Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Chapitre III – Le premier trimestre de mon année espagnole.

 

Après les deux mois passés à Londres où j’avais trouvé une place de serveuse dans un restaurant italien, propriété de Mme Maria, une veuve d’une cinquantaine d’années, mais tenu en fait par son fils Guido, je m’apprête à partir pour Barcelone.

 

Pendant deux ans, je vais être hébergée à Barcelone dans la famille d’un ingénieur catalan, où en échange du gite et du couvert, je vais principalement perfectionner dans la langue française les deux jumeaux de la famille âgés de quinze ans. De mon côté, je vais aussi poursuivre mes études à l’université de la ville.

 

La famille qui va m’accueillir comprend le père Ernesto, et la mère âgés de quarante-cinq ans, un fils de vingt-deux ans Luis, une fille de dix-neuf ans Carmela, et les deux jumeaux Francesco et Felipe. Les diverses photos échangées par internet m’ont fait découvrir les divers membres et donné un aperçu de l’immense villa avec piscine située dans les quartiers résidentiels de la ville. Je disposerai d’un petit studio aménagé dans une dépendance de la maison, au dessus de l’atelier de peinture et de sculpture de Monica, la mère de famille.

 

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A la descente du train, je suis attendue par Monica et Carmela. L’une et l’autre parlent quelques mots de français, aussi est-ce en anglais que les présentations ont lieu. Dés que nous sortons de la gare, nous chargeons mes bagages dans un 4 X 4 d’un blanc immaculé, mais avec des vitres teintées et nous prenons la direction de la périphérie de Barcelone. En cette fin d’après-midi, la circulation est démentielle mais Monica conduit d’une main sure, ce qui fait qu’il ne nous faut pas longtemps pour entrer dans l’immense parc de la villa.

 

Je monte mes affaires dans le studio avec Carmela qui m’annonce qu’elle viendra me chercher vers vingt-deux heures pour le diner. D’ici là, me dit-elle, j’ai tout le temps de m’installer. Elle m’explique alors que ce studio était utilisé par les anciens propriétaires du domaine pour y loger leur chauffeur et son épouse qui était aussi femme de ménage. Depuis que ses parents en ont fait l’acquisition cinq ans auparavant, le studio n’a pas beaucoup servi.

 

Malgré tout, il me semble tout à fait confortable, une grande pièce à vivre très lumineuse dans laquelle le soleil couchant entrait à profusion, un coin cuisine et une salle de bain avec douche seront mon domaine pendant les dix mois que je vais passer dans cette famille. Après la grande chambre sous les combles de Londres, c’est le paradis…

 

J’imaginais que j’allais bien m’entendre avec Carmela. Nous avions le même âge. Egalement très brune, elle avait une silhouette élancée de sportive mais avec des rondeurs appréciables aux bons endroits. Elle me dépasse d’au moins dix centimètres. Ce premier jour, nous nous exprimons en anglais mais après, nous sommes passées à la langue espagnole car il est indispensable que je progresse sérieusement…

 

Au cours du diner, je fais connaissance avec le reste de la famille. Ernesto est un solide quadragénaire, les cheveux courts ondulés et grisonnants sur les tempes, une carrure de sportif et un éternel sourire discret sur les lèvres. Il parle le français mais il me prévient qu’il manque de pratique. Lorsque nous aurons à converser, nous utiliserons l’espagnol pendant une semaine et le français l’autre semaine. Ça me va tout à fait.

 

Monica ne parle pas le français. C’est une femme mature, grande avec des formes rebondies, une forte poitrine et des hanches larges et le dos cambré. Ses longs cheveux sont tressés et remontés en chignon bas sur la nuque. Son visage énergique légèrement hâlé est maquillé avec discrétion et ses yeux pétillent de joie de vivre.

 

Les garçons se ressemblent beaucoup. Luis et les deux jumeaux ont le même visage ovale que leur mère, les yeux bruns plein d’une lueur malicieuse, ils m’accueillent chaleureusement en disant qu’ils gagnent une nouvelle sœur. Cet accueil familial me fait chaud au cœur.

