Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
J’ai enfin le temps d’écrire mon histoire qui se déroule en 2008, je me nomme Ricci, j’ai vingt-cinq ans, grand châtain et plutôt sportif, sans aucune prétention, la nature m’a bien doté, ma bite atteint vingt-deux centimètres pour une largeur de cinq. Lorsque je suis très excité, elle peut être plus épaisse. Pourtant, ma bite ne plait pas particulièrement à toutes les femmes, ce qui me vaut d’être encore célibataire depuis quelques temps.
Cela fait quelques semaines que j’héberge ma sœur aînée Virginie vingt sept ans, un corps de déesse grecque aux gros seins fermes. Elle est une vraie blonde jusqu’à son entre cuisses, que j’ai
aperçu lorsqu’elle sortait un soir de ma salle de bain que l’on partage durant notre colocation imprévue. Elle avait rompu avec son petit ami qui cherchait désespérément à la reconquérir, … il
avait osé la tromper…
A vrai dire, je l’observais souvent du coin de l’œil car elle est bonne, très bonne, même si elle est ma propre sœur. Elle est super bonne et je me demande toujours comment son ex ami l’a
trompée. Je lutte chaque instant pour ne pas l’imaginer dans mes fantasmes. Mais elle apparaît soudainement en lingerie coquine, car vous vous doutez bien que je ne peux pas ignorer son tiroir de
lingerie, et quel paradis l’imaginant vêtue dedans ! Cela me déclenche de forts orgasmes où j’éjacule très copieux.
Au réveillon 2007, nous avions fait fête à part, je l’avais vue sortir dans une tenue affriolante, une paire de bottes à hauts talons, habillée d’un collant épais noir, d’une très courte jupe
serrée en Jean’s délavé tenue par une ceinture en cuire blanche ; son blouson en cuir marron était court, bien fermé, tendu par sa grosse poitrine et ses cheveux étaient tirés dans une magnifique
queue de cheval. Elle était vraiment très bandante puis avant qu’elle ne parte rejoindre ses amis, je lui avais dit en riant de ne pas rentrer trop tard, elle avait souri de ma remarque et
m’avait répondu d’être sage avant de disparaître.
Après ma soirée plutôt banale, j’étais rentré plus tôt que ma sœur, je m’étais douché rapidement. En me séchant, j’aperçu un tanga en soie et dentelle rose et blanc dépasser de la corbeille à
linge, comme un trésor. Je l’avais saisi par le bout des doigts en sentant mon érection se lever, j’en avais frissonné d’excitation.
Le froufrou en soie était ondulé, la dentelle était merveilleuse et la courte ficelle qui allait dans ses fesses était très fine.
Du coup, mon érection était dure, pleine et dégoulinante de secrétions. Je suis allé nu dans sa chambre, son tanga enroulé autour de ma bite et je m’astiquais doucement voulant savourer ce moment délicieux couché sur son lit l’imaginant me monter comme une cavalière déchaînée.
Cela faisait plus d’un quart d’heure que j’astiquais vigoureusement ma bite suintante, créant un bruit audible, « fuuuiiit,fffuuuiittt,fuuiiitt » mon éjaculation gargouillait, mes hanches s’opposaient à mes poignets. Je les variais dans leurs vitesses et leurs vrillages, par mes fantasmes imaginaires et interdits. Je pressentais une grande charge de sperme arriver. Alors j’ôtais son tanga de ma bite pour ne pas le souiller, je le mis sur ma tête, en soignant à installer l’entrecuisses sur mon nez. A ce moment-là, j’ouvris le tiroir de sa commande pour chercher des mouchoirs et je tombais sur son journal intime soigneusement écrit et le dernier en date :
31 décembre 2007, 20h45
« J’espère rencontrer un type qui me fera monter au septième ciel et qui me nettoiera de mes fantasmes interdits car je l’ai encore aperçu sortir de la douche et il ne m’a pas vue. Sa teub était belle, longue, circoncise et il n’était même pas en érection. Cela me rend folle, j’aimerais lui dire de me faire l’amour, de me faire du bien, je l’aguiche mais il ne comprend rien du tout, bref bon réveillon, petite Virginie. »
Son récit était chaud et excitant, je me demandais qui était ce « il », qui était ce veinard. Je lâchais donc ma bite qui tombait sur mon ventre et je lisais son journal en marche arrière.
