Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Ma mère a une très bonne amie qui vient souvent à la maison. Cette amie, Pauline, est super sympa, et en plus elle est canon. Grande avec de longs cheveux châtains et bouclés, et toujours bien habillée (tailleur, chemisier et escarpins vernis) car elle est commerciale dans une grande boîte. De fait, elle est toujours vêtue de façon très élégante. Depuis que nous la connaissons, elle a toujours nourri mes petits fantasmes, mais sans le savoir. Je n’allais pas tarder à en devenir dingue…

 

Voilà quelques jours, elle arrive et s’installe au salon sur le canapé, ses belles jambes croisées en faisant crisser ses bas. Du haut de l’escalier, je l’observai discrètement. Ma mère m’appelle et me propose de les rejoindre. Bien sûr, je dégringole les marches, et me précipite dans le salon. Pendant que ma mère préparait l’apéro, je me suis installé à ma place habituelle au salon après lui avoir fait un bisou, non sans mater dans son décolleté au passage… Ma place, c’est assis par terre devant la télé, la tête tournée vers le canapé et à la bonne hauteur pour…. Ce jour-là, Pauline était habillée d’un petit tailleur rose fushia, un chemisier blanc, des bas blancs et des escarpins de la même couleur. Une vraie poupée sexy !  J’en bandais déjà…

 

Elle était ravissante, je ne tardais pas à lui faire mes yeux doux. Elle gardait les jambes bien serrées l’une contre l’autre. Puis elle les croisa le temps pour moi de contempler le haut de ses cuisses qui était nu. Coup de théâtre : le téléphone sonne dans le couloir et ma mère va répondre. Et là, j’ai eu le choc de ma vie : profitant de l’absence de ma mère, Pauline me regarda tout à coup bizarrement et me glissa :

« Fabien, je sais que tu as toujours rêvé de voir ma petite culotte, hein ? Ne fais pas l’innocent, je le sais. Tu es discret, mais j’ai remarqué depuis longtemps ton petit manège… »

 

Je suis devenu rouge de confusion, et pour couronner le tout, elle décroisa les jambes et les ouvrit toutes grandes, afin que je puisse contempler sa petite culotte de satin blanc.  Mon érection monta d’un cran, et je ne savais plus comment la dissimuler. Elle s’en aperçut, et sourit à la vue de la déformation sans équivoque de mon short ! J’ai cru exploser, mais c’était sans compter la suite… Toujours sans rien dire, elle mit le doigt sur sa culotte et commença à frotter doucement son sexe à travers le fin tissu… Je voyais sa mouille commencer à détremper le tissu blanc. Son clito devenait si proéminent sous ses doigts que j’avais l’impression de le voir bander. Elle l’effleurait d’un geste rapide et sûr.

 

J’ai cru que j’allais devenir fou ! Puis elle m’a demandé :

« Tu aimes ?

- Bien sûr, j’adore, vous êtes magnifique ! Je veux tout voir !

- Alors, regarde, » répondit-elle en écartant franchement sa culotte.  

 

Elle s’est mise alors à se masturber à fond, en poussants des petits soupirs. Elle s’enfonçait un doigt dans la chatte, le ressortait, caressait son bouton rose, replongeait son doigt… un spectacle merveilleux ! Moi, j’étais aux anges en contemplant le spectacle qui s’offrait à moi. Tout cela a bien duré cinq minutes. Elle était merveilleusement belle, rouge d’excitation. Puis ma mère conclut sa conversation et raccrocha. Pauline referma brutalement ses cuisses et réajusta son tailleur.

 

Ma mère nous rejoint s’assit avec nous et la conversation alla bon train entre les deux amies. Pendant le reste de la conversation, elle garda ses cuisses légèrement entrouvertes et les croisa et les décroisa un certain nombre de fois pour mon plus grand plaisir. Avant qu’elle ne parte, je n’ai pas pu résister et je suis allé aux toilettes me masturber rapidement, ce qui me procura un plaisir inégalé. Puis, je revins au salon, où Pauline me regarda rentrer avec un petit sourire complice… Elle écarta même encore une fois ses jambes…

 

Depuis ce jour-là, tous les prétextes sont bons pour aller chez Pauline, qui se prête à notre nouveau petit jeu coquin. L’autre jour, je devais aller chercher un document pour ma mère chez elle. Elle m’a fait rentrer dans le salon et m’a dit qu’elle allait chercher le papier en question. Elle est revenue avec un bac en plastique plein de papiers qu’elle a posé par terre. Elle s’est accroupie devant pour commencer à fouiller, sa courte jupe remontant très haut sur ses jambes. Elle avait les cuisses grandes ouvertes, et je pouvais regarder tout comme je voulais, ce que je fis sans aucune gêne !

 

Elle a ensuite laissé son slip écarté, s’est assise sur le sol, et s’est masturbée devant moi. Sa main écartait ses lèvres intimes, dévoilant un clito hyper gonflé. Elle le frottait frénétiquement en gémissant. Elle a eu un premier orgasme qui lui révulsa les yeux... Je l’entendais gémir et haleter. N’y tenant plus, j’ai sorti mon sexe de mon pantalon et je me suis aussi masturbé devant elle. Elle m’encourageait de la voix, tout en continuant elle aussi à fourrer sa vulve détrempée de son premier orgasme. Ma main coulissait sur mon membre bien dur, et je ne pus m’empêcher d’accélérer la cadence. Cela n’a pas duré longtemps dans l’état où j’étais. J’ai éjaculé sur la moquette du salon pendant qu’elle jouissait à nouveau en me fixant droit dans les yeux. J’ai voulu ensuite aller plus loin, tant j’avais envie de la baiser là, sur le sol, mais elle a refusé. Elle m’a dit qu’elle était exhibitionniste et que son truc, c’était de se faire mater pendant qu’elle se caresse, mais pas de se faire toucher.

 

C’est dur pour moi, mais c’est ça ou rien. Alors, je préfère cela ! La voir se caresser, branler son clito, enfoncer ses doigts dans sa grotte en feu m’excite à mort ! Je vais chez elle souvent, et on se masturbe face à face… Elle a aussi un vibromasseur dont elle se sert beaucoup. Je suis toujours surpris de voir avec quelle facilité sa chatte engloutit cet énorme jouet ! Je ne l’ai jamais touchée.

En revanche, j’ai le droit à toutes les variantes et tous les scénarios que je veux. Depuis, je n’arrive plus à penser à autre chose que son sexe mouillé et ses doigts qui le masturbe. Je deviens fou de désir, quasiment accro à elle !