Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Sylvie, jeune étudiante de dix-huit ans, est à la limite de la délinquance, semant la terreur du lycée. Ses parents n’en sont pas maîtres, ne savent qu’elle attitude adopter avec elle. Un jour, tante Marie, belle femme de quarante ans, assiste à une violente dispute entre eux et la jeune file.
« Dis connasse, intervient brutalement Marie, tu pourrais avoir un peu de respect pour tes parents ! Tu as besoin d’être corrigée… viens passer une semaine chez moi que je te dresse… Ta mère est d’accord, et tu vas enfin apprendre l’obéissance !
- Oui tatie, sniffe Sylvie, qui a toujours craint sa Tante. Ne me gronde pas… je serai sage… obéissante… »
La jeune fille croise le regard sévère de sa tante. Elle prépare sa valise, et les voilà parties, sous le regard désolé de son père, qui est contre cette décision. Marie habite un petit mas sur les hauteurs de la ville, où il y a très peu de monde. Sylvie regagne sa chambre, range ses affaires. Après le diner, glacial, Marie lui ordonne d’aller se coucher. La jeune femme ne peut qu’obéir, mais elle a déjà une idée derrière la tête…
Le lendemain matin, Sylvie rentre dans la salle de bains, la croyant inoccupée. Elle surprend sa tante toute nue devant la glace.
« Que tu es belle tatie, complimente Sylvie, quels superbes seins tu as… Wouah !
-Tu trouves, sourit Marie, flattée. N’essaie pas de m’attendrir, rentre dans le bac que je fasse ta toilette. »
Un peu interloquée, Sylvie se déshabille et monte dans le bac, suivie de sa tante. Celle-ci savonne le dos de sa nièce. Bien décidée à faire craquer sa tante, la jeune fille passe un bras derrière son dos, et d’un doigt, frôle fa fente de Marie. Une fois, puis deux, puis trois.
« Dis polissonne, sursaute Marie, te gêne pas… qu’est-ce-que tu essaie de faire ? Tu me prends pour qui ? »
Sylvie écarte les lèvres intimes déjà gorgées de désir, et enfonce rapidement deux doigts dans la chatte de sa tante. Dans un ultime effort, elle la colle dos aux faïences. Marie se trouve coincée, tandis que les doigts entament des va et vient dans son ventre.
« Ah ! crie-t-elle, sors tes doigts de là… ah, petite salope… »
Sylvie parvient à enquiller son autre main. Deux doigts s’en prennent maintenant au clitoris qu’il décalotte. Les cris redoublent d’intensité. Marie, piégée, commence à s’abandonner aux caresses vicieuses de Sylvie. De toute façon, elle n’a jamais su résister aux choses du sexe. Son appétit féroce en la matière l’ont déjà conduite aux pires extrémités…
« S’il te plait, râle Marie, pas ça… qu’est-ce-que tu fais à mon petit bouton ? Et ma chatte, tu vas me la faire mouiller… arrête, s’il te plait… je dirai à ta mère que tu as été sage…
- Trop tard ma tante, répond Sylvie, c’est moi qui vais te dresser. On va bien s’amuser toutes les deux… Mes parents ne vont pas te reconnaitre quand tu vas me ramener. Allez, écarte tes jambes que je te branle maintenant que tu es pleine de mouille. »
Marie s’écarte au maximum pour que les doigts de sa nièce puissent pénétrer profond dans sa chatte.
« Oh oui ma chérie, gémit Marie. C’est bon ce que tu me fais ! Oui, bien sur mon clito… je jouis… hou… hou…
- Ben voilà, sourit Sylvie, triomphante. Rince-toi, je t’attends dans la chambre. Je vais faire de toi mon esclave sexuelle. »
Marie, tête baissée, rejoint sa nièce dans la chambre pour ce qui va être une nuit d’enfer. Elle la fait rouler sur le lit, gifle les cuisses, tire sur le bout des seins, frotte violemment les lèvres intimes les unes contre les autres. Elle pince et étire le clitoris. Marie hurle de douleur, pleure, supplie Sylvie d’arrêter ses tortures.