30 décembre 2007 - 21h15
« Il m’a réveillée ce matin, j’étais couchée sur mon ventre, le drap au sol, avec une jambe repliée. Mon shorty en soie tirait fortement dans mes fesses, et devait bien les écarter. J’ai fait mine de gesticuler lorsqu’il est entré, j’étais prête et consentante, j’ai même gémi doucement, il est resté là sans bouger, me regardant. Moi, je feignais de dormir, j’ouvrais légèrement mes cuisses, je pensais qu’il allait me sauter dessus, mais le bruit de la porte me fit sursauter et soupirer de ras le bol !»
Sa confession me scotchait, je secouais ma tête me disant :
« Mais c’est moi !!! »
26 décembre 2007 - 03h10
« Avant de me coucher je suis passée en trottinant dans le salon pour aller dans la cuisine en petite nuisette noire assortie du shorty noir en soie transparente, il ne m’a même pas regardée car il mâtait sa télé, je me suis couchée tristement en suçant mon pouce et me suis faite jouir en mordant mon oreiller »
J’étais abasourdi de ses confessions intimes qui parlaient de moi.
24 décembre 2007 - 08h30
« Il va venir me réveiller car je feins de dormir, je vais m’étendre sur le dos, le drap sous ma poitrine nue avec mon visage tourné vers la fenêtre pour lui laisser le champ libre. J’espère qu’il me sautera dessus… »
Oui, je me souvenais de ce matin chaud dans mon caleçon. Si j’avais su…
Puis j’ai continué à lire ses confessions ; je n’en revenais pas, elle m’allumait volontairement et attendait une réaction de ma part. Je me traitais d’imbécile, je ne bandais plus car je savais maintenant qu’elle désirait mon corps et ma teub comme elle disait dans ses récits.
Je décidais de continuer à ne pas remarquer son attitude et d’attendre le bon moment pour lui sauter dessus comme elle le souscrivait.
Après avoir passé une courte nuit à penser aux multiples rêves incestueux qui pourraient dorénavant se concrétiser, je sortais de mon lit avec une érection du tonnerre qui tirait sur l’élastique de mon caleçon, j’allais dans la cuisine me faire couler un café et j’aperçus son sac à main posé sur la table, elle était rentrée.
J’avançais doucement vers sa porte, je l’entrebâillais, là étendue sur son dos, nue, encore maquillée de sa sortie. Elle était divine et excitante, sa chatte touffue blonde m’appelait, mais je
sirotais mon café en la regardant probablement simuler son sommeil. J’étudiais son regard et le pli de ses yeux. Elle jouait bien son jeu. Elle m’excitait vraiment, mais je refermais la
porte.
Le soir du premier jour de l’année 2008, elle sortit boire un verre avec son amie et me dit qu’elle reviendrait assez tard. A sa sortie, je filais très excité dans sa chambre afin de lire sa
confession.
01 janvier 2008 - 08h55
« Il ne m’a pas réveillée et n’a même pas ouvert ma porte. Dommage pour lui, il aurait pu commencer une bonne année. J’étais totalement nue et étendue sur mon lit, j’avais mis des capotes sur ma table de nuit et j’étais restée maquillée. Quel dommage pour nous deux ! »
Sa confession était hallucinante et je n’avais même pas remarqué les capotes sur la table ! Je faisais beaucoup d’efforts pour ne pas me masturber furieusement sur son lit, et lui laisser une preuve que son petit manège fonctionnait.
Le début d’année était difficile, et je l’avais laissée jouer son petit jeu coquin. Les occasions n’avaient certainement pas manqué, ma sœur était vraiment douée. Je ne peux vous réciter toutes
ses confessions tant il y en avait depuis le début de cette année.
