Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Je désespère de rétablir un jour une relation normale avec mon mari, toutes mes tentatives ont échoué. Depuis qu’il est devenu entraineur-joueur de l’équipe de foot locale, il est dehors toute la sainte journée. Dès qu’il rentre le soir, il n’a d’yeux que pour la télévision. Ca ne sert à rien que je me démène à lui préparer ses petits plats préférés, et à lui dresser une belle table avec un diner aux chandelles, je ne peux pas rivaliser avec le petit écran. Alors je reste là, hypnotisée, on dirait que je ne fais plus partie de sa vie, qu’il m’a effacée de sa mémoire.

 

Pourtant au début, tout allait pour le mieux, et durant les premières années de notre mariage, nous avons vécus des moments exceptionnels, inoubliables. Puis les choses ce sont envenimées, il m’a trompée, mais je lui ai pardonné, par amour, pour sauver notre couple. L’absence de réaction de ma part a conforté son attitude, et il est ainsi devenu un expert de l’adultère. Il n’a d’ailleurs pas hésité à tisser des liens plus qu’amicaux avec ma jeune sœur. Ces deux- là profitent de mon absence pour se retrouver comme de vrais petits tourtereaux, et dans notre propre maison, qu’il plus est…

 

C’est un jour que je rentrai plus tôt du bureau, que je les ai surpris. Ils étaient entièrement nus dans le jacuzzi. Mes soupçons étaient bien fondés, mon mari me trompait avec ma sœur. Ce fut un vrai choc pour moi. Le fait d’avoir laissé la porte entre ouverte, me permettait de suivre leurs ébats. Je me trouve très belle, mais en découvrant la plastique superbe de ma petite sœur, je comprenais que mon époux ait pu craquer. J’étais figée par le spectacle de dépravation totale auquel j’assistais.

 

Ils étaient assis face à face sur le bord de la grande baignoire. Lui excitait de ses doigts son membre en érection, elle se caressait le clitoris. Ma sœur s’approcha, s’enroula sur son torse viril, frotta son pubis sur son imposante hampe. Il la regardait d’un regard vicieux. Elle comprit ce qu’il voulait. Elle glissa dans l’eau, taquina le gland décalotté du bout de la langue, et commença une lente fellation. En macho dominateur, mon mari guidait les mouvements en maintenant sa main appuyée sur sa tête, ou lui pinçait le nez pour qu’elle ouvre grand la bouche. En entendant les râles de mon époux, ma sœur avait l’air de très bien s’en sortir. Ces râles étaient accompagnés de mots crus, inhabituel pour moi :

« Salope…fais voir si tu suces aussi bien que ta sœur…est-ce que tu avales toi ?

- Tu vas juger par toi-même, ironisait-elle. Je pense qu’il n’y aura pas photo. »

 

Des paroles qui font mal, voilà maintenant qu’ils allaient comparer mes compétences ! Ma déchéance était totale… Ma « chère » sœur répondait par une succion plus intense sur le phallus de mon mari. J’assistais impuissante, à sa prise de pouvoir sur mon époux. Elle accéléra sa folle fellation, jusqu’à ce que le sperme épais de mon mari gicle dans sa bouche. Cette semence qui de droit, me revenait !

 

« Hum…c’est bon…ma sœur te pipe comme ça ? Dis moi maintenant qui suce le mieux…»

- T’es une salope toi…mais je dois avouer que t’es bonne…c’est vrai que tu as tout avalé…Ta sœur ne le fait pas toujours… »

 

Mon époux, en manipulateur hors pair, menait les débats. Il l’a força à venir s’empaler sur son énorme pieu, dans la position de la chaise, pour mieux lui caresser les seins, ou le clitoris.  Leur relation devenait de plus en plus sulfureuse, je ne pouvais, ou ne voulais intervenir. Quelle force maléfique me maintenait ici, sans pouvoir intervenir ?

 

Comme pour attiser ma souffrance, les amants redoublaient de créativités. Ma sœur passait tour à tour de la levrette, à l’amazone, se faisait lécher le clitoris décalotté. Ses reins qui se cambraient sous les violentes étreintes, ce devait être les miens, sa peau qui frémissait sous le souffle chaud du mâle en chaleur, devait être la mienne, tout comme les mots que mon mari lui disait, que je croyais à moi. Même les orgasmes de ma sœur, c’est moi qui aurai du les crier.