« Assez, assez, crie-t-elle. Je t’en supplie… pitié ! Aie, aie, aie… ça fait mal…
-Alors comme ca, u ovulais me dresser ? Eh bien, tu vas voir qui est la vraie maitresse, ici ! »
Sylvie est maitresse de la situation. Marie se soumet à nièce, totalement.
Dès le lendemain, La jeune femme prend une totale possession de sa tante, elle la bride dans tout, et’oblige à vivre selon ses règles à elle… Marie vit totalement nue. A la moindre incartade, c’est une volée de gifles qui s’abat sur ses cuisses, ou les sévices sexuels qui reprennent. Le dressage se poursuit sans faiblir pendant une semaine. La tante est maintenant totalement soumise à a nièce.
Un après midi, on frappe à la porte. Marie est plantée nue, au milieu de la pièce. On voit encore la marque des doigts sur ses fesses. Elle avait osé jouir avant sa maitresse, et Sylvie l’a punie comme il convenait. Cette dernière va ouvrir. Elle se trouve face à un charmant jeune homme d’une vingtaine d’années.
« Bonjour, j’ai un colis pour Madame Marie Dutertre.
- Merci, répond Sylvie, excusez-moi, je n’ai pas de pièces, mais j’ai mieux que ça…rentrez… tatie... tu viendras remercier ce jeune homme pour le colis… »
Sylvie demande à Marie de s’allonger sur la table, jambes écartées. De l’autre côté, sa tête est dans le vide. Sylvie demande au jeune garçon, totalement ébahi par la scène qui se déroule devant lui, d’ôter son pantalon. Il obtempère, trop heureux d’etre ainsi accueilli par deux belesl femme qui semblent lui offrir le paradis…
Elle lui saisit la bite, la branle, la suce jusqu’à ce qu’elle atteigne des mensurations respectables. Elle l’approche de la chatte, qui est tellement enflée d’excitation, qu’elle ressemble à un abricot joliment fendu.
« Vas-y, fait Sylvie, n’aies pas peur d’y faire mal, elle en a déjà pris des coups de queues celle là... Hein tatie ?
- Ah ah, gémit Marie, tu es méchante… me faire niquer par un gamin ! Mais ça fait si longtemps que je ne me lui suis pas fait mettre… Vas-y mon garçon, amuse-toi… Fais-moi plaisir aussi ! »
Le jeune livreur enfile sans un mot le vagin accueillant, et entame une série de coups de boutoirs de plus en plus violents. Sylvie veut profiter de la situation. Elle quitte son treillis, fait le tour de la table. Elle écarte ses lèvres intimes déjà humides, et vient les poser sa chatte sur la bouche de sa tante, puis lui vrille le bout des seins.
« Allez tatie chérie… bouffe la cramouille de ta nièce… fais-la jouir… elle a bien le droit de participer elle aussi ! »
Sylvie sent le jeune livreur donne des signes de faiblesse. Il ne semble pas habitué à de telles affamées de sexe ! A regret, Sylvie échappe à la bouche gourmande de sa tante, et le tire le jeune home par le bras. Elle le fait venir de l’autre coté de la table, et place d’autorité le zob, devant les lèvres de sa tante.
« Ouvre, sale pute, suce lui le dard. Et tu as intérêt de tout avaler… C’est à mon tour après de me faire niquer… »
Marie avale en une splendide gorge profonde, la queue bien raide du jeune homme. Il baise la gorge à fond, se préoccupant peu de l’étouffer ou pas. Pendant ce temps, Sylvie fourrage dans la chatte distendue de sa tante. Elle parvient à y entrer quatre doigts de la main, arrachant au passage un cri de douleur à Marie. Mais elle n’en na cure…
« La prochaine fois, je te fiste en entier.. et tu n’auras pas intérêt à crier, tatie ! »
Le livreur jouit dans la bouche de la ante, qui avale la purée épaisse sans sourciller.
« Maintenant, refais-le bander, je veux aussi de sa bonne bite !
