Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Chère SOphie,
ce soir, je ne suis pas très bien, mais je dois tout te raconter... Cela va me soulager...
Hier, quand je suis rentrée j’étais partagée entre bonheur d’être avec mon homme, rage de m’être laissée dominer par ma soif de sexe, honte de m’être comportée avec des inconnus (sauf Jean) comme une nymphomane.
J’ai encore du travail à faire sur moi, je pensais que les quinze mois que j’avais passé à contrôler la situation m’avait mise à l’abri, même si j’avais des amants, ce n’était pas le rythme effréné que j’ai pu avoir dans mon autre vie et je les choisissais. Mais là, j’ai perdu pied, mais j’ai joui plus qu’avant je crois. Je t’avais dit que je jouissais de m’offrir à tous ces noirs, je n’étais pas consciente du marché dont je faisais l’objet et je pense que cela m’aurait dégoûtée, mais à l’époque j’étais heureuse d’être prise par tous ces hommes. Enfin, je ne vais pas disserter sur une vie que je fuis et que je veux oublier.
Donc samedi vers midi, je sonne chez Jean qui m’avait rappelé pour me dire de passer chez lui plutôt que de se donner rendez-vous place Bellecour (au centre de Lyon). Il m’avait dit de prendre mes affaires pour le soir et le dimanche, et que nous devions rentrer le dimanche en fin d’après-midi. Il m’ouvre, je tombe dans ses bras, on s’embrasse avec fougue, mais il me dit que nous allons manger dehors. Ne voyant pas son chien, il me dit que son ami l’a pris pour le weekend dans sa maison de campagne, qu’Idéfix en a bien besoin. J’avais une jupe mi cuisses, des bottes, un pull en V près du corps et un manteau. Il vit que j’avais seulement des bas, avec le froid mes seins pointaient et tendaient un peu le cachemire.
On s’est promené en amoureux avant d’aller déjeuner, Jean fut délicieux, drôle, on a discuté de tout et de rien comme j’aime faire avec lui, de politique aussi, j’adore ça et lui aussi. Il prit des photos avec mon téléphone, et en regardant le résultat vit des photos de mes trois qui vivent avec moi, que nous avions prises avant les vacances. En voyant mes deux filles métisses, il me demande qui sont elles et quand il a sut que c’était mes filles (il sait que mon futur ex mari est blanc), il m’a posé des questions, qui étaient les pères.
Je n’aime pas mentir, j’ai dit la vérité, qu’elles étaient mi sénégalaises mais que je en connaissais pas les pères. Il m’a posé encore des questions, et sentant que la soirée serait orientée, j’ai pensé qu’il était bon qu’il sache que j’avais eu des amants et que mes filles étaient le fruit des ses aventures, sans tout dire, de toutes façons, je n’arrive pas à parler, sauf avec toi, de mon « expérience », je n’en parle à personne.
J’ai juste dit que j’avais été la maîtresse de sénégalais, et qu’en en voyant plus d’un à la fois, je ne savais pas de façon sûre qui étaient les pères. Comment expliquer à l’homme que tu aimes que j’ai eu mes filles après avoir été prise par des groupes des mois durant ? J’avoue que cela reste sans réponse pour le moment pour moi. Il m’a dit alors une chose étonnante, que j’étais la femme de ses rêves, une femme qui assumait son penchant pour les africains au point d’avoir des filles métisses bien que mariée à un blanc. J’avoue ne m’être jamais posé la question, j’ai pris les enfants que Dieu m’a donnés et je les aime de tout mon cœur toutes.
Après ce déjeuner charmant, heureuse d’avoir avoué tout ce que je pouvais avouer, on est reparti en ballade, lui me tenant par la taille, parfois sa main sur mes fesses, nous embrassant comme deux amoureux sur les quais de Saône
.
Vers les quinze heures, il me dit que les magasins dans lesquels il pensait m’emmener devaient être ouverts et je l’ai suivi, d’abord dans un magasin où je ne serai jamais entrée seule (j’ai emmené Charlotte une fois dans un similaire, elle voulait un piercing au nombril). Donc, on entre chez un tatoueur, plus tatoué qu’un polynésien traditionnel, c’était fascinant. Jean m’avait demandé avant d’entrer si cela me dirait d’être piercée, je n’étais pas contre, en fait, je suis en train de ne rien lui refuser depuis mardi dernier sauf vendredi soir où j’ai eu peur de moi.
