Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Le Trio
Après une nuit des plus ardentes, notre trio trouva enfin le repos. Au matin, je me levai le premier et contemplai un instant la mère et la fille tendrement enlacées, pressées seins contre seins ; l’on eût dit deux Amants ne pouvant plus se séparer, leurs mèches emmêlées, leurs lèvres très proches attestaient qu’un ultime baiser à la nuit les avait réunies dans leurs partages incestueux.
J’allai acheter des croissants et, quand tout fut prêt, je réveillai avec bien des précautions mes deux belles Sapho ; comme elles
étaient jolies et excitantes, encore toutes ensommeillées, leurs beaux yeux cernés, leurs seins dénudés aux larges aréoles émergeant du drap !
Elles me rejoignirent, provocantes, toutes deux en nuisettes vaporeuses au ras de leurs jolies fesses, derrières insolents, cuisses
fermes…la mère et la fille avaient les mêmes cuisses, hanches et poitrine, ma belle-mère était remarquablement bien conservée pour ses 55 ans…
Elles s’assirent, je leur versai leur café, tendis les croissants et confiture…elles dévorèrent, belles louves aux dents mordeuses ! Je
pris ma douche. Elles me rejoignirent en la salle d’eau et se douchèrent ensemble, non sans avoir auparavant embrassé et caressé tendrement ma peau fraîche les attirant… Je leur dis de ne pas
trop se mignoter sous la douche, selon leur habitude, car il nous fallait prendre la route sans tarder pour parvenir en fin de journée à notre Hôtel dans le Vercors.
Ma femme termina nos sac et valise – ceux de ma belle-maman, étaient déjà prêts – et celle-ci aida sa fille à finir de remplir nos
bagages, débordante de joie à l’idée de ces quelques jours d’évasion et de folie.
Ma belle-mère, assise en voiture à côté de moi avait les jambes haut croisées, mini-jupe relevée… Tout en conduisant, je dis à ma femme
assise à l’arrière :
« Ma Chérie, ta douce et tendre Maman me fait délicieusement bander ! »
Ma femme répondit :
« Mais qu’avez-vous donc tous les deux, vous m’excitez ?! Ne pouvez-vous pas attendre ce soir, mes Chéris ?! »
J’envisageai même un petit arrêt éventuel en un lieu propice pour y faire quelques galipettes calmantes… Mais à part deux ou trois
arrêts « pipi » pour ces Dames et un ou deux cafés, nous roulâmes si bien –conduisant à tour de rôle– qu’à vingt et une heures précises, nous arrivions à notre Hôtel pour nous installer, nous
doucher, nous faire quelques tendresses, changer de tenue et dîner.
J’avais réservé deux chambres communicantes, de manière à pouvoir nous visiter à notre guise, sauf bien entendu pendant les deux jours
et deux nuits que nous passerions sur les hauteurs avec le berger.
Notre dîner achevé, nous remontâmes tous trois à nos chambres, trop impatients de nous retrouver pour partager nos vicieux
penchants…
De fait, quelques minutes plus tard, délicieusement nue, mais nantie d’une superbe paire de bas gris-bleu et d’un merveilleux
porte-jarretelles blanc aux fines dentelles, ma belle-maman nous apparut, plus désirable et coquine que jamais… Elle savait que les bas et porte-jarretelles m’excitaient, elle avait tout prévu
!
Etendu, nu sur notre lit, je commençai doucement à triquer, savourant la raideur progressive de ma queue qui s’élevait, se balançait,
se tendait, mes couilles bien rondes, chaleureuses à l’extrême…
Ma belle-mère s’adressant à sa fille restée dans la salle de bains dit :
« Ma Chérie, il bande le Chéri, viens, mais viens donc ! »
Françoise se montra, finissant d’attacher un bas noir à son porte-jarretelles roue… Les Chéries, elles y avaient pensé toutes les deux
! Deux Amours prêtes à satisfaire mes désirs et me faisaient là la surprise, sachant que cela était à mon goût et avaient prévu dans leurs bagages, chacune une paire de ces ravissantes et
troublantes soies qui, en effet, avaient le pouvoir de me faire ériger un peu plus, lorsque je les caressais et les frôlais perversement… Elles me rejoignirent sur le lit, nous tamisâmes la
lumière – comme nous le faisions à la maison – et commençâmes à savourer nos bien incestueux et secrets ébats…
Ma femme dit :
« Mon Chéri, j’en ai envie par derrière, mets-la moi profonde et ferme ! »
Ma belle-mère s’employait à me bien sucer, gourmande, licheuse, me décalottant avec adresse et talent habituels, me pelotinant gentement les couilles, comme elle en avait l ’habitude, depuis que nous couchions tous les trois ou même tous les deux, elle et moi, en l’absence de sa fille…Mon épouse, pendant ce temps, s’était munie d’un long tube de crème, utilisée généralement avant toute sodomie et s’en enduisait généreusement l’anus, s’introduisant déjà avec délice, un médius déterminé dans le fondement…elle fermait les yeux, geignant doucement…
« Je suis prête, mes Chéris ! » lança-t-elle, « venez bien vite, prenons place, venez vous occuper de moi, j’en meurs… »
Elle se disposa alors à califourchon sur sa mère, le con offert à la langue de celle-ci. Je vins sur ma femme, verge bien ferme,
pointai l’anus déjà dilaté (ce que j’aimais son fion, mes Ami(e)s !!), poussai et pénétrai le culin sans effort, la douce crème faisant son office… Délicieux ! Je glissai, tandis que les longs
doigts carminés de ma belle-mère me grapouillaient gentement les couilles par en dessous, pendant qu’elle se délectait du beau con de sa fifille…
Celle-ci enculée bellement, se démenait du cul, b elle vicieuse aux bas et jarretelles tendus ; je jouis abondamment en son fondement – elle aimait à sentir ma sève chaude l’envahir ! – y déversant ma foutrine à petits jets saccadés ; je restai fiché en elle, tendant par instant ma queue, comme on l’eût fait d’un arc, ma queue que son anus retenait serrée… Délices suprêmes, elle aimait tant cette pratique que je n’aurais pu la lui refuser, d’ailleurs pourquoi l’aurais-je fait, puisque j’y trouvai moi-même un plaisir intense… Belle-maman finissait de lui laper le clitoris, langue et bouche enfouies littéralement dans le con dilaté, pour le butiner entièrement, l’aspirer, le licher, le lutiner voracement en émettant de petites plaintes de satisfaction entre chaque sucée.
