Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

En dehors mon voyage à Lille délicieusement mouvementé, ma vie privée a été très calme. Cela ne peut pas faire de mal, et je tiens à être en forme pour ma soirée avec Claude et ce (?) mystérieux Cindy. Je n'arrête pas de penser à ce personnage dont il m'a fait compliment. Le suspense ne va plus durer trop longtemps. C'est après demain samedi au soir que nous devons nous rencontrer.

 

Mon travail qui me voit me déplacer, un peu partout en France, me donne la possibilité de chercher où et avec qui s'amuser. Nous sommes à la fin des années 70. Être gay, n'est pas très facile, aussi dois-je me montrer discret. Le soir je me promène et regarde à travers les vitrines l'ambiance de certains bistros. On se rend vite compte si nous y avons droit de cité, nous les pédés, comme on nous appelle.

 

Cela me permet de me faire un petit carnet d'adresses sympa. On n'est pas obligé « d'aller à la chasse »tous les jours, n'est-ce pas ? Mais savoir où aller les soirs où baiser avec un beau mec nous ferait du bien est rassurant. C'est ainsi qu'un jour, dans une société que je visitais, j'ai sympathisé avec un ingénieur chimiste, bien de sa personne, au point qu'il me proposa de m'inviter un soir de fin de semaine chez lui . En général, il recevait ses copains. J'eus bon nez d'accepter, car ces soirées de fin de semaines étaient en réalité des partouzes entre mecs. Plus que très sympas ces moments-là.

 

Enfin, c'est ce soir que je vais chercher Claude, avec qui je dois rencontrer ce mystérieux personnage prénommé Cindy. Je me fais une grande toilette, en prenant soin de bien retirer tous ces maudits poils qui enlaidissent mon corps, je n'oublie pas de mettre entre mes fesses ce petit gode acheté grâce à Robert, et vais chez mon amant. Il m'ouvre sa porte et me saute au cou. Il me couvre de baisers en se frottant contre moi. Il est quasiment nu, juste une serviette de bain autour de la taille. Il est beau et tentant dans cette tenue. Je lui arrache sa serviette et l’entraîne vers son grand canapé. J'ai envie de sa longue queue dans ma bouche, j'ai envie de le boire. Je me rends compte que ça qui me manquait depuis quinze jours.

 

Je lui fais une pipe à la fois tendre et gourmande, jusqu'à ce que, enfin, il explose dans ma bouche. Je prends soin de ne rien avaler et lui prend sa bouche pour partager avec lui, ce que je lui ai soutiré. Nous n'avons même pas échangé un seul mot depuis que je suis là. Je le force à se relever et l'incite à s'habiller. Cindy nous attend.

 

En route, ce salaud de Claude, bien que j'insiste lourdement, ne veut rien me dire sur ce ou cette Cindy. Seule certitude que j'ai c'est que c'est un homme. Jamais Claude ne nous ferait rencontrer une femme. Une femme? Pas pour du sexe, Grand Dieu ! La seule chose qu'il ait consenti à me dire c'est que ce n'était pas un travesti. Je n'aime pas les hommes qui se déguisent en femme. Cela est permis à quelques uns qui sous leur déguisement sont effectivement très féminins. Mais, ils sont rares.

 

Cindy habite de l'autre côté du bois de Vincennes. Par chance, il y a peu de voitures qui circulent, ce qui nous permet d'arriver assez vite devant un petit immeuble assez chic. Quatre étages seulement. C'est au dernier que vit Cindy. Son appartement bénéficie d'une grande terrasse en guise de balcon.

« La saison est belle donc nous pourrons passer la soirée dehors », me dit Claude.

 

Un ascenseur assez rapide nous mène à destination.

 

Claude sonne à la porte qui s'ouvre rapidement et un grand sourire accompagné d'un « Bonjour mes chéris, entrez donc ! » nous accueille.

 

Ce sourire appartient à un visage asiatique aux cheveux noirs, soyeux et longs qui appartiennent à une fort jolie femme. Je suis fort étonné mais n'en montre rien. Cette Cindy a des yeux d'un vert profond qui m'hypnotisent un moment. Après que Claude m'eut présenté, elle se penche vers moi et me fait un baiser tout léger sur les lèvres.

 

Elle nous fait entrer et ferme la porte derrière nous. Et c'est à ce moment là seulement que je la regarde en parcourant son corps de mes yeux. Aussitôt, je suis rassuré et je trouve la surprise annoncée par mon amant plutôt délicieuse, et toute nouvelle pour moi. Cindy mesure un mètre soixante pieds nus et n'est vêtue que d'un déshabillé transparent, une poitrine nue et bien ferme qu'elle bombe fièrement et une minuscule culotte. Mon regard reste plus longtemps sur cette culotte, car elle masque une protubérance étrange. J'ai très peu vu de femmes nues dans ma vie, mais il me semble que leur sexe n'est pas aussi volumineux.