On entre, le tatoueur était très gentil, j’ai demandé à voir les modèles, il m’a d’abord montré ceux pour le nombril, j’ai demandé des choses plus intimes, pour les seins et ailleurs, même si je n’allais pas faire ça le jour même. J’ai craqué pour ceux des seins, j’avoue. J’ai réservé pour demain une séance, ils seront beaux, argentés, avec des bouts ronds. Jean était aussi surpris que moi de mon audace, je veux lui plaire et le surprendre. Pour des bijoux aux lèvres, j’ai juste pris la liste des modèles. Je suis quand même ressortie avec mon nombril orné d’un petit bijou, le tatoueur ne m’a pas fait mal, et je crois que je vais le garder longtemps.
Jean avait l’air le plus heureux, passant sa main sur mon pull, il m’a dit que mes seins seraient superbes et que si je le faisais aux lèvres, je serai très heureuse des sensations, mais mes seins me donneront des indications me souffla t il dans la rue.
Ensuite, il voulut m’emmener acheter des tenues pour le soir. Là encore, j’ai découvert des boutiques ! Et pourtant, je commence à connaître les boutiques de mode de Lyon, depuis plus d’un an. J’ai été surprise, c’était un mélange de tenues très sexy, voire sexe tout court, de lingerie très élaborée, mais vu que j’en porte peu, j’ai dû passer à côté des changements… Enfin c’était très sexuel tout cela, beaucoup plus que le magasin de lingerie du jeudi. Il y avait également dans un rayon un peu à l’écart des objets que Jean m’appris être comme apparenté au sadomasochisme et à ses pratiques, notamment des pinces pour les seins, je les mentionne car j’en parlerai après.
La vendeuse était jeune, très souriante, Jean l’a connaissait, il m’a présenté comme sa nouvelle compagne, j’en ai déduit que la ou les précédentes avaient été amenées là aussi. J’ai été un peu jalouse sur le moment. Cinquante-six ans et jalouse de femmes que je ne verrai sûrement jamais. Quand je l’ai entendue dire qu’elle me trouvait bien mieux que la précédente, j’ai souri bêtement. Jean a rajouté qu’il était amoureux, ce qui a l’air de surprendre Pascale (la vendeuse) qui à mon avis le connaissait très bien, si tu vois. Jean lui dit que j’ai besoin de deux ou trois robes pour des soirées, et elle de rajouter :
« En club ou privées ? »
Lui a répondu du tac au tac, :
« Les deux, Marie est très ouverte ».
Je suis devenue rouge pivoine.
Pascale me montre des tenues assez soft dans tout ce qu’elle avait, mais j’ai commencé à regarder, je voulais lui montrer que j’étais très ouverte et que je n’allais pas le décevoir… Je commence à le connaître, et ce qu’il m’avait dit au restaurant, que j’étais la femme de ses rêves, vu les mots couverts avec lesquels ils parlaient, je me suis mise à la recherche de robes indécentes. J’ai trouvé une robe filet noire, une rose, très courtes une autre en dentelle, très décolletée avec le dos ouvert et juste fermé par trois sangles de satin, une sous les fesses deux dans le dos, laissant les fesses en libre accès, et enfin, une noire avec un lacet genre corset qui défait, fait un décolleté jusqu’au pubis et de dos, le lacet court sur toute la longueur (enfin si j’ose dire, elle est ras des fesses). Pascale me vit revenir avec les quatre modèles.
Souriante, elle me demanda de les essayer. Elle ferma le magasin, me disant que comme ça je pourrai être plus libre de circuler. Elle avait du voir que je n’avais pas de soutien gorge mais je ne pense pas qu’elle savait que j’étais sans culotte.
Jean me regarde, je lui souris et je pars dans la cabine, j’ai déjà été nue devant des femmes, et cela ne me dérange pas, je souris même intérieurement en pensant à la tête de Pascale quand je serai en bas et nue sous ses robes filets. Je commence par l’enfiler la robe à lacets de soie. Dans la glace, je suis très sexy, et j’avoue que cela me plaît, on aperçoit le début de ma toison, et dans le dos, la raie de mes fesses est un appel au viol. Je sors, Pascale applaudit et me dit que c’est voulu d’être cul nu, je lui réponds que je ne mets jamais de culotte en souriant.
