Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Nous prenons notre apéro et notre repas copieusement assaisonné de rires joyeux. Repas fini, comme de gentils enfants bien obéissants, nous débarrassons et faisons la vaisselle ensemble. Encore une occasion de rire. Une fois terminé, Christine dans un bâillement, nous prévint qu'elle avait un coup de pompe et qu'elle allait faire la sieste. Jacques et moi nous demandons si c'est vrai ou si au contraire c'est une invite. Du regard nous nous comprenons. On la laisse aller. 5 minutes plus tard, nous nous approchons de sa chambre. Elle est là couchée en chien de fusil et dort en suçant son pouce.
Nous nous éloignons sans bruit. Jacques me dit sur un ton tout à fait naturel:
« Accompagne-moi dans ma chambre, je voudrais te montrer un truc ! »
Je le suis. Il tourne en rond un moment, cherchant ce qu'il devait me montrer. deux à trois minutes se passent et finalement, il se penche pour ouvrir sa valise. Je le regarde faire, il est là, tête baissée et cul en pointe. Me reviennent en mémoire nos petits jeux de tout à l'heure, je me mets à bander. Je m'approche de lui et avec mon gland je caresse la raie de ses fesses.
Cherchait-il vraiment quelque chose, ou bien comptait-il sur moi pour comprendre ce qu'il voulait secrètement ? Je l'ignore et toujours est-il que je ne saurai jamais autre chose que lui et moi allons baiser. En effet, tout en conservant son buste baissé, de ses mains il écarta ses fesses. J'eus alors le spectacle d'un trou du cul un peu dilaté, signe de son excitation. Je pris ça pour une demande et dirigeais mon gland au centre de la cible.
Je le positionne bien et introduit la pointe de mon gland en m'aidant d'une main. Je reste un moment comme ça. Je le saisis par les hanches et entre en lui d'un seul coup, faisant claquer mon ventre sur ses fesses. Seule réaction de sa part, cambrer les reins et pousser un « AAAAAAAHHHHH! ! » de plaisir assez bruyant.
Ma queue est bien serrée entre ses fesses. Je m'y sens très bien. Tout en le tenant par les hanches je vais et viens en lui, doucement d'abord, pendant un moment. Puis je sors complètement de lui pour entrer à nouveau entièrement et presque violemment. Jacques crie alors un « Oh, putain que c'est bon !! » Bien entendu ça réveille un peu notre cousine qui d'une voix ensommeillée nous demande ce qui se passe. Nous arrêtons un moment, la rassurons du mieux que nous pouvons puis continuons à baiser.
Jacques nous interrompt un moment pour changer de position. Il se redresse un peu et prend appui sur les portes de l'armoire devant laquelle nous étions. Ce qui me permet de le voir dans la grande glace sur quoi il a posé ses mains. Mes coups de reins en lui font balancer sa queue. Elle n'est pas bandée, cependant elle est assez longue. Il faudra qu'il me saute lui aussi. Sa bite me fait trop envie.
Mes coups de boutoir font claquer les portes de l'armoire accompagnant ainsi les gémissements de Jacques, qui se laisse aller. Bien entendu, ça réussit à réveiller Christine. Elle arrive sans bruit, ses pieds nus sur le carrelage la font se déplacer en silence. Jacques et moi sommes attelés à notre tâche et nous ne nous occupons de rien d'autre que baiser. Soudain, en levant la tête j'aperçois la cousine. Elle est appuyée au chambranle de la porte et se caresse en nous regardant.
Je ne dis rien à Jacques. On ne sait jamais, avoir un spectateur peut peut-être le bloquer. Ce serait sot. Je continue à enculer mon cousin presque plus émoustillé encore par la présence de Christine. Mais je la vois qui se cambre, tête penchée en arrière. Elle jouit. Alors, là, je ne peux plus me retenir, j'explose et emplis le ventre de Jacques.
Mon gentil enculé réprime un cri de plaisir et à son tour jouit et répand sa semence sur le parquet. Je lui souffle à l'oreille:
« Laisse-toi aller, tu ne risques pas de réveiller Christine, regarde donc dans la glace… »
Effectivement, il relève la tête et voit notre cousine pas tout à fait remise du plaisir qu'elle vient de se donner. Ses jolis yeux sombres sont encore tout embrumés. Elle s'approche de nous qui sommes encore l'un dans l'autre. Je suis à peine débandé, aussi je reste dans le cul de Jacques. Je m'y sens bien. Christine qui est maintenant tout contre nous, se penche vers Jacques et lui prend la bouche.
