Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Il fallait une bonne demi-heure au télésiège pour parvenir au « nid d’aigle » qu’était la cabane rustique du berger. Celui-ci nous accueillit avec jovialité - il connaissait déjà ma femme et ma belle-mère qui étaient venues le voir un été plusieurs année auparavant – les avait-il baisées ? Je n’en sus ma foi jamais rien et n’abordai point la question avec mes deux Amantes ; mais je peux penser qu’il devait en tout cas être certainement au courant des mœurs entre ma belle-mère et sa fille, leurs relations datant d’avant notre mariage… En tout cas, il allait maintenant partager pleinement ces relations en compagnie du mari que j’étais et ne fut pas outre mesure surpris que je baise ma belle-mère en compagnie de ma femme…


Il en profita bellement et j’eus moi-même le plaisir de baiser sa compagne Justine, laquelle se révéla être une magnifique baiseuse dont j’appréciai les talents.
Toujours est-il que le berger embrassa chaleureusement mes deux femmes qui apportaient à son isolement un peu de fantaisie, de charme et d’amour, sa solitude étant complète sur ses hauteurs.

 

Mais je crus comprendre plus tard au cours d’une conversation amicale et arrosée que Justine et lui avaient l’habitude de partouzer avec un jeune couple qui tenait une petite auberge sur l’autre versant, la jeune femme et l’homme un peu plus âgé seraient très heureux de nous recevoir un soir et sans doute une…nuit, après la fermeture… Il avait d’ailleurs un peu prévu la chose pour ajouter à notre séjour une autre touche de fantaisie et varier nos plaisirs !

Le berger était un homme râblé, aux grosses mains couvertes de taches de rousseurs et de poils roux, la mine burinée par les hauts soleils des monts, des rides profondes barraient son front et ses joues. Des sourcils broussailleux surmontaient des yeux verts profonds, il avait un nez aquilin, légèrement busqué, une large bouche charnue à la lèvre inférieure sensuelle complétait son rude visage de montagnard.


Nous nous installâmes dans sa cabane assez vaste, pourvue d’un relatif confort pour un berger de haute montagne : une salle commune, deux chambres, un cagibi avec réserves alimentaires et une bergerie attenante. On lui montait régulièrement par le télésiège tout ce qu’il lui fallait. La cabane sentait la laine, le suint, le cuir sauvage, mais surtout la chaude hospitalité.


Les deux chiens, vifs, actifs, nerveux tournaient déjà autour de mes femmes, celles-ci se montrant particulièrement chaleureuses et caressantes à leur égard, la séduction s’établissant de part et d’autre, comme si les chiens sentaient déjà que ces deux femmes affectionnaient leur présence… Lèchis, aboiements joyeux, pattes levées contre leurs jupes courtes qui commençaient d’ailleurs à attirer le regard égrillard de notre berger, sans doute en manque de présence féminine, son Amie, une robuste montagnarde d’une cinquantaine d’années ne le rejoignant que de temps en temps…

 

Celui-ci voyant l’intérêt qu’attachaient ses chiens à ma femme et à sa mère, il nous laissa entendre avec un plissement de paupières et un petit sourire, que sa propre compagne éprouvait bien du plaisir avec ces… « deux-là ! » selon sa propre expression… Que voulait-il dire ? Un regard entendu entre mes deux femmes et le berger me permit de penser que sa propre compagne devait apprécier certains rapports intimes avec les deux vaillants canidés, gardiens du troupeau de moutons de son Amant…


Justine, c’était le prénom de la compagne de notre berger, « monterait » dès le soir de la vallée pour nous venir rejoindre en notre petit coin de paradis, une fête étant prévue en l’honneur de notre arrivée et un mouton serait même sacrifié à cette occasion.

