Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
En ces temps bénis et regrettés où la vie estudiantine permettait à la fois de s’instruire utilement et de découvrir des horizons nouveaux, pas nécessairement les plus recommandables, l’occasion s’était présentée à moi d’occuper seul, pendant quelques temps, la demeure familiale, au motif d’un séjour de mes parents durant plus de trois mois outre Atlantique.
C’est dire si cette période fut mise à profit pour y vivre certaines expériences. La première fut de contribuer, avec les amis des deux sexes conviés à moultes reprises, à réduire sensiblement le nombre d’excellentes bouteilles de la cave paternelle.
Une autre fut de découvrir des facettes nouvelles d’une sexualité qui ne demandait alors qu’à s’épanouir. A plusieurs reprises, quelques jeunes personnes (féminines) de plus ou moins bonne famille prolongèrent une soirée ou un après-midi pour mieux apprécier les charmes du logis (piscine et jardin) et de son locataire. Ces petites sauteuses agrémentèrent plus qu’agréablement mon séjour, et la précocité dans le vice de certaines de ces polissonnes dévergondées me conduisit à inventorier nombre de pratiques libidineuses et de fantaisies libertines.
Mais de toutes les folies accomplies lors de cette heureuse période, celles commises avec ma tante Lucie furent les plus mémorables.
Tante Lucie, que tout le monde dans la famille appelait Luciole, car elle était la plus jeune sœur de ma mère, avait depuis quelques années quitté la France pour aller travailler dans une société berlinoise. Ce relatif éloignement avait conduit à un certain relâchement des liens et, autant que je m’en souvienne, la dernière fois que j’avais rencontré Luciole remontait au mariage de ma sœur aînée, voilà déjà cinq ans.
A cette occasion, je me souvenais que nous avions en même temps fêté les trente ans de Lucie de telle sorte que, lorsque je la découvris au salon un jeudi en fin d’après-midi, Luciole devait avoir trente-cinq ans.
Je revenais d’un cours quelconque suivi à la fac et, ce soir-là, alors que je rentrais à pied par le jardin, j’aperçus de la lumière au travers des persiennes quasi closes du salon. Il ne me vint pas à l’idée que la maison puisse être la cible de visiteurs mal intentionnés et je me dis que j’avais sans doute oublié d’éteindre la lumière.
« C’est curieux, tout de même, pensai-je, je n’ai pas fermé les persiennes ce matin... »
Comme à l’accoutumée, j’évitais de rentrer par la porte principale et me rendais vers la porte côté jardin, donnant sur le garage et la cuisine. Aussitôt le seuil franchi, j’entendis immédiatement, en provenance du salon, le son doublement caractéristique de la télévision et d’un film porno.
Je me rappelais soudain, que seul depuis quelques jours, j’avais laissé traîner sur la table du living room, quelques indices de ma vie dissolue, et notamment quelques ouvrages fort coquins et vidéos de film X. Je me surpris même à me demander si toutes les petites culottes qui avaient pu quitter leur propriétaire ces dernières semaines avaient été retrouvées...
Naturellement, je me fis la réflexion qu’un camarade avait trouvé le moyen d’entrer et profitait de mon absence pour visionner un film. Je décidais donc de surprendre ce larron voyeur et m’approchais alors d’un pas de Sioux.
Tout de suite, j’aperçus en haut du canapé de cuir crème dépasser des cheveux blonds, qui oscillaient légèrement. Ma compagne friponne préférée du moment étant brune aux cheveux courts, je me demandais qui pouvait être cette intruse aux mœurs curieuses, venant chez moi mater un film porno, et des plus hard.
Quelques prénoms me vinrent à l’idée tandis que j’avançais sans faire un bruit. Je perçus bientôt quelques gémissements caractéristiques de la montée du plaisir féminin, entrecoupés d’une respiration quelque peu saccadée. Persuadé d’avoir affaire à une copine de soirée ayant décidé de revenir butiner les fleurs du mâle, je n’hésitais pas à dégrafer les boutons de ma braguette et d’en sortir mon crayon dont la raideur progressait à grande vitesse.
