Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

C’est pendant que nous étions occupés à ces préparatifs, que la belle Justine nous rejoignit. Belle femme, un peu plantureuse, les seins s’agitant dans son décolleté (elle ne portait pas de soutien-gorge !), la croupe ferme et bien dessinée sous la robe légère, les cuisses rondes et des jambes de belle apparence. Elle nous embrassa goulument, d’abord sur les joues, puis ce fut plus tard beaucoup plus…amoureusement…
Nous lui contâmes nos ébats de l’après-midi, elle en fut fort excitée et nous confia qu’à la nuit, bien à l’abri dans la cabane, elle saurait, elle aussi, nous prouver son… « attachement » , ne se cachant point d’aimer les femmes, les hommes et les…animaux… Nous étions comblés.


Ma belle-mère ne dédaignait pas non plus les femmes (qu’elle choisissait toujours avec soin) ; Elle se rapprocha de Justine et lui fit une cour des plus…étroite ! Enlacées, abouchées, cochonnes à souhait, elles m’excitaient, magnifiques lesbiennes tout à fait libérées…Ma femme goûta à leurs baisers, tandis qu’une bonne et délicate odeur de mouton grillé parfumait la nuit qui tombait peu à peu. Le berger surveillait de très près la cuisson de « son festin », mettant un point d’honneur à lui bien garder sa succulence. Nous bûmes un bon petit vin, tandis que nos trois divines lesbiennes, semblaient parfaitement s’accorder…

 

Elles s’entrebaisaient, échangeant leurs fines langues, se caressant les seins, les cuisses, toutes énervées, prenant une gorgée de vin pour se la passer ensuite en bouche de bien voluptueuse façon. Je bandais en les contemplant. Cet « apéritif dînatoire » en attendant le mouton grillé, nous permit de nous faire quelques bonnes caresses osées qui nous mirent en appétit à tous points de vue !

Le dîner fut animé, prolongé sous les étoiles et une douce brise caressait doucement nos corps, bien qu’un peu fraîche par instant – nous étions tout de même sur les hauteurs !
La paix, le silence, seuls les rires de femmes amoureuses et chatouillées rompaient par instant le silence, sous l’immensité du ciel étoilé…

Jean-Marie surveilla le troupeau de moutons qui paissait paisiblement un peu plus haut, encadré par deux chiens vigilants.
Entre deux baisers donnés à Justine ou à sa mère, ma femme me dit :

« J’ai envie d’une femme, Chéri et d’un chien… me faire prendre par l’un des chiens de troupeau, puis par toi et Jean-Marie…», cela dit dans un petit halètement de désir et un tremblement dans la voix…


Nous finîmes notre dîner en trinquant, puis le berger nous servit une petite eau-de-vie de « sa » fabrication qui finit de réveiller nos sens et nous plongea dans une grande bonne humeur, s’il en était déjà besoin ! Justine gouinait superbement ma femme, tandis que Jean-Marie lutinait ma belle-mère. Le berger n’en pouvant plus, se leva et finit par repousser les couverts et plats sur la table et plaqua ma belle-maman sur celle-ci et ayant relevé sa fine robe, se coucha sur ses fesses, s’y frotta, bandé à fond…ma belle-mère nous lança :

« Il veut m’enculer, le chéri ! Vas-y donc, mon grand bandeur et devant eux…tu vas les exciter ces vicieux ! »


De fait, le berger soufflant et suprêmement excité, laissait voir son gros braquemard au prépuce dilaté battant joyeusement le cul de « Mamouchka » - il lui donnait la verge ! – il fouilla ensuite les fesses avec son gland rouge foncé, trempa ses doigts dans le fond d’un plat et y prit de la graisse de mouton, dont il enduisit le bout de sa grosse tige… celle-ci prête, il en mit aussitôt sur l’anus de ma belle-maman qui gigota en gloussant et, fin prêt, l’encula d’un seul trait, pénétrant à loisir le fondement, fit craquer la vieille table, haletant, donnant des coups de ventre terribles. Il fut vite enfoui jusqu’aux couillines dans le beau cul de « Mamouchka » qui lui donnait de magnifiques aller-retour de fesses tout au long de sa hampe bien graissée… Ils jouirent comme deux animaux, sous nos yeux, ma belle-mère les mains posées à plat sur la table, le cul tendu, troussée jusques aux reins, ceux-ci cambrés, déchaînés, il la possédait à fond l’œillet…