 

Claude et Cindy se taisent et me regardent faire. Suivant le trajet de mes yeux, Cindy varie ses poses pour se mieux mettre en valeur. Je ne peux détacher mon regard de l'entrejambe de Cindy. Claude interrompt ma contemplation et me dit :

« Alors mon chéri, elle est pas belle ma surprise ? »

 

Alors que j'allais lui répondre que oui, elle état belle, Cindy se colle contre moi. J'ai la confirmation de ce dont je me doutais depuis un moment. Cindy est une transsexuelle. J'apprendrais un peu plus tard qu'elle est Thaïlandaise.

 

Claude et elle éclatent de rire. Je participe bien sûr, car je la trouve très belle « ma surprise ». Cindy qui nous a préparé apéritif et repas de son pays nous conduit sur la terrasse. De là la vue est splendide. Aucun immeuble autour d'où on pourrait voir la terrasse où nous sommes. La température très douce laisse présager que c'est là que nous allons passer la soirée. Un éclairage judicieusement installé nous permet de voir sans que nous ne soyons éblouis.

 

Nous nous installons, Claude et moi, tandis que Cindy va à la cuisine prendre le plateau qu'elle nous a préparé. Je profite de ce laps de temps pour dire à mon amant combien je trouve superbe cette Cindy. Entre elle qui est Thaïlandaise et Claude métis de Vietnamien, j'ai le sentiment d'avoir un faible pour les gens de ce pays, moi. L'avenir me le confirmera.

 

Cindy revient son plateau en main. Elle a ôté son déshabillé. Elle n'a plus sur elle que sa petite culotte. Elle a vraiment un corps splendide. Elle remplit nos verres et dispose prés de chacun de nous un petit plateau avec des amuse-gueules. Son verre en main, elle s'installe en face de nous. Cette jolie poupée est belle à croquer. Elle me fait envie. Mes yeux doivent parler pour moi, car elle me fait un grand sourire et d'un signe de la main me fait signe de m'approcher d'elle.

 

Je suis vêtu d'un polo et d'un pantalon léger, suffisamment étroit pour que Cindy sache l'impression qu'elle me fait. En effet, ma braguette forme une grosse bosse. Je suis maintenant face à elle, nos jambes se touchent. Je me penche vers son visage et lui prend les lèvres. Les siennes ne se refusent pas et nous échangeons un baiser vorace, à la mesure de l'envie que j'ai d'elle. C'est la première fois que je vais faire l'amour avec une femme, enfin avec un homme si féminin qu'on pourrait se tromper.

 

Je sens ses deux mains qui dégrafent la ceinture de mon pantalon. Cindy, à travers le mince tissu de mon slip caresse ma queue. Claude arrive alors derrière moi et retire complètement mon pantalon. Il fait suivre le même chemin à mon slip. C'est alors qu'il émet un sifflement presque admiratif et s'adressant à Cindy lui dit :

« Oh ! Regarde ma chérie ce que ce salaud de Mario a là entre les fesses ! »

 

Claude, qui m'avait vendu ce gode, a presque oublié que c'est de cette façon que nous nous sommes connus. C'est la première fois qu'il le voyait, confortablement installé entre mes fesses. Cindy se dégage de son fauteuil et rejoint Claude derrière moi. Elle écarte mes fesses et voyant qu'elles sont bien garnies est toute excitée. En tapant dans ses mains, elle prononce joyeusement à mon adresse quelques mots orduriers, parmi lesquels grosse salope est le plus doux.

 

Ce gode bien installé dans mon cul semble déclencher les hostilités, qui n'attendaient d'ailleurs que cela pour agir. Cindy, toujours derrière moi, passe une main entre mes jambes et prend ma queue qu'elle branle doucement. De l'autre, elle saisit mon gode et le fait aller et venir en moi. Cette Cindy est d'une douceur incroyable. Sa main qui caresse ma bite est douce et chaude. Rien n'est plus simple que de branler une queue. Il suffit de l'enserrer dans une main et de faire des mouvements. Pourtant, je ne sais comment elle s'y prend, mais Cindy m'amène à la jouissance très rapidement.

 

Claude se rend compte de ce qui arrive et se place de manière à me boire. Cindy quant à elle continue à me branler le sexe et n'oublie pas de faire jouer mon gode. Alors que Claude m'a bu et qu'il partage ma crème en embrassant Cindy, celle-ci continue à caresser ma bite. C'est presque insoutenable ce qu'elle me fait. Pourtant, je la laisse continuer. Il faut dire que dans le même temps elle a accéléré ses mouvements pour me sodomiser avec mon gode. Je suis excité comme un pou à qui on aurait offert une forêt de crânes pour lui tout seul.

