Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
2.
Je dois te raconter depuis mardi ce qu’il m’est arrivé avec Jean.
Jean, mon amoureux ivoirien, est très épris, il m’a offert des roses rouges mardi soir. Nous ne sommes pas sortis, il faisait un temps pluvieux et maussade.
Surprise par le bouquet, je n’ai su quoi dire, je l’ai embrassé, j’avais une robe noire courte, rien dessous sauf des bas, et des talons, le tout sous un manteau pour me réchauffer. Il a mangé ma langue, cela m’a fait fondre, cela fait longtemps que je n’ai pas ressenti pour lui ce que j’avais ressenti pour mon second mari avant que tout m’arrive, au temps où je croyais avoir trouvé l’homme de ma vie.
Le bouquet était entouré d’un bandeau pour mes yeux.
Au bout de notre baiser effréné, il me l’a mis sur la tête, et il me déshabilla complètement juste après, je n’ai plus rien vu jusqu’à tard dans la soirée. Il m’a fait manger, me donnant la becquée comme à un oisillon, faisant passer les aliments sur mon corps. Je perdais un peu pied, très excitée mais il ne voulait pas commencer à aller plus loin alors que moi j’étais trempée et il me tardait de l’avoir en moi, quelque fut la partie de mon corps introduite
Après avoir mangé, il m’a mise sur la table basse en me guidant, cuisses ouvertes à son regard. Il a commencé à pleuvoir et il s’est absenté pour faire entrer son chien dans son appartement, je l’ai entendu dire un « couché » sonore ; et j’ai compris que le chien pouvait également voir ma vulve et mes cuisses grandes ouvertes. Cela m’a fait mouiller plus, mais je ne sais pas s’il l’a remarqué. Il a attaché ensuite mes mains et mes chevilles aux pieds de la table, j’étais d’accord.
J’ai senti ensuite un objet glisser sur ma peau, sur mes lèvres, il m’a murmuré à l’oreille que c’était un gode noir plus gros que sa queue. Il a commencé à me dire des mots crus, que j’étais vraiment très chienne attachée ainsi. A ce mot, j’ai cru jouir, tant la situation et ces mots me faisaient de l’effet. Il m’a fait sucer le gode puis l’a passé entre mes cuisses, sur ma fente déjà ouverte, je bougeai mon bassin pour essayer de l’avaler mis il faisait durer le plaisir. Enfin, d’un coup, il l’a plongé en moi et j‘ai senti sa queue devant ma bouche, il s’était déshabillé. Je sentais le contact de sa peau contre la mienne, nous étions presque en 69, lui au dessus de moi.
J’ai sucé comme une folle sa queue, je la sentais grossir et se tendre pendant que le gode enfonçai de plus en plus en moi. Il a mis un puis deux doigts dans mon petit trou. J’ai joui quand il m’a rempli la bouche de son sperme, je n’ai pas tout avalé tant il y en avait et le gode est resté plongé en moi, touchant le fond de mon vagin. Je sentais qu’il était très long et large, quand je l’ai vu j’ai été très heureuse d’avoir été trempée, il fait quarante centimètres sur huit, c’est mon second cadeau avec le bouquet.
Il a ensuite demandé si j’avais été fistée, et sans attendre la réponse, a mis trois doigts en moi suivi d’un quatrième très vite. Au bout de dix minutes, je ne savais plus où j’étais, quand j’ai senti son pouce qui rejoignait le reste de ses doigts. Il a fouillé mon ventre, a réussi à refermer le poing en moi. J’ai cru défaillir tellement j’ai joui fortement. Je l’ai entendu sortir et revenir deux minutes après. J’étais pantelante, mes cuisses toujours ouvertes, je ne sais pas quelle heure il était, mais mon vagin était grand ouvert.
J’ai senti quelque chose de froid, en verre. J’ai su après que c’était une bouteille de bière, qu’il faisait glisser dans ma chatte trempée. Il a dit que j’étais vraiment large et que ce ne devait pas être la première fois que je prenais de telle taille dans ma fente. Comment lui dire que j’ai déjà eu deux grosses queues noires ensemble dans ma chatte ? J’ai réussi à demander que je voulais sa queue, je l’ai supplié de me prendre.
Il s’est mis entre mes cuisses, et m’a prise comme un sauvage sans ménagement, moi toujours attachée. J’ai encore joui quand il est venu au fond de mon ventre. C’est incontrôlable chez moi, quand le sperme tapisse mon vagin, je jouis. Mais il m’a bien prise au moins une demi-heure avant d’éjaculer dans ce qu’il appelle « le con de sa maman blanche salope ». Je commençais à avoir un peu mal là où j’étais attachée avec tous les mouvements que j’avais fait, il m’a détachée pour m’emmener dans sa chambre, et ce faisant, il avait mis deux doigts entre mes fesses, me disant qu’il n’avait pas visiter ce trou là encore, moi toujours les yeux bandés.
Il m’a fait mettre à quatre pattes, demandant d’écarter mes fesses à deux mains. J’ai entendu un clic d’appareil photo. Je n’avais aucune pudeur pour lui, j’étais heureuse qu’il sache que mon cul à ce moment demandait sa queue. Son sperme et ma mouille avaient coulé dans la raie de mes fesses et ses doigts étaient entrés facilement. Je l’ai sucé avec plaisir pendant qu’il plaçait le gode dans ma chatte et il a mis ensuite sa queue redevenue dure devant mon anus, c’est moi qui ai reculé sur sa queue pour le faire entrer. Il m’a dit à ce moment que j’aimais les queues, qu’il n’avait jamais connu une femme qui puisse le prendre d’un coup par là, que je devais en avoir vu et eu dans tous mes trous.