 

Couchée à près de minuit (habituel chez les espagnols), je retrouve le rythme de Londres où Anja et moi, nous ne montions nous coucher qu’après les tables du restaurant débarrassées. Là, ce sera moins fatiguant car le service en salle est assez rude quand on n’en a pas l’habitude. Mais j’avais amassé un bon pécule qui m’a déjà servi pour acheter vêtements et livres…

 

Le lendemain, je suis éveillée par des exclamations de joie et des grands bruits d’eau. Depuis ma fenêtre, j’ai vue sur la piscine. Je vois les deux jumeaux qui chahutent dans l’eau et deux paires de jambes qui sont partiellement masquées par un brise-vent de toile. Comme j’y ai été invitée la veille, je rejoins le bord de la piscine pour retrouver les membres de la famille.

 

Quelle n’est pas ma surprise de découvrir Carmela et Luis dans le plus simple appareil, allongés sur des chaises longues. Je ne me sens pas à l’aise, mais Carmela me rassure et me dit d’en faire autant et de ne pas me formaliser, toute la famille se baigne nue. Comme pour le confirmer, les deux jumeaux sortent de l’eau, intégralement nus.

 

Ces deux coquins se précipitent sur moi en m’éclaboussant avec les gouttes qui ruissellent sur leur jeunes corps, ils m’entourent :

« Salut Sidonie ! Tu es à l’amende ! »

 

Je ne saisis pas trop ce qu’ils veulent dire mais je comprends vite. Francesco dénoue les cordons de mon soutien gorge et Felipe fait glisser la culotte de mon maillot, si bien qu’en moins de trente secondes, je suis aussi nue que les autres. En moi-même, je pense que j’aurais bien tort de jouer les prudes alors que toute la famille profite des hauts murs de la propriété pour vivre à sa guise et profiter des premiers rayons de soleil d’automne.

 

Pour n’être pas en reste, je plonge rapidement dans la piscine. L’eau à une température douce me réveille totalement et les deux jumeaux qui m’ont suivie, m’éclaboussent dans de grandes gerbes d’eau. Après quelques longueurs de bassin, je sors de l’eau et je me sèche rapidement dans une grande serviette prise sur une pile près de la piscine.

 

Pendant que j’échange mes premières impressions avec Carmela et Luis, Monica arrive près de nous, suivie d’une femme d’une bonne cinquantaine d’années. Elles poussent chacune une table roulante garnie de tout ce qu’il nous faut pour le petit déjeuné que nous allons prendre au bord de la piscine.

 

Dès que la bonne s’est éloignée, Monica se débarrasse de sa robe en tissu éponge et, simplement vêtue d’un string qui cache son pubis, elle s’installe pour présider la table. Luis m’explique dans un français quelque peu hésitant que tous les jours quand il fait beau, la famille prend son premier repas au bord de la piscine. Il faut en profiter car les cours vont bientôt reprendre pour les uns et les autres.

 

Du coin de l’œil, je regarde Monica. Je découvre sa poitrine nue : deux seins assez gros et fermes qui tiennent fièrement dressés avec des tétons gros comme un pois chiche. Il n’y a aucune délimitation de bronzage… Quelle belle poitrine !

 

Elle me demande si je suis bien installée, et je réponds en espagnol par l’affirmative, ajoutant même que je suis pleinement satisfaite de l’accueil. Je suis désormais sure que cette année va passer très vite et les quelques jours qui nous séparent de la rentrée universitaire passent à une vitesse folle. Maintenant, le petit déjeuner nus au bord de la piscine n’a plus lieu que le week-end, où Ernesto se joint à toute la famille.

 

Lorsque je le vois le premier samedi dans le simple appareil, je ne peux m’empêcher de lorgner sur sa  haute stature et sa musculature finement dessinée. Il n’a pas un brin de graisse superflue mais je détache difficilement mon regard de son entrejambe où au dessus d’une paire de couilles bien rondes se balance mollement son sexe, et quel sexe !