C’est dans cette position déboutonnée, mon outil à la main que je fis d’un saut les quelques mètres me séparant de la coquine, qui, manifestement, attisait elle-même son excitation, ainsi que le démontrait le mouvement régulier de son épaule. Tandis que d’un autre bond, je présentais ma bandaison auprès de la bouche de ma visiteuse, je découvris enfin son identité.
Notre surprise fut réciproque ! Cette branleuse n’était autre que Lucie, ma Luciole, qui, nue sur le canapé, à l’exception de ses dim-up chair, se flattait les lèvres intimes au moyen d’un vibromasseur argenté. Après un bref instant de flottement, le regard de Luciole sembla irrésistiblement attiré vers le vit turgescent et tendu devant son visage et, après un soupçon d’hésitation, mes yeux dans les siens où il me sembla trouver une lumière égrillarde, elle avança la tête, ouvrit la bouche et d’un geste gracieusement gourmand, goba ma queue.
Sans cesser de manipuler le vibromasseur, elle entreprit une fellation de haute école, alors que je venais empaumer et tripoter ses seins en poire, aux mamelons tendus par son désir, mon regard allant tantôt vers cette bouche et ce regard de suceuse sans complexe, tantôt vers la main qui s’agitait entre ses cuisses, tantôt vers l’écran où une donzelle en bas et porte jarretelles se faisait prendre en levrette en même temps qu’elle avalait, aussi, un honorable braquemart, sous les yeux d’une spectatrice qui se masturbait impudiquement.
Il va sans dire que quelques minutes de ce traitement aussi délicieux qu’inopiné (si l’on peut dire) eurent raison d’une certaine résistance habituelle, et cela d’autant qu’Isabelle, une copine un peu boulotte mais portée sur la bagatelle, m’avait obligeamment branlé dans les toilettes de la cafétéria, après que je lui eus brouté le minou après le cours de la matinée où nous étions assis l’un près de l’autre. C’est ainsi que les signes avant-coureurs d’une éruption liquide se firent rapidement sentir entre les lèvres de Luciole, laquelle, son regard fixé dans le mien, pompait activement, les lèvres bien refermées, et sa main tripotant mes couilles.
Je ne pus que dire des « Ohh Luciole, qu’est-ce que tu fais. Ohhh... oui, je vais jouir Luciole, je vais gicler... »
Et c’est ce qui survint alors. Lucie ne retira pas sa bouche, et au contraire fit en sorte de réceptionner le nectar copieux sans en perdre une goutte. Elle avait poursuivi sa branlette et le gode vibrant sur son clitoris, elle exprima son propre plaisir par un gémissement alangui.
Nous restâmes ainsi sans rien dire quelques minutes, elle assise sur le canapé, ses cuisses toujours écartées, et moi sur l’accoudoir, le pantalon baissé, alors que le film porno continuait à diffuser ses images obscènes.
« Eh bien Luciole, c’est du joli !!! finis-je par dire....
- Ohh Chris, tu... tu m’as prise par surprise...
- Mais tu n’as pas protesté quand je t’ai mis ma queue dans la bouche...
- Ohh non, mais, mais que vas-tu penser de moi ?
- Que tu es une belle cochonne, Luciole...
- Et toi, un petit vicieux...
- A-t-on idée, Luciole, aussi, de se branler devant un film porno et de s’enfourner la bite de son gentil neveu sans barguigner ! »
En définitive, après nous être entreregardés, nous convînmes en même temps que l’un comme l’autre n’avions guère d’intérêt à ébruiter la chose dans la sphère familiale.« Pas la peine de raconter tout çela à toute la famille », conclut-elle...
Cette connivence nous amena à dire concomitamment et dans un parfait ensemble :
« D’accord, mais à une condition... »
Nous sourîmes de cette coïncidence.
« Toi d’abord ! dit-elle...
- Combien de temps restes-tu ici Luciole ?
- Quelques jours, pourquoi ?
- Eh bien ma condition, c’est que nous euh tu as compris... »
Elle sourit, mutine, toujours la main posée sur sa motte taillée...
« Je te propose bien mieux que ça, c’est ma condition à moi... »
Je n’osais imaginer ce qu’il fallait comprendre de cette observation.
« Euh, que veux-tu dire par là Luciole ?
- Eh bien n’aurais-tu pas un bon camarade ’ un copain que tu pourrais inviter à... se joindre à nous ?