 

Le godage que me fait subir Cindy me procure un plaisir extraordinaire et me fait supporter la douleur que je ressens avec la branlette qu'elle me fait. J'ai joui et grâce à elle je ne débande pas, mais ça fait tout de même un peu mal. Je lui demande d'arrêter. Elle m'obéit gentiment. Je l'enlace et lui prends la bouche, elle a encore un peu de mon sperme. Nos langues baisent comme des affamées. J'ai envie d'elle à en oublier la présence de Claude. Celui-ci intégralement nu se caresse en nous regardant.

 

Il est splendide ce garçon, le voir faire m'excite. Cindy semble avoir au moins quatre mains, tant je les sens partout sur mon corps. Elles ont le don de m'affoler. J'ai envie de la baiser cette jolie Trans. Je lui arrache presque sa culotte, et je vois apparaître une délicieuse bite. Elle contraste avec la minceur de son corps. En effet, son sexe, encore très peu bandant, semble épais et déjà assez long. Voilà une surprise comme je les aime.

 

Ma bouche, encore plus gourmande que moi, est attirée par cette jolie chose. Je m'en approche. De la pointe de ma langue je titille le gland qu'elle a circoncis puis descend le long de la hampe. Une jolie paire de couilles décore cet ensemble qui est un peu plus foncé que son corps. Mes coups de langue semblent plaire à Cindy dont le corps ondule en gémissant.

 

Cindy est allongée sur le dos, une jambe repose sur le dossier du canapé, l'autre repliée à hauteur de son épaule. Quel beau spectacle m'est donné. J'ai là, prés de moi deux échantillons des trésors que recèle ce que l'on appelait autrefois l'Indochine. Je suis de plus en plus amoureux de l'Asie, moi, je sens ça. Je m'agenouille sur la moquette et me penche pour déguster le succulent rouleau de printemps que Cindy m'offre.

 

Je parcours sa jolie queue avec mes lèvres. Sa peau est douce et tiède. Elle dégage une odeur particulière, à la fois douce et acre. Je ne sais pas ce que c'est, mais elle est très excitante. Mes petites attentions font frémir la bite de Cindy. Elle prend doucement du volume. Je ne m’étais pas trompé, elle est splendide. Elle finit par être bien dressée. Elle bande fièrement. Bon sang, épaisse et longue. Quelle beauté ! Je me demande comment la nature a pu offrir une si belle queue à un homme qui a un corps si délicieusement féminin.

 

J'arrête de philosopher bêtement et succombe à la tentation. J'embouche ce que Cindy appelle son « clito ». Ce que je lui fais doit lui plaire, car elle soupire et remue son bassin. C'est très émoustillant. Claude, mon bel eurasien, est derrière moi. Une de ses mains enserre ma queue et la branle. Je dirais plutôt qu'il la traie, comme il le ferait du pis d'une vache. On me l'avait jamais fait ça encore. C'est loin d'être désagréable ma foi.

 

Je demande à Claude d'arrêter de me branler comme il le fait, sinon je risque d'exploser. Cindy gémit de plus en plus. Elle se dégage de ma bouche, et me demande de m'allonger sur le dos. Elle veut s'empaler sur moi et me précise même :

« Quand tu seras en moi, ne bouge surtout pas, laisse moi faire, tu vas voir ! »

 

Ses désirs sont les miens, aussi je fais comme elle me l'a dit. Elle est maintenant debout au dessus de moi. Elle s'accroupit de manière à ce que j'ai son petit trou sur mon visage. Il est splendide. Comme sa queue, il est un peu plus foncé que sa peau. Pas la moindre petite ride et bien rond. Cindy qui contrôle parfaitement son sphincter, le fait se crisper puis se détendre, alternativement. Très excitant ce truc. Je la saisis par les hanches et l'amène vers moi pour que je lui fasse une petite feuille de rose.

 

Ma langue parcourt ce délicieux fruit exotique. Du corps de Cindy émane un parfum doux, presque entêtant, de sa composition me dira-t-elle plus tard. Son joli trou de balle ne fait pas exception. Mais à ce parfum se mêle l'arôme très particulier que dégage un anus excité. C'est quelque chose d'aphrodisiaque pour moi. Ma langue lèche, caresse, titille et pénètre ce sphincter qui m'attire comme un aimant. Cindy tout en gémissant, continue à jouer avec lui. C’est beau à voir. En tout cas, moi j'aime bien ça.