Je m’appuyais contre la cloison, pris ma tête entre mes mains, et me mis à pleurer.  

 

 

Le soir, je ne fis aucune allusion à ce que j’avais vu. Mais une fois dans mon lit, je revoyais les scènes des deux tourtereaux, et ça m’excitait, à tel point que je me surpris en train de me caresser et à jouir au côté de mon mari endormi.

 

Certaines personnes mal intentionnées, à majorité féminines, sont heureuses de votre détresse, et vous le font savoir. C’est ainsi que quelques jours plus tard, j’appris de la bouche de mon ex meilleure amie, que mon mari poursuivait ses frasques adultères lors de troisième mi-temps, surtout avec les jeunes femmes de joueurs, mariées, comme s’il voulait montrer à l’équipe, que même les plus fidèles, succombaient à son charme…

 

 Il fallait que je trouve vite une solution, j’aime trop mon mari et l’avenir de mon couple était en danger. Ce ne sont pas les quelques relations bâclés que nous avions qui allaient permettre de nous en sortir.

C’est vraiment terrible d’être prise par un homme qui en réalité vous fait l’amour, en ayant le souvenir d’une autre à l’esprit.

Vous devez certainement vous demander si je l’ai déjà tromper, et bien oui, oui je l’ai fait. Une seule et unique fois, seulement pour essayer de savoir si j’en étais capable. Un collègue de bureau, très séduisant,  m’a invité à diner chez lui, et après quelques verres, j’étais un peu pompette et me suis laissé tenter. Je me suis retrouvée à demi nue pendant qu’il se masturbait. J’étais vraiment excitée par cet homme, et pourtant, alors que je me caressais, je ne parvenais à chasser de mon esprit, l’image obsédante de mon mari. Même si j’ai pris énormément de plaisir dans cette relation, ma tête était ailleurs.

 

Lors de cet incident d’infidélité, j’ai eu la confirmation que mon mari était le grand amour de ma vie, et que je devais tout tenter pour le reconquérir. Et un soir, je peaufinais un plan, si notre mariage était en crise, à cause de la monotonie de nos rapports sexuels, il fallait le pimenter.

 

 Mais je n’aurai jamais cru que par amour, je puisse aller aussi loin. Mon plan était très simple. Je fis venir ma sœur à la maison, et n’ai eu aucun mal à la convaincre de se joindre à moi afin que nous puissions offrir à mon mari un spectacle inattendu, dont il se souviendra longtemps.

Nous étions toutes les deux sur le canapé, à moitié nues, en train de nous caresser, quand mon époux fit irruption dans le salon. Sans nous lâcher du regard, il recula vers le fauteuil situé en face nous, et s’y assit.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que j’allais prendre autant de plaisir dans cette relation. Ma sœur n’en était pas à sa première aventure lesbienne, aussi la façon de me caresser m’excita terriblement.

Je commençai à onduler sur ses doigts, à gémir. Mon mari avait sorti sa bite en érection, et, tout en suivant la scène, donnait des instructions à ma sœur :

« Oui, c’est ça, lèche lui la chatte, bouffe- la, n’oublie pas son petit clito…bouffe-le aussi voilà, comme ça…son petit trou, doigte-le…allez…ça m’excite…mets bien tes doigts dans sa fente de cette chienne… »

 

Je subissais de plus en plus les assauts de ma sœur, qui prenait plaisir à m’entendre gémir. Sans le vouloir, j’étais prise à mon propre jeu, et me demandais si ma sœur n’était pas devenue la complice de mon mari. Il voulait me voir soumise, et en profitait pour en rajouter une couche :

« Vas-y…fais lui baver la moule à cette salope…chatte-la…langue-la…fais-la jouir cette pute prête à tout pour me reconquérir… »

 

Je perdais pied devant ces mots inhabituels pour moi, je ne me maitrisais plus. Le plus terrible, c’est quand ils ont éclaté de rire quand j’ai atteint l’orgasme. Et mon mari qui enfonçait le clou :

« J’en étais sur…je savais qu’elle aimerait se faire gouiner…la bordille…on va lui mettre le compte ! »

 

Ma sœur lécha longuement ma chatte gorgée de mouille, puis remonta sur moi, suça mes seins, atteint mon visage. Elle me prit les lèvres dans un tendre baiser. Sans que je m’en aperçoive, mon mari s’était mis en tenue d’Adam, et s’approcha de nous. Son énorme bite s’immisça entre nos bouches.

