Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Il est midi, et Chloé, jeune étudiante d’à peine vingt ans s’ennuie. Ses cours à la fac d’architecture sont terminés pour la journée et elle ne sait que faire du reste de sa journée. Chloé a deux passions, la danse et son futur métier. Elle aime imaginer les millions de choses que l’on peut faire dans une maison moderne et bien agencée, et à ces moments, des pensées coquines envahissent son esprit et lui font monter la température. On pourrait penser qu’elle aime avoir des relations sexuelles avec les bâtiments…


En général, quand elle a du temps à perdre, elle aime se balader sur les chantiers, voir de près le travail de ses futurs confrères. Aujourd’hui, elle a donc prévu de se rendre sur le chantier du futur centre commercial se trouvant en bordure du boulevard périphérique au nord de la ville. Elle enfile rapidement une petite jupe légère, ses ballerines préférées et un boléro pris au hasard dans ses tiroirs. Elle prépare un petit sac avec un casque de chantier  au cas où elle rencontrerait quelqu’un  qui risquerait de la surprendre dans cet endroit interdit au public.


Une fois arrivée sur les lieux, Chloé descend de son scooter, se glisse entre les barrières entrouvertes et se dirige vers l’accès menant aux sous-sols. Elle arrive dans ce qui sera le futur parking. Les protections métalliques de ses talons claquent sur le béton du sol. Dans un coin, la lumière entre par une fenêtre dans une cage d’escalier. Elle monte discrètement au premier niveau, enfile son casque et sort sur le palier. Elle arrive dans un grand hall ou se trouve les niches des différents commerces. Tout est vide, les ouvriers devant sans doute être en pause déjeuner.


Heureuse d’être seule dans cet espace libre, elle range son casque, pose son sac au pied d’une colonne et commence sa visite. Sa main caresse le marbre rose de ce qui pourrait être plus tard le mur d’un magasin de lingerie fine ou d’une bonbonnière de luxe. Le froid de la pierre lui fait pointer des seins. Ses tétons poussent les tissus de façon très agressive. Le frottement   contre ces petits bouts de chair lui donne des frissons. Le reflet dans le verre d’un comptoir lui renvoie l’image d’une très jolie femme. Ses seins menus, mais bien ronds et aux tétons pointus lui rappellent les statues des déesses romaines. Ses hanches fines trahissent ses origines latines. Elle passe de longues minutes à admirer ses courbes qui font parler d’elle sur tout le campus.


Tout en se regardant, elle enfile ses oreillettes et met en route son lecteur MP3. Sur le rythme cadencé de Lady Marmelade, Chloé se met à danser et se déhancher comme elle aime. Sa beauté explose dans les miroirs des  allées. Le bruit de ses pas sonnent et rebondissent sur les grandes marches menant à l’étage supérieur. Sa voix monte vers la verrière qui laisse entrer la lumière du soleil. Elle danse comme ses danseuses de cabaret qu’elle aime bien aller voir le soir après ses cours de conduite.


Dans son élan, elle entre dans un box aux murs couvert de cuir. Elle se penche vers un ventilateur posé au sol, sans doute pour sécher les colles et vernis, l’allume et se plante devant, les jambes écartées et s’amuse de voir sa jupe se soulever par la force du vent. Le frottement du vent entre ses cuisses et contre son intimité l’excite. Elle ferme les yeux et jouit de ce moment. Elle se retourne, fesses face à l’appareil et commence à se caresser, doigts contre le tissu de sa petite culotte en coton. Elle entrouvre les yeux et se rend compte qu’elle a un spectateur. Un homme, viril, suffisamment âgé pour être son père la regarde la main sur la braguette. Le show semble lui faire de l’effet.

 

Chloé ne semble pas impressionnée par l’homme qui l’observe. Il jette un œil par-dessus son épaule et entre dans le magasin. La danseuse continue à se trémousser en écoutant sa compilation de tubes préférés. Le visiteur met sa main à l’intérieur de son bleu de travail tout poussiéreux et se donne discrètement du plaisir. Chloé encore plus excitée de cette visite imprévue, se cambre autant que possible pour offrir la meilleure vue possible de son corps à son spectateur. La beauté juvénile de Chloé fait son effet, l’homme s’assoit sur une pile de cloisons d’isolation et sort son sexe, dur comme une barre d’acier, mais courbée comme un robinet d’évier de cuisine. Intriguée par la forme de l’engin, elle s’approche, se met à quatre pattes et passe une délicate langue sur le bout de son gland, qui semble être cassé ou plié. Elle embrasse le membre du maçon puis l’enfourne dans sa bouche humide et chaude. Le maçon, surpris, se laisse faire et profite des douceurs de la jeune fille.


