Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Vous vous souvenez, en tous les cas je l'espère, que je vous avez raconté mes aventures avec Jacques, un kiné bi que j'avais dû voir par nécessité médicale. Nous avions dés la première séance bien sympathisé. La bisexualité créant des liens, les dix rendez-vous se terminaient obligatoirement par une partie de cul. Les séances de soin finies, nous avons continué à nous rencontrer. Parfois aussi on faisait ça à trois, avec l'un de ses copains.
J'ai eu l'opportunité d'être invité par Patrick, un copain homo, à aller avec lui dans le chalet prés de Chamonix où l'attendait son chéri. Jacques, à qui j'avais offert de m'accompagner, était fou de joie car il n'avait jamais partouzé. Moi non plus d'ailleurs. Je veux vous raconter notre première fois.
Nous étions au mois de mai. Cette année-là le printemps était formidable. Le séjour à la montagne, aussi bref qu'il soit, serait agréable. Jacques et moi avons retrouvé Patrick mon ami invitant et tous les trois avons pris la route pour Chamonix. Nous n'avions qu’une heure quinze de route à faire. Étant donné le temps dont nous bénéficions, aucun ennui n'était à craindre.
Nous étions partis avec ma voiture. Jacques s'installa à l'arrière laissant à Patrick la place à l'avant. Mais Patrick s'installa, lui aussi, à l'arrière. En me faisant un clin d’œil il justifia son geste par une plaisanterie éculée :
« Je veux pas m’asseoir à la place du mort, moi ! »
Connaissant mon Patrick sur le bout du sexe, je savais qu'il avait une petite idée derrière la tête. Il le confirma tout de suite en ajoutant :
« Et comme ça, Jacques et moi on fera connaissance… »
Ben voyons ! Patrick, homo à 100%, était très sensible à certains physiques d'homme. Celui de Jacques en faisait partie. Il culminait à un mètre quatre-vingt et avait un corps très musclé. Juste de quoi rendre fou Patrick. Encore ne savait-il pas ce qu'il cachait dans son slip. Je sais qu'elle va lui plaire cette bite qui a un diamètre de 6cm.
Nous avions encore un peu plus de trois quarts d'heure de route avant d'arrivée à notre petite fête Su la banquette arrière Patrick et Jacques papoter tant et plus. Patrick, vraie pipelette et coquine en diable, avait le chic pour orienter la conversation sur ce qui l'intéressait le plus, pour le moment là c'était jouer avec Jacques. Celui-ci, que je connaissais bien, se faisait plaisir en jouant les « vierges effarouchées ». Patrick je le sentais au ton de sa voix, n'en pouvait plus.
Aussi, soudain, il prit Jacques dans ses bras et lui roula une pelle gourmande. Ils s'étreignirent comme deux morts de faim. En bien moins que peu de temps, ils se retrouvèrent torse nu. Jacques faisait beaucoup de gym et surtout ce que l'on appelle du body building. Pas du tout adepte du concours Monsieur Apollon ou autre, il avait une musculature puissante mais sans en être presque difforme. Il avait donc fort belle allure.
Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire en entendant Patrick glousser comme une petite fille en tapant des mains. Complètement émoustillé, il entreprit de déculotter Jacques en murmurant des « Oh, mon chéri, j'ai envie de toi ! » haletants. Mes rires redoublèrent à la réflexion de Patrick voyant une queue de six centimètres de diamètre :
« Mon Jacques je t'aime déjà, quel merveilleux bijou tu as là ! »
Et sans plus attendre, il se penche et entreprend de lécher ce monstre qui lui fait tant envie. Tel un pacha macho, Jacques se plaque contre le dossier du siège et met ses mains derrière sa nuque. Nos regards se croisent dans mon rétro. Mon kiné préféré me fait un clin d’œil. La soirée commence bien, à ce que je vois.
Je connais Patrick depuis un moment déjà. Nous avions tout de suite sympathisé. Mais il ne s'était jamais rien passé entre nous. Il m'avait avoué son homosexualité le jour où, n'y tenant plus, il me déclara qu'il avait envie de moi. Je le remerciais et lui dis que j'étais bisexuel. Cela faisait trois mois environ que nous avions eu cette conversation. Mais, pour des raisons diverses, nous n'avions encore rien pu faire ensemble. Aussi c'est avec joie que j'acceptais son invitation, à cette partouze où son ami nous attendait. Nous serions donc 4 pour une partie de cul.
