Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Les klaxons des trente cinq tonnes retentissent dans de la vallée, tel un chalutier qui sort de la brume, comme pour avertir Simone, la gérante du relais routier de préparer à boire. Certes, ce n'est pas un canon, mais elle a su garder un corps superbe, qu'elle n'hésite pas à mettre en valeur, pour le plus grand bonheur de ses fidèles clients. La CB a fonctionné toute la journée entre chauffeurs, pour fêter un événement exceptionnel.
Pour ses compétences, mais aussi pour qu'il est plus d'espace, sachant qu'il allait embarquer sa jeune épouse, Hervé s'est vu confier un camion dernier cri, flambant neuf, reluisant de chrome, mais surtout équipé d'une grande cabine.
En effet, c'est aujourd'hui qu'Hervé, quarante ans, reprend le travail, suite à son voyage de noces. Il a promis à ses copains de route, de leur présenter sa jeune et ravissante épouse, âgée de vingt-quatre ans.
Hervé se vante de cadences infernales au lit, et que la jeune fille n'a pu résister à ses avances. Les chauffeurs, accoudés au comptoir, attendent avec impatience l'arrivée des nouveaux mariés. Et là, les bras leurs en tombent en voyant la superbe créature rousse qui accompagne Hervé. Ils se demandent comment un mec, qui n'a rien d'un jeune premier, a pu séduire une telle femme ! C'est donc vrai, qu'il doit être performant au lit…
« Salut, dit Hervé, je vous présente Margarita, mon épouse... Chérie, mes collègues de travail.
- Félicitations, arrivent à dire en cœur, les routiers... Venez trinquer », poursuit l'un d'eux.
Il est évident que ces mâles, qui ont des heures de route, se bousculent pour savoir qui aura l'honneur d'offrir le premier verre, et peut être, les faveurs du premier baiser. Et le veinard se prénomme Émile, un vieux de la vielle âgé de cinquante ans. Ne voulant pas être en rade, Roger, son compagnon de route, lui emboite le pas.
Les coups à boire vont bon train, et si Margarita reste sobre, il n'en est pas de même pour Hervé, que ses copains alimentent copieusement.
« Mon amour, dit-elle, allons nous coucher, ou alors tu me donnes la clé du camion...
Puis-je avoir un thermos de café ?
- Mais bien sur ma poulette, avec plaisir, sourit Simone, t'inquiète pas, on prendra soin de ton mari.
- Il fait un temps pourri dehors, aucune visibilité, je peux vous raccompagner ? propose Émile.
- Je veux bien, merci », répond Margarita.
Elle sort dans la nuit froide, laissant son mari continuer sa beuverie. Margarita et Émile traversent le parking faiblement éclairé, pour rejoindre le bahut. Margarita tourne la clé, et lève haut la jambe, pour atteindre la première marche. Dans le mouvement, la mini-jupe remonte sur la cuisse. Seul l'épais collant de laine protège son intimité. Émile fait mine de l'aider à gravir la dernière marche, en passant une main entre les jambes de la jeune femme. Celle-ci marque un temps d'arrêt, comme pour inviter son accompagnateur à continuer.
Ne se voyant opposer aucun refus, Émile frotte l'entrecuisse ainsi offert à sa convoitise, et semble entendre un gloussement de la part de la jeune mariée.
« Vous montez prendre un café ? dit-elle, ça nous réchauffera.
- Mais avec plaisir, jolie dame », accepte Émile déjà en train de bander comme un jeune homme…
Et les voilà montés dans la cabine, légèrement chauffée par le groupe électrogène du camion. A peine installée, Margarita fait sauter son chandail de laine par dessus sa tête, projetant ses seins volumineux aux bouts tendus, vers le visage d'Émile, qui n’en espérait pas tant. C'est ensuite au tour de la minijupe et du collant de suivre le même chemin.
« Ce n'est pas un café qu'il me faut pour me réchauffer, mais un bon coup de queue d'un mâle, d'un vrai », souffle-t-elle sans vergogne, et sans une pensée pour son mari.
Émile est ahuri d’une telle aubaine : une gamine superbe comme ça, qui s’offre à lui comme un cadeau ? Il en bande encore plus fort !
De ses mains maladroites, elle s'emploie à déshabiller le routier, sortant d’un caleçon usé une bite poilue mais bien raide. Elle lui caresse les couilles, jusqu'à le faire crier, puis se penche, lui coince la queue en érection entre ses seins, le bout à portée de bouche. Après l'avoir excité avec la langue, elle parvient à décalotter le gland du bout des lèvres.
« Ah... râle Émile, taille-moi une pipe, petite garce, vas-y... Ton mari sait que tu le fais déjà cocu ? »
Margarita ne répond pas, trop occupée à sa fellation débutante. Elle n'est pas à son coup d'essai, elle maitrise ce genre d'activité. Elle enrobe le gland de salive, excite le frein du bout de la langue, joue avec le méat, fait coulisser le prépuce. Elle tente de le gober en entier, mais renonce, et rampe sur son partenaire, en le léchant, pour enfin s'empaler sur l'énorme bite en érection. Elle est aidée en cela, par l'abondante mouille de sa chatte.
Margarita se cambre pour tendre sa magnifique poitrine durcie par le désir, aux bouts proéminents.
Émile lui, retrouve la vigueur de ses vingt ans, ses coups de reins sont dévastateurs dans le ventre de la jeune femme.
« Oh putain, soupire-t-elle. Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu un calibre pareil dans la chatte... Nique-moi à fond... Salaud, vas-y... bourre moi ma chatte de salope ! »
Margarita est-elle en manque de sexe ? Toujours est-il qu'elle ne tarde pas à jouir dans un cri de plaisir.