Jean est bouche bée, mes bottes ont des talons qui me cambrent. Il sort son téléphone et me prend en photo, me montre, le dos que je n’avais que mal vu et qu’il trouve superbe, et dit à Pascale que nous la prenons. Je passe une robe filet, la rose, mes tétons sortent des mailles, ma toison est prise entre le filet mais je me sens très bien, ayant l’habitude quand je suis seule à la maison de rester nue. Jean demande si je veux essayer quelque chose et il demande à Pascale d’apporter des modèles de bijoux pour les seins.
Il lui dit sans se soucier d’une éventuelle pudeur de ma part que je fais poser deux piercings le mardi suivant mais qu’en attendant, deux ornements iraient bien avec cette robe. Je choisis un modèle à dessins géométriques qui enserre mes tétons et que Jean pose en m’embrassant goulument.
« Nous prenons les deux, la rose et la noire » sera son commentaire final, après photos prises sous toutes les coutures.
Enfin, j’enfile celle que je trouve la plus sexuelle, celle avec la sangle sous les fesses que Pascale ajuste ainsi que celle du dos. Avec mes bijoux aux seins, mes tétons pointent et on voit le renflement sous le haut de la robe. Jean prend encore des photos me les montre, je dis que c’est ma préférée. Nous la prenons aussi et il me dit que ce sera ma tenue ce soir, à moins que je préfère une robe filet. Je m’entends répondre que je ferai ce qu’il voudra.
Il choisit en plus deux ensembles porte jarretelles soutien-gorge seins nus (je laisse les culottes à Pascal qui rit en me voyant ne pas les prendre) et Jean me dit que je mettrai le rouge ce soir.
Pascale replie les quatre robes, me laisse choisir une autre paire de bijoux de poitrine. Elle devise contente de l’opération (Jean en a pour pas loin de cinq cents euros), lui demande qu’est ce qui est prévu ce soir.. Et lui ,comme s’il s’agissait de parler du beau temps, lui dit que nous allons à une soirée privée chez un ami, avec deux couples mixtes, six ivoiriens et un chien. Je regarde Pascale s’affairer et prends les paquets, elle lui répond :
« Et Marie aime aussi les chiens en plus ? »
Il sourit et lui répond sans attendre que j’aime tout. Je peux seulement sourire, très heureuse d’avoir trouvé une tenue qui va affoler tous ces hommes, quand je réalise ce qu’ils viennent de dire, je dis simplement que pour le chien, je ne savais pas.
Ils me regardent, Pascale me dit, en rendant sa carte bleue à Jean :
« Parfois l’imprévu est meilleur que le prévu ! Marie, je suis contente que tu sois avec Jean, il avait besoin d’une femme libérée et mûre dans sa tête, en plus vous allez bien ensemble. »
Elle me demande mon âge pour une enquête qu’elle tient pour ses statistiques, mon arrondissement. Quand je lui dis que je suis né en juillet cinquante-six, elle ne veut pas me croire, et elle accepte après vu ma carte d’identité. Elle nous ouvre, nous embrasse et nus souhaite de rester amoureux comme nous sommes.
Nous sortons, Jean me dit qu’il est fier de moi, que Pascale me trouve très bien foutue et que je dois affoler les hommes, que il lui a dit que je fréquentai que les noirs, qu’elle n’était pas étonnée et que je devais donner du plaisir à plus d’un, que cela se voyait à ma façon de me cambrer, ou de prendre des poses pour les photos. Les bijoux aux seins font que mes tétons sont très droits sous mon pull et très visibles, cela lui plaît et moi aussi.
Il est presque dix-sept heures quand nous avons fini ces emplettes, nous repassons chez lui prendre nos affaires. En chemin, je lui parle du chien. Il me dit que c’est Idéfix et que les deux amies que j’ai vu mercredi sont en plus d’être comme moi pour les blacks, très zoo. Et que lui aime voir son chien avec une femme. Il ajoute que de toute façon, rien n’est obligé et que c’est une soirée entre adultes consentants, que si à un moment donné je refuse de participer, il comprendra. A son air, je sais qu’il dit vrai mais qu’il attend de moi : que je sois la reine de la soirée. Au moins, je sais pourquoi le chien a su ce qu’il devait faire avec moi tous ces mercredis matins.
