Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
J'avais vingt ans. Il y a de ça, hou.....! Point de repère, la majorité dix-huit ans avait encore deux ans à attendre pour être en vigueur. Mes grands-parents vivaient leur retraite dans la petite maison qu'ils possédaient en Ardèche. Cette année-là, ils avaient réussi à assouvir un vieux rêve, partir pour un mois visiter les ruines incas en Amérique du Sud. Mais ils avaient un poulailler et deux chiens.
Ils demandèrent à leurs petits-enfants qui voulaient bien venir vivre et s'occuper de leurs animaux pendant leurs voyages. Des dix que nous étions, seuls, trois se proposèrent. Marie-Christine, Jacques, et moi, Daniel. A deux ans prés nous étions du même âge. Répartis sur tout le territoire français nous n'avions que très rarement l'occasion de nous voir. Aussi vivre une trentaine de jours ensemble, nous plaisait vraiment. Les quelques fois où toute la famille se rencontrait, c'était l'été dans un camp de naturisme. Au grand dam des grands-parents.
Les hasards de la vie avaient fait que trois ans étaient passés sans que nous nous voyons, mes deux cousins et moi.. Marie-Christine, la plus jeune de nous trois avait dix-huit ans. J'étais impatient de savoir à quoi elle ressemblait maintenant. Jacques avait son permis de conduire. Il pourrait conduire la voiture Pépé. Celui-ci était venu nous chercher à la gare de Privas. Les cousins et moi nous sommes retrouvés à la gare.
Je fus agréablement surpris en voyant Marie-Christine. Elle n'était pas très grande, 1,65. Cheveux bruns, peau naturellement hâlée, on a du sang italien du sud, cheveux noirs et courts, corps mince. Elle était devenue une jolie jeune fille. En dehors de ça, elle était toujours aussi pleine de vie et rigolote. Nous ne nous ennuierons pas. Surtout que, la voyant, me revenait des souvenirs coquins entre elle et moi. Jacques, quant à lui, était un grand gaillard blond, portant lunette et cheveux blonds assez longs. Avec lui aussi, j'avais fait du touche-pipi. J'en ai gardé aussi un bon souvenir.
Nous avons passé deux jours avec les grands-parents, le temps pour eux de nous expliquer tout ce qu'ils attendaient de nous. Ensuite, Jacques les accompagna jusqu’à Privas, d'où ils devaient aller à Paris prendre leur avion. Marie-Christine et moi, en attendant le retour de Jacques, avons bavardé et nous avons remémoré nos petits jeux, elle et moi. En effet, comme beaucoup de cousins, nous avons beaucoup joué au docteur. Sans jamais pousser les consultations jusqu'à la pénétration. Nous n'étions peut-être pas assez hardis, qui sait.
La femme qu'elle était devenue me plaisait beaucoup et j'avais bien l'intention de l'explorer. Nous avions tout un mois pour cela. Maintenant que Pépé et Mémé étaient partis, Marie-Christine et moi nous sommes dénudés. J'ai ainsi pu constater que ma cousine était bien faite et qu'elle s'était rasée le minou.
Il était bien dessiné. Ses lèvres étaient charnues. On pouvait apercevoir le clitoris pointant légèrement le bout de son nez. Malgré mon habitude de la vie nue, ce spectacle m'émut plus que de raison au point que je me suis mis à bander. L’œil vif de Marie-Christine prit un petit air malicieux et avec un grand sourire au x lèvres me dit:
« Ben dis donc, mon petit Dan, en voilà une jolie chose ! On était un peu trop jeunes il y a quelques années, nos petits jeux auraient été encore plus sympa !
- On va pouvoir rattraper le temps perdu, on a un petit mois pour ça. Et s’il veut, avec Jacques, on pourra jouer en trio.
- Oh ! Ça, ça m'étonnerait. Il préfère les mecs. Tu sais bien ? »
Je lui confirme que je le sais…. Mais ne lui dis pas que je suis bisexuel. Si, par hasard, Jacques et moi pouvons jouer ensemble, elle aura alors une belle surprise qui, je l'espère, lui donnera envie de participer. Comme j'étais toujours à demi bandé, Christine, en minaudant, se colla contre moi et prit délicatement ma queue dans sa main. Elle la soupesa, la caressa avec une douceur qui me mit le feu. Bien sûr ma bite fut toute droite. Christine serra un peu plus sa main autour de la hampe et me tendit ses lèvres. Nous avons échangé un baiser assez torride. Ma cousine avait la langue très agile et une haleine toute fraîche et délicieuse.