Le berger prit par la taille mes deux « Maîtresses » et leur fit faire le tour de son habitation ; le bougre ne manquerait point de prendre quelques libertés avec celles-ci, mais n’était-ce en parfaite complicité que nous devions partager ces quelques jours ?!
« Voici votre chambre, mes Belles, le lit est vaste, confortable, vous y pourrez dormir,
facilement à trois… »

 

Et il ajouta :

« Nous y dormons même à quatre, Justine, moi et un couple d’Amis qui tiennent une auberge sur l’autre versant et nous rendent parfois visite pour un peu de…chaleur et d’échanges… »

 

Il nous montra ensuite sa propre chambre, son lit étant recouvert de peaux de moutons cousues ensemble, le tout reflétant une atmosphère rupestre, fauve, sauvage…


Françoise s’assit sur le lit, sa mini-jupe largement remontée…sa mère se tenait près du berger, du prénom de Jean-Marie et buvait ses paroles, tendue vers lui, poitrine à peine maintenue par un pigeonnant soutien-gorge… il la prit par la taille et dit : « Mes Amis, soyez ici les bienvenus , vous êtes ici chez vous…je crois que nous n’allons point nous ennuyer tous les cinq avec la Justine et nos bêtes !! » et il embrassa ma belle-mère dans le cou, laquelle défaillit et se colla à lui, fesses rebondies sous la fine étoffe de sa courte jupe…

La grosse main velue du berger sa plaqua sur une fesse, fit remonter la mini, atteignit le fin slip que des doigts rudes caressèrent…haletant, la casquette en arrière, le berger cherchait son plaisir ! Ma belle-mère geignit et baisa la joue pas rasée du berger qui la serra un peu plus contre lui en nous regardant, ma femme et moi…

« Ils m’excitent ces deux-là, à se frottiner comme cela !!... » s’écria ma femme visiblement troublée par ces travaux d’approche…

 

« Et si nous faisions ben connaissance mes bons ?! dit le berger en soufflant… Serions bien tous les quatre ici à essayer c’te bon lit ! » enchaîna-t-il avec un accent montagnard prononcé…

Ma femme s’étant un peu plus retroussée, montra son mini-slip…

« Ah ben, c’est beau c’que voyons là ! » dit le berger en s’étranglant presque d’émotion…

 

Nous nous retrouvâmes donc tous quatre sur le lit… Jetant un regard par la fenêtre, Jean-Marie dit :

« Le troupeau paissons… j’avons ben l’temps d’danser une « bourrée des fesses », mes bons !! »

 

 

J’aimais bien l’expression quelque peu imagée et donc suggestive…En un tour de main (ou plutôt de fesses !) nous fûmes nus tous les quatre et fîmes grincer le sommier à cons et à culs que veux-tu !!

Ma belle-mère avait empoigné la grosse queue décalottée du berger, couverte de poils roux et la suçait avidement, agenouillée, cuisses ouvertes, Jean-Marie étant resté debout près du lit et la queue bien tendue aux lèvres expertes ; pour ma part, je lichais profondément le cul de ma femme qui gloussait de plaisir sous mon anulingus appliqué, tout en se branlinant le clitin entre pouce et index (ce qu’elle affectionnait comme préliminaires)…


Les bruits mouillés de la bouche de ma belle-mère se mouvant tout au long de la grosse trique du berger venaient se mêler aux craquements répétés du lit sous la branle effrénée que ma femme menait sur son clitorin…


Le berger déqueuta de la gorge de ma belle-mère et fit étendre celle-ci, lui ouvrit les cuisses et la prit sans tarder, queue raide comme une saillie…Le lit grinça sous les va et vient rapprochés et les deux complices jouirent bientôt à nos côtés, dans un chapelet de grossièretés et de ahanements répétés… Prise à fond jusqu’aux couilles, ma belle-mère reçut la bonne semence épaisse de Jean-Marie qui dégorgea sa queue dans le large con que je connaissais bien ; le foutre s’en échappa et nappa rapidement le drap de lin épais grisâtre…


