Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Ludovic et moi, nous assumons pleinement notre orientation à la fois homosexuelle et bisexuelle car nous ne refusons pas des aventures féminines. Agés tous deux de vingt-six ans, nous sommes cadres dans deux entreprises différentes du port de Rouen. Nous nous connaissons depuis de longues années mais le fait de travailler à proximité l’un de l’autre nous a encore rapprochés. Nous nous retrouvons parfois dans un club pour profiter des installations de sauna, hammam et détente de cet établissement bien fréquenté par les libertins de la région rouennaise. Nous y rencontrons des coquins de toutes sortes qui partagent ou non nos goûts.

 

Il y a quelques semaines, nous nous sommes retrouvés pour aller y passer la soirée. C’était un vendredi, nous pouvions en profiter pleinement jusqu’à la fermeture à minuit. Après avoir fait plusieurs passages au sauna suivi du traditionnel bain froid, nous sommes allés dans la pièce où se trouvent deux grands jacuzzis. Nous étions seuls. Après quelques moments de détente dans les remous et les jets de massage, nous avons commencé à chahuter. C’était le signe de départ d’une partie au cours de laquelle nous allions faire l’amour sur un des lits de repos se trouvant là pour ce genre d’ébats. C’était une sorte de lutte aquatique dont le but était de plonger la tête de l’autre sous l’eau tout en échangeant des caresses. L’un et l’autre nous étions bien chauds, nos bites tendues à l’envie. C’était à qui placerait l’autre en position dans l’eau pour se glisser entre ses fesses.

 

Cette joute déterminerait celui qui prendrait le cul de l’autre. Nous étions tellement pris par notre jeu que nous n’avons pas remarqué tout de suite que nous étions observés. Appuyée contre un pilier au bord d’un bassin, il y avait une silhouette longiligne. A première vue, rien ne permettait de savoir s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme : les cheveux noirs pratiquement rasés, le torse caché par un long teeshirt un peu ample laissant deviner deux tétons légèrement proéminents sur ce qui s’est avéré être deux seins à peine dessinés, des hanches étroites au sexe masqué par un string noir opaque.

 

Enlevant son teeshirt notre voyeuse (car c’était une toute jeune fille) s’est approchée de notre jacuzzi et d’une main, elle a commencé à caresser sa chatte par-dessus le tissu du string alors que de l’autre, elle faisait rouler entre ses doigts des tétons gros comme un pois chiche. De nous voir cela devait l’exciter et d’être observés, cela nous excitait aussi. Elle a enjambé le rebord tout en nous regardant. Ludovic avait ma bite dans la bouche pour une fellation lente. Nous n’étions pas pressés. Soudain la fille a fait glisser son string, découvrant sa chatte au dessus de laquelle se trouvait une petite touffe de poils taillée en rectangle.

 

Elle s’est encore rapprochée de nous. De sa main droite elle est venue caresser ma nuque puis elle est descendue jusqu’à mes seins qu’elle a palpés avant de venir les embrasser. Elle s’est glissée dans le bac à côté de Ludovic. De sa main droite elle a saisi son sexe auquel elle a imprimé de lents va-et-vient en partageant ma bite avec lui, se la passant de l’un à l’autre. Que c’était bon de se faire pomper ainsi. Après quelques temps, elle a plongé la tête sous l’eau et c’est ainsi qu’elle a commencé à sucer Ludovic. Bien sur, elle devait reprendre sa respiration. Je pouvais voir combien ses yeux brillaient d’excitation à chaque fois que sa tête émergeait.

 

Nous sommes sortis tous les trois du jacuzzi. Prenant nos bites dans ses mains, elle nous a entrainés vers un des lits de repos dissimulé derrière un paravent :

« Vous êtes bien chauds, vous allés pouvoir baiser et me baiser…»

 

Elle a allongé son torse sur le lit, les hanches au niveau de l’extrémité, les jambes à demi fléchies. Elle nous présentait ses fesses de garçon manqué en disant « Lequel de vous deux veut en profiter ? Vous pouvez me prendre la chatte ou le cul, choisissez ! ». Je me suis mis derrière elle, j’ai couvert ma bite d’un préservatif (c’est imposé par le règlement de l’établissement) et je me suis introduit dans son cul. Oulla ! Qu’elle était ouverte. Je n’ai pratiquement pas eu à forcer pour la pénétrer jusqu’à la garde. Ludovic s’est protégé à son tour et a commencé à me sodomiser. Nous n’avions jamais pratiqué ainsi à trois l’un dans l’autre, et encore moins avec une partenaire féminine.

 

Nous avons accordé nos mouvements. Je sentais les muscles intimes de la fille me masser la bite chaque fois qu’elle arrivait au fond de sa gaine étroite et chaude qui la serrait au plus près. Chaque poussée de Ludovic m’empalait un peu plus dans ce cul accueillant. Les fellations qui avaient précédé avaient fait monter la sève. Notre plaisir est arrivé en même temps que la fille jouissait du cul elle aussi. Je crois que jamais je n’avais déversé autant de sperme dans un préservatif. Nous sommes restés quelques minutes embrochés ainsi l’un dans l’autre avant de nous désunir pour aller prendre une douche tous les trois.

 

Nous sommes revenus tous les trois dans la salle des jacuzzis où nous avons repris nos caresses en triangle. Pendant que Ludovic lui faisait un cunnilingus, elle me pompait la bite et je pompais celle de Ludo. Nous étions encore plus excités qu’avant mais le summum, çà a été lorsqu’elle nous a demandé de la prendre en double. Nous avons disposé un des matelas de repos sur le sol. Ludovic s’est allongé sur le dos. Elle s’est immédiatement empalée sur la bite dressée qui s’offrait à elle. Après quelques va-et-vient, elle s’est arrêtée, s’allongeant de dos sur Ludovic, elle me présentait sa chatte lisse et rose avec juste ce petit toupet de poils noirs. Enjambant les cuisses emmêlées, j’y ai introduit ma bite. Quelle était humide. D’une poussée mon pubis s’est collé au sien. Nous avons rapidement trouvé notre rythme, alternant les mouvements de pénétration jusqu’à la jouissance ultime et partagée.

 

Nous n’avons jamais su le prénom de la fille avec laquelle nous n’avons pratiquement pas parlé. C’est elle seule qui s’est exprimée pour s’offrir à nous.

Ven 5 avr 2013 2 commentaires

toujours aussi percutant "le Matou". Bravo

cachotier - le 06/04/2013 à 16h39

Je le pense aussi... toujours bien ecrit et excitant !

Sophie de R.

Formidablement bien écrit, comme d'habitude.

On ne dira jamais assez combien un sauna libertin apporte de plaisir. C'est un lieu de libertinage, certes, mais aussi de liberté totale où toutes les combinaisons sont possibles

brunobi - le 20/04/2013 à 11h05