Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Il est vingt trois heures quand nous prenons congés de nos amis, chez lesquels nous avons passé une excellente journée. C’était l’occasion pour Max de nous présenter sa nouvelle copine Lucia, une belle italienne brune au regard impénétrable, à peu près du même âge que Marylou, mon épouse, de trente ans environ.
Ce jour là, il faisait une chaleur torride, aussi, avons-nous passé la plus part de l’après midi dans la piscine. Le tissu du maillot de nos deux superbes épouses, ne cachait pas grand-chose. Leur déplacement dans l’eau donnait un ballet érotique très excitant.
Je remarquai quand même que Lucia, regardait ma femme d’un air coquin, s’approchait de plus en plus d’elle, à la frôler. La couleur noire de ses cheveux tranchait avec le blond de mon épouse.
Les petits « oh » de Marylou, me laissait à pensée que la belle italienne avait des mains baladeuses. Ma femme m’a toujours avouait vouloir tenter une relation avec une femme, mais avec le temps…
Vers dix-neuf heures, pendant que les femmes préparent les apéritifs, nous nous occupons du barbecue en parlant de tout et de rien. Je me retiens. Mais j’ai très envie de parler de nos épouses à mon ami… Après le repas, Max et moi nous levons de table et nous installons au salon pour regarder le match de foot. Dehors, j’entends nos femmes discuter un peu.
« Pendant que nos mecs regardent le foot, on pourrait aller se baigner, propose Lucia.
- Pourquoi pas, répond Marylou, ça nous rafraichira, il fait tellement chaud ! »
Je suis les deux femmes du regard, et là, surprise. Ni une ni deux, Lucia ôte son maillot. Marylou se retourne, m’interroge du regard. Je lui fais un signe affirmatif. C’est entièrement nues que les belles plongent dans la piscine. Max semble n’avoir rien vu, tant il est passionné par le foot. J’essaie de me concentrer sur le match, mais je ne peux m’empêcher de penser à ma femme et son amie, nues dans la piscine.
A la mi-temps, pendant que Max va chercher les bières, je suis attiré par des bruits bizarres. Je m’avance en rampant jusque sur la terrasse, et découvre nos épouses allongées sur leur serviette. Mais… non… Je n’en crois pas mes yeux !
« Je te tiens là, dit Lucia. Tu sais, les italiennes aiment bien gouiner les petites françaises. Elles sont tellement joueuses, on prend un réel plaisir à vous entendre gémir sous nos caresses… Tu aimes ce que je fais à ton petit bouton ? Tu mouilles là… Détends toi ma chérie, je vais te régaler…
- Mais j’ai jamais fais ça, soupire mon épouse. Et mon mari, s’il me voit… Oh mon dieu…
- Ton mari, mais j’espère qu’il va voir comment je m’amuse avec la petite chatte de sa femme ! »
Ma femme a les jambes complètement écartées. Je vois deux doigts de la belle italienne enfoncés dans sa chatte, tandis que le pouce excite le clitoris décalotté. Marylou gémit de plus en plus fort, s’arc que boute en poussant sur ses fesses, puis se lâche dans un râle de plaisir.
« Oh oui…je joui…oui…oui…c’est bon… oui c’est bon… encore…
- C’est bon de se faire gratter la chatte, hein…tu en veux encore, mais tu vas en avoir ma chérie ! »
Le match ne m’intéresse plus. Je reste allongé sur la pelouse, à peine caché par les buissons. Max me cherche, m’appelle, et fini par me trouver dans cette position inconfortable, et pourtant si plaisante…
« Mais qu’est-ce que tu fais là ? Le match vient de reprendre !
- Laisse tomber le match ! regarde ce que font nos si sages épouses.. ca vaut tous les matchs de la terre !
- Mais de quoi tu parles ?
- Allonge-toi, tu verras ! »
Mon ami finit par obtempérer et d’allonge près de moi. Et là, bouche bée, il voit enfin le spectacle hallucinant et si excitant :
on épouse se retrouve à quatre pattes, la tête enfouie dans sa serviette, la croupe offerte à notre vue et aux actes indécents de sa camarade de jeux. J’aperçois nettement la chatte béante, brillante de mouille, branlée par les doigts pervers de Lucia, mais aussi le majeur de l’autre main pénétrer le petit trou, d’ordinaire totalement fermé. Ele agite son cul comme si elle était possédée, soufflant et gémissant de plus en plus fort. Je la connais, je sais que son orgasme arrive….
Et voilà, j’avais raison, Marylou ne se retient plus, elle hurle de plaisir, sans se soucier de savoir si on l’entend ou pas.
La belle italienne, dominatrice, la couche sur le dos, et s’encastre entre ses jambes. Une guerre de clitoris s’engage, L’italienne se frotte sauvagement sur l’intimité rouge et luisante de cyprine de ma chère femme. Moi, je n’y tiens plus non plus, et oubliant mon copain, je dégrafe rapidement mon jean et sors ma queue dure de mon boxer. Je me branle à toute allure, comme rarement dans ma vie.