13 février 2008 - 13h45 (Nous sommes tous les deux en congés)
« Demain, c’est la saint Valentin, il n’a pas trouvé de petite amie, il doit avoir les couilles et la teub en feu. Moi, je n’ai encore rencontré personne. Au petit matin, je ferai semblant de traîner au lit, habillée uniquement d’un mini string ayant en guise de nœud cadeau, à la naissance de ma raie du cul. J’aurai aussi un oreiller installé sous mon bassin, mon cul sera très aguichant, j’espère qu’il osera ! »
Le jour de la St Valentin, je me lève plein de bonheur. Je bande vraiment dur. Je ne suis jamais resté aussi longtemps à me masturber. La journée est ensoleillée, j’hésite à réveiller ma sœur qui doit m’attendre dans sa petite tenue sexy, car je crains lui sauter dessus.
Je vais uriner difficilement tant je bande. Puis je reste à traîner dans mon lit en dégustant mon déjeuner, tout en regardant ma télé. Je bande toujours comme un cerf. Vers le milieu de la matinée, j’entends la douche et la voix de ma sœur qui chantonne dessous l’eau. Je vais vers la porte de la salle de bain, je lutte pour ne pas ouvrir et lui sauter dessus dans la douche. Je vais dans sa chambre, l’oreiller est au milieu de son lit, je pense qu’elle devait être dessus. Alors, je prends son journal intime pour voir si elle a écrit une remarque sur ma non-venue.
14 février 2008 - 9h50.
« Je l’ai entendue pisser et je suis très déçue, je l’attendais excitée comme une puce. J’avais même prévu de la vaseline dans mon chevet en cas de sodomie. Je vais dans la douche en chantonnant du Madonna qui résonne du poste radio situé dans la salle de bain, j’espère que cela le gonflera de m’entendre chanter, et qu’il viendra me le dire. S’il me voit nue, il osera peut-être me sauter dessus car je l’attends »
Pour moi, s’en est trop, j’ôte mon caleçon et me dirige nu, la bite aussi dure que jamais vers la salle de bain. Mes sécrétions gouttent sur mon passage. La voix de ma sœur se fait plus claire,
elle chante « Like a Virgin » de Madonna.
C’est trop excitant. Je suis au pied de la porte, je frotte délicatement ma bite débordante d’envie, j’ai très envie de gicler. J’entre, la voix de ma sœur se s’arrête, mais la radio continue, il y a plein de buée dans la pièce. J’avance, très excité comme jamais avant, sur la pointe des pieds vers la porte en verre de la douche, j’ouvre sèchement, l’eau très chaude coule, mais la cabine est totalement vide.
Je reste figé, bouche bée, personne à l’intérieur, je me retourne car je l’entends ricaner dans mon dos et elle me dit
« Et alors, on veut violer sa sœur ??? »
La buée s’évacue, elle était derrière la porte, mouillée, les cheveux trempés tombant sur son torse, elle est magnifique. Elle est habillée d’un porte-jarretelles noir trempé aussi, sans rien
d’autre. Elle tient les bas assortis dans ses mains car elle allait sûrement les enfiler, sa chatte blonde ruisselle, ses poils sont plaqués.
« Whaou ! Virginie !!! dis-je la bite toujours dans ma main, et maintenant pointée vers elle.
- WHAOU !! ENORME TA TEUB !!! » crie-it-elle les gros yeux verrouillés dessus.
Elle rougit légèrement de mon étonnement et croise timidement ses jambes, mais laisse quand même un espace entre ses superbes cuisses galbées. J’ai envie d’éjaculer sur place, et même si elle est
à trois mètres de moi, je pense que mon sperme l’atteindra. Alors, je me masturbe furieusement car je n’ose pas lui sauter dessus.
Elle est ma propre sœur !!!
« Oh Ricci mais que fais-tu avec ta grosse teub ? » dit-elle d’un ton triste en regardant ma teub comme elle la prénomme.
Ces mots venant de sa bouche m’excitent à un plus haut point, je me masturbe durement en la dévorant des yeux.
« Non Ricci, viens, viole-moi, viens !! » implore-t-elle.