Le cul de ma femme dansait à nouveau sous les coups de langue brefs, précis, répétés, experts de sa mère, belle lesbienne à la pointe
de la langue comme un aspic agité recherchant son trou… Le ravissant et rose corail de Françoise était ainsi visité de la plus ardente manière. Les mains chaudes de sa mère me maintenaient par
les hanches pour que je me colle plus étroitement au cul de sa fille que j’avais enfigné. Ce n’était plus que glougloutis, succions, plaintes, grognements de plaisir, nous n’étions plus que ces
trois forcenés débauchés aux vices pleinement satisfaits.
Je me retirai du cul de ma femme, celle-ci quitta sa position à cheval sur le visage de sa Maman, laquelle gloutonnement entreprit
d’engouler aussitôt prestement ma bite et ce à fond de gorge, caressant couilles et anus de son gendre ; une gourmande licheuse déchaînée… Françoise était à présent entre les cuisses ouvertes de
sa mère et satisfaisait à son tour ainsi le vice lesbien de cette dernière qui lui abandonnait toute sa belle et rose conine ; ma femme croquinait le clitoris maternel bien bandé, appliquée
suceuse, mèches dans la figure, rouge, grognant de plaisir, cul en l’air…
Ma belle-mère interrompant un court instant sa fellation sur ma queue murmura :
« En cul, mon gendre, en cul, je la veux en cul maintenant qu’elle est fin prête cette belle branline dont je suis folle !! »
Elle arrêta donc sucée et branle de mon vit et se disposa à quatre pattes ; qu’elle était belle ainsi, reins et hanches cambrés, bas et jarretelles tendus, son petit fossé culin ombreux et profond garni de beaux poils bruns frisés cachant le trou de mes délices !…
Je m’enfouinai en elle… elle attendait, vibrante… Comme je bandais !! Son coup de cul fut magistral, elle m’engloutit de son beau figne
de femme mûre et ardente, adepte sodomistique des plus attentives à se faire bien pénétrer… Elle aimait vraiment cela, la Belle « Fessineuse » (comme je l’appelais en secret !), tant son cul
généreux en plénitude voulait ainsi être pris et repris par un ardent sodomite comme son gendre. Ses fesses étaient moelleuses à souhait, fermes, fossettées, rondes et galbées, son, petit orifice
était accueillant, rose-brun, délicieusement pincé, mais sachant si bien s’ouvrir au moment opportun… J’y menai grand tapage, y enfonçant ma fouteuse de queue avec délectation…
Ma belle-mère jouit bientôt comme une furie, dominée, enfignée, je ne me contenais plus et donnais des coups de vérin de cette queue ô
combien raide, tant cette femme m’excitait ! D’ailleurs, qu’elle soit nue, jarretée, « minijupée », elle avait le don de me faire bander avec sa façon de croiser et décroiser les jambes qu’elle
avait magnifiques, elle était aussi baisante que sa fille ! Quel bonheur j’avais là, ces deux Amantes vicieuses et complices se donnant à moi avec un égal plaisir et une recherche dans les vices
que nous partagions ainsi, depuis déjà quelques années maintenant et ce toujours dans le plus grand secret !
Je finis ma semence. Nous passâmes en la salle de bains ; nous nous baisâmes amoureusement tous les trois en bouche, nous souhaitant la
bonne nuit, étroitement enlacés dans notre lit, ma belle-mère ayant demandé à rester avec nous pour la nuit.
Le lendemain matin, nous partîmes pour les hauteurs où le berger nous attendait avec impatience.
Nous quittâmes l’Hôtel après un copieux petit-déjeuner et prîmes le télésiège pour monter à plus de mille six cents mètres et goûter non seulement à la paix majestueuse des hauts plateaux du
Vercors, mais aussi aux délices qui nous y attendaient, mes deux femmes attendant avec impatience le moment de pratiquer une zoophilie des plus débridées avec les animaux de leur choix : bouc,
âne et chiens du troupeau et ce, en toute clandestinité, entre ciel et monts…
A suivre...
A nous aussi, ils manquaient cruellement !
Plus sera très bientot plublié, ne t'en fais pas !
Merci mon cher ami... Le Marquis sera ravi de vous lire...
Le Marquis sera senseible à ton compliment...
Voici là une famille comme on aimerait en rencontrer.
J'ai grand hâte de lire la suite.
Il faut que je la retrouve, pour la publier très vite....