Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

En terminale au Lycée Louis Lumière, j’ai pour copine Agnès, une fille de mon âge, mais qui est assez prude. Depuis la rentrée, je lui fais une cour pressante mais, chaque fois que je veux pousser un peu plus le flirt, elle m’oppose un refus catégorique. A dix-huit ans, j’ai déjà eu plusieurs copines et une maitresse d’une trentaine d’année qui m’avait initiée à la fin de mon adolescence. Je dois avouer que je suis frustré de ces refus permanents.

 

Ce jour-là, à la veille des vacances d’automne, nous avons assisté avec deux de nos professeurs à la projection d’un film des années 50. Nous devons analyser et restituer en travail de groupe après la semaine de vacances. Cela fait partie de notre formation aux métiers du cinéma

 

Agnès et son frère jumeau, qui habitent à proximité du lycée dans une grande maison, ont demandé à leur mère de nous préparer un repas de pâtes à l’italienne de façon à ce que, avec un groupe de six autres élèves, nous puissions entreprendre notre travail au cours de la soirée.

 

Personnellement, j’habite chez mes parents à une vingtaine de kilomètres et je dois prendre le train matin et soir pour le trajet. Avant le repas, nous commençons le travail en nous répartissant en binômes pour que chacun analyse le film selon un schéma que nous établissons à ce moment-là.

 

Nous étions organisés depuis l’année précédente.  Nous avions à notre disposition chez Agnès tout le matériel nécessaire y compris la disposition de plusieurs ordinateurs connectés en réseau.

 

Aussitôt le repas terminé, nous reprenons notre travail et nos discussions. Soudain, je me rends compte que l’heure de mon dernier train était passée et je n’ai pas de possibilités pour rentrer chez moi. Voyant mon embarras, Caroline la sœur ainée d’Agnès, propose de me reconduire en voiture. C’est la solution. Les vacances commencent le lendemain, je ne veux pas rester en ville inutilement jusqu’à la mi-journée. Nous poursuivons nos discussions entre garçons pendant que les filles aident la mère des jumeaux à ranger.

 

Vers 23 heures 30, Caroline et moi avons prenons la route dans sa petite Smart. En un peu plus de trois quarts d’heure, elle aura fait l’aller et le retour.

 

En cours de route, je la remercie encore une fois et nous commençons à bavarder, de tout et de rien puis la conversation a dérivé sur ma relation avec Agnès.

« Tu sais, ma relation avec ta sœur est sérieuse. Je ne comprends pas pourquoi elle se refuse à moi de cette manière.

- Oui, je sais, elle m’en a parlé mais elle est assez coincée de ce côté !

- Elle accepte tout juste quelques caresses sur les seins et des baisers profonds. Je voudrais bien aller plus loin, par exemple qu’elle me masturbe ou me fasse une fellation.

- Alors là, je serai surprise. Chaque fois, ce sera NON ! Elle n’est pas prête à aller plus loin, elle se trouve trop jeune. »

 

Caroline me dit que sa sœur lui avait parlé de mon insistance, et elle lui avait répondu que si elle n’acceptait pas d’aller un peu plus loin, elle risquait de me perdre. Si elle tenait vraiment à moi, elle devait faire des concessions. Bref, Caroline était allée, sans le savoir, dans mon sens.

 

Soudain, alors que nous approchons du village dans lequel habitent mes parents, Caroline prend un petit chemin à l’écart de la route et s’arrête. Elle éteint les phares de sa voiture. Nous sommes juste éclairés par la pleine lune.

 

Elle se tourne vers moi et commence à masser mon entrejambes. La conversation précédente et cette caresse avaient fait monter la pression dans mon slip où ma bite avait commencé à bander.

 

Puis elle fait glisser le zip de mon pantalon pour aller y chercher mon sexe et le prendre en bouche. Cette coquine allait m’offrir ce que sa sœur me refusait depuis quelques semaines, et elle savait y faire. Mon sceptre a atteint rapidement sa taille maximale et elle le faisait coulisser entre ses lèvres, le faisant entrer jusqu’au fond de sa gorge et elle aspirait en gonflant et dégonflant ses joues. Whaaouuuh ! Que c’était bon ! Je passais ma main dans les cheveux de Caroline et je ne pouvais rien faire d’autre en raison de l’étroitesse de l’habitacle.