- Ohh Luciole, tu veux faire l’amour avec deux... euh …
- Pas tout à fait, enfin oui, mais aussi un peu plus... alors ce copain tu l’aurais ?
- Peut-être…
- Attention, il faut que euh, tu comprends, quelqu’un qui soit assez ouvert à ces jeux... hum...
- Oui je vois ; il y aurait bien Thomas... Il est déjà venu ici, en fait Luciole, on a déjà fait çà ensemble avec deux filles...
- Ohh Chris, mais tu es décidément un petit vicieux, déjà une partouze à ton âge ! Bravo... ça promet... Au fait, et ta condition à toi§ me demanda Luciole.
- Hum... ma condition, oui, ma condition, c’est que... c’est que nous, euh, tu as compris... »
Elle m’adressa pour toute réponse un sourire coquin, et soudain concentrée sur son bas ventre, retira le gode de son fourreau humide. La nature polissonne de notre conversation et le défilé des images érotiques sur l’écran de la télévision, m’avaient ragaillardi, et j’exhibai aux yeux de Luciole un sceptre de nouveau bien tendu, tension que je n’hésitai pas à encourager de quelques mouvements onanistes.
A la vue de cette proéminence renouvelée, d’un geste Luciole m’invita à lui rendre une visite intime, et c’est ainsi que sur le grand canapé du salon, je connus cet après-midi la profonde et délicieuse volupté d’enconner ma Luciole. Ramonage et pistonnage étant, entre autres ardeurs (hardeur), les mamelles du plaisir, nous ne tardâmes pas à cheminer de concert sur la voie de la jouissance et c’est au fond de la chatte de ma tante Lucie que je déversai une nouvelle fois ma liqueur intime, encouragé par les feulements extatiques de ma libidineuse parente.
C’est après une douche réparatrice que je retrouvais Luciole à la cuisine, toujours quasiment nue et seulement vêtue de ses bas dim up et d’un modeste tablier. Je demeurai quelque temps, assis à la table, dans la contemplation de cette croupe offerte et dansante sous mes yeux, rêvant aux félicités à venir. Nous dînâmes ensuite des mets simples, mais parfaitement cuisinés par Lucie. Aalors que nous terminions notre dessert, Luciole, qui avait de nouveau contribué à un nouveau déploiement en me racontant certaines de ses frasques sexuelles et allemandes, me rappela que j’avais un coup de fil à passer.
« Euh, ce soir Luciole ?
- Bien sûr... Ne me dis pas qu’un jeune homme vigoureux comme toi est fatigué au prétexte qu’il a juté deux fois ’
- Pas exactement Luciole. »
J’avouais la séance de branlette avec Isabelle en fin de matinée.
« Oh... tu es un vrai coquin...
- C’est de famille sans doute...
- Bon on remet çela pour demain soir », finit par accepter Luciole, tout en passant ses doigts sur ses lèvres intimes, avec un zeste de regret de devoir en rester là...
Quelque peu fatigué de cette journée, je me rendis dans ma chambre, non sans observer que Luciole semblait former le projet de visionner un autre film porno, en recherchant dans le stock disponible. Je m’endormis en imaginant Luciole poursuivre ses excitations audiovisuelles et godesques (godiques ’) sur le canapé du salon, ses cuisses écartées et répandant sa cyprine sur le cuir fauve.
C’est d’excellente humeur que je me levais le lendemain, pas de très bonne heure, prêt à en découdre avec cette tante débauchée, et à lui rendre les hommages que ses cavités hospitalières méritaient. Mon excitation matinale retomba bientôt lorsque je me rendis compte que la belle avait quitté la maison et m’avais laissé seul. Renonçant à un petit plaisir personnel et manuel, en prévision des probables débordements à venir, je vaquai à quelques oiseuses occupations.
Alors que j’avalais quelques denrées éparses en guise de déjeuner, le téléphone sonna.
« Allo,
- C’est toi, mon neveu baiseur ?
- Euh oui..
- Tu as invité ton copain ?
- Ben, pas encore, j’allais le faire.
- OK, à tout à l’heure petit coquin et ne te branle pas. Garde tes forces pour ce soir.
- Mais... »
Luciole avait déjà raccroché. Je fis alors le numéro de Thomas.