Je ne résiste plus, je me jette sur elle. La plaquant dans l’angle du mur, je lui soupèse et serre ses gros seins que je mène dans ma bouche. Les deux tétons se touchent, et je les grignote en regardant ses émotions sur son visage.
Elle est soulagée et embrasse doucement mon front. Puis je cherche sa bouche pour l’embrasser sensuellement, je sens ses mains me caresser le dos. Je niche ma bite entre ses cuisses, mon gland touche l’angle du mur, les lèvres chaudes de sa chatte épousent ma hampe. Longuement, j’aiguise ma bite, on gémit dans nos bouches scellées.
Ma sœur danse sur ma teub très dure, puis après ce long moment délicieux, elle glisse contre le mur faisant tendre ma bite vers le sol. Je recule, ma sœur s’accroupit et se prend une gifle de ma queue sous le menton. Elle ricane, l’empoigne, la gobe voracement et me suce avidement.
Elle est incroyable, sa pipe est hors norme, elle est surexcitée… Mon gland bute dans sa gorge, mais elle insiste en empoignant mes fesses. J’attrape ses cheveux et baise sa bouche. Elle voulait ceci car elle se laisse faire en me regardant droit dans les yeux.
Je baise tour à tour ses joues qui se déforment, elle glousse, bave, gémit et me griffe les cuisses. J’essaye de faire rentrer plus profondément ma bite dans sa bouche bouillante. Elle tourbillonne sa langue, grandit son cou et glougloute, sa gorge se détend, je donne des va et vient qu’elle encourage, mon gland coulisse dans sa gorge, l’effet est impressionnant, ma sœur se retire, inspire fortement
« On y est presque p’tit frère ! » souffle-t-elle.
Je pousse à nouveau dans sa gorge offerte, j’insiste. Elle force en amenant mes fesses vers son visage et son nez s’écrase dans mes poils. Ma sœur a avalé entièrement ma bite de vingt-deux
centimètres !
Je suis aux anges, car elle cligne son œil et se met à me sucer sauvagement et profondément. Je suis appuyé contre le mur, je souffre de plaisir en baisant sa bouche. Ma sauce blanche monte et je le crie de tous mes poumons :
« Je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrrr ! »
Elle dégage ma bite de ses entrailles buccales :
« Giiiicclle sur moi dessus, ggggiiiiiccle !!! »
Son visage exprime une belle furie, elle fait des bisous sur mon gland lorsque je me branle puis installe sa tête dans l’angle du mur et ouvre sa bouche aussi grande que possible et tortille sa
langue autour de ses lèvres puis ferme ses yeux au premier jet de sperme.
Mes jambes vacillent tant j’éjacule abondamment. Je lui tartine son visage de petite blonde, elle ricane des jets qui fouettent sa figure. Elle en avale certains qui arrivent dans son palais et
se prend d’autres jets sur les lèvres.
Virginie, ma sœur, est peinte de sperme, elle ne peut même pas ouvrir les yeux. Elle me demande de l’aider à se lever,
et je la regarde accroupie au sol, elle est trop bonne, je veux la baiser comme jamais.
« Inceste ou pas Virginie, je vais te violer » lui dis-je attrapant ses mains pour l’emmener dans la douche.
« Il serait temps Ricci !!! » répond-elle en rentrant dans la douche.
A suivre... peut-être
j espère qu il y aura une suite car cela est trop éxitant ....
J'aime ce style de récit, très excitant. Bravo.
Moi aussi j'ai trouvé ce récit bandant. Promis, je vais proposer à ma soeur de cohabiter.
Récit très excitant. Seul le mot violer me dérange un peu.
je le trouve très excitant ce récit. L'inceste le rend encore plus bandant.
En ce qui me concerne l'inceste ne me gène pas du tout quand il se passe entre adultes consentants.
Vivement la suite
Ma soeur m'a aidé à devenir travesti
Je suis bisexuelle, n’étant pas opérée, je peux être active et passive, comme ça se dit aujourd’hui, selon les goûts de mes amants et de mes amantes ou selon mes propres envies. Je ne suis pas
une professionnelle et ne fais pas commerce de mon physique ou de mes charmes, j’ai un métier.