Nous discutons durant le voyage, je pose des questions sur ce qui va se passer, Jean est assez évasif mais me donne des indications, assise à côté de lui sa main ne tarde pas à remonter mes cuisses et tout en conduisant, il passe souvent entre ces dernières. Il me dit que je serai mise à l’aise très vite et que le but est de se faire plaisir sans prise de tête entre gens de bonne compagnie, se connaissant et aimant le sexe sans pudeur ni hypocrisie. Au bout d’une demi-heure nous prenons une départementale pour continuer le chemin vers la maison de son ami. Je suis assez excitée par tout ce que j’imagine pour la suite. Jean s’arrête après avoir pris un sentier, je demande si nous sommes arrivés, il me dit :
« Non, mais nous sommes en avance, on va en profiter. Descends avec moi. »
Et à peine les mains posées sur le coffre, il remonte ma jupe courte et je sens ce sexe que je commence à adorer buter contre mes fesses, j’écarte mes cuisses, il me souffle des mots crus, qu’il veut que je sois la plus salope ce soir et que j’arriverai chez son ami la chatte remplie pour qu’ils sachent tous que je suis à lui. Je sens son sexe entrer en moi d’un coup, et il me prend sans égards sur ce sentier, moi appuyée sur sa voiture. Je jouis quand je sens son sperme tapisser mon ventre. Je le nettoie avec ma bouche et il m’embrasse ensuite. J’ai les yeux brillants.
J’aime Jean, je le comprends. Durant le reste du trajet, je sens sa semence couler un peu et mes poils sont gluants de son jus mêlé à ma mouille. Nous arrivons chez son ami, dans une maison isolée, avec des murs autour du jardin. Il y a déjà trois voitures. Jean me dit que ce sont celles de son ami et des deux couples que j’ai vu le mercredi soir.
Nous prenons nos affaires, et Luc, le propriétaire des lieux apparaît avec Idéfix sur ses talons. Ce grand chien m’étonne de toujours rester dedans. Luc m’embrasse sur les joues, me dit qu’il est ravi que je sois venue et que tous seront très heureux que j’ai accepté l’invitation. Idéfix renifle mes fesses protégées par mon manteau mais je fais comme si de rien n’était.
Dans la maison, au salon se trouvent déjà Laure et Antoine, ainsi que Monique et Marc. Luc, Marc et Antoine sont d’Abidjan comme Jean et sont en France depuis leurs études où ils se sont connus. Ils ont la quarantaine et sont très à mon goût, comme je me l’étais dit quelques jours avant.
Laure est une blonde de la fin trentaine, est habillée un peu comme moi, Monique a quarante-cinq ans et est châtain, les deux ont été mariées avec des lyonnais avant de divorcer et vivre leur vie pleinement. Elles n’ont pas d’enfants. Je suis donc la seule maman des trois. Elles sont très heureuses de me voir et contentes d’être trois pour la soirée. Les garçons discutent entre eux, nous entre nous, elles me disent que nous allons aller devoir nous préparer car le reste des invités doivent arriver vers dix-neuf heures trente. Jean monte nos bagages dans notre chambre.
Je le suis avec Laure et Monique dans mon dos, qui s’aperçoive dans l’escalier que je n’ai rien sous ma minijupe (elles me le diront quand nous seront en train de nous changer ensemble). La maison comporte un étage avec six chambres à l’étage et deux dans une dépendance. Je trouve l’endroit très cosy et je suis surprise de la taille.
Jean me confie que Luc a fait de bonnes affaires et que c’est son havre de paix. La décoration mêle l’art africain avec des pièces plus régionales mais le tout est très beau. Je me sens bien, accueillie comme si Jean avait émis des doutes sur ma participation. Je me dis que jusque là, j’ai bien fait de venir.
Jean me laisse, et me dit que je dois aller me changer avec les filles dans un grand dressing. Je prends ma jupe noire à sangles dans le dos que Jean a sorti avec mes dessous rouges. Je prends une autre paire de bas et vais dans le dressing où se trouvent déjà Laure et Monique en train de se dévêtir. Monique a de jolies formes notamment des fesses sublimes et une poitrine comme j’aimerai avoir, mon malheureux 85B ne faisant pas le poids face à son 90D, peut être quelques kilos en trop mais a beaucoup de charme. Laure est une grande blonde avec des seins en poire hauts placés et une belle chute de reins et s’entretient en faisant du sport, cela se voit.