Accroché à mon volant, je devais faire des efforts pour garder mes yeux fixés sur la route. C'est que derrière moi Patrick et Jacques s'amusaient comme des petits fous. De temps à autres je ne peux résister à la tentation et je jette un œil sur mon rétro. Si je vois bien, ils sont à poils. Ils sont quasiment allongés sur le siège arrière. Ils ont de la place et une forme de confort. Nous roulons en Citröen DS.
Jacques est allongé sur le dos, Patrick couché sur lui est embroché sur la belle grosse bite de mon kiné. Il ne gémit pas, il crie presque son plaisir, tant il est bien rempli. Je sais ce qu'il ressent, cela fait longtemps que Jacques et moi jouons ensemble. Les amortisseurs de ma DS sont à rude épreuve, mais ils résistent. Seule la carrosserie se balance un peu de haut en bas, tout en roulant. Je suppose que les chauffeurs des voitures qui nous dépassent doivent comprendre que deux personnes baisent derrière moi. Par chance, ils ne peuvent rien voir d''autre qu'un morceau de dos sans que l'on puisse en déterminer le sexe.
Enfin, deux cris, quasiment simultanés, se font entendre. Mes deux copains viennent de connaître le bonheur. Patrick, s'affale sur le corps de son amant. Ils s'embrassent. Ensuite, autant par gourmandise que pour éviter de trop salir mes sièges, chacun fait la toilette de l'autre, à coup de langue bien sûr. Ils se rhabillent et s'installent comme deux passagers ordinaires. Après un long silence, ils se regardent et éclatent de rire. Le week-end cul s'annonçaient bien.
Les quatre-vingt-dix minutes qui nous restent à faire se font sagement. Parlotte et rigolades, histoire de bien faire connaissance. Comme je l'ai déjà dit, Patrick et moi nous connaissons, mais nos relations sont jusqu'à aujourd'hui toutes professionnelles. Nous avons beaucoup d'atomes crochus. C'est très sympa pour notre avenir, et boulot et cul. Encore qu'en ce qui concerne le cul je le saurais très bientôt. Nous arrivons enfin en vue du chalet. Belle bâtisse en bois typiquement savoyarde. Sur un balcon faisant terrasse, on aperçoit un homme qui fait des grands signes. C'est François Il vient nous aider à sortir nos affaires. On fait les présentations. François est un grand brun avec un accent british. On apprendra plus tard que c'est un genre qu'il se donne. C'est un beau garçon assez attirant. Je sens que notre week-end va être délicieux.
Sagement nous rangeons nos affaires et direction la douche. Patrick et François, en amateurs de sexes ont installé une salle de douche assez vaste où nous pouvons tenir à 4. Mais comme ils aiment corser les choses, il n'y a que deux pommeaux de douche. Fatalement, comme nous sommes 4, se frictionner risque de devenir asses X. Jacques et moi choisissons chacun notre pommeau. Patrick choisit de me rejoindre. Et fatalement, François va vers Jacques.
Tandis que Patrick règle la température de l'eau, je regarde son corps. Ses muscles sont fins et déliés, son corps est très peu poilu, ce que j'apprécie beaucoup. Par contre le petit triangle de poil au pubis me gène un peu. J'ai déjà converti Jacques au corps tout glabre, j'essaierai d'en faire autant avec Patrick. Celui-ci continue à régler la température. Moi, j'ai conduit pendant un long moment pendant que derrière moi, il baisait avec mon kiné. Il m'a mis le feu partout.
Mes yeux fixent sa bite. Elle est circoncise, ce qui met en valeur son gland qui domine bien la hampe. Il est tentant comme tout. Je prends donc sa queue en main et la caresse tandis que l'autre pelote son cul qu'il a ferme et rebondi. Il fait envie. Je bande comme un fou moi. Et Patrick qui se trémousse sous mes caresses. La situation est de plus en plus érotique.
A côté de nous, Jacques semble plaire à François qui s'exclame en prenant une voix presque féminine :
« Oh ! My god ! What a jolie bite ! »
Il est vrai qu'un muscle tel que celui-ci peut sembler impressionnant, sachant que les quinze centimètres que font la queue de Jacques donnent encore plus de poids à son diamètre de six centimètres... Voilà longtemps que je la consomme. Je dois dire qu'elle est très efficace quand elle pénètre un gourmand, et ce n'est pas Patrick qui me contredira.
Alors qu'enfin la douche est à son degré idéal et que l'eau ruisselle sur nos corps, Patrick, gel douche en main, badigeonne tout mon corps de cette mousse parfumée en prenant grand soin de le faire sensuellement. Je suis de plus en plus en feu moi. Je ne dis rien mais je halète plus que je ne respire. Alors je m'accroupis et embouche son beau gland. Quel plaisir d'avoir la bouche pleine d'un bel engin. Je mordille son gland, il est si beau. Ma langue titille son méat tandis qu'une de mes mains caresse ses couilles et que l'autre fait connaissance avec son trou de balle.