Je poursuivis ma fornication en ma femme après mon délicieux anulingus et me mis à jouir pleinement de ce beau con rose corallien, chaud, ouvert, mes couillines dansant contre les poils de sa chatte toute humide qui bâillait, se distendait et vidait sa substance blanche laiteuse sous les contractions de son con autour de ma queue…


Encore raides tous les deux, Jean-Marie et moi, nous échangeâmes nos partenaires et le berger, braquemard en main, prit ma suite en Françoise qu’il enfila sans autre forme de procès ! Il y glissa comme un dieu, elle cria, leva les jambes, tendit les cuisses, les serra autour des reins blancs du berger, couverts de poils roux et touffus et se laissa ainsi pénétrer comme une chienne…


Je fis de même avec ma belle-mère qui m’accueillit en soufflant, impatiente de se bien faire monter à nouveau… Je glissai en elle merveilleusement, vit huilé par sa cyprine et le foutre épais de notre berger… Quelle douceur, quelle chaude humidité !! J’allais et venais, bandé encore à l’extrême, excité par tant de luxure, ma queue comme un piston de chair raidi, noueux, charnu et veineux, gorgé de sang et qui tirait des râles accrus de la gorge de ma belle-mère, râles émis ponctuellement, hachés, mourants, entrecoupés de :

« Baisez, mon bon gendre, baisez votre salopine cochonne, profond, allez, fouinez, fouaillez bien la mère de votre femme, mon Chéri !! »

 

De telles invites, ne pouvaient que décupler mon trot, assorti des cris de ma femme à nos côtés, gaillardement montée par le berger, bandé comme un bouc et qui faisait entrer et sortir sa grosse triquette convulsive, rouge foncé qui besognait si bien ma Mie… Nous jouîmes, déments, criant, suants, tressautant, défoutrant à tout va, remuant les culs, les soulevant pour les prendre plus profondément, tout cela en des plaintes sans fin émanant de nos compagnes…


La jouissance passée, nous nous entrebaisâmes, puis nous toilettâmes à l’aide d’eau fraîche en un broc, ma femme et ma belle-mère se lavant chacune la minoune au-dessus d’une vieille cuvette émaillée bleue posée à même le sol. Nous ressortîmes. Il faisait beau. Un soleil brûlant assorti d’une petite brise nous caressèrent le visage agréablement. Il ne nous manquait plus maintenant qu’à faire la connaissance de Justine, la compagne du berger, une bonne coquine et baiseuse, à ce qu’il nous avait laissé entendre en quelques mots anodins…


Dans l’instant, il nous dirigea vers les futurs « Amants » de ces Dames, tous bien montés et endurants à ce qu’affirma le berger ; ce dernier ajouta que, particulièrement, l’âne était d’une efficacité à toute épreuve et qu’il était le préféré de « sa » Justine, remplaçant Jean-Marie quand celui-ci était un peu plus haut dans les pâturages avec ses bêtes…

Un bel âne gris, belle allure, nerveux, aux oreilles sans cesse à l’affût et à la…virilité très…apparente…remplissant de joie et d’admiration mes deux femmes qui eurent vite fait connaissance avec ce jeune étalon en de si belles dispositions…
« Branlez-le bien, il aime ça ! » dit le berger à ma belle-mère qui s’agenouilla aussitôt et entreprit de sonner du bourdon sur la gigantesque queue qui se déployait magistralement, la présence de ces femmes à ses côtés, invitant l’âne à se bien manifester…
« Il faudra aussi le sucer avidement, ma Belle… » ajouta-t-il en direction de la maman de Françoise qui, à la suite de cette recommandation du berger, avait déjà embouché voracement le gros vitin rose et gluant qu’elle faisait aller et venir jusqu’en sa gorge, les lèvres retroussées sur la queue au gré des mouvements de sa belle sucée…

 

Visiblement, ma belle-mère se régalait et émettait de petit grognements de bonheur, soutenant la grosse queue d’une main et de l’autre la branlant à hauteur de sa bouche…L’âne donnait du sabot sur la sol, apparemment satisfait d’une telle officiante.