D’habitude, je refuse de venir sur mes expériences passées, mais là j’étais trop heureuse et trop excitée, je lui ai dit un peu de mon passé, que j’étais folle de sa queue et que je le voulais de suite au pus profond de mon trou. Il m’a prise en fessant mes fesses. Il a su que j’avais eu plus d’un amant black et qu’il m’était arrivé d’être prise en double. Heureusement pour moi, j’ai été tellement submergée par le plaisir que je n’ai plus rien dit, criant sous ses coups de queue et gémissant quand il ralentissait.
Il a joui une troisième fois en moi, et je l’ai nettoyé avec ma bouche. J’ai senti mon odeur sur sa queue et j’ai avalé le sperme qu’il y avait sur la hampe et les dernières gouttes qu’il a lancé au fond de ma gorge. J’étais heureuse et tout ça sans rien voir. Il m’a dit de retirer le gode et m’a enlever le bandeau. Il m’a ordonné de sucer le gode qui était couvert de ma mouille et de son sperme mêlé, je l’ai fait en le regardant fixement dans les yeux.
Nous avons discuté ensuite, pendant que nous nous caressions, que je humais sa peau, je sentais son sperme couler de ma chatte et mon cul, j’adorais cette sensation.
Il a voulu en savoir plus sur moi, je me suis refusé jusqu’à ce soir là d’en dire plus sur mon vécu, même s’il sait que j’ai des enfants et que je suis en train de divorcer.
J’ai parlé un peu, avouant comme durant nos ébats avoir déjà fait avec deux, parfois trois blacks. Il m’a demandé comment se faisait-il que mes dernières filles étaient métisses bien que mon mari était français. J’ai bien dû avouer que j’avais des amants blacks depuis vingt-deux ans. Il m’a questionnée sur mes fantasmes, je lui avais dit que j’aimais être bandée en étant offerte à tous, ainsi qu’attachée, me déguiser en soubrette. Il a voulu savoir si à plusieurs me tenterait, je n’ai rien dit, par contre j’ai dit qu’un club échangiste, je ne serai pas contre d’y aller même pour seulement regarder. Il m’a parlé de soumission, de vivre ensemble pleinement.
Il était deux heures quand nous nous sommes endormis. Je n’ai rien pu dire sur son chien, ni sur mon envie qu’il me prenne.
Le lendemain matin, mercredi, il m’a prise sans un mot, d’un coup, et m’a rempli le vagin d’un sperme encore plus abondant que la veille.
Je lui ai dit que mes filles étaient absentes, les petites sont chez ma mère pour les vacances et Sixtine est avec des amis pour Halloween et ce weekend.
Une fois parti, le chien est venu faire son travail du mercredi matin. Il m’a littéralement prise d’assaut lui aussi et m’a laissée pantelante un bon quart d’heure. J’ai fait comme d’habitude maintenant, une douche puis je suis rentrée à la maison.
Vers midi, il me téléphone et il me demande de venir le mercredi soir chez lui, car il a pris son vendredi et avait donc quatre jours de libre. J’ai annulé un rendez vous avec un jeune sénégalais qu’il m’arrive de voir par intermittence depuis cinq mois.
Mercredi soir, nous sommes sortis, et il m’a emmené dans un bar après un délicieux repas où étaient des amis à lui, deux avec leurs amies et quatre célibataires. Nous sommes allés en boîte (mon Dieu cela faisait des années que je n’y avis plus mis les pieds !). Ses amis ont dansé avec moi, assez collé serré mais j’ai bien aimé, lui m’a touché durant les moments où nous dansions, facilement car je n’avais pas de dessous. Nous sommes rentrés tous les deux chez lui et la nuit je n’ai pas trop dormi, il était très vigoureux et moi j’avais très envie.
Je suis rentrée chez moi vers midi, nous avions paressé au lit tard, et j’ai subi encore des outrages merveilleux durant cette grasse matinée.
J'ai passé la nuit de jeudi à vendredi avec lui, toujours torride, toujours divin.
Il m'a posé des questions sur ce que j'aime, ce que j'aimerai au niveau sexuel, mais aussi sur mes gouts dans la vie. Nous avons parlé beaucoup, il est profond, drôle. ce matin nous sommes allées
m'acheter de la lingerie, bas, porte jarretelles et soutien gorge. Pas de string je n'en mets pas. Cela a fait rire la vendeuse. Il m'a pris des ensembles identiques blanc, rouge, noir et
prune.
Nous avons fait l'amour après avoir déjeuner chez lui. Il voulait que je reste mais j'ai prétexté un empêchement pour rentrer à la maison vers dix-huit heures. Je me suis dit que je ne partirai plus du weekend.
Et en effet, il m’annonce veut que je passe tout le weekend avec lui. Il m'a donné rendez vous demain vers midi, pour aller manger et ensuite faire des courses en prévision de la suite.
Je t’écris car il paraît que ses amis m’ont trouvée très sympa, et l’un qui a une maison de campagne voudrait que nous allions dîner samedi chez lui et y passer la nuit avec les trois autres et les deux couples, qui sont comme nous, les hommes blacks, les femmes blanches.
J’ai l’impression qu’il veut m’emmener pour une partie à plusieurs. Je sais que je ne saurai pas dire non si cela arrive.
En deux mots, je suis amoureuse. Mais j’ai peur.
Elle vient, elle vient... et il y en aura plusieurs....
Tu es trop gentille avec moi !! le travail, c'est toi qui l'a fait ! continue ainisi, pour trouver la belle vie que tu mérites...
Biz !
Merci de l'encourager, je souhaite qu'elle puisse dialoguer directement avec ses lecteurs, avoir leurs avis, etc... Merci encore !
En effet, elle sera publiée bientot...