Soudain, les violents coups de reins de Lucia viennent à bout de Marylou, novice dans ce genre de relation. Ma femme hurle à nouveau son plaisir dans la nuit chaude de cet été de feu.
Lentement, Lucia embrasse mon épouse, avant de venir placer d’autorité sa chatte sur sa bouche.
« A moi, souffle Lucia, bouffe-moi la moule, à toi de me faire moi jouir maintenant. »
Je me souviens alors que je ne suis pas sexuel, et regarde mon pote. Il a fait comme moi, et branle avec acharnement une jolie bite courte, mais bien épaisse et massive. Il a les yeux exorbités et semble ailleurs.
Je lui souffle à voix basse :
« Alors, ca te plait ?
- Oh oui, quelles cochonnes !
- Ta femme est une belle garce ! Tu l’avais déjà vue comme ça ?
- Non, je ne la savais pas bi. Mais je et jure, je vais en abuser, maintenant ! répond-t-il en souriant.
- Et moi donc ! il faudra qu’on se fasse un truc à quatre.. tu serais partant ?
- Bien sur mon pote, là, j’en rêve ! »
Nous nous concentrons à nouveau sur le sublime spectacle de nos épouses se gouinant avec passion.
Même si ce n’est pas une experte, je devine aux gémissements de plaisir de Lucia, que ma femme ne doit pas mal s’en sortir. Je vois sa langue écarter les lèvres, lécher le clitoris, que je trouve énorme. La main de l’italienne ne reste pas inactive, glisse entre les cuisses de Marylou. Les doigts experts pénètrent sa chatte, doigte son bouton gorgé de sang. Pendant de longues minutes, ma femme dévore la fleur écarlate de Lucia.
Moi, je n’en peux plus, et je lâche un épais jet de sperme chaud dans l’herbe. Je jette un œil vers Max, et constate qu’il a aussi accéléré son rythme. Je le regarde fasciné. Sa main peine à entourer son mandrin pourtant assez court. Je me rends compte que je prends plaisir à le mater. Même ma bite se remet à frétiller. Il continue son va et vient, et jouit dans un gémissement sourd. Je vois de grosses gouttes de liqueur glisser sur l’herbe.
Presque sans m’en rendre compte, je tends la main et cueille une perle blanche. Sous les yeux ahuris de mon pote, je lèche mon doigt de façon voluptueuse. Jamais je n’ai fait cela de ma vie, et j’y prends un plaisir anormal. Max me regarde, sidéré, mais les râles de plaisir de nos épouses l’empêchent d’ouvrir la bouche.
Les deux femmes jouissent en même temps, se tordant l’une sur l’autre... Je vois un liquide clair s’écouler de l’abricot rougi de ma femme… Serait-elle une femme-fontaine, et je l’ignorerai ? Nos femmes nous offrent un spectacle d’une pureté incroyable, magnifique, qui j’espère, se renouvellera.
Ne me demandez le résultat du match, je n’en sais rien, mais j’ai assisté à une partie autrement plus excitante.
Nous nous relevons avec discrétion, et retournons sur le canapé. Quelques minutes après, nos chères coquines entrent dans le salon, comme deux innocentes… Je décide de partir, car il me faut posséder ma femme au plus vite. Je suis trop excité. Nous prenons congé rapidement, et montons en voiture sans un mot.
A suivre...
En matière de plaisirs charnels, tout peut arriver...
Très érotiques ce récit et très bien écrit.
Vous je ne sais pas, mais moi j'attends la suite avec impatience
Helas, pour le moment, il n'y en n'a pas eue, de suite....
Très chaud. J'ai eu une relation lesbienne par le passé.
Ce récit me donne envie de retenter l'aventure. Je suis sure que mon mari n'y verrait pas d'invonvégnant.
Tu as raison, peu d'hommes refusent de voir leur femme avec une autre !
Comme d'hab. Superbement écrit.
Bien sur, tu en es le principal inspirateur.. et tu as raison, je n'ai pas su resister au Turon... mon péché mignon !
Récit lesbien, mon fantasme. Je me suis laissé bercer par la patte de Sophie.
Je l'adore.
Tu es trop gentil avec moi, comme toujours ! Bisous doux
Un véritable délice...
Je trouve aussi.. cela fait longtemps que je ne t'ai vu ici.. et en "vrai" ! c'est pour quand ? Bisous comme tu aimes !
Avant la semaine de noël promis
C'est la semaine prochaine... ;-)
Bravo ! Une très belle histoire bien chaude comme je les aime... Comme quoi, une aventure entre deux femmes peut ouvrir des portes insoupçonnées pour une partie à 4 !!!