« Ouvre ta portière, je vais faire le tour, ce sera plus facile ! »

 

Elle fait le tour de sa voiture pendant que je me tourne et pose les pieds au sol, la bite à l’air dans la braguette ouverte. Elle dégrafe la ceinture de mon jean. Elle fait glisser le pantalon et le slip jusqu’à mes chevilles avant de s’agenouiller devant moi sur un coussin et de me reprendre en bouche. J’avais à peine débandé. Elle reprend sa fellation de plus belle, faisant de longues aspirations et en sortant ma queue pour sucer le gland et agacer le méat.

 

Même celle qui m’avait initié ne m’avait jamais aussi bien sucé. C’était vraiment un pied d’enfer ! Alors que je pose mes mains sur ses épaules, Caroline se redresse, fait passer son pullover par-dessus tête et ôte son soutif. J’ai devant moi une jolie petite poitrine avec des seins menus et un téton légèrement saillant au centre de l’aréole.

« Tu peux les caresser ! » me dit Caroline en me reprenant en bouche.

 

Je ne me fais pas prier. Là, j’atteins rapidement le point des non retour. Elle doit le sentir car au moment où j’éjacule, elle dirige ma bite vers sa poitrine sur laquelle je crache quelques bonnes giclées de sperme. A part deux ou trois masturbations, depuis l’été je n’avais plus baisé ! Elle prend quelques gouttes sur ses doigts et elle les suce !

« Tu as bon goût, mon cochon ! »

 

Elle se relève, enfile son pull sans remettre le soutien gorge (elle peut s’en passer). Elle reprend le volant. Je l’embrasse sur la bouche où j’ai retrouve mon odeur.

« Merci Caroline ! C’était merveilleux !

- Ce sera notre secret ! » me répond-elle en lançant le moteur.

 

Deux minutes plus tard elle me dépose devant la maison et je regagne discrètement ma chambre, bien décidé à garder ce secret….

Mar 17 sep 2013 8 commentaires

E, voilà une qui n'a pas froid aux yeux. Elle a bien raison, et l'auteur aussi!

Michel de Lyon - le 17/09/2013 à 11h20

En effet, il ne faut jamais raté une bonne occasion !

Sophie de R.

....Caroline ne peut pas s'arréter là !!!!!

jean-louis - le 18/09/2013 à 12h20

C'est à l'auteur de nous dire s'il y a eu une suite....

Sophie de R.

Jean-Louis a raison, Gérard aussi ne doit pas s'arrêter là.

cachotier - le 18/09/2013 à 21h42

Le message est passé !

Sophie de R.

Mon reve, mais j'aimerai les deux ensemble!

Maxime du 93 - le 19/09/2013 à 02h10

Il semble queplus de femmes qu'on ne l'imagine serait prete à le faire.. il faut juste les trouver et etre ensuite très diplomate !

Sophie de R.

Que de souvenirs me rappelle ce super récit. J'ai vécu une aventure similaire.

L'amoureux - le 19/09/2013 à 14h03

Vraiment ? tu nous la raconteras ?

Sophie de R.

J'ai deja baisé deux soeurs ensemble, c'est le pied. As-tu ensuite fait les deux ensemble??

Rico - le 24/09/2013 à 18h37

Seul l'auteur peut te répondre !

Sophie de R.

je pense que je suis auant impatient que les autres lecteurs pour la suite ...

eddy16000 - le 25/09/2013 à 08h42

Je ne sais pas si une suite est prévue !

Sophie de R.

comme d'habitude, voilà une histoire bien écrite. Le Matou y a laissé sa patte.

c'est vrai qu'il serait intéressant de lire une suite où peuit-êtrte Agnès se dévergonderait enfin.

brunobi - le 26/09/2013 à 10h47

Je ne sais pas si c'est oecas... C'est à notre cher matou de répondre !

Sophie de R.