Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Agé de dix-huit ans depuis quelques mois, j’ai une copine Antoinette, un peu plus jeune que moi, petite mignonne aux cheveux longs châtains et aux yeux verts. Nous nous fréquentons depuis déjà quelques mois et j’avais envie d’aller plus loin dans notre relation en couchant avec elle. Malheureusement, à chaque fois que je mettais ce sujet dans nos conversations, elle l’éludait d’une pirouette, ou elle se fâchait et me quittait brusquement.

 

Un jour, il y a trois semaines environ, la sentant un peu plus accessible, je lui demandai pourquoi elle se refusait ainsi. Elle disait à ses copines qu’elle m’aimait beaucoup, que j’étais gentil et prévenant avec elle, bref, elle était bien en harmonie avec moi. Alors pourquoi ce blocage ?

 

Ce jour là, elle se confia tout d’abord timidement puis, voyant que je l’écoutais favorablement. Elle finit par me dire pourquoi elle réagissait ainsi lorsque je lui parlais de faire l’amour. Elle avait été agressée sexuellement par un de ses oncles alors qu’elle n’avait que douze ans. Profitant qu’ils étaient seuls momentanément chez lui, il lui avait caressé le sexe, lui avait ouvert sa robe et avait tété ses jeunes seins naissants.

 

Elle n’avait jamais rien dit à personne, même pas à sa mère. Depuis elle fuyait tout contact même amical avec les garçons de son âge. J’étais le premier avec qui elle se sentait en confiance, mais elle avait encore très peur de l’aspect physique d’une relation. Elle avait été traumatisée et n’arrivait pas à franchir le pas d’une relation sexuelle librement consentie.

 

Elle savait que j’avais déjà eu des aventures avec d’autres copines et des femmes plus âgées. Elle avait envie et peur de ce qu’elle allait ressentir lorsque je lui ferais l’amour. J’évitais à dessein les termes crus et quelques peu vulgaires que l’on peut employer dans de telles circonstances. Nous étions dans mon studio de la cité universitaire, Antoinette était allongée à plat ventre sur mon lit et j’étais assis dans le fauteuil de ma table de travail. Nous avions pratiquement terminé notre première année en faculté et il ne restait plus que deux épreuves partielles à réaliser la semaine suivante.

 

Je cherchai de la musique douce sur mon ordinateur et je vins m’asseoir auprès d’Antoinette. Je la pris tendrement dans mes bras pour l’embrasser en lui disant de se détendre et de m’arrêter si elle ne se sentait plus d’accord pour continuer. Je descendis pour l’embrasser dans le cou, je lui mordillai le lobe de l’oreille au passage. J’avais une main posée au creux de son dos et de l’autre j’ouvrais son chemisier pour atteindre sa poitrine menue.

 

Le chemisier enlevé sans qu’elle proteste, je lui caressai les seins par-dessus le soutien gorge et d’une main je fis sauter l’agrafe. D’elle-même elle fit glisser son vêtement dévoilant ses seins aux aréoles à peine marquées mais dont les tétons pointaient légèrement. Elle avait une très jolie paire de seins et je le lui dis et je demandai :

« Veux tu que je les embrasse ?

- Oh oui ! J’en ai envie ! »

 

Délicatement je posai mes lèvres sur son sein droit pour un baiser un peu appuyé, aspirant doucement le téton. Je la sentis frissonner. J’en fis autant avec l’autre sein. Sa respiration s’accélérait.

 

Je défis la ceinture de son jean et je glissai une main à l’intérieur. Pendant que je massais son pubis par-dessus sa culotte, elle noua ses bras autour de mon cou pour m’embrasser et me disant de continuer. Pour être plus à l’aise, j’ôtai son pantalon et mes vêtements. Je ne conservai que mon boxer et momentanément, je lui laissai sa culotte. Ma bite était bandée à mort. Depuis que nous nous étions rencontrés au « Resto U », j’étais sevré de sexe. Je lui dis ce que j’allais lui faire : lui ôter sa culotte pour découvrir son sexe et le caresser pour la faire mouiller.

 

Elle avait une toison peu fournie et une jolie chatte toute rose. Ma main droite passait et repassait sur son pubis, je descendais parfois plus bas en glissant un doigt ou deux entre ses lèvres qui commençaient à suinter et au passage je faisais rouler son clitoris. En me contorsionnant, je fis glisser mon boxer et je m’en débarrassai d’un geste du pied. Antoinette est alors venue prendre ma bite dans sa main en disant qu’elle n’en n’avait jamais vu en réel.

 

D’un anneau de ses doigts, elle fit quelques va-et-vient. Elle était de plus en plus détendue pour faire d’instinct cette caresse. Rapidement je couvris ma bite d’un préservatif en lui disant qu’après, par jeu, ce serait à elle de le faire. Je me plaçai entre ses cuisses en lui remontant un peu les genoux. Je fis quelques mouvements à l’entrée de sa chatte en lui demandant si elle était prête et qu’elle allait ressentir une petite douleur au moment où ma bite déchirerait son hymen.

« Oui, je suis prête ! Vas-y, fais de moi une femme ! »

 

Lentement je m’introduisis dans sa grotte d’amour toute chaude et suintante de cyprine. Un léger mouvement de recul de son bassin me fit comprendre que j’avais atteint la fine paroi que j’allais rompre. Je restai immobile quelques secondes.

« Qu’attends-tu ? Vas-y, je suis prête ! »

 

J’accentuai la pression sur son hymen et lorsqu’Antoinette poussa un petit cri, je su que je l’avais déflorée. Mon sexe était au fond de sa chatte. Nous restâmes sans bouger quelques minutes pour qu’elle s’habitue à me sentir en elle. Lentement je commençai les mouvements de va-et-vient en évitant de sortir de sa chatte. Au bout de quelques temps Antoinette commença à m’accompagner maladroitement en bougeant son bassin au rythme de mes pénétrations.

 

Je retenais ma jouissance pour tenter d’arriver en même temps qu’elle. Lors de cette première fois, il n’était pas du tout certain qu’elle jouisse. Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. C’est avec un immense bonheur que j’ai déversé dans le préservatif une belle quantité de sperme. Lentement je me suis retiré.

 

Quelques filets de sang ornaient la capote. Je les lui montrai en riant et en disant que cette fois-ci, elle n’était plus pucelle. Nous éclatâmes de rire et elle vint se blottir dans mes bras :

« Merci, tu as été doux, c’était bon ! »

 

Pour me remercier, elle me donna sa bouche. Nous fîmes une rapide toilette intime et nous nous glissâmes dans les draps, étroitement enlacés jusqu’à une heure tardive de la soirée.

 

Une semaine plus tard, c’est Antoinette qui me demanda de lui faire l’amour. Je l’ai prise dans la même position que la première fois et notre jouissance est arrivée en même temps. En m’embrassant amoureusement elle dit alors :

« Que c’est bon ! »

 

Depuis, nous faisons l’amour chaque semaine et je ne suis plus obligé de mettre un préservatif car depuis peu, Antoinette prends la pilule.

Jeu 8 nov 2012 1 commentaire
C'est trop mignon !!
Tib - le 08/11/2012 à 08h46

En effet, cela change du style plus "hot" de certains recits !

Sophie de R.