Françoise contemplait sa mère ainsi agenouillée sous l’animal et officiant avec une telle adresse qu’elle en fut toute excitée ; ma coquine de femme avait attendu cela depuis si longtemps, que son plaisir à présent devenait de plus en plus pressant…elle glissa une main entre ses jambes, jambes bien écartées et, regardant sa mère et l’âne fixement, entreprit, debout, cuisses arquées, de se masturber furieusement en râlant doucement : « Vas-y, Maman, branle-le bien ce beau bandeur, il en a besoins, regarde cette queue ! Un monstre de chair, douce, satinée, humide et rose ! Branle la, branle la bien, astique-la, sonne-lui le branle, « Mamouchka » !! (elle appelait sa mère ainsi souvent, au cours de nos accouplements en trio…).


Ma belle-mère à présent avait décalotté la grosse bite de l’âne et s’employait à la sucer avidement, faisant courir la pointe rose de sa langue tout au long de la queue démesurée, comme une démente, les yeux clos, les seins se soulevant, geignante, faisant des « muuuummm, muuuummm » répétés, elle se délectait, introduisant même la pointe fine de sa langue dans le méât du vit, le titillant, puis courant au long de la matraquine de chair, ses lèvres enveloppant le brandon rose, ferme et dodu de la bête… L’âne continuait à donner du sabot sur le sol en bruits sourds résonnants, il bandait ferme et de plus en plus fort !

Devançant les désirs de ma belle-mère qu’il devinait, tant la zoophilie semblait habiter ma belle-maman, le berger glissa un banc sous l’animal, banc emmailloté d’une épaisse étoffe moelleuse (accessoire qu’utilisait habituellement Justine pour se mettre en bonne position et confortablement offerte à l’animal – car la saillie pouvait durer longtemps et se révéler fatigante à la longue pour l’officiante ! – et ainsi pouvait-elle se bien faire pénétrer par la grosse bite tout le temps qu’elle désirait…).

 

Ma belle-mère s’y installa, se cala bien les reins et à bonne distance, cuisses bien ouvertes, fit courir la grosse queue sur sa chatte, mouillant les petits poils de son con de l’humidité du vit démesuré et de sa propre cyprine, tant elle mouillait, complétant ainsi la lubrification de sa belle fente déjà entrouverte… Puis, elle écarta délicatement ses roses lèvres intimes gonflées et boudeuses, bien vaguelées et présenta l e gros membrin à l’entrée de sa chatte… Celle-ci commença à avaler, à renfort de quelques coups de reins bien dosés, le gros chibrin de l’âne se mit à braire soudainement, nasaux tendus vers le ciel…

 

L’animal habitué à ce genre de commerce avec une femme, apporta même sa collaboration dans l’intromission et donna un beau coup de bite à ce conin, ce qui eut pour effet de faire pénétrer le gros bout du cambrelin dans la belle zoophile, indécemment écartelée sous l’animal… La belle cochonne joua des reins et la queue pénétra un peu plus avant…Elle la tenait fermement en paume et la poussait à petits coups toujours plus dans sa fente qui, à présent plus que distendue, ressemblait à une fine bouche avalant un gros serpent…Union surhumaine, mais tellement excitante !

Ma femme se masturbait comme une folle, pelotée par un berger de plus en plus vicieux, lui-même excité par la vue de ma belle-mère en pareille position… Il courba ma femme sur le rebord de la grande table en bois brut qui demeurait dehors et destinée aux repas à l’air libre… lui arracha son fin mini-slip noir, tout maculé de cyprine, lui écarta les fesses et ayant craché dans sa paume, enduisit de salive sa haute queue palpitante décalottée , nantie de grosse veine prépucienne dilatée rouge foncé…

 

Il allait l’enculer, le bougre ! De fait, il pointa en cul, força l’anus et pénétra Françoise qui poussa un long cri, griffant le bois rude de la table de ses ongles encore vernis…Ma belle Bourgeoise fut prise. Il fallait voir comment il la sodomisait ! Je me branlai, queue bien en main, mon regard allant de ma belle-mère enfouinée par l’âne, à ma femme enculée jusqu’aux couilles par le berger… Il lui défonça le cul, l’agrippant, la pressant contre la table, à fond en elle, littéralement empalée par le vit !