Même si je suis une créature ambiguë du 3ème sexe, j’ai une allure féminine, et je dois avouer que j’adore le sexe et que ma vie est plutôt riche de rencontres et d’expériences.
Physiquement, je suis mince, épilée intégralement, avec des cheveux courts à la garçonne et j’ai des yeux noirs, je mesure 1,72m, pour 60 kg, j’ai une petite poitrine aux auréoles brunes, et pour
finir, je suis très étroite des hanches, cambrée avec de petites fesses et un petit cul serré.
Depuis que je suis petite, et oui j’emploie le féminin pour moi, j’ai toujours été attirée par le fait de m’habiller en femme, et grâce à ma soeur, l’occasion de réaliser ce phantasme fut
possible, car chaque fois que Nadia ma soeur, que j’appelle Nad dans mon récit, comme dans la vie, était absente de la maison, j’en profitais pour passer ses vêtements.
Bien que plus âgée que moi de 2 ans, nous nous ressemblons et avons depuis toujours le même physique et, à cette époque, nous étions très proches l’une de l’autre et nous partagions tous nos
petits secrets.
Très tôt dans ma jeunesse, j’allais souvent dans la chambre de ma sœur Nadia pour me travestir, elle était très gâtée par mes parents car elle réussissait merveilleusement à l’école, et ils lui
donnaient de l’argent de poche, je savais qu’elle aimait les dessous, tout son argent de poche y passait.
Dès qu’elle était absente, je m’aventurais dans sa chambre, en explorant tous les rangements qui pouvaient abriter des trésors, à la recherche des lingeries, j'ai fini par trouver que c'était la
commode qui contenait tous les trésors de nylon et de dentelle, j'ai ouvert un à un les tiroirs, découvrant ses petites culottes, ses soutien-gorge, ses combinaisons, ses bas, ses
porte-jarretelles, plein choses très sexy que je n'aurais jamais imaginé avoir un jour à portée de main. Après avoir touché, caressé et même senti toutes ces belles choses, je n'ai pas pu
m'empêcher de revêtir ses affaires, étant du même physique que Nadia, tout m'allait très bien, du soutien-gorge au porte-jarretelles, en passant par les bas, la combinaison et même ses
escarpins.
Donc souvent dans la chambre de ma soeur, je m’habillais dans ses habits de fille et passais mon temps à me regarder dans la glace, et ces instants étaient du pur émerveillement, puis plus tard,
je me suis mise à me maquiller lors de ces instants de solitude.
Durant cette période pendant laquelle je me partageais entre l’école et le plaisir de me travestir secrètement et mes plaisirs solitaires, je n’avais à l’époque, car compte tenue de mon
ambiguïté, aucune relation sexuelle avec des filles de mon âge, simplement des attirances d’amitié, par contre je me sentais vraiment attirée par les garçons de mon âge ou même plus vieux, la
solitude et mes plaisirs seuls habitaient mon quotidien.
Souvent le soir, seule allongée nue sur mon lit, je me caressais faisant bander mes petits bouts de tétons, tout en caressant mon sexe qui durcissait et se dressait fièrement vers le plafond de
la chambre, puis fermant les yeux, je pensais à des corps enlacés faisant l’amour dans toutes les positions, je me laissais à rêver enserrant des sexes dans mes mains et les branlant jusqu’à la
jouissance. Dans ces moments là, je me branlais jusqu’à la jouissance complète, lâchant vers le plafond ma semence en de longs jets.
Parfois, je passais un doigt sur mon anus, le caressant, je réveillais alors en mon corps des frissons et des désirs, je prenais plaisir à m’enfoncer divers objets dans l’anus en attendant qu’un
autre jour, je connaisse les délices d’un zob en moi.