« Ouais, entendis-je...
- Salut, Thomas, c’est Chris.
- Wooh, salut qu’est-ce que tu veux.. Dis donc, j’ai trouvé deux minettes qu’on pourrait sortir ce soir, à mon avis des saute-au-paf, ça te dit ?
- Ben, j’avais un autre projet. C’est pour ça que je t’appelle.
- C’est quoi ton projet ,un plan cul j’espère.
- Tu ne crois pas si bien dire.
- Avec qui ?
- Tu ne la connais pas...
- Y en n’a qu’une ?
- Une quoi ?
- Une nana ?
- Oui, mais pas n’importe laquelle...
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- Tu es là aussi ?
- Ben oui, elle veut se faire deux mecs en même temps... Enfin, je suppose...
- Une fille de la fac ?
- Non, pas du tout.
- Qui ?
- Ma tante. Lucie elle s’appelle...
- Euh et c’est une... une...
- Oui, c’est une sacrée salope...
- Hum... faut voir, elle me tente, ta tante... hha hha.
- OK je compte sur toi, je pense qu’on va s’amuser...
- Tu l’a déjà baisée ?
- Ouais hier soir. Je l’ai même surprise à se branler sur le canapé en regardant un film porno...
- La cochonne wwaaooou.
- OK, tu viens ?
- Bon OK... Au fait, elle a quel âge ?
- 35, 36 ans à peu près.
- Super mec, à ce soir.
- Eh attends, qu’est-ce que je fais des deux minettes ?
- Tu les gardes pour demain... »
A peine avais-je raccroché avec Thomas, que le téléphone sonnait de nouveau. Cette fois c’était Isabelle -la branleuse de la fac- qui me demandait si justement j’étais libre ce soir, pour développer nos relations à d’autres pratiques, dans le prolongement de notre première prise de contact. Je lui répondis que cela aurait été avec grand plaisir mais que justement, ce soir j’étais coincé et je lui servis l’arrivée inopinée d’une tante vieille fille avec laquelle je devais passer la soirée, par respect familial...
« Mon pauvre Chris, je te plains...
- Une autre fois, je te rappelle... Euh Isabelle...Bises où tu aimes...
- Bisous aussi, au même endroit... »
Plus tard dans la journée, Luciole Lucie fit son retour, chargée de divers paquets attestant d’un après-midi de shoping.
« Hello ! Chris... En forme j’espère ? Dis, tu as eu ton copain ?
- Oui, Thomas arrive vers vingt heures...
- Super. Tu nous prépareras un apéritif et après j’ai acheté une grande pizza. Nous aurons autre chose à faire que la cuisine. A plus tard... »
Luciole se dirigea vers la salle de bains et j’entendis l’eau couler. Je subodorais qu’elle envisageait une préparation exceptionnelle pour la soirée.
Thomas arriva alors, au moment convenu, alors que Luciole n’avait toujours pas reparu. Il commença par douter de la réalité de l’existence de la rencontre promise. J’avais sorti une bouteille de champagne et une de scotch. Nous primes avec Thomas un petit verre de whisky pour nous permettre de patienter, et aussi sans doute, de nous détendre quelque peu.
« Hello les garçons !!! », entendîmes-nous soudain.
Luciole fit son apparition au salon, juchée sur des escarpins de cuir blanc à haut talons, ses jambes gainées d’un voile blanc à résilles, avec couture, une courte jupe de stretch, un chemisier de soie grège laissant apparaître un décolleté pigeonnant.
J’observais Thomas, dont le regard ne semblait pas pouvoir se détourner de la femme qui se tenait devant, sûre de sa féminité, et de la séduction torride qui émanait de sa personne, campée devant deux jeunes godelureaux, un sourire aux lèvres. Nous interprétâmes cela comme une invitation à des plaisirs sans barrière.
« Bonsoir, tu es Thomas, je présume ? poursuivit Luciole.
- Euh oui, bonsoir...
- Chris m’a dit que tu étais un petit polisson… »
Thomas me jeta un coup d’œil et benoîtement, je lui souris.
« Alors, je vous plais les garçons ? » demanda Luciole en s’asseyant sur le fauteuil en face du canapé où nous étions.