Le petit carré de pelouse sur lequel nous étions assis devient alors notre lit. Du moins, c'est la décision qu'a pris Christine. Devinant que je serai d'accord, elle me poussa vers le gazon et se pencha sur ma bite .et du bout de la langue, elle joua avec mon méat après m'avoir décalotté. Se faire titiller le gland par la langue agile de ma cousine est un plaisir extraordinaire. C'est tellement bon que j'ai failli jouir tout de suite.
Je la laisse un moment déguster ma queue et la relève. Ce serait vraiment idiot d'abréger un jeu qui commence à devenir intéressant. J'allonge ma cousine sur l'herbe et caresse son corps. J'avais oublié combien elle a la peau douce. De plus, elle semble très réceptive aux caresses, si j'en juge par ses gémissements et les mouvements de son bassin. A vingt ans, je n'ai pas une grande expérience, bien entendu. Aussi je m'efforce de mettre à profit les leçons que j'ai reçues, un an auparavant, de la part d'un couple, bisexuel et sans tabou dont mes parents et moi avions fait connaissance durant nos vacances précédentes. C'est grâce à ce couple que j'avais découvert ma bisexualité. Merci à eux.
Christine, semble aux anges, sous les caresses de mes mains sur son corps. Elle glousse de plaisir. Je laisse maintenant ma main jouer avec sa chatte. Elle est toute humide. Deux de mes doigts vont et viennent en elle, mon pouce joue avec son clito tout dressé. Elle mouille de plus en plus alors j'approche ma bouche de sa chatte et la boit. C'est très amer mais une petite touche de sucré rend sa jouissance très agréable à boire. Ma langue accentue son plaisir et elle jouit.
Christine n'a pas le temps de me rendre la politesse car on entend derrière nous une voix connue qui s'exclame avec une fausse colère :
« Hé bé ! on peut pas vous laisser seuls deux minutes sans que vous vous comportiez comme des cochons!
- Ben oui, hein, ce que me fait Daniel est trop bon, joins-toi à nous, mon Jacquot, au lieu de râler ! »
Le Jacquot en question, a l’œil tout rigolard en nous apostrophant ainsi. En silence il se déshabille. Je remarque que ce faisant, son regard est dirigé vers mon entrejambe. Je suis couché sur le côté et ma queue est toue bandée. Et Dame nature ne m'a pas oubliée puisqu'ainsi excité, j'ai un bâton de dix-huit centimètres. Jacques n'a pas fini d’ôter son slip que déjà on peut voir qu'il est tout émoustillé. Monsieur bande.
Fort de ce que m'a rappelé tout à l'heure Christine, je décide de titiller un peu mon cousin :
« Ben mon cochon, tu pouvais jouer les pères la pudeur. Te v'là tout bandant à présent. En confidence, je te félicite. Ta bite est superbe, on en mangerait. »
- Oh ! Merci mon Daniel. Mais t'es pas mal servi toi aussi ! »
Tandis que nous échangions nos compliments, Jacques s'est allongé prés de nous. J'aime beaucoup sa queue, elle me fait envie. Alors, pour provoquer la curiosité de Christine et voir la réaction de mon cousin, je prends sa bite en main et la caresse comme me le faisait Christine il y a un moment. Celle-ci est muette de surprise. On entendrait presque son silence. Jacques, quant à lui, après un bref instant de surprise, tend sa main vers ma bite comme pour me rendre ma caresse.
Lui et moi, nous nous regardons en silence. Nos caresses nous font du bien. Je tourne la tête vers Christine. Elle est bouche bée et yeux écarquillés. C'est la première fois qu'elle voit deux hommes ensemble. Je penche la tête vers elle et lui prend la bouche. Elle répond à mon baiser avec plus de force que tout à l'heure. Ce qu'elle vient de voir l'a donc bien excitée. Je décide de lui porter l'estocade. Je me penche vers Jacques et me mets à sucer sa belle et grosse queue. J'adore, elle me remplit bien bouche. Il me tarde de la sentir entre mes fesses.