 

Au repos, il doit mesurer vingt bons centimètres et son diamètre remarquable font littéralement baver ma chatte quand je l’imagine dressé prêt à me pénétrer... Mais je divague. Je ne suis pas là pour batifoler. Mes séances londoniennes avec Guido et Anja ne sont pas si éloignées et ma sexualité n’appelle pas encore à de nouveaux ébats.

 

Le même soir, Luis et Carmela m’emmènent en ville pour une sortie où nous devons retrouver une bande de copains sur les ramblas. En fait il s’agit de d’étudiants comme nous, parmi lesquels se trouvent les flirts de Luis et Carmela. Pour fêter la rentrée, nous allons nous offrir une soirée à la terrasse d’un café avant l’heure d’aller danser en discothèque.

 

Au moment où nous allons quitter la terrasse du café, un jeune homme vient saluer chaleureusement Luis et les autres convives, puis il me présente en disant que si je souhaite, ce sera mon cavalier pour la danse. Grand blond à l’allure dégingandé, Sven est un étudiant suédois que je vais retrouver sur les bancs de l’Université. Lui aussi est venu pour se perfectionner dans la langue de Cervantès mais il m’explique qu’il a tellement fait la fête l’an passé qu’il recommence son année…

 

Tous les huit, nous nous dirigeons vers la discothèque où comme partout la musique est assourdissante. L’ambiance est si morose que nous ne restons pas très longtemps. Vers deux heures du matin, nous nous séparons et nous regagnons la villa à bord du cabriolet de Luis.

 

Les jours passent. Entre mes cours à l’université, les séances de perfectionnement des deux jumeaux dont je suis chargée également de surveiller les devoirs pour le lycée (ils auraient une certaine tendance au laisser-aller selon Monica) je n’ai guère le temps de m’ennuyer d’autant que je suis totalement intégrée à la famille. Les moments passés au bord de la piscine pour le petit déjeuné du week-end deviennent plus rares car le temps fraichit.

 

Un jour où je n’ai pas cours, Monica me fait visiter son atelier. Là, je découvre une facette qui ne me surprend guère : ses tableaux et sculptures sont presque tous consacrés à des nus masculins ou féminins. Certains tableaux sont même des gros plans des parties intimes d’hommes et de femmes qui ont posé pour Monica dans des poses très lascives. Elle a un talent certain. Au cours de la visite, elle me fait découvrir une série de quatre moulages de sexes masculins dressés… dans lesquels je reconnais rapidement celui d’Ernesto que Monica caresse avec tendresse. Les trois autres sont ceux des garçons.

« Ne sois pas choquée ! Ce sont mes amours ! Comme cela je les ai près de moi quand je travaille.

- Oh je ne suis pas choquée, simplement surprise et curieuse. »

 

En disant cela, je pose la main sur le moulage du sexe d’Ernesto que je palpe doucement, rencontrant la main de Monica qui imite la masturbation.

« N’hésite pas, vas-y, je vois qu’elle te plait, et j’ai remarqué tes coups d’œil discrets lorsque nous étions au bord de la piscine. Elle te fait envie ! »

 

La nuit qui suit cette visite est quelque peu agitée. Mes rêves sont peuplés de sexes en érection que je masturbe jusqu’à les faire cracher leur jouissance. Au matin, je me réveille dans un lit dévasté et le ventre en folie si bien que je me caresse sous la douche…

 

Au début du mois de décembre, c’est le seizième anniversaire des jumeaux. C’est l’occasion d’une grande fête dans les salons de la villa qui sont envahis d’une bande de garçons et de filles qui sont au Lycée avec Francesco et Felipe. Les parents sont absents mais la responsabilité repose sur Carmela et Luis. Les consignes sont strictes : PAS D’ALCOOL !