Bien sur très rapidement, ma sœur a découvert mon tendre secret et c’est avec un certain délice que nous avons partagé ces instants où ma sœur me conseillait sur la façon de me maquiller ou de
m’habiller en fille. Dans l’intimité partagée, elle m’appelait Laila comme je voulais que cela soit plus tard. Avec elle, j’ai aussi découvert le plaisir de porter des sous vêtements et d’être
admirée, toutes ces tenues sexy mettant en valeur mon physique, et j’avoue que c’est à ce moment là que mon amour pour les bas, les portes jarretelles et les strings est né. Ma sœur étant majeure
à l’époque et adorant la lingerie, comme je l’ai dit, toutes ses économies y passaient et c’est elle aussi qui m’a appris comment marcher avec des talons aiguilles sans être vulgaire, mais juste
avec charme et sensualité.
Souvent dans sa chambre, nous passions d’une tenue à une autre et durant ces changements, nous regardions nos nudités en faisant des comparatifs.
Durant cette période, alors que nous étions dans sa chambre, nues toutes les deux comme de coutume lors de nos séances d’essayage, ma soeur me montrait ses nouveaux trésors et nous étions assises
au bord du lit, nous passions un moment merveilleux, elle me parlait maintenant comme à une fille, ce qui était très excitant.
Nadia m'entoura alors la taille d’un porte-jarretelles rose, en forme de serre taille avec de courtes jarretelles, puis me passa le bustier et la petite culotte assortis, elle rajouta des bas
blancs à couture d'une finesse extrême, qu’elle m'enfila avec application, un bas puis l'autre, me fit mettre debout et agrafa les bas aux jarretelles du serre taille. Nad remarqua que ma
poitrine était bien plate pour une poitrine de fille, on y remédia en glissant à son initiative des culottes roulées en boule dans les bonnets du soutien-gorge, elle me montra une paire
d'escarpins noirs fermés avec une fine bride, je me levai du lit et me dirigeai vers elle en imitant sa démarche.
Une fois, l'une devant l'autre après cet après-midi d’essayage, nous eûmes envie de nous embrasser, les mains autour de nos cous, alors que nos bassins étaient collés l'un contre l'autre, nos
hanches commençaient à ondoyer et mon sexe raide, protégé par le fin écrin de nylon de ma culotte frottait contre son pubis épilé, celle-ci fut troublée, et alors que nos lèvres se rapprochaient,
Nad me dit doucement :
- Restons-en là, ma chérie, mettons une nuisette et allons au lit dormir.
Plaisirs intimes.
Durant cette période, sachant qu’au fond de moi, je désirais être femme ou tout du moins avoir l’apparence d’une femme et de ce fait plaire aux hommes ou pourquoi pas aux femmes, je demeurais
seule sans relations et je me contentais de me donner du plaisir en solitaire.
C’est ainsi que me donnant du plaisir en solitaire, j’ai découvert en me masturbant le plaisir anal.
Je comprends les femmes, qui affirment n’avoir aucun plaisir &ag
Y avait-il une suite à ce recit ? il semble inachevé...
Cette histoire est à rapprocher de celle que j'ai écrite et qui est publiée sous le titre " GARCON OU FILLE ". En fait je me suis inspiré de la lecture d'un livre lu il y a de nombreuses années dans lequel l'auteur raconte bien plus en détails sa transformation d'homme trentenaire en une femme aux formes certes menues...
Tu as toujours le souci du detail et de la précision qui t'honore, mon cher...
Je venais d'avoir 14 ans quand mon père se mit en ménage avec une femme plus jeune et très autoritaire envers moi. J’étais un jeune garçon très timide et gringalet et ma belle-mère était tout le temps après moi et ne me supportait pas. Elle réussit à convaincre mon père de m'envoyer chez des amis à elle pour passer les 3 mois de vacances d'été. Je me rendis donc chez ces amis par le train et fus accueilli à la gare par une femme de 40 ans, très jolie, elle me dit qu'elle était une très bonne amie de ma mère et que je devais l'appeler "ma tante".
Arrivés à la maison, elle me présenta, son mari et son fils de 17 ans, puis elle me fit visiter la maison en m'indiquant les corvées que je devais effectuer tous les jours (faire les lits,
nettoyer la salle de bain, préparer les repas avec elle…). Arrivés dans la chambre de son fils Amir: il y avait un lit de deux places et elle me dit que j'allais dormir avec lui et que, comme ça,
elle gardait la chambre d'amis pour mes parents, et elle m'explique comment ranger les vêtements de Amir et où mettre son linge sale. On retourne dans la cuisine, elle m'explique où se trouvent
les ustensiles et elle me dit après les repas : "nos " hommes vont se reposer devant le télé et nous, on débarrassera et on fera la vaisselle " toutes" les deux. J'ai été étonné qu'elle
parle de moi au féminin mais je n'ai rien répondu.