J’ôte mon pull et ma jupe, Monique me dit qu’elle avait donc bien vu que je n’avais pas de culotte. Ma chatte est gluante de notre ébat routier et je ne m’en cache pas, sentant dans ce dressing l’excitation poindre. Mes tétons sont toujours durs à cause de l’emprise des bijoux mais j’aime ça. Laure me demande si Jean m’a pris avant de venir, je lui dis juste une demi-heure avant.
Elle s’approche, me demande si je suis bi, vu mon oui spontané et massif, elle glisse un doigt entre mes cuisses que j’ouvre instinctivement le porte à ses lèvres e, le replonge et me fait goûter. Et plaque ses lèvres sur les miennes, en me disant que j’ai une bouche à embrasser et qu’elle a envie depuis mercredi. Laure enfile un string, des bas, un soutien gorge pigeonnant et une robe très courte, dos nu rouge qui met en valeur ses formes.
Elle m’aide à enfiler ma robe et à attacher les sangles en me demandant où est mon string. Je leur dit en riant que je ne mets pas de culotte ou de string depuis vingt-deux ans, et que je ne vais pas commencer ce soir. Monique enfile une jupe transparente et un haut coordonné avec un ensemble de lingerie noir très proche du mien. Je me dis que Pascale les connaît toutes les deux. Elle s’approche de moi et vient faire la même chose que Laure, mais sous ma robe. Elle goûte aussi, me disant que nous allons nous régaler ce soir.
On se maquille, se coiffe en discutant. Quand je leur dis que j’ai eu mes premiers noirs il y a vingt-deux ans, elle me demande mon âge, Monique est surprise me donnant pas plus qu’elle, et me dit que je fais bien dix ans de moins que je n’ai. Laure a connu Antoine après sa séparation et ils sont ensemble depuis quatre ans, Monique a connu quelques blacks avant de former un couple avec Antoine mais pas depuis plus de 6 ans. Elles me disent qu’avec les soirées de Jean, c’est toujours bien que les participants ont tus un test HIV et donc pas de capote Je sens que je vais adorer.
C’est à ce moment là que je t’ai écrit avec mon téléphone le mail que j’espère tu as reçu.
Nous redescendons en plaisantant, je me sens rassurée et confiante avec mes deux nouvelles amies qui sont contente de m’avoir avec elles.
Je ne vois pas le chien, les filles m’ont avoué qu’elles avaient déjà eu des expériences plus jeunes mais que ce chien était un phénomène et qu’elles venaient quand Jean le prêtait à Luc le plus souvent possible.
L’apéritif est prêt, les garçons se sont changés et sont bien habillés tout en étant sport. Ils nous accueillent avec des sifflements, nous demandant de tourner sur nous-mêmes. J’entends les commentaires sur Laure et Monique, puis les « Marie, tu as un cul ! » de Marc qui fuse. Cela dure bien cinq minutes.
Nous nous asseyons à côté de nos hommes, Luc faisant les derniers préparatifs, la conversation vient souvent sur moi, Antoine et Marc voulant en savoir plus, ma jupe remontant mes jambes ouvertes leur laisse voir ma toison et mes seins pointent maintenant de façon indécente.
J’avoue avoir déjà fait à plusieurs, Antoine demande si c’était que des blacks, et je réponds avoir déjà fait des gang bangs avec un peu plus de neuf, nombre qu’ils seront. Jean n’en perds pas une miette mettant sa main entre ses cuisses, la mienne étant sur sa queue. Luc me dit que je vais bien m’amuser ce soir. Marc, Antoine, Luc me posent des questions sur mes pratiques et je réponds à tout sans pudeur comme si j’étais à mon entretien d’embauche, sauf que les questions sont toutes très intimes, voire plus qu’intimes.
Les derniers participants arrivent peu après, j’en connais déjà quatre. Il s’agit de Pierre, Michel, Serge et Xavier. Jean m’avait expliqué qu’ils ont tous des prénoms français mais certains ont des prénoms plus ivoiriens mais qu’en France c’est parfois préjudiciable dans leur boulot. Ils sont de la même génération que Jean, certains sont arrivés plus tard en France.
