moi et me dit à l'oreille :
« Vous savez maîtresse, si vous voulez, je peux aussi me faire enculer devant vous...
- Oui vas-y, je t'autorise, mais j'espère que tu as ton lubrifiant, parce que moi, je n'en n’aurais pas assez.
- Oui maîtresse, j'en ai toujours dans ma sacoche. Au fait, je m'appelle François. »
Je pris à nouveau la parole pour tous ceux qui étaient présents :
« Messieurs, certains de vous n'étaient pas là tout à l'heure... Je vous répète ce que j'ai dit tout à l’heure à vos prédécesseurs. Je suis à votre disposition, mais si je dis non, c'est non. En plus en, si certains d'entre vous le souhaitent, il y a mon soumis à côté de moi qui veux bien se faire enculer... Après tout, un cul est un cul, alors si vous voulez, il est à vous... Ah, et aussi, pas une seule pénétration sans capote. Le premier qui ose tenter ça, il n'en sortira pas indemne »
Il y eut de petits rires, et un homme vint immédiatement près du jeune homme. Je le savais, il y a toujours des amateurs pour ce genre de chose, même si beaucoup d'hommes s'en défendent. Peu osent avouer leur penchant bi, avouer leurs envies de sodomiser sauvagement un autre homme. Après tout, c'est juste un signe de pouvoir absolu d'un être humain sur un autre…
Ce dernier ne s'embarrassa pas de précautions : il encula à quasiment à sec François, qui gémit sous l'assaut brutal. Je suis toujours surprise de voir à quel point les hommes peuvent être brutaux entre eux….
Le jeune homme était en levrette, et un autre larron, sans doute lassé d'attendre son tour avec moi, vint se positionner devant lui, et lui enfourna la queue au fond de la gorge, sans aucun ménagement. Il la lui baisa comme il l’aurait fait avec un con. François avala l’engin en entier, sans protester. Il était doué pour les gorges profondes, on dirait…
Une fois de plus, j'avais juste sous les yeux mon spectacle favori : un homme en train de sucer un autre, et de se faire défoncer allègrement. D'autant que je sentais que la même chose n'allait pas tarder à m'arriver...
En effet, l'homme qui me léchait se retira et un autre va titiller mon anus avec sa bite couverte de latex. Il enfonça d'abord son doigt bien lubrifié, afin de me garnir copieusement pour ne pas que je n'ai mal. Lentement, il entama sa progression dans mon intimité, s’embrochant au plus profond de mon cul. J'accompagnais son mouvement de mes hanches, afin de rythmer la pénétration à ma guise. Les autres l'encourageaient de la voix, et continuaient de se masturber de plus en plus fort.
Voulant rester maître de mes émotions, je refusai de sucer un autre homme. Du coup, il se rabattit vers François. Il se retrouvait avec deux chibres à pomper alternativement. Mais visiblement, il y trouvait un plaisir certain.
La queue était maintenant bien fichée dans mon cul tendu vers le ciel, et il entama des aller et retours qui me firent me dilater au maximum. J’hurlais sous cette caresse profonde et intense. En même temps, des doigts fouillaient ma chatte, pressaient mon clito, j'étais comblée...
Pour la je ne sais combientième fois, je jouis en criant à gorge déployée, d'autant que rien ne m'obstruait les lèvres. Mon enculeur accéléra le rythme, et je sentis la chaleur de sa crème à travers la mince paroi de latex. Il se retira, et je sentis le vent frais rentrer dans mon intérieur. Délicieuse sensation...
Il ne se passa pas une minute sans qu'un autre vienne prendre sa place. Si mes souvenirs sont bons, ils furent cinq à se succéder ainsi dans mes entrailles.
Je jouis à plusieurs reprises, tant cette sensation d'être traitée comme une salope m'excitait au plus haut point. J'avais enfin tout le sexe « hard » dont j'avais besoin ce jour-là...
Mais genoux commençaient à me faire mal, aussi, quand le dernier eut fini, je me retournai sur le dos et demandais grâce quelques minutes. Certains n'étaient pas prêts à me laisser tranquille, mais en toute gentillesse. Avec douceur, ils continuaient de me caresser tout le corps, mangeant mes tétons, enfouissant leurs doigts dans mon vagin distendu. L’un vint se pencher à mon oreille et me murmura :
« Est-ce que tu envies d'un fist ?
- Non pas vraiment mais si tu veux, tu m'écartes la chatte bien à deux mains j'adore ça... »
Il obéit aussitôt, se positionna entre mes jambes, et avec ses deux mains, écarta ma chatte en grand. Je sentais l'air pénétrer mon intérieur et je voyais les hommes qui se penchaient pour me regarder avec attention. Il semblerait que certains n'avaient jamais regardé aussi profondément l'intimité d'une femme... Des exclamations fusaient :
« Mhummm, quelle chatte…
- oh, qu’elle est belle…
- muhummm, ca donne envie…
- putain, la garce, quel cul elle a !