-Oui ma chérie, je le fais de suite… »
Sans que le jeune homme ait eu le temps de protester, il reçoit une magistrale caresse buccale, qui le refait durcir en quelques secondes... A cet âge, on récupère vite !
Quand il a atteint une taille respectable, Sylvie fait assoir sa tante sur le sol, dos au canapé, puis se positionne en levrette au-dessus d’elle. Elle ordonne :
4toi, gamin, vient me baiser, et toi, taie, bouffe-moi la moule en même temps… »
Aucun des deux ne discute ses ordres, et le trio se met en place. Pendant de longues minutes, le jeune homme lime la jeune femme, et Marie dévore la chatte, les yeux exorbités par la queue qu’elle voit coulisser à quelques centimètres de ses yeux. D’une main restée libre, elle se branle avec vigueur… Sylvie halète, crie, et jouit plusieurs fois…
Dans un accord presque parfait, elle jouit une dernière fois quand le livreur se vide dans sa grotte trempée. Tatie avale le nectar qui coule…
Au final, les deux femmes ont au plusieurs orgasmes, le jeune livreur a baisé les deux femmes, éjaculé à deux reprises, ce qui n’était pas prévu dans sa tournée. Il quitte la pièce, fier de lui.
Après ses petites gâteries, le dressage de Marie reprend. Pendant une nouvelle semaine, sévices et brimades sexuels s’enchainent sans répit… Lors des sorties dans la forêt, elle promène sa tante nue, les mains sur la tête. Sylvie la fait avancer à coups de branches épineuses sur les fesses, qui ne tardent pas à rougir. Il lui arrive aussi de la plaquer contre un arbre, ou l’asseoir sur un muret.
Là, elle la doigte, la branle, la fait mettre à quatre pattes, lui enfonce deux doigts dans le cul pour la faire avancer. Elle profite d’elle jusqu’à la dernière goutte de cyprine. La chatte de Marie ressemble à une fontaine, la fente ne se referme plus, le clitoris ne rentre plus dans sa cage. La femme de quarante ans est humiliée, soumise à sa nièce, une gamine de dix huit ans, qu’elle avait décidé de dresser. Sylvie, débordante d’imagination, se sert d’elle comme d’un jouet, la fait saillir par tous les hommes qu’elles croisent, et qui disent oui... et même par un berger de passage, dont le chien de garde lui lèche la chatte. Pendant que l’homme la sodomise brutalement.
La seconde semaine est finie, mais pas le supplice. Le jour est venu de rentrer à la maison. C’est Roger, le père, qui ouvre la porte. Il reste scotché devant le spectacle qui s’offre à lui : sa fille chérie, Sylvie tient une laisse. Au bout, à quatre pattes et entièrement nue, sa belle sœur, Marie. Roger remarque des épingles à linges accrochées au bout des seins, de même que le clitoris décalotté.
« Bonjour papa, sourit Sylvie, je me suis fait un petit cadeau. Elle est bien dressée tu sais, n’est-ce pas ma chienne… Qu’est- ce- qu’on a promis à sa maitresse, hein ? Qu’on taillerait une bonne pipe à son beau-frère. »
Roger, qui a toujours été contre l’idée de faire dresser sa fille par Marie, est aux anges. Il ne se fait pas prier pour sortir sa bite. Lentement, il la décalotte pour sortir le gland de son fourreau.
« Allez, petite garce, viens me sucer, et t’avise pas de mordre, ta maitresse te surveille. »
Roger sent sa queue qui frétille dans la bouche de sa belle sœur. Il prend plaisir à se vider copieusement les couilles au fond de sa gorge. Quelque part, il venge sa fille adorée.
Oh, je n'y suis pour rien.. le principal vient de L'Amoureux...
Rudy
C'est vrai, chaque auteur est plus ou moins à l'aise avec les détails.. mais si tu as envie de modifier ce recit, et de l'enrichir, tu en a tout à fait la possibilité !
biz
Alors, je suis contente ! merci de prendre le temps de le dire ici !
Bravo a l'auteur ;-) et bises à tous
Je suis ravie de le savoir ! et ca fait plaisir de vous revoir ici...
A ce point ? ;-)
Eh oui... ;-)