« Alors les petites lesbes…ça vous dit une petite collation…qui commence ? »

 

Je n’eus pas le temps de réagir, que ma sœur happait déjà la queue de mon époux. Je la voyais à cinq centimètres de moi se décalotter en forçant ses lèvres. Sa bouche commença alors de lents va et vient. Au bout d’un moment, je vis ma sœur se figer, ses joues se creuser. Je devinais qu’elle était en train d’avaler la semence épaisse de mon mari. Puis elle se déplaça, présenta sa croupe à la bite toujours en érection. D’un coup de reins, mon mari la pénétra. Je compris alors que ma sœur avait droit aux meilleurs morceaux, et ce ne sont pas les quelques caresses, même excitantes, qui calmaient mes ardeurs sexuelles, jusque là insatisfaites.

 

Plus la nuit avançait, plus j’étais reléguée à l’arrière plan, je devenais la deuxième chose. Mon couple n’était-il pas en train de se perdre ? Le couperet tomba vers deux heures du matin, quand mon époux murmura à l’oreille de ma sœur :

« On va baiser à fond tous les deux dans la chambre ?

- Hum…hum…le coquin, sourit ma sœur…et elle ? ajouta-t-elle en me désignant d’un coup de menton

« Laisse tomber…aller, viens… »

 

Ces mots résonnèrent dans ma tête, comme un coup de canon.  Je n’étais pas invitée à l’emballage final, j’étais écartée des festivités avec mon propre mari. Sans un regard, mon mari lui pris la main, et l’entraina dans notre chambre conjugale. Ils n’eurent même pas la délicatesse de fermer la porte, pour que je puisse les entendre. L’humiliation était totale…

 

Je restais un moment sur le canapé, humiliée, détruite. Des larmes perlaient à mes paupières. Il fallait que je me ressaisisse, accepter ou refuser ma mise à l’écart, mais comment ?

Je décidai de me venger, de lui rendre la monnaie de sa pièce. Malgré l’heure indécente, j’appelai mon collègue de travail, celui avec qui j’avais eu une relation éphémère, pour voir jusqu’ou je pouvais aller, et si j’étais toujours désirable, qui sait ? Je sais qu’il est caillé de moi.

 

Il se passa de longues secondes avant qu’il ne me réponde. Je me confondais en excuses, quand il accepta de me recevoir, malgré l’heure tardive. Je m’habillai rapidement, et quittai la villa alors que résonnaient les premiers râles de plaisir de ma sœur.

 

J’arrivais chez lui vers trois heures du matin, prête à tout, décidée à me transformer en grosse chaudasse, quitte à passer pour une catin. Il fallait que je sois plus vicieuse, que mes mots soient plus crus. Bref, que je me lâche.

Mon collègue m’accueillit sur le pas de sa porte, vêtu d’un beau peignoir blanc.

 

« Mais tu en fais une tête, que t’arrive-t-il ? M’appeler à cette heure ci, ça te ressemble pas... »

 

Sans prendre le temps de lui répondre, je sautai à son cou, lui arrachant littéralement le peignoir. Surpris, il me souffla :

« On est dans la rue, laisse-nous au moins rentrer dans la maison ! »

 

Je le poussai comme une sauvage, et dans l’élan, on s’écrasa sur la moquette.

« Nique-moi…encule-moi…là…de suite…

- Mais…mais, tu es folle…enfin, je suis à moitié endormi ! 

« Je vais te réveiller. T’as du café ? On va en avoir besoin. »

 

Je ne me reconnaissais plus. J’ôtai mon manteau, en arrachant les boutons au passage. J’étais nue dessous, prête à l’emploi. Je m’allongeai sur lui et me plaçai en soixante neuf. Il s’aperçut très vite que ma chatte était en ébullition. Sans aucune hésitation, je pris sa bite en bouche. Elle était d’un bon calibre, reposant sur une belle paire de couilles, bien pleines. Je sentais sa langue aspirer mon clitoris, s’enfonçait dans ma chatte pleine de mouille ? il s’était vite réveillé, le bougre ! Sous ma langue affamée, son pieu gonflait entre mes lèvres. Je devinais une éjaculation précoce.

 

Que devais-je faire, me retirer, ou recevoir sa semence au fond de ma gorge ? Après tout, j’avais bien droit à un petit encas moi aussi. A peine ma réflexion terminée, je sentis de puissantes giclées tapisser mon palais, suivi d’un terrible et interminable orgasme.