La coquine prit soin de nous gratifier d’un gracieux mouvement de ses jambes, dont le résultat nous permis d’observer qu’elle portait, d’une part, des bas soutenus par des jarretelles blanches, et d’autre part, un string arachnéen de dentelle blanche.
« Chris, tu nous sers le champagne ?
- Bien sûr, Luciole... »
Elle caressait doucement sa cuisse faisant crisser le bas. Nous trinquâmes à notre soirée et Luciole, une fois sa coupe reposée, entra dans le vif du sujet sans autres tergiversations. Cette entrée en matière consistait à croiser et décroiser les cuisses le plus lentement possible en nous regardant par dessous, avec son petit sourire enjôleur qui en disait long sur ses intentions libertines.
« Alors, les garçons, le spectacle vous plait ? »
La gorge nouée par l’émotion, et l’excitation croissante, nous nous contentions de hocher la tête, les yeux exorbités devant ces jeux de jambes de plus en plus impudiques, puisque maintenant sa jupe était remontée, et que pouvions admirer les cuisses striées par les jarretelles.
« Dites, je vous fais bander au moins ?
- Euh oui, » répondit Thomas...
Pour ma part, j’opinais vigoureusement du chef en continuant de mater Luciole dans son exhibition laquelle maintenant passait sa main entre ses cuisses par-dessus la fine culotte, avec un bruit d’ongle délicieux sur le tissu tendu.
« Alors ? relança Luciole...
- Euh quoi ?
- Eh bien qu’attendez-vous ? Montrez-moi comme vous bandez. Sortez vos queues, les garçons... »
Fascinés par la dimension érotique de la situation, nous entreprîmes de concert de défaire notre braguette pour en extirper notre engin.
« Déshabillez-vous ordonna soudain Luciole, alors que nous regardions sa main se glisser dans sa culotte... Mettez-vous tous les deux à poils. Je vous veux nus devant moi... »
Thomas, subjugué par Luciole Lucie, obéit aussitôt. D’un sourcil relevé, Luciole me décida à faire de même. C’est bientôt, deux jeunes hommes nus devant elle que Luciole put voir, l’étendard vigoureusement levé.
« Elles sont belles vos bites, les garçons. Allez, branlez-vous devant moi. Montrez-moi comment vous vous paluchez, mes petits cochons. Je veux vous voir vous masturber devant moi... »
Nous nous livrâmes ainsi, à la demande irrésistible de Luciole, cuisses maintenant écartées devant nous, au maniement de notre queue, occupation au demeurant familière, et pour ne pas dire quotidienne, mais il faut bien l’avouer, c’était une première pour nous de le faire dans de telles conditions. C’est alors que Luciole repoussa sur le côté le tissu de son string pour nous dévoiler impudiquement son sexe humide d’excitation. D’un geste gracieux, elle écarta d’un doigt ses lèvres intimes et s’exhiba à nos regards perdus de concupiscence juvénile.
Elle s’engagea alors dans une masturbation lente, méthodique, jouant de ses doigts, tantôt sur la perle ourlée de son clitoris, tantôt en s’enfonçant délicieusement l’index ou le majeur dans les plis de sa chatte, tout en ne quittant pas des yeux nos mains qui maintenant s’agitaient de manière quasi automatique sur notre gourdin tendu.
« Allez, branle ton copain et toi, Thomas, fais pareil... »
Nous nous regardâmes, Thomas et moi, quelque peu surpris par cette invitation, mais nous avions probablement déjà dépassé nos limites, plongés dans l’érotisme torride diffusé par cette garce de Lucie. C’est ainsi qu’avançant la main, je pris la hampe douce, chaude et dure de mon copain et lui fit de même. Nous nous branlâmes ainsi, timidement d’abord puis ensuite plus franchement sous le regard embrasé de Lucie, dont la délicieuse branlette et l’exquis auto-doigtage exsudait un stupre du meilleur aloi. Cette palpation réciproque se poursuivit quelques minutes et je fis le mouvement que chacun semblait attendre, Luciole la première, à savoir me pencher pour poser mes lèvres sur le gland turgescent de Thomas.