Justine, l’Amie du berger, me branlait tout en donnant des baisers savoureux à ma femme, leurs deux bouches épousées, soudées, narines dilatées et souffles courts, deux belles gouines ! J’eus soudain une envie folle d’enculer cette robuste Justine, dont je voyais le rond cul s’agiter sous les baisers passionnés qu’elle donnait à ma femme ; j’avais pu en effet, au cours de la soirée, jouir par la vue du superbe cul ondulant sous la fine robe… Je la fis donc mettre à genoux sur l’un des bancs et, penchée en avant sur la table ; ses fesses ainsi étaient à bonne hauteur et j’allais pouvoir officier dans une belle posture… Je la troussai…elle n’avait pas de slip la salopiaude !

 

Les fesses m’apparurent dans leur plénitude, qu’elles étaient belles, charnues, blanches avec un beau sillon partageant ce merveilleux abricot ! Je frottai mon gland à son cul ; elle gémit, tête de côté, embrassant toujours passionnément ma femme en bouche ave c une langue des plus salopes, tendue entre les lèvres de Françoise et y coulissant comme une petite bite…elles mêlaient leurs salives, les buvaient, les échangeaient, deux belles cochonnes ! Comme elles s’aimaient mes gouines !! J’excitai mon prépuce, le pressant contre l’anus large, rose, qui se contractait et s’ouvrait comme le pistil d’une large fleur…le sillon fessier demeurant superbement écarté…


Je n’eus guère de peine à la sodomiser : elle devait avoir une certaine habitude d’être prise ainsi, soit par Jean-Marie, soit par un ami de passage (comme moi), soit encore par l’âne, son bel et si bien membré Amant ! Je pénétrai donc avec facilité ce large sanctuaire, charnu, chaud et si accueillant… C’est que, tantôt, j’affectionnais des petits culs étroits et nerveux, serrant la verge joliment, tantôt, j’aimais à m’ébattre bellement en un fessier bien ouvert où toute ma fantaisie pouvait s’exercer…Autant de culs, autant de plaisirs différents, de jouissances sans limites.


Le troulin bien écarté, l’œil anusien dilaté, je voyais ainsi glisser plaisamment mon vit dans le beau couloir rose et profond où ma tige se sentait chez elle et forniquait tout à loisir, le prépuce gentement chatouillé sur sa grosse veine, par les fins satins anaux, peu à peu écartés qui le venaient écriner ; l’extase, la volupté, la douce paralysie qui précède la venue de la semence, les contractions anusiennes répétées de la compagne, firent que je jouis splendidement de cette anale pénétration, là, sous les yeux de tous, dans les craquements répétés de la table. Nos si vicieuses, cochonnes, inventives autant que soumises compagnes furent toutes trois aussi curieuses et adeptes de sodomies répétées qui les comblaient d’aise et de plaisir. Et ce fut notamment le cas de Justine, habituée à se faire prendre par là, par son sodomite compagnon, ses amis, l’âne et même les chiens…


Je forniquais donc en son cul de la plus dive manière et se balançait ainsi son beau derrière, auquel je donnais quelques belles claques bien sonores sous les rires et les encouragements de nos…témoins tout excités…Sous mes claques, elle se cabrait, me permettant ainsi de la pénétrer plus profondément encore… Quel beau trou-caca et quelle belle monture, elle faisait là !!


Le berger en ayant fini avec ma belle-mère, retira un long vit gluant et dégouttant de foutre visqueux du beau cul de celle-ci, lequel tressautait en mesure, bel arc pourpre, jamais rassasié. Il s’en vint se poster encore bandé à côté de Justine et moi-même, suivit notre galop et se mit sur ma femme qu’il embrocha aussitôt analement, tel un forcené…il bandait encore terriblement, les couilles rondes et fermes et commença à la défoncer. Le cul de ma Chérie menait belle guerre une fois encore enfilé, s’exhaussant, s’abaissant, ayant déjà eu tantôt la visite d’un tel vit et du mien consécutivement. Cela m’excita. J’enculai plus fort et plus vite la Justine qui me reçut à la limite du supportable. Je lâchai mon foutre à tout va, la chevauchant comme un fou, mes mains rivées à ses hanches larges et dodues…Elle se pelotonna sous mois, serra le cul, grogna, baisa ma femme en bouche à côté d’elle, tandis que le berger poursuivait sa chevauchée dans le petit cul de celle-ci…


Pendant ce temps, ma belle-mère se laissait lécher l’anus par l’un des chiens qui, curieux, attiré sans doute par les cris de plaisir et les plaintes, s’était introduit dans la pièce.