Jacques change alors de position et nous voilà nous faisant un 69, allongés sur la pelouse. On en oublie presque notre cousine. Celle-ci boude un instant, elle se sent comme oubliée. Mais sa coquinerie reprend le dessus et prend le parti de s'occuper un peu de nous. Elle joint son index et son majeur et doigte ainsi le cousin. Cela a le don de le faire exploser. Il n'a pas le temps de me prévenir.
Je prends tout dans ma bouche. Une grosse quantité de bonne crème envoyée en puissance. Je manque
d'avaler de travers. Je réussis à réprimer cela et déguste avec gourmandise ce que mon cousin m'a généreusement offert. Jouir ainsi lui donne un regain d'énergie et il accentue sa
sucette.
Je prends la tête de Christine pour l'embrasser. Il me reste encore un peu de sperme de Jacques, je veux qu'elle y goutte. Ce plaisir qu'elle et moi partageons me fait oublier ma vigilance et à mon tour, je jouis. Jacques m'avale consciencieusement.
Nous nous séparons et changeons de position. Christine se remet doucement de son plaisir et de la surprise de nous voir faire, Jacques et moi. Elle nous regarde, chacun notre retour, on peut lire dans son regard son étonnement. Sans pour cela qu'elle semble choquée.
« Ben, mes salops s! Vous en êtes de beaux vicieux, tous les deux... J'espère que vous n'allez pas m'oublier ! ''
- Christine chérie, j'ignore ce qu'en pense Jacques mais en ce qui me concerne, j'ai grande envie de toi, tu sais, tu es devenue une belle jeune femme. Si tu veux, nous pourrons jouer autant que tu le désires ''
- Christine chérie, je suis homo, tu le sais. Mais, pour toi, je veux bien faire un effort. Daniel m'aidera j'espère. Si je ne me débrouille pas bien, tu me pardonneras, hein?''
Bien sûr mon Jacquot. De toutes façons tout ce que nous ferons tous les trois pendant ce séjour, restera entre nous. Alors, tu peux te laisser aller. Tout ira bien ! »
Jacques se confond en remerciement. Je souris intérieurement, car Christine, bien que la plus jeune de nous trois a parlé comme une femme d'expérience. Je me lève, tandis que Jacques se penche vers Christine pour lui faire une bise. Mais notre coquine cousine, réussit à transformer cette bise tendre en un baiser bouche à bouche. Jacques ne semble pas avoir de mouvement de recul. Voilà, déjà un bon point pour l'avenir de nos vacances. Je souhaite que Christine et moi réussissions à convertir Jacques. Qu'il devienne bisexuel. Cela lui donnera au cours de sa vie de multiples occasions de plaisirs !
Je les abandonne à leurs effusions et me dirige vers la cuisine. Pour mettre à chauffer ce que Mémé nous a préparé. Dans sa grande bonté, elle a concocté de nombreux plats que nous n'auront qu'à faire réchauffer. Durant que ça mitonne, je sors verres et bouteilles d'apéros. Nous devons fêter, tous les 3, à la fois, la première fois que nous allons nous retrouver seuls, sans nos parents, notre première partie de cul, et, enfin, la première tentative de ''conversion'' de notre cousin que nous tenons à voir devenir bisexuel..
Nous avons trois semaines à passer ensemble, donc autant d'occasions de nous faire plaisir...
(à suivre)
J'en suis ravie, le but de te faire plaisir, et à tous les lecteurs, est atteint...
Excellent, vite la suite! Je ne demande que ça!
Je l'attends aussi avec impatience ! Mn cher Bruno, tu ovis, tu es attendu !
Bruno .....merci ppur cette entrée en matière .....
Et je suppose que, tout comme moi, tu attends la suite avec impatience !
Bruno chéri, j'aimerais correspondre avec toi, te racontée mes aventures pour que tu les écrive. (jpehem.mm@orange.fr) Bisesssssssssssssss
Merci chère Sophie de nous passionner avec les récits que tu publies. Bisesssssssssssss
Le message est passé à Bruno, il décidera.... A très bientot, Jeanne !
Excellent, comme d'ab...
Et puis, Privas, l'Ardèche...quel pied, comme l'histoire.
Et je ne doute pas que la suite te plaise autant !
Hummmmmmm je suis déjà toute mouillée, qu'est-ce que ce sera pour la suite, surtout que je m'imagine déjà être la 2ème femelle de ce groupe. Bisessssssssssssssssssssssss