 

Elle change de position, se tourne et me fait face. Elle s'accroupit et s'empale sur moi. Elle est très serrée et souple en même temps. C'est la première fois que je rencontre un cul qui soit comme le mien. Je comprends maintenant pourquoi certains m'ont dit qu'ils aiment m'enculer car c'est un vrai grand plaisir d'entrer dans Cindy, dans son ventre. Difficile à expliquer. On sent en même temps une résistance et une facilité « d'accueil », les parois se serrent autour de ma queue. La chaleur est douce. Un vrai paradis. Qu'elle veinarde ma bite !

 

J'allais commencer à baiser Cindy quand elle m'arrête pour me rappeler de ne surtout pas bouger et de la laisser faire. Effectivement, elle commence à faire une sorte de danse lascive où elle met toute la souplesse de son bassin. Elle ondule d'avant en arrière et de droite à gauche. Elle procède doucement, lentement, en me fixant du regard. Ses yeux sont brillants, comme hypnotisant. Je fais des efforts énormes pour ne pas exploser tout de suite.

 

Je fais signe à Claude qui était un peu négligé de s'approcher de moi. Il se penche vers moi et nous embrassons. La langue de Claude est magique. Elle réussit à détourner mon esprit de la douce torture sensuelle de Cindy. Mais Claude se sépare de moi et s'adresse à Cindy dans leur langue maternelle. Je ne tarde pas à comprendre ce qu'ils se disent, car Cindy s'immobilise. Claude passe derrière elle et, à son tour, entre en elle. La voilà avec deux bites dans son délicieux cul.

 

Tandis que Claude l'enfile, Cindy me regarde. Pas une seconde, je ne lis une souffrance. Elle doit avoir l'habitude. La longue et mince bite de Claude frotte contre la mienne. C'est extraordinairement bon. L'intérieur de Cindy est chaud et humide, la queue de Claude est douce et chaude. Je suis comme au paradis. Nous semblons tous les trois ne faire qu'un, tant c'est bon. Claude et moi commençons à aller et venir dans notre Cindy. Mais nous manquons de synchronisme. Cindy éclate de rire et nous demande, encore une fois, de la laisser faire.

 

Et elle se remet à bouger comme elle le faisait il y a un moment. Le plaisir qu'elle donne est encore plus grand, tant Claude et moi sommes serrés en elle. Cindy nous gémit son plaisir dans sa langue maternelle. Je ne pige rien mais je sens qu'elle a du plaisir et cela m'excite. Je ne suis pas aussi endurant que Claude, aussi je finis par jouir. Elle pousse un cri de plaisir. Je retire ma queue de son ventre et change de position pour que Cindy me fasse ma toilette. Elle ne se fait pas prier. C'est tellement bon que je rebande encore. Je change à nouveau de position pour me mettre tête bêche avec elle. Ainsi nous nous suçons tandis que Claude continue à la baiser. Ses couilles balancent au dessus de mes yeux.

 

La queue de Cindy emplit bien ma bouche, et je la suce avec tout l'amour que j'ai pour les queues d'homme. Comme Claude, elle est très endurante et il se passe un long moment de plaisir avant que Claude ne jouisse en elle et qu'elle n'explose dans ma bouche. Bonheur absolu. Apéritif de rêve.

 

Claude se retire du ventre de Cindy. Et sans que nous ne nous soyons concertés, nous voilà allongés, tête contre tête avec notre belle trans au dessus de nous, qui laisse s'écouler nos spermes de son ventre. Et c'est une bataille gentillette à celui de nous deux qui en récupérera le plus. Mais personne ne sera perdant, car ensuite nous échangeons tous les trois des baisers goulus.

 

Nous restons ensuite un long moment allongés pour récupérer. Cindy la première, se lève et nous demande de passer à table. Ils sont tellement bandant mes deux chéris que j'en avais oublié que j'avais un peu faim. Nous passons à table. Nous dînons joyeusement. Repas terminé et tandis que nous dégustons un thé, Claude et Cindy se mettent à parler entre eux dans la langue de Cindy. Je ne tarde pas à comprendre car Claude avec son sourire si craquant me dit :

« Mario chéri, maintenant Cindy et moi allons nous occuper de toi, comme on aime le faire. Tu veux bien ?

- Euh... ben... Oui ! »

 

 

A suivre…

Dim 8 déc 2013 3 commentaires

le pied integral! merci pour cette geniale autobiographie!

Jullian44 - le 09/12/2013 à 02h33

Mario sera surement heureux d'un tel enthouisiasme !

Sophie de R.

Très bien écrit et très exciatant...bravo.

cachotier - le 11/12/2013 à 23h46

Merci de prendre le temps de venir le dire ici !

Sophie de R.

Cette bio pourrait etre la mienne. je suis fan!

Shame - le 16/12/2013 à 12h11

Mario sera heureux de le savoir...

Sophie de R.