La soirée s'est passée normalement et on a regardé la télé tous ensembles, moi assis à coté de Amir, chacun de son coté du canapé. A 23h, elle nous dit: allez vous coucher et toi Karim, viens faire un bisou à ton oncle et à ta tante. J’embrasse mon oncle et j'arrive à ma tante, là elle me prend la tête entre ses deux mains et me dit d'un air très tendre" tu vas dans la chambre, tu mets ton pyjama, tu te couches et tu fais un très gros bisou à Amir. D’accord ma grande ?», je lui réponds que je suis d'accord, elle dit alors à Amir qui me prend par la main "Ne sois pas trop pressé, va doucement avec elle".
On se couche, moi en pyjama, Amir nu, mon regard a été attiré par son zob de 15 cm au moins au repos. Amir le voit et me dit "elle te plaît ma bite ?", je ne réponds rien, je suis bien trop
timide, alors Amir me dit "Approche et embrasse-moi comme ma mère te l'a dit". Je m'approche de lui, il ouvre les bras, me serre contre lui et me fait 4 ou 5 petits bisous sur la bouche. Je me
sens toute chose mais je reste dans ses bras contre lui à attendre, il me fixe dans les yeux, passe sa langue sur ses lèvres, s'approche doucement de ma bouche et me roule ma première pelle. Je
m'endors difficilement.
Je suis réveillé au petit matin par Amir qui est collé dans mon dos et me parle à l'oreille "Ma chérie, réveille-toi", je tourne la tête vers lui, il m'embrasse et me dit " j'ai mal dormi cette
nuit et j'ai envie que tu me suces ma chérie". Je ne bouge pas, (trop timide), je reçois une claque sur les fesses qui me fait descendre immédiatement sous les draps jusqu'à happer la queue de
Amir dans ma bouche, elle sent fort, mais le goût me plaît tout de suite et je me mets à le sucer avec plaisir, à mon grand étonnement. Amir me dit " arrête je vais jouir, mets-toi à genoux et
ouvre la bouche". Je me mets à genoux, bouche ouverte: il pose le gland de sa queue sur le bord de ma lèvre et se branle, il jouit 4 grosses saccades et me dit de ne pas avaler et de rester la
bouche bien ouverte, il prend son téléphone et me filme et, tournant autour de moi, il baisse mon pyjama, me fait écarter les fesses avec les mains, revient vers mon visage et me dit :
avale! ; Ce que je fais sans faire de grimaces bien au contraire. Il me fait nettoyer sa queue puis toujours, en me filmant, il me demande de lui dire si j'ai aimé, si je veux qu'il
recommence et si ça me plait d'être sa femelle, j'ai répondu oui à toutes les questions.
Voila comment, en une journée et une nuit, ma belle-mère a fait de moi une petite salope de 14 ans, amoureuse d'un jeune de 17 ans avec la bénédiction de ses parents.
Je vais publier ton recit début octobre, si tu veux bien...
Amir est sorti de la chambre, je remets mon pyjama, refais le lit et range amoureusement les affaires de mon chéri. Je vais à la cuisine et je suis accueilli par ma tante avec un grand
sourire : "ma chérie, tu as passé une bonne nuit, tu vas prendre une petite tartine, tu as déjà quelque chose de chaud dans le ventre, hein ma chérie ?", je baissais les yeux et lui
répondis que je voulais bien une tartine et que, effectivement, j'avais déjà du chaud dans le ventre, elle me dit que c'était très bien et me demanda si j'avais aimé ça, ma réponse positive l'a
soulagée.
Elle me dit aussitôt de m'asseoir, qu'il fallait que l'on parle:
Elle: est-ce que ça te plaît d'être traitée comme une femme?