Je fais enfin la connaissance de Bernard et Robert, également d’Abidjan et finalement venus , deux ayant pu se libérer, alors que deux des précédents le sont mais deux autres sont du village du père de Jean. Bernard et Robert, comme les six autres, sont de beaux hommes dans la pleine force de l’âge, assez grands la plupart, ils me dépassent d’une tête sauf Robert qui ne mesure que un mètre soixante-quinze.
Ma robe fait sensation, et le fait que nous soyons complets lance les « hostilités ». Je sens les mains des nouveaux venus passés sur mes fesses libres, je regarde Jean et à son regard je sens que je peux me laisser faire.
Je me remémore que je dois « être la plus salope de la soirée ».
Je salue donc chacun des nouveaux venus en me laissant caresser sans pudeur, Pierre qui est le second, m’embrasse à pleine bouche, prenant mes fesses à deux mains. Je vois Laure et Monique également embrassées par Michel et Bernard. Luc sert les apéritifs, nous demandant de faire le service, d’avoir eu six langues dans ma bouche me donne envie de plus. Robert me demande si c’est à cause de la robe que je n’ai pas de string, je réponds que je n’en mets jamais.
Michel répond que c’est bon à savoir s’il me croise à Lyon. Jean intervient et affirme que je suis toujours prête, quelle que soit l’heure à être fourrée.
Il s’approche de moi, d’un coin de l’œil je vois Laure à genoux branlant Antoine et suçant Luc, Monique est avec Bernard, Marc et Jean qui la pelotent tous les trois. Michel est rejoint auprès de moi par Pierre, Serge et Xavier. Michel me dit qu’il va vérifier et me dit de m’allonger sur la table basse qui est libre. Je m’exécute, ouvre les cuisses, ma robe est si courte qu’elle est déjà remontée, j’offre ma chatte aux regards de toutes et tous, la semence de Jean est encore en moi.
Michel constate :
« Petite salope, ton homme t’a remplie avant nous ! »
J’écarte encore plus et m’entends répondre :
« Viens vérifier si je suis prête et si je suis seulement une petite salope… »
Il sort son sexe déjà dur, je vois tous les garçons, Monique et Laure commencer à se déshabiller, Xavier et Serge avancent leurs sexes vers mes mains, je les prends machinalement, et les branle doucement d’abord.
Pierre vient au dessus de mon visage et présente son sexe à ma bouche, dont il dit qu’il a envie de la baiser depuis l’autre soir. Ne voyant plus Michel, je sens ses mains écarter encore plus si c’est possible mes cuisses, et son sexe entrer en moi, il est plus large que Jean mais moins long. Il entre en moi come dans du beurre. J’entends un :
« Tu es une grosse salope, pas une petite ! Putain elle a la chatte faite pour les blacks ! Jean combien de bites noires sont passées par là ? »
Suçant et branlant, les coups de Michel commencent à me faire du bien, j’entends Jean répondre qu’il ne sait pas, que je n’ai jamais voulu lui dire mais que je suis mère de deux filles métisses de quinze et dix-sept ans, alors que mon mari était blanc, et qu’à son avis cela doit se compter en dizaines. Michel me lime puissamment et ne tarde pas à venir en moi.
A suivre….
J'espère que depuis, la suite t'a plue !
Et depuis, la suite a été publiée... ma chère sabine, tu peux bien sur repôndre ici comme tu le veux aux personnes qui laissent des coms !
J'espère que ton reveillon a tenu toutes se pormesses, et que tu nous le raconteras ici !
Donc merci encore de partager tout cela avec nous et j'ai hâte d'en lire plus. Tu a la chance de jouir facilement (contrairement a braucoup d'autres) profites en même si ce n'est pas évident de le concilier avec ta vie sentimentale. Mais j'ai l'impression qu'avec Jean tu as trouvé quelqu'un qui peut t'aimer et comprendre telle que tu es et surtout t'aider à canaliser ta sexualité pour la vivre harmonieusement. En tout cas c'est tout ce que je te souhaite pour 2013. Bisous Fred
Merci de tes encouragements pour Sabine, elle y sera surement sensible...
Merci de tes precisions, le dialogue direct est toujours preferable !
La suite sera publiée bientot...