Mes deux doigts qui le pénètrent semblent lui plaire si j'en juge par le « Hmmmmmmm » sonore que Patrick a poussé. Je poursuis donc mon exploration en ajoutant un troisième doigt, tandis que ma bouche déguste cette délicieuse bite. Pendant ce temps François pousse des '' Oh ! My god'' qui sentent la jouissance qui arrive. Il faut dire que Jacques, mon pote kiné, l'a embroché. Et sa grosse hampe procure toujours du plaisir.
Malgré le plaisir que j'éprouve à sucer la queue de Patrick, je ne peux m'empêcher de regarder du côté de Jacques et François. Celui-ci, empalé sur le bel engin de mon kiné, remue la tête en tous sens en gémissant. Il éprouve tellement de plaisir qu'il en oublie son habitude de prendre un accent british et crie des :
« Oh putain que c'est bon ! Oh putain défonce-moi ! » qui ne doivent rien à Shakespeare.
Patrick et moi ne pouvons nous empêcher de rire. Cela nous distrait un bref instant. Notre envie de baiser étant la plus forte, Patrick et moi sortons de la douche et allons nous allonger au pied de la cheminée, où une grosse bûche brûle, elle craque un peu parfois. C'est du châtaignier. Patrick et moi reprenons notre conversation, mais cette fois, nous nous mettons tête bêche et nous octroyons un 69 assez goulu. C'est que lui et moi avons fin de bite.
Patrick a glissé trois doigts entre mes fesses et me sodomise sans trop de douceur. J'adore vraiment ça. Ses « câlins » avec Jacques durant que je conduisais ont vraiment mis le feu à « ma soute ». Patrick a une belle lance, il faut qu'il éteigne l'incendie. Je le lui demande avec insistance. Ce garçon est un grand gourmand. Ma demande lui plaît et il ne se fait pas prier. Nous nous relevons et je m'allonge sur le dos et sur la table basse toute proche. Patrick, à genoux, me tient par les chevilles et entre en moi d'un seul coup. Je pousse un léger cri à cause du gland qui est assez épais.
Une fois passé, ce n'est que du bonheur. Il me rappelle un peu mon initiateur, Philippe, qui me sautait avec les encouragements de Marianne sa belle cochonne d'épouse. Patrick et lui ont à peu prés le même physique. Ça me donne encore plus envie de jouir. Aussi j'accompagne les mouvements de mon enculeur avec des mouvements du bassin. Je sens mon plaisir monter doucement. J'accentue encore mes gestes, je veux sentir Patrick exploser en moi. J'adore ce moment là. Il ne tarde pas à arriver. Ça me fait un tel effet que je jouis à mon tour. Ma crème sort avec force, au point que quelques gouttes arrivent à mon menton.
Pendant que Patrick et moi reprenons nos esprits, dans les bras l'un de l'autre, Jack est en train d'achever'' François. Celui-ci, sous le plaisir qu'il reçoit, semble avoir définitivement oublié l'idée saugrenue de prendre l'accent british. Et c'est avec un accent définitivement savoyard qu'il clame sa jouissance. Les « Putain ! », les « J'aime ta bite ! » et les « défonce-moi encore ! » sortent de sa bouche.
Patrick entendant son ami jouir reprend de la vigueur. Mais je stoppe son désir de me prendre encore. Je veux goûter à François. Plus exactement, je veux qu'il me saute. Il est bien plus grand que moi. Contrairement à Patrick, il est très peu poilu. C'est un bon point pour lui. Il est, ma foi, bien bâti. Sa bite toute bandée et circoncise est bien droite. Elle est d'un diamètre raisonnable. Elle doit approcher les quatre centimètres, par contre elle est assez longue.
Il faut absolument qu'il m'empale. Je sens qu'il va me donner du plaisir. Jack a enfin explosé en lui. Après un moment durant lequel François et lui se câlinent gentiment ils reprennent leur esprits, Je me lève et m'adressant à François, je lui propose de venir avec moi prendre une douche. Il accepte volontiers.
Jack et Patrick sont restés ensemble et boivent un verre, ce qui fait que nous sommes seuls tous les deux à la douche. Ce qui ne nous empêche pas de partager le même pommeau.
Le genre d'histoire qui me fait fantasmer gravement... et intensément !
Décidemment, c'est la rentrée. Et quelle rentrée
Super Bruno.