Je commençais ainsi la première pipe de ma vie alors que Luciole, à moitié nue, se levait de son fauteuil et venait présenter, ventre en avant et cuisses écartées, sa chatte humide sur la bouche disponible de Thomas qui se laissait sucer, dévorant en même temps l’abricot avunculaire.
« Mes petits cochons vous m’excitez. Vas-y Chris suce-lui sa belle bite à ton copain qui me bouffe en même temps. Oh oui... j’adore... continue toi, gémissais Lucie en caressant les cheveux de Thomas, mange-moi, dévore-moi déguste-moi la cramouille... »
Nous communiquions dans le même délire érotique et ce fut bientôt au tour de Thomas de me rendre la politesse caudale, ce qu’il accepta sans hésiter, gobant avec délice mon chibre déployé. Luciole vint alors prêter main et bouche fortes à Thomas, et ce fut un galant et tendre ballet de langues fureteuses et de lèvres aspirantes qui dansèrent sur ma bite, et un peu plus loin du côté pile.
Nous échangeâmes alors force léchouilles de toutes natures dans un festival oral. Nous avions toujours la bouche pleine de quelque chose, qui une bite, des couilles, un sein, une autre langue..
« Petits vicieux dit soudain Luciole, il est temps de me foutre ! Venez me mettre vos bites. »
A ce moment, Thomas était allongé sur le tapis de telle sorte que Luciole vint s’empaler sur son manche rigide, offrant sa croupe à mon concupiscent désir. Je me penchais alors vers le divin cul de Luciole, léchant la raie intime comme un roi, désireux de préparer ma vicieuse tante à la double pénétration à laquelle elle nous invitait.
« Allez viens mon petit neveu, viens sodomiser ta tante...
- Hoo oui Luciole... Quelle cochonne tu fais. Je...
- Trêve de discours, mets-moi ta queue petit coquin... J’en ai trop envie... »
Je me positionnais alors devant les fesses tendues de Lucie, qui se les écartait des deux mains, exhibant son œillet coquin et luisant de salive et de mouille...
« Alors Chris, qu’est-ce que tu attends pour enculer ta tante ? vas-y mets-moi ta queue... »
Mon gland força alors la rondelle de ma tante et c’est toute la hampe qui fut aspirée dans cette l’antre culière de Lucie, maintenant doublement queutée. Je sentais le gros engin de Thomas qui reprenait du service dans la chatte de Luciole et nous accordâmes nos allées et venues, alternant nos coups de boutoirs et nos délectables glissades dans ces deux orifices que ma vicieuse tante nous offrait de concert.
« Ohh oui j’aime, disais Luciole, me faire sandwicher comme ça...
- C’est plutôt notre mie entre deux saucisses », rétorquai-je... poursuivant le pistonnage culier de Luciole dont les déhanchements avalaient nos bites au plus profond de ses sensations.
Confrontés à un tel régime, Thomas et moi ne tardâmes pas à sentir monter notre sève. Luciole le sentit aussi.
« Oui... oui !!! mes petits vicieux, jutez moi dans les deux trous, j’adore ça... »
Une telle invitation ne se refusant pas, nous nous répandîmes dans les entrailles de Luciole, quasiment en même temps, cette coïncidence déclenchant à son tour l’orgasme vertigineux de Luciole, haletante, qui exprima vivement son plaisir à cri et à corps.
Nous nous retirâmes alors et Luciole, satisfaite et repue, se tournant vers nous, vint de sa bouche et de sa langue gourmandes, savourer les effluves musqués et les dernières gouttes de notre plaisir.
Après quelque temps de récupération, Luciole, en lingerie blanche, mais sans son string, se mit à la cuisine et réchauffa la pizza que nous mangeâmes de bon appétit, alors que de ses mains polissonnes Luciole venait nous flatter la queue, de telle sorte que nous étions bientôt prêts à remettre le couvert, ce que nous fîmes au long de cette soirée inoubliable….
Ok, merci, je vais regarder le probleme ! c'est très gentil de me le signaler !
Ca y est, problème régké !
excellent plan , j'aurai etre etre le troixieme homme et deguster les deux autres hommes et pkoi pas s'occuper de madame , merci
Eh bien, quel appétit ! je te souhaite de vivre cela !
Bonjour,
Impossible (très, très compliqué) de lire le texte. on le dirait caché par un voile blanc.
Cdlt
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