Tout ceci a réveillé l’appétit de Chloé, elle le pousse à se coucher sur les plaques d’isolant, le chevauche et en écartant le coton de sa culotte, permet au sexe de l’homme de toucher son jardin intime. Le gland recourbé a du mal à pénétrer la chatte pourtant bien trempée de Chloé. Sa forme lui donne une largeur impressionnante.   Une fois le gland passé, Chloé se sent envahie et secouée de décharges d’énergie sexuelle à chaque centimètre de progression en elle. Les ongles plantés dans sa veste, elle se laisse descendre sur le membre courbé de son maçon. Une fois qu’elle le sent arriver au fond, elle remonte et répète le mouvement. Le plaisir grandit en elle, elle accélère le mouvement. A califourchon sur un inconnu, au beau milieu de ce qui semble être une future cuisine, la jeune étudiante s’envoie en l’air comme dans le plus fou de ses rêves, sur un chantier en cours de réalisation.


Les claquements de chair et les froissements de tissus se font de plus en plus présents dans le hall dallé de carrelage et de marbre. Les petits cris de Chloé, de plus en plus sonores,  se font entendre à tous les étages. Toute discrétion étant évanouie, un des collègues du maçon apparait à travers la vitrine. Il ne se fait pas prier pour entrer et participer à la fête. Tout en regardant le postérieur de Chloé monter et descendre sur le sexe de son camarade, il sort son sexe et se masturbe, ravit du spectacle.


D’autres ouvriers se massent maintenant devant la vitrine et en font autant à leur tour. Chloé tend une main vers le voyeur le plus proche d’elle, l’attrape par le sexe et le tire vers elle. Pour étouffer ses cris, elle attrape la verge de ce dernier et l’amène à sa bouche pour le sucer goulûment.


Des cris et des sifflements de soutien fusent et montent de toute part. Le centre commercial ressemble à un stade un jour de match. Toute cette clameur enflamme les sens de Chloé qui jouit bruyamment et se crispe sur le membre qui l’envahit encore de l’intérieur. Son vagin se contracte, ce qui a pour effet  immédiat de déclencher l’orgasme du premier maçon. Revenant à ses esprits, elle se relève, ramasse ses affaires et s’enfuit sous les applaudissements des ouvriers revenus sur leur lieu de travail.


Chloé, une fois arrivée chez elle, gare son scooter, encore toute gênée de s’être montrée en spectacle, mais malgré tout heureuse de cette nouvelle expérience. Une fois descendue de sa monture, elle se rend compte qu’une tache humide orne le cuir de sa selle, dernier souvenir éphémère de sa témérité du jour. Le sourire aux lèvres et la culotte trempée, elle rentre chez elle prendre un bain et faire ses devoirs.

 

Ven 7 déc 2012 4 commentaires
Je crois que si j'avais été à la place de Chloé je serais rester plus longtemps pour me faire sodomiser par toute cette bande. Et que de foutre à avaler !!!!
Jeanne travestie - le 07/12/2012 à 09h44

Et moi donc.. enfin, sauf pour la sodomie !

Sophie de R.
Bravo Fritz pour ce beau récit très très chaud ! L'amour sur les chantiers, c'est un domaine que je n'avais pas encore exploré et cela m'ouvre des horizons... Prends bien soin de Sophie !
Le Matou libertin - le 07/12/2012 à 10h00

il le fait, sois rassuré.. et je regrette qu'il ne publie pas plus de recits....

Sophie de R.
Assez court, mais très bon ! Elle va devoir y retourné souvent au centre commercial la Chloé ! ;)
Veck - le 08/12/2012 à 07h18

Et elle aura bien raison !!!

Sophie de R.
C'est vrai que ce récit est chaud bouillant, et bien écrit. Ce n'est pas une surprise venant de Fritz...
cachotier - le 08/12/2012 à 09h55

En effet, il excelle dans ce genre sulfureux...

Sophie de R.