Je déchargeai abondamment dans l’herbe à côté d’eux, mais point apaisé pour autant !
Ma belle-mère hurlait de plaisir, empalée, aux trois quarts clouée par la bite démentielle de l’âne…Elle jouit, remuant les reins, s’enfilant un peu plus sur le grand brandon charnu…Le foutre de l’âne jaillit, blanc, crémeux, épais, débordant de la belle chatte distendue, coula à flots entre les cuisses, inondant les poils frisés du sexe de son poisseux onguent, se glissant entre les fesses, interminable flot !!
Le berger, lui, donnait encore par instant des coups de matraquin en spasmes, dans le cul de ma femme qui, à chaque coup de boutoir gémissait, sodomisée jusqu’aux intestins…
La grosse queue de l’âne s’échappa bruyamment du sexe de ma belle-mère avec un bruit mouillé de ventouse et resta à se balancer comme le lourd marteau d’une cloche, les grosses couilles de l’âne se balançant…


Jean-Marie quitta le cul de Françoise et vint tout aussitôt donner sa grosse queue encore gonflée et enfoutrée, à sucer à ma belle-mère qui se délecta ainsi du reste du « bon lait » et des humeurs culines de sa fille, s’employant à bien nettoyer de sa langue, le bitin encore raide…


Je pris la place du berger dans le cul de mon épouse, laquelle n’attendait que cela, pour à nouveau se faire enfiler et remuer des fesses joliment… Elle était foutreuse, débordante de semence…je m’enfouinai en elle d’un seul élan et, à cul ouvert, l’enculai à mon tour… Que ce cul était bon !! Quelle pénétration, quelle chaleur !! J’y fus promptement jusques aux couilles et pénétrai ma femme à longs coups, le chemin étant tout ouvert à mon vice…


Le berger pendant ce temps-là avait quitté la belle bouche de ma belle-maman et glissé sa trique bandée en arc, dans le joli con encore ouvert de celle-ci…il y glissa à merveille, forniquant dans la chaude jutance de l’âne qui, à présent, paissait en un coin de la prairie…


Le bougre de Jean-Marie tira des cris à la belle mâtine qui se laissait mettre , jambes levées au ciel, chatte ouverte à l’extrême…ils jouirent comme deux bêtes et retombèrent l’un sur l’autre, collés, haletants, en sueur, sous le chaud soleil d’Août…
A longs jets, ma semence remplit le cul de ma femme toujours prosternée sur la table… Elle en voulait encore et encore et me donnait des coups de cul exigeants, serrant un anus fort dilaté à force d’être forcé, autour de ma queue aux spasmes éjaculateurs répétés…

Nous fîmes une toilette en plein air, tirant de l’eau d’une cuve (eau de pluie), eau à peine tiède qui apaisa nos chairs en feu. Le foutre abondant de l’âne et le nôtre furent ainsi minutieusement effacés et nous préparâmes le dîner, le mouton restant à rôtir pour notre festin…au clair de lune…

 

A suivre...

Mar 5 fév 2013 3 commentaires
Un seul mot : FABULEUX ! et ravi de vous retrouver, Monsieur le Marquis.
Allan - le 05/02/2013 à 20h16
Chaud, très chaud...bravo cher Marquis.
cachotier - le 05/02/2013 à 21h25
encore une fois un superbe recit
merci encore
José
José - le 09/02/2013 à 16h43