Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Coline sort de la douche pour la deuxième fois.
« Je vais m'allonger cinq minutes, dit-elle.
- Ah, tu vois, fait remarquer Lise, il t'a séché, Dick.
- Mais c'était tellement bon, poursuit Coline. Un jour, je m'enfermerai tout l'après midi avec lui dans la chambre.
- Vicieuse va. Allez, moi aussi je vais me coucher. Tu viens Dick ? »

Une fois dans la chambre, Lise ôte son peignoir. Elle se regarde dans la glace, et se trouve encore très belle. Dick glisse son museau entre les fesses de Lise.
« Dick, tu me fais la chatouille, voyons. »

Lise s'assied sur le lit, jambes écartées. Avec deux doigts, elle décalotte son clitoris, et écarte sa chatte.
« Viens faire du bien à ta maitresse », ordonne-t-elle.

Dick a été dressé pour ce genre d'activité. Aux dires de Lise, son instinct de mâle est supérieur à l'homme dans ce domaine. Un vrai expert !

« Mon chien, fouille bien ta maman, mords mon petit bouton, vas-y mon chéri, joue avec moi. Ha... ha... oui… oui, je jouiiiiis ! »

Dick, avec sa langue pointue, explore la chatte de Lise, lui arrachant des cris de plaisirs. Il lèche le bouton. Lise n'en peut plus. Elle se retourne, et offre sa croupe à son amant aux quatre pattes.
Dick, son sexe entièrement sorti, monte sur le dos de Lise. Il sait ce que sa maitresse attend de lui. Elle écarte sa chatte, et se fait prendre par son chien d'une suele poussée. Elle pousse un râle de plaisir.
« Mon amour, gémit-elle, bourre bien ta maitresse. »

.
Dick, tire la langue de bonheur. Il accélère ses va et vient dans le corps de Lise. Ce sont des cris de plaisirs qui sortent de sa bouche :
« Oh putain, comme tu me baises, salaud, vas-y, régale-moi. »

D'un coup, le chien couine, et se couche sur la moquette, entrainant Lise, toujours prise par la queue de Dick. Le chien est en phase d'éjaculation. Lise est obligée d'attendre qu'il est fini de se vider dans sa chatte. Au bout d'un moment, Dick se retire. La sortie est douloureuse. Elle ne savait pas qu’un chien ne pouvait se retrier de suite d’un vagin, qu’il fut canin ou féminin… Mais tant pis, le reste était tellement bon. Lise adore ces saillies contre nature….

Dick se lèche la queue, et les testicules, puis, il s'approche et prend la chatte de sa maitresse à coups de langue, comme s'il voulait la nettoyer.
Lise s'abandonne, entièrement soumise. Elle le prend par le cou, et l'embrasse :
« Mon chien, mon amant, comme tu me rend heureuse. Reposons-nous maintenant. »

Vers dix sept heures, elle est réveillée par la truffe humide de son chien contre son petit trou.
« Ah non, dit-elle, assez, il y a Jérémy qui va arriver. Vous aurez tout le temps de vous amusez. Mais pas comme l'autre fois où tu lui avais mordu sa petite queue, d'accord ? »

Dick jappe, comme s'il avait compris.
A dix-huit heures, Jérémy sonne à la porte.
« Bonjour m’an, salut Dick. Oh, mais qui est là ? Ah ! Coline, ma cousine préférée. »

Jérémy est très jeune, à peine dix-huit ans, pas très costaud, pas très grand.
« Je vais préparer le diner, dit Lise, pendant ce temps, installez le petit matelas dans ma chambre pour Jérémy. »

Les deux jeunes s'éclipsent, mais pour comploter.
« Maman, je ne pourrai pas m'installer dans la chambre de Coline ? demande Jérémy, comme avant.
- Allez tata, dis oui, on a tant de choses à se raconter, répond Coline. On aimerait s'amuser tout les deux.
- Bon, comme vous voulez mes chéris, mais ne faite pas trop de bruit, d'accord ? » ajoute Lise.

 

Elle ne dit rien, mais n’en pense pas moins. Il est évident que sa nièce ne va pas laisser passer une occasion pareille ! Un garçon dans sa chambre….

Le repas terminé, tout le monde met la main à la patte pour débarrasser.
Il est dix heures, les deux jeunes montent dans leur chambre, en se tenant par la main….
Lise regarde la télé, la tête de son chien posé sur ses cuisses. Elle est vêtue d'une courte chemise de nuit.
Des rires et des cris proviennent de la chambre du haut.
« Mais qu'est-ce qu'ils font, se dit-elle. Ah, on va monter calmer tout ça. Tu viens mon chien. »

Par la porte entre ouverte, Lise découvre le spectacle auquel elle s’’attendait un peu :
Coline est assise sur le lit, Jérémy sur ses genoux, dos à elle. Elle lui tient ses jeunes testicules, et de l'autre main, elle lui tient sa queue, encore un peu petite.
« Coline, tu es une salope, dit Jérémy, pourquoi tu me fais ça ? Si ma mère arrive…. Tu m'as décalotté en plus !
- Ce serait bien si ta mère montait. On lui demandera de jouer avec nous. »

 

Devant tant d'érotisme, Lise sent la chaleur envahie ses entrailles, malgré la honte qu’il l’envahit.. Après tout, elle voit son fils… . Sa chatte devient humide. Dick l'a senti.
Il faufile son museau sous la chemise de nuit, et commence à lécher sa maitresse.
« Salaud, murmure-t-elle, tu profites de mes faiblesses, hein ? Arrête mon chien, il faut qu'on intervienne. »

Lise fini de pousser la porte.
« C'est pas fini, gronde-t-elle, qu'est-ce-que je vous ai dis ?
- Mais maman, on ne fait rien de mal, dit Jérémy.
- Tata, implore Coline, on s'amuse. Regarde son petit sifflet comme il devient raide. Viens jouer avec nous. »

 

Coline est provoquante, indécente, elle sait qu’elle joue avec l’interdit.. mais c’est si bon !