 

Quand tous les jeunes sont partis, nous ne sommes pas trop de cinq pour remettre tout en ordre car pour danser, certains meubles ont été poussés contre les murs. Seule subsiste la décoration. Lorsque je regagne mon studio, je suis un peu étourdie par la musique qui résonne encore dans mes oreilles. Lorsque je sors de la douche, simplement enroulée dans une grande serviette de bain, j’entends frapper à la porte. Je demande qui est là. C’est un des jumeaux qui me dit que j’ai oublié des bijoux dans la cuisine et qu’il me les rapporte.

 

Quand j’ouvre la porte, ce n’est pas un des jumeaux mais les deux sont là, un grand sourire aux lèvres, la main droite ouverte, une bague dans une et une gourmette dans l’autre. Sans que je les y invite, ils entrent et je récupère mon bien. Devant ma tenue, je vois les regards des ces deux coquins s’éclairer. Ils ont du deviner que je suis nue sous la serviette qui découvre le haut de mes seins et arrive au milieu de mes cuisses.

 

Felipe, toujours le plus hardi des deux, passe derrière moi en tirant un des pans de la serviette, si bien que je me retrouve nue. Cela ne me gène pas car ils connaissent déjà mon anatomie, mais je ne sais pas ce qui m’arrive, de voir ces beaux jeunes hommes devant moi, je sens cette douce chaleur qui envahit mon ventre lorsque le désir s’empare de moi.

 

Ils approchent leurs mains de mes seins qu’ils se partagent. Felipe palpe doucement mon sein gauche et Francesco triture mon téton droit pour le faire sortir et dresser comme quand je sors de la piscine. Immédiatement, je sens ma cyprine envahir ma chatte d’autant que d’une même voix, les deux coquins me demandent si je ne veux pas leur faire plaisir.

« Que voulez-vous que je fasse ? Ce n’est plus l’heure de bavarder.

- Oh, on ne veut pas bavarder. On veut simplement que tu nous suces. On en a assez de se masturber. »

 

Je leur dis que ce n’est pas raisonnable, qu’ils sont trop jeunes pour moi… Bref je cherche une échappatoire ! Mais rien n’y fait car ils insistent :

« C’est notre anniversaire s’écrie soudain Felipe, fais-nous ce plaisir. Je t’en prie…

- D’accord, c’est bon pour aujourd’hui, mais n’y revenez pas ! »

 

J’ai à peine dit cela que je me trouve en face de deux beaux sexes lisses et tendus vers moi. C’est vrai que les moulages faits par Monica sont très réussis ! Nous nous installons sur le lit, les deux garçons face à moi qui déjà, me penche sur le sexe de Francesco pour le prendre en bouche en malaxant les bourses de Felipe. Au début, j’alterne les caresses, masturbant l’un pendant que l’autre est dans ma bouche, puis je prends les deux bites dans ma bouche pour achever cette double fellation...

 

Ils ont du se retenir de se faire plaisir depuis quelques temps et avoir mis au point le traquenard qu’ils m’ont tendu, car il ne me faut pas longtemps pour qu’ils crachent leur jouissance que j’accueille dans ma bouche avec délectation. Qu’est ce qu’ils m’ont mis ces deux garnements. J’ai du mal à déglutir tant ma bouche est pleine…

« Allez, au lit, vilains garnements ! »

 

Ils me quittent en me remerciant et m’embrassent chacun sur un sein.

 

Le lendemain au petit-déjeuner, nous sommes seuls. Les parents ne sont pas là ! D’après Carmela, ils s’offrent un weekend en amoureux dans l’arrière pays catalan. Le temps est maussade, avec un fort vent d’est annonciateur de pluie, si bien que nous restons tous les cinq à bavarder dans la maison. Si j’ai progressé dans la langue de Cervantès, les quatre enfants de la famille on fait également des progrès en français. Ainsi, dans la conversation, nous passons d’une langue à l’autre.