Est-ce le fait d'être encore, lui aussi, dans les nuages ? Toujours est-il qu'il répond au baiser de la cousine, et même d'une manière assez goulue je dois dire. Cela me titille. Et comme je suis encore en Jacques, je reprends un peu mes mouvements de va et vient. Mais Christine qui vient d'arrêter d'embrasser Jacques, nous fait nous séparer et prend ma queue pour lui faire une grande toilette. Elle fait ça comme une reine. Elle n'a que 18 ans et pourtant on dirait qu'elle a déjà une grande expérience. A moins que ce soit inné chez elle. Bref sa pipe est royale. Elle contribue à me laisser tout bandé.
Elle se colle contre moi, toute chaude et excitée. Je ne suis pas sûr de pouvoir la satisfaire tout de suite. Aussi je prends prétexte de l'heure et de la nécessité d'aller nous occuper des animaux de Pépé et Mémé et lui promets que ce soir après le dîner on pourra jouer tous les trois. Elle me traite de salaud et de sadique. Jacques et moi éclatons de rire et sortons de la chambre nous faire un brin de toilette avant de sortir nourrir les bébêtes et aller balader les chiens. On fait rentrer la volaille dans le poulailler, leur octroyons une généreuse ration de graine et tous les 3 mettons les chiens en laisse et partons les faire courir dans la campagne. Inutile de préciser que nous nous étions rhabillés auparavant.
Nous faisons tous les trois une longue balade dans la campagne avec les deux chiens. Dans ce village, ils sont connus par tous, mais mes cousins et moi sommes des étrangers. Quand nous croisons quelques uns des habitants, nous rions aux éclats. Car on a conscience que, grâce à nous, ce soir, les villageois auront enfin un sujet de conversation au lieu de rester bêtement scotchés devant leur écran télé. C'est con mais on a l'impression, passagère, d'avoir une grande importance.
Nous finissons par rentrer à la maison. Les chiens ont bien couru, ils tirent une langue qui montre leur lassitude. Ce soir, et cette nuit, ils se tiendront tranquilles. Et nous, nous pourrons passer une bonne soirée. Comment va-t-elle se dérouler ? On ne va pas tarder à le savoir. Alors qu'avec Christine, je m'occupe du dîner, Jacques qui est l'intello de la famille s'installe dans le salon et entreprend d'écrire. Il s'est mis dans la tête d'écrire un bouquin. Christine et moi sommes curieux de savoir ce qu'il écrit. Mais il ne veut rien nous dire. Même pas nous faire connaître le sujet. Est-il cachottier notre cousin tout de même !
Je profite que nous soyons seuls dans la cuisine pour proposer à Christine un thème pour nôtre soirée. Elle est d'accord avec moi. Elle doit essayer de faire l'amour avec Jacques. Ça ne va sûrement pas être facile, mais cela peut être amusant. Au besoin j'aiderai la cousine. Cependant, je suis certain qu'elle sera parfaitement à la hauteur pour convertir notre cousin à la bisexualité. Toute jeunette qu'elle est elle paraît être une coquine naturelle. Comme Jacques n'est pas un de ces homos pur et dur pour qui une femme serait la dernière chose à consommer, je sais qu'il répondra à la demande de Christine.
Ne me voyant pas assis dans un fauteuil à les regarder faire, je sais que je me mêlerai à leurs ébats et m'occuperais des fesses de mon cousin. Ainsi, titillé comme il aime, faire plaisir à notre cousine chérie lui sera chose aisée.
A suivre...
Tout comme moi ! Merci de prendre la peine de le dire ici.
Super histoire, pleine d'interdits, j'aime bcp!
Tu a raison, cela reste tabou, et pourtant, les relations entre cousins ne sont pas interdites par la loi...
Du Bruno comme on aime...tip top!!!
Comme tu dis, et j'attends la suite avec impatience !
@ l'Amoureux, merci du compliment
Un jour, vous devriez vous rencontrer ! vous n'etes pas si loin l'un de l'autre, en plus !
vraiment sympa comme histoire, j'attend la suite avec impatiente...