Lise a remarqué que sous les bourses de Jérémy, la chatte de Coline est totalement offerte à sa vue et à tout jeu érotique.
« Viens Dick, ils veulent qu'on participe. »

Dick est le premier en action. Sans hésiter, il fourre son museau contre la chatte de Coline, et la pénètre avec sa langue, frottant le clitoris du bout de sa truffe.
« Quel vicieux, gémit Coline, comme il me fouille bien la chatte…. Tata, viens que je te caresse. »

Lise s'approche, jambes écartées, et pose sa chatte sur la bouche de sa nièce.
« Vas-y, petite pute, ordonne Lise, bouffe bien mon bouton. Bien. Tu vas passer une nuit comme tu n'as jamais passée. Avale ma mouille salope, allez, fais moi jouir. »

Dick est sorti du fourreau vaginal, et lèche les couilles de Jérémy, remontant jusqu'au gland, entièrement décalotté.
«  Whoua, comme il me salive, soupire Jérémy. Que c'est bon. Vas-y, Dick, suce bien ton frère. »

 

C’est une première pour lui, mais il ne semble avoir aucune crante avec l’animal !

Dick fait courir sa langue de la base des couilles jusqu'au bas du gland.
« Maman, crie Jérémy, qu'est-ce qu'il m'arrive, je vais jouir ha… ha !!! Le con, oui... ouiiii ! »

Des petits jets de sperme giclent du méat, et retombent sur le ventre de Jérémy. Dick avance son museau, et lèche la semence.
« Ah, bordille, hurle Lise, tu sens que je viens, t'arrête pas ma chérie, oui, fais jouir ta tante, oui... oui. »

Lise ne peut retenir l'orgasme que lui provoque sa nièce. Elle inonde sa bouche et le visage de Coline d’un flot de cyprine. Jérémy se met sur le côté, à genoux, prenant appuie sur ses mains. Lise en profite pour lui saisir ses testicules.
« Mon fils, dit-elle, c'est la première fois que maman te tiens par tes petites noisettes, hein ? Quel effet ça te fait ? T'inquiète, tu es jeune, elles grossiront.
- C'est bon maman, même si elles sont petites, dit Jérémy. Je pourrai mettre ma quéquette dans ta chatte après ?
- Aie… Aie… Salaud, il me baise tante Lise, regarde ! »

Coline, à quatre pattes sur la moquette, se fait prendre par Dick. Le chien a posé ses pattes avant sur les flancs de Coline. En gémissant, il commence ses va et vient.
Coline est en larmes. Bien que la douleur s'estompe, elle a mal.
« Tu veux que je lui dise d'arrêter ? demande Lise.
- Oh non, ma tatie, il faut bien que je m'habitue ! »

Lise tire son fils par les couilles, et approche sa queue vers la bouche ouverte de Coline
« Taille une pipe a son petit sifflet, ordonne Lise. Il ne sait pas ce que c'est encore. Je te caresse la clitoris pendant ce temps. Tu veux bien ma chérie ?
- Faites ce que vous voulez de moi, gémit Coline. J'ai trop envie. Et le chien, comme il me nique ce salaud. Quel mâle ! J'ai envie de le sucer après. »

D'un coup, Dick, toujours ancré dans la chatte de Coline, se retourne, tête opposée à celle de Coline. Ils sont tous les deux culs à cul.
« C'est quoi cette boule que j'ai dans la chatte, c'est bien gros, dit Coline en rejetant la queue de Jérémy.
- Maman, là que c'était le meilleur.
- Viens mon chéri, maman va te finir. Regarde ma langue mon trésor, c'est bon, hein ? Ton petit bout est bien décalotté tu vas voir, maman va tout avaler. Elle va te vider tes petites couillettes. Donne-moi ton doigt. »

Elle saisit le majeur de Jérémy, et le positionne sur son bouton.
« Fais le tourner, mon bébé, fait jouir maman, fait la crier, petit salaud ! »

Le fils et la mère jouissent en même ensemble, tandis que les râles de Coline sont de plus en plus forts
« Haaaaaaaaaa,ouiiiiiiii, je jouiiiiis. »

Dick éjacule puissamment dans la chatte de Coline. Celle-ci n'a pas bougé. Des gouttes de sueurs coulent sur son visage.
« Quel amant, soupire Coline. J'aurai jamais cru jouir comme ça, oh mon dieu. »

Dick se retire. Coline se penche en avant, les fesses toujours en l'air. Dick se nettoie sa queue.
« Allez, Jérémy, laissons-les. Viens dans ma chambre. Tu mettras ton petit oiseau dans la chatte de maman. »

A peine la porte refermée, un cri retentit dans la chambre.
Lise ouvre. C'est Coline. Dick est en train de la prendre par le petit trou. ET il n’a jamais été préparé pour un tel assaut !
« Tante, pleure Coline, tu crois qu'il va me mettre des coups de queues toute la nuit ?
- J'en ai bien peur ma chérie, sourit Lise, tu me raconteras demain matin. »

Lise prend Jérémy par le bout de son sifflet, et l'entraine vers sa chambre.

 

Pendant deux semaines, la cousine, la tatie, son fils et leur chien vont expérimenter tout ce qu’il est possible de faire à quatre, dans le vice absolu, la perversion poussée à son maximum et la dépravation le plus totale…