« Oui, c'est bon... Mais c'est trop rapide mon chéri, on va faire l'amour maintenant, le vrai... »
Emile ne peut qu’acquiescer, encore tout surpris d’ »une telle aubaine, et d’être tombé sur une vraie affamée de sexe ! Il redouble de vigueur pour la pilonner, et lui triturer les seins avec force.
Pris dans la spirale de la jouissance, les amants adultères n'entendent pas la porte de la cabine s'ouvrir. Un intrus certainement attiré par les plaintes de plaisir du couple, rentre sans bruit. Il se place derrière Margarita, et lui saisit les seins à pleines mains.
« Oh putain... c'est pas Hervé », se dit-elle.
Surprise malgré tout, elle se retourne d'un bloc, reconnait Roger.
« Con...ça va pas ? Tes mains sont gelées...
- Mais je demande qu'à les chauffer mon chat, entre tes cuisses par exemple. Je suis sur que ton clitoris est bouillant.
- Et si Hervé se pointe, on dit quoi ?
-T'inquiète, répond Roger, Simone l’a monté dans sa chambre, elle va bien s'occuper de lui. Il lui faut aussi son cadeau de noces ! »
Roger force Margarita à se pencher sur Émile, et la jeune femme glisse une main par derrière, entre les fesses, saisit les bourses de son copain.
« Oh là, mais c'est que les glaouis sont pleins Milou, sourit Roger, et le petit trou de la belle, qui s'en est occupé ?
- Enfoirés... soupire Margarita. Heu, non. Il f aut dire que... c'est pas la tasse de thé de mon époux...Vas-y, mouille-le un peu, et fait sauter le verrou... »
Roger n'en espérait pas moins. Il mouille deux doigts afin de lubrifier la rosette de la jeune femme pour mieux la dilater. La bite tendue et décalottée au maximum fait le reste, pénètre lentement le petit orifice. Il cède avec une facilité déconcetrtante, même si la belle proteste un peu…
« Ah, salaud...doucement, ah ! J’ai pas l'habi...ha....ha...
- C'est vrai qu'elle est étroite la pute, dit Roger, ton mari t'encule jamais ?
- Non, souffle Margarita...pourtant... c'est tellement bon... vas-y... profites-en salaud... »
Margarita sent les couilles du chauffeur qui butent contre ses fesses, tandis que les deux queues se mettent en mouvement dans une double pénétration. De par sa position, Roger est le mieux placé, plus productif. A chaque coup de boutoirs, il arrache un cri à Margarita.
« Tu te régales, hein ? Salope...Ton mec t'encule pas comme ça, hein ? C'est dommage qu'il n'y ait pas de toilette à ce relais, on t'aurait bien pris sous la douche, la prochaine fois peut être ?
- Oh oui...oui... vous me ferez tout ce qu'Hervé ne me fait pas... Je me laisserai faire, je vous promets d'être sage...
- C'est très bien, poursuit Emaile, tais toi maintenant, laisse-nous vider nos couilles à notre aise ! Tiens, mal baisée... prends ça !
- Oui, oui... allez-y... Faites moi connaitre autre chose que ma nuit de noces... Je jouis... oui.... enfoirés... Remplissez-moi de foutre... »
Elle crie une nouvelle fois son plaisir, sans se soucier qu’’on l’entende ou pas…
Les orgasmes de Margarita se succèdent aux rythmes des coups de reins, et des giclées de sperme, jusqu'au petit matin. Tout le corps et le visage de la jeune épouse en sont couverts. Les deux hommes n’avaient pas autant baisé depuis très très longtemps ! Ils sont épuisés, mais satisfaits d’eux-mêmes…
Émile a la judicieuse idée d'aller remplir une bouteille au point d'eau du parking pour que la jeune femme puisse se rincer.... L'eau est glacée, ce qui à pour effet de faire cambrer le superbe corps de Margarita. C'est grelottant de froid, seule et nue sous la couverture, qu'Hervé trouve sa femme dans la cabine du bahut.
« On s'arrête au prochain relais ma chérie, je crois que tu as besoin d'une bonne douche bien chaude.
- Oh oui, avec plaisir, savoure déjà Margarita, justement, il y a tes cop.... heu... non... rien... suis-je bête ! »
Le mari cocu ne semble pas sentir l’odeur de foutre qui empeste toute la cabine. Les vapeurs de l’alcool ne doivent pas être dissipées, et il faut dire que lui aussi, il a des choses à se reprocher….
Dans la vallée, les trente cinq tonnes d'Emile et de Roger font entendre leurs sirènes, comme pour dire à leur conquête d'une nuit :
« À bientôt ! »
J'en suis ravie !
Dommage que la technique ne le puisse pas encore !
Il ne faut aps croire que la sexualité s'arrete à 50 ans !!! bien au contraire....
C'est moi qui te remercie, et te souhaite une belle année 2013...
et merci pour le gps qui nous guide chaque jour en Floride !
Sans lui, et toi, nous serions perdus !
J'aimerais beaucoup connaître les autres aventures de cette belle Marguerita si épicée
Oh que oui... il faudra un jour que je m'attelle à raconter mes nuits de commerciales, dans ces hotels de province frequentés en semaine par mal d'hommes seuls... Ils constituaient un reservoir inépuisable pour l'hypersexuelle que j'etais...
et je ne parle meme pas des aires d'autroute, surtotut celles reservées aux routiers.. mhummm... le plaisir sans limites !
Mais allons donc, pouruqoi ne pas continuer dans la meme voie ???