 

Je me surpassai dans cette relation, j’atteignais l’hystérie, griffai le dos et les flancs de mon partenaire, jusqu’au sang. Même si mon collègue de travail n’était pas mon style d’homme, il s’avérait en tous cas être un amant formidable. Certes, il jouait avec moi, profitait de ma détresse pour me prendre dans les positions les plus humiliantes, me faisait hurler de plaisir, me forçait à dire les mots qu’il voulait entendre. Et moi, j’obéissais comme la soumise que j’étais en train de devenir.

Il finit en apothéose, me plantant un énorme concombre dans le vagin, et me sodomisant à fond, en levrette, mon cul offert à sa vue vicieuse. Il me labourait les entrailles sans aucun ménagement, et enfonçai le concombre avec aussi peu d’égards dans ma chatte dévastée. Je sentais les deux se heurter en moi, et cette impression me faisait jouir comme jamais avant dans ma vie. Il finit par se vider au fond de mon cul, en hurlant comme un fou.. Nous avons du ameuter tout le quartier, et il est surprenant que la police ne soit pas venue.. D’ailleurs, je me serai bien fait deux flics en plus, et en même temps !

 

Cette nuit fut torride.

Torride et pleine d’expériences. Mon partenaire a su réveiller la cochonne qui sommeillait en moi. Je comprends qu’au fil du temps, mon mari se soit lassé, parce qu’en amour, je n’étais pas la perverse et la soumise qu’il espérait, ce que ma sœur assumait pleinement. Elle avait tout compris. Maintenant, je serai la vraie salope de service, prête à tout pour baiser. Je rendrai ainsi mon mari heureux, et tous les autres hommes qui voudraient me sauter !

 

Le jour pointait quand je quittai l’appartement vers six heures du matin, épuisée mais comblée, sans un adieu. Un simple mot pour le remercier de la folle nuit qu’il m’a fait passer.

 

Je m’arrêtai dans un petit bistrot pour prendre un café. Là, quatre ou cinq chasseurs étaient en train de déjeuner. Ils me sourirent, me déshabillèrent du regard, je me sentais nue devant eux. Il faut dire que mon manteau aux boutons arrachés laissait voir une bonne partie de mon anatomie… Pourtant, je ne faisais rien pour cacher ma chatte qui semblait encore insatisfaite…Je leur renvoyai un sourire coquin, telle une invitation. Galamment, ils m’invitèrent à partager leur repas.

 

J’étais à deux doigts de refuser, prise d’un soudain remords sur la conduite licencieuse de la nuit, quand la vision de ma sœur et mon mari envahirent mon esprit. Du coup, j’acceptai. Il se faisait bien plusieurs épouses de joueurs à la fois, pourquoi n’en ferai-je pas autant avec plusieurs hommes ?

 

Je me levai, écartant ostensiblement les pans de mon manteau. Le serveur en lâcha le verre qu’il essuyait, et les chasseurs devinrent rouges comme des tomates. Il me sembla bien voir un pantalon se déformer sous le coup d’une belle érection…

 

 

 

A suivre… si vous voulez écrire la suite ! A vos claviers…

 

 

Lun 2 sep 2013 5 commentaires

bonjour,, je suppose que ces chasseurs vont se regaler et tirez a vue lol,,, que j'aurai aimé degusté aussi bien les chasseur  que madame

daniel59 - le 02/09/2013 à 13h34

Je suis comme toi.. etre à la place de Cassie, et en plus, voir les mecs jouer entre eux !

Sophie de R.

Oh oui ! vivement une suite ! Belle plume ! Un récit rondement mené et très excitant !

Le Matou Libertin - le 02/09/2013 à 15h18

J'espère que depuis, elle t'a plue !

Sophie de R.

je me suis rarement brenlé autant pour une histoire

Nicola - le 04/09/2013 à 19h12

Eh bien, j'en suis ravie !

Sophie de R.

Alors là...J'ACHETE...je suis GENEREUX... pour Sophie...c'est un DIX...Super récit.

cachotier - le 04/09/2013 à 19h27

Lol, j'aurais aimé un 12 sur 10 !!!!

Sophie de R.

J'apprécie le clin d'oeil à "The Voice" et la fougue de cachotier...ça me fait énormément plaisir, à ma complice aussi je suppose.

L'amoureux - le 05/09/2013 à 18h17

Tout à fait, merci beaucoup !

Sophie de R.