 

Quand je me retrouve seule avec Luis, ce dernier me fait une cour pressante qui ne me laisse pas indifférente… Je sais qu’en ce moment il n’a plus de copine, car celle que j’avais rencontrée lors de notre première sortie en discothèque l’a quitté peu de temps après. Je reste cependant sur la réserve car après ce qui s’est passé avec les jumeaux la veille, je ne veux pas m’embarquer dans une histoire sentimentale ou simplement sexuelle comme celle vécue à Londres...

 

Mais j’ai tout simplement envie de faire l’amour ! Les deux jumeaux ont réveillé ma libido qui était en sommeil depuis mon arrivée à Barcelone. L’ambiance érotique des petits déjeuners au bord de la piscine où toute la famille se prélassait dans le plus simple appareil, n’a rien fait pour arranger les choses. Aussi lorsque Luis me demande de l’accompagner dans sa chambre soi-disant pour me montrer quelques chose, je ne suis pas dupe… Il a envie de me sauter. Et moi, j’ai envie de me laisser faire…

 

En fait, il a effectivement quelque chose à me montrer. Il a découvert dans cette chambre qu’il occupe depuis peu de temps, un des miroirs était une glace sans tain qui donne sur la chambre des parents. Il dit que ceux-ci ne sont certainement pas au fait de ce miroir, car sinon, ils l’auraient fait enlever.

 

Nous nous asseyions ensuite sur le lit où Luis m’enlace, prenant ma bouche dans un baiser savant alors que ses mains explorent les dessous de mon sweatshirt pour faire rouler mes tétons encore emprisonnés dans mon soutif. De mon côté je palpe doucement son entrejambe où je découvre une queue déjà bien bandée. Je sens que çà va être chaud !

 

Pris dans une folie sexuelle, nous nous débarrassons de nos vêtements et c’est totalement nu que nous basculons sur le lit, Luis au dessus de moi, prêt à me porter l’estocade. Mais au moment où il va me pénétrer, je l’arrête : il ne porte pas de préservatif et je suis en pleine période féconde ! Malgré mon envie je dois rester prudente. Je lui explique et aussitôt il se couvre : il a tout ce qu’il faut dans sa table de chevet.

 

Je lui tends les bras en lui disant :

« Viens, baise-moi fort ! J’ai envie de jouir !

- Oh oui mais moi, j’ai envie de te baiser depuis que tu es arrivée à la maison ! Avec ma copine Juanita, ce n’était pas génial, elle était trop coincée pour se laisser aller.

- Alors profite, tu vas voir ce que tu vas voir. »

 

En disant cela et malgré mon envie de le sentir en moi, je désarçonne Luis et je le fais basculer sur le dos. Aussitôt, je plonge sur sa bite dressée et je commence une fellation à gorge profonde, venant progressivement à coller ma bouche contre son pubis en triturant doucement ses bourses.

 

Je suis vraiment une belle salope : en moins de vingt quatre heures, je vais avoir sucé les trois garçons de la famille et cela m’excite encore plus rien que d’y penser. Luis crache une première fois dans le préservatif que je retire aussitôt pour me délecter de jus et le faire rebander. Deux heures après, nous avons baisé trois fois ! Luis est sacrément endurant et il avait des réserves. Lorsque nous rejoignons Carmela au salon, elle s’adresse à nous en nous faisant un clin d’œil et nous lui répondons sur le même ton coquin :

« Alors, c’était bon ?

- Oh oui, je suis tombé sur une bonne baiseuse. Çà n’a rien à voir avec Juanita !

- Et moi, il m’a bien fait jouir ! »

 

Les jumeaux ont disparu dans leurs chambres, fatigués selon Carmela. Nous finissons la soirée tous les trois en regardant un film à la télé et nous nous quittons quand les parents arrivent de leur weekend...

Sam 22 déc 2012 1 commentaire
Génial comme suite ! J'ai été conquis ;)
Veck - le 22/12/2012 à 21h24

Espérons que ce sera le cas pour les autres épisodes !

Sophie de R.