- je veux la baiser encore ! »
Certains m’auscultaient comme l'aurait fait un gynécologue. Et j'aimais ça, et j'aimais tellement ça... Il n'y a rien de plus que j'aime autant que d'être ouverte, écartelée au maximum et que des hommes viennent me regarder de partout....
Soudain, je sentis un objet dur qui rentrait dans ma chatte béante. Je soulevais la tête et je vis un concombre, tenu par une femme que je n'avais pas vue arriver.
« Alors ma belle, on se fait défoncer ? Si tu veux j'en ai d'autres pour toi...
- Si tu veux, mais n'y vas pas trop fort mon vagin n’est pas si grand que ça...
- Tu me laisses te faire ce que je veux ?
- Oui tout, » soufflai-je dans un soupir d’aise…
Comme certains le savent, je ne suis pas particulièrement bi, mais vu l’ambiance si sexuelle de cette soirée, je ne pouvais pas dire non…
Elle se mit à quatre pattes, offrant une croupe très généreuse aux yeux des hommes présents. Certains devaient déjà l'accompagner car elle était à peine dans cette position, qu'un mec vint la prendre assez rudement.
Elle me besognait sans fin avec le cucurbitacée, et se penchait de temps à autre pour aspirer mon clitoris. Les hommes s'étaient un peu écartés et faisaient cercle autour de nous. Ils admiraient le spectacle de cette femme se faisant défoncer allègrement, et qui en même temps, baisait mon intimité avec un gros concombre.
J’ordonnais alors à François de lâcher ses hommes et de venir me sucer les seins. Là encore, j'étais au paradis : caressée, léchée, pénétré de façon magistrale, et tous ces hommes qui se branlaient juste au-dessus de moi...
Ils éjaculaient les uns après les autres, et à chaque fois qu'un jet s'écrasait sur moi François lâchait mes seins pour aller le gober. Cela dura un temps infini… Je jouis plusieurs fois, je suis incapable de dire combien.
Le soleil s'était couché derrière l'horizon, et la nuit commençait à tomber. Nous étions de moins en moins nombreux, et seuls restait la femme, celui dont j'appris plus tard qu'il était son mari, François mon nouveau soumis et moi-même. Pendant encore un long moment, nous nous sommes tous câlinés, embrassés, baisés, enculés, mordillés...
Bref, nous avons fait tout ce que quatre personnes peuvent faire entre elles. La nuit était bien noire quand nous sommes retournés à nos voitures, épuisés mais heureux de cette partouze magistrale...
J'ai souvent renouvelé cette expérience même si elles n'ont pas toujours été aussi « complètes » et intenses que cette fois-là. Je regrette que dans ma région actuelle il n'y ait pas d'endroit où l'on puisse en faire autant... Ce sont des endroits bien plus cachés, où ça arrive vraiment par hasard, et non pas quasiment institutionnalisé...
À très vite, pour vous raconter mes anciennes expériences vécues...
Oh que oui !!! et le terme est très bien choisi.. lol
C'est le but.. au fait, ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu à la maison.. tu sais que la porte est ouverte ! et la piscine aussi.... ;-)
Je te souhaite de vivre cela très bientot !
Ca me fait plaisr, et ca m'excite aussi.. je dois souvent m'interrompre lors de l'ecriture de telles scènes, pour me caresser...
Je ne connais pas cette plage, sinon à l'époque j'aurai pu faire partie de la petite dizaine . J'aurai certainement joui plusieurs fois aussi!!
Quelle femme de sexe tu fais .Tu as l'air de dire qu'en vieillissant ton appétit a diminué ? Quel dommage... Moi je suis plus âgé que toi, mais mon appétit pour le sexe diminue peu. sauf que pour remettre le couvert, il faut que j'attende plus longtemps. bisous libertins
Merci Jean.. en fait, j'etais une hypersexuelle, et le sexe en arrivait à me gacher la vie, car, comme pour tout, "trop, c'est trop"..
et la necessité absolue d'avoir 4 ou 5 relations sexuelles par jour finit par devenir handicapante.
Depuis trois ans environ, mes envies se sont plutot régulées, et j'arrive à les gerer, et à me "contenter" d'une relation sexuelle par jour. Ma vie en est bien plus sereine et épanouie, je t'assure !
Par contre, j'avoue que l'abstinence forcée à cause de mes cotes casées, au printemps et cet été a été un enfer à vivre !
Magnifique recit, encore une fois!!
Que de plaisir a lire vos aventures.
Amicalement
Jose
Merci José, surtout, de prendre le temps devenir le dire ici ! Bisous coquins...
Eh bien mon cher, j'en suis raive !!! j'aime cette idée que les lecteurs s'excitent en lisant mes récits...
Tu nous as beaucoup manqué, mon cher...
J'en suis raive ! merci à toi.
Bises
Merci Jeff.. ce fut en effet une super soirée !