Moi: euh, je ne sais pas.
Elle : ne sois pas timide ma grande, tu m'as dit que tu avais aimé sucer Amir et boire son jus?
Moi: oui, j'ai aimé ça.
Elle: tu n'as pas fait de difficulté hier soir quand je t'ai dit de lui faire un très gros bisou, t'as pas aimé?
Moi: oh si, c'était très bon.
Elle: et son jus dans ton ventre, ça t'a pas plu?
Moi: oh si, ça m'a beaucoup plu.
Elle: tout ça, sont des choses que font les femmes pour leurs hommes, non?
Moi: oui vous avez raison.
Elle: alors, tu veux devenir une femme pour bien t'occuper de ton Amir?
Moi: oh oui.
Elle: tu es vraiment sûre ma grande?
Moi: oui je suis sûre.
Elle: réfléchis bien car tu seras une femme tout le temps, partout et toute ta vie?
Moi: oui j'ai bien réfléchi, je veux devenir une femme.
Elle: c'est très bien, ta belle-mère a bien fait de te laisser pousser les cheveux pendant 3 mois, on ira chez la coiffeuse cette après midi te faire une coupe de fille et enlever tes vilains
poils.
Moi: en ville ?
Elle: oui, je t'ai dit que tu serais femme tout le temps, partout et c'est pour te faire belle pour que l'homme ait envie de toi ma grande.
Moi: oui vous avez raison, je dois être belle.
En disant cela, je me caressais le ventre avec la main, ce que ma tante vit immédiatement et elle me dit:
Elle: tu vois que tu as encore envie que Amir te mette tout dans la bouche.
Moi: oh oui, c'est tellement bon si vous saviez ma tante !
Elle: mais je sais moi aussi, j'ai un homme, c'est pour ça que tu dois bien m'écouter et faire ce que je te dis.
Moi: oui j'oubliais que vous avez mon oncle, je vais bien vous écouter et je ferais tout ce que vous me direz.
Elle: et puis ton homme t'en mettra aussi beaucoup dans tes fesses ma chérie, ce sera pas tout pour ta bouche, as-tu déjà reçu un homme dans tes fesses?
Moi: non jamais.
Elle: bon ce matin, on va aller t'acheter des habits de fille et on s'arrêtera au sexe shop pour un plug.
Moi: c'est quoi un plug?
Elle: c'est un sex-toy spécial pour les filles comme toi, on te le met dans les fesses bien à fond et tu le gardes tout le temps, tu ne l'enlèves que pour aller au toilette et tu le remets tout
de suite. Comme ça, avant d'aller au lit avec un homme, tu l'enlèves et l'homme peut te baiser sans te faire mal et jouir au fond de tes fesses.
Moi: je ne veux pas d'un autre homme que Amir.
Elle: si, il n'y a pas que Amir. Des fois, il te dira de faire plaisir à un ou deux copains ou à des hommes inconnus. Ce qui est important ma grande, c'est de dire oui à tout le monde et de les
laisser se finir, soit dans ta bouche et de toujours tout avaler ou bien au fond de tes fesses. Tu as bien compris ma chérie?
Moi: oui, toujours dire oui et les laisser jouir dans mes fesses ou dans ma bouche et bien tout avaler.
Elle: c'est très bien, va t'habiller maintenant avec les vêtements que j'ai posés dans la salle de bain. Pendant ce temps-là, je vais appeler ta belle-mère pour lui dire que tu es prête à devenir
une femme.
Moi: oh non, pas ma belle-mère !
Elle: si! T’inquiète pas, je pense qu'elle va être très contente.
Je me rendis dans la salle de bain et je commençais à m'habiller avec: culotte, soutien gorge, porte jarretelles, chemisier un peu transparent, jupe à mi cuisses et escarpin. Pendant ce temps, j'entendais ma tante parler au téléphone avec ma belle-mère.
Cette suite sera aussi publiée, bien sur!
mais y a-t-il une suite ?
La violation des tabous a toujours quelque chose de très excitant. De plus, ce texte est très bien construit. J'espère vivement qu'il y aura une suite.