La langue de l’animal nettoyait bien le foutre du berger qui s’écoulait toujours en un petit filet blanchâtre que ma dive belle-maman s’employait à expulser à petits coups par les contractions répétées et cochonnes de son joli trou anal…
Le chien voulut la monter…Elle laissa faire et bientôt, l’animal fut en position, troulinant d’une bite ferme l’anneau entrouvert de la « Mamouchka »… Quelle orgie, mes Ami(e)s, quels délices suprêmes nous connaissions là ! Nous en avions envie et nos souhaits étaient exaucés au-delà de nos espérances…


Le berger finissait de jouir en ma femme qui criait comme une… « possédée » (qu’elle était !), Justine finissait de branliner ma queue avec son petit œillet et je jetai dans la…bataille toutes mes dernières gouttes de semence en son superbe cul si gourmand, tandis que ma belle-maman incitait le chien à la toujours mieux monter… Le canidé possédait ainsi pleinement son joli cul et l’on pouvait voir ce petit chien nerveux et performant, reprendre sans cesse ses assauts et faire aller sa bite dans le beau trou-caca qui lui était offert…

 

Ma belle-mère prise ainsi et de façon si forte, pissa tout à coup sur la couche à petits jets clairs qui s’échappaient mélodieusement entre ses belles lèvres intimes serrées, toujours enculée par le chien qui ne se dominait plus, jouissant à plusieurs reprises en cette femme soumise sous lui et reprenant tout aussitôt sa fornication en gémissant de plaisir.

Je déculai de Justine et Jean-Marie en fit autant de ma femme… toutes deux épuisées, demeurèrent sur le dos, affalées sur la couche…  Nous regardâmes ma belle-mère se faire monter en cul pour la quatrième fois par le chien…l’anus toujours aussi accueillant et inondé de sperme canin. Le chien descendit enfin de son cul… Elle dit : « Mes enfants, quel jouissance, je suis morte de plaisir !! ». « C’était pas mal du tout pour nous aussi ! » crièrent en chœur Justine et mon épouse avec chacune un rire éclatant, en dépit de leur fatigue.


Jean-Marie répondit :

 « Demain, mes Chéries, il y aura le bouc… un vaillant lui aussi… vous verrez… » et, d’un clin d’œil complice, il me dit tout bas :

« Nos amis les animaux vont nous aider à satisfaire ces Dames, mon vieux… quel tempérament elles ont !!! »


Nous fîmes chacun, femmes et hommes, une bonne toilette – à l’eau fraîche – et nous nous couchâmes (tous les cinq dans le même lit !) : Jean-Marie avec Justine et ma femme et moi avec ma belle-mère qui cherchait encore à me faire ériger, mais je m’endormis dans ses bras ; elle tenta alors de caresser sa fille amoureusement sous la couverture…ma femme et Justine étaient pelotonnées contre Jean-Marie. Le chien vint baiser la bouche de ma belle-mère, sans doute reconnaissant et affectueux pour de si belles saillies…

 

LE MARQUIS DE CHAIR...

Lun 11 fév 2013 4 commentaires
Excellent, trés bien écrit, belle rédaction sur un sujet hot comme je les aime... et n'hésite pas à publier sur la communauté Divines et Libertines où tu viens de t'inscrire, amicalement...
Garner - le 16/02/2013 à 22h34
Tout le monde attends le bouc et les amis qui doivent arriver !!!!! Merci pour ce beau récit.....
jean-louis - le 18/02/2013 à 10h17
comme si j'avais assisté à la scéne , remarquablement bien rédigé et, la suite est attendue ... merçi
laura - le 21/02/2013 à 15h16
Récit super hard...moi ma belle était tellement con, que même un chien en aurai pas voulu...j'aurai tant aimé.
Beau gosse - le 23/02/2013 à 00h53