Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
C’était ma première sortie en club libertin. J’avais un peu d’appréhension, même si c’était un désir mûrement réfléchi. Bob m’entraine un vendredi après-midi, moment où les hommes seuls sont aussi acceptés.
Nous prenons un verre au bar, histoire de faire un peu connaissance avec les lieux. Il me fait visiter, les chambres ouvertes, avec des très très grands lits, une avec un matelas immense, au moins 5 mètres sur 3, les box fermés, une estrade où s’exhiber en toute tranquillité... et un sauna plus un grand jacuzzi. Je choisis le jacuzzi, l’eau est mon élément.
Je me déshabille dans le vestiaire, aidée par Bob, qui me caresse doucement en même temps. Je vois déjà des regards masculins se poser sur moi, l’œil brillant.
Je suis un peu gênée, étant plutôt ronde, voire assez ronde, je ne me sens pas toujours à l’aise dans mon corps, vu les critères exposés tous les jours dans les médias.
Je me glisse dans l’eau, assise sur le banc qui court tout autour du jacuzzi. Mon homme commence à me caresser les seins, il les tête avidement, me doigte la chatte en même temps. Ma chatte que j’ai soigneusement épilée intégralement pour ce grand jour. Je suis sur un nuage, détendue. Je gémis de plaisir….
Des ombres s’agitent autour de nous. Un couple se fait entreprendre par deux hommes. La femme est caressée par 6 paires de mains, qui ne laissent aucun coin de son corps inutilisé... Je commence à l’envier….
Bob me fait monter sur le rebord du bassin, les jambes écartées au maximum. Il ouvre mon minou brûlant, écarte les lèvres avec les mains, avant de pointer sa langue agile sur mon petit bouton, qui durcit de plaisir. Il tourne, aspire, croque, mordille, lèche sans répit. Le résultat ne se fait pas attendre. Je vois subitement une dizaine d’hommes se rassembler autour de nous. J’en laisse deux me sucer les seins, un me caresse aussi la chatte, autour des doigts et de la langue de Patrick. J’exulte, je ne suis plus où je suis. Je jouis plusieurs fois, sans retenue, en criant toute mon plaisir.
Loin de me laisser en paix, mon ami continue, invite un autre homme à me lécher aussi. Les autres sont là, leurs belles tiges tendues à hauteur de visage. Je n’en touche aucune, je n’en n’ai pas envie. Je suis là pour mon seul plaisir, très égoïste. Les hommes se caressent, se branlent à fond. Je ne vois que ces queues qui s’agitent autour de moi, je ne vois pas leurs visages, je suis ivre de tous ces sexes tendus vers moi, qui me désirent et à qui je ne ferai rien de rien… Certains jouissent, leur semence gicle, coule, un homme se penche vers un autre pour gouter ce jus. L’homme a un mouvement de recul, puis se laisse faire. Il y prend tant de plaisir qu’il re-durcit immédiatement sous la langue de son nouvel amant. Cette scène m’excite encore plus. J’adoooooooooooooore, et j’en redemande…
Nous sortons de l’eau, car je veux m’isoler un peu, pour reprendre mes esprits. Nous faisons l’amour doucement dans un box fermé. Je sens enfin le sexe gros et dur me labourer la chatte, me prendre, s’enfoncer en moi. Dehors, j’entends les gens, l’oreille aux aguets, qui commentent ce qu’ils entendent et ce qu’ils viennent de voir dans le bassin. Ca m’excite à nouveau, et je ne peux m’empêcher d’ouvrir la porte. Nous continuons à faire l’amour, en levrette ; je sens des mains, plein de mains sur mon corps, qui passent partout sur moi. C’est irréel et très jouissif. Jamais encore, je n’ai autant joui de ma vie.
Nous décidons de changer d’endroit, je veux une apothéose. Nous allons vers l’immense matelas repéré à l’arrivée. Je fixe mes règles. Seul mon homme me prend, aucun autre ne me pénètre. Deux ou trois me lécheront les seins, la chatte quand Bob me prendra en levrette. Les autres ne feront que regarder. Je m’allonge sur le lit, reine au milieu de ses mâles… Ca fait un peu dominatrice, ce que je ne suis pas habituellement, mais là, c’est magique, excitant au plus haut point.
Bob commence à me caresser, les trois autres hommes choisis aussi. Leurs mains glissent partout sur mon corps, leurs langues aussi... Ce moment semble durer une éternité. Je me mets en levrette, pour exposer mon cul et ma chatte au maximum aux regards vicieux des spectateurs. Ils sont deux à me lécher la chatte, un ma rosette, qui frémit de plaisir. Partout où je regarde, je vois des hommes, au moins une vingtaine, qui se branlent, disent des cochonneries. Je ne vois que leur bites dures à la main, de toutes les tailles de formes différentes. Deux couples d’hommes se sucent, en me regardant. Je suis dans un état second.
Une belle hampe, assez grosse au gland très proéminent, m’attire, je rampe vers elle, mes amants d’un moment me suivent, ne me lâchent pas. Je pointe ma langue vers cette tige accueillante, je la butine, je l’agace avec mes dents, je passe ma langue sur toute sa longueur, elle est douce te chaude, elle frémit sous ma caresse. J’aspire les couilles lourdes et tièdes… Le type gémit de plaisir, je l’excite, je l’allume et il ne me baisera pas… Quel sentiment de pouvoir absolu…
Je retourne au milieu du matelas, prête pour le grand final. Les trois hommes, sur le ventre, s’allongent en croix, un pour chaque sein, un pour ma chatte. Les lèvres et mon clito sont hyper gonflés, d’excitation de jouissances multiples.
Mais j’en veux encore. Je me mets en levrette. Les deux hommes du haut commencent à me lécher les seins, me les malaxent, les pointes sont dures, hyper sensibles. Le troisième ouvre ma chatte en grand. Je la sens béante, impudique. Des spectateurs ont les yeux hors de la tête et se branlent avec frénésie. Il plonge sa langue tout au fond, me baise avec elle, comme une petite bite. Je jouis encore, mais je veux maintenant la bonne grosse queue de mon homme, chaude et raide. Je suis trempée, je coule de salive et de mouille, Bob se met derrière moi, le 3ème type dessous. Il continue de me bouffer le clito avec ardeur, pendant que Bob commence à s’enfoncer à moi, lentement comme un supplice. Il accélère le rythme. Je suis folle de désir et de jouissance. Toutes ces langues qui sucent en même temps que cette bonne queue qui me bourre à fond, qui cogne et qui tape contre mon bassin. C’est l’explosion. Je jouis comme jamais. Tout le club est ameuté. Quand je reprends un peu mes esprits, deux couples sont venus forniquer à côté de nous. Je vois un homme baiser sa femme avec ardeur, à 50 cms de mes yeux. Je n’avais jamais vu ça « en vrai » d’aussi près. Ca me déclenche un autre orgasme illico. Partout où mes yeux se portent, c’est sexe, sexe, sexe.
Sexes masculins à 90%, qui sont branlés, sucés par d’autres hommes. Certains diront après qu’ils se sont laissés emportés par la folie ambiante et n’auraient jamais cru laisser un homme les toucher un jour !
Une brochette d’hommes s’est formée. Trois s’enculent allègrement, un quatrième est à genoux devant le premier de la « «brochette » et le pompe à fond. Cette vision, plus un ultime coup de boutoir de Patrick m’arrachent ma jouissance finale, encore plus forte que les précédentes. Je ne sais plus où je suis, qui je suis, je suis pantelante… L’homme qui me suçait la chatte vient avaler la crème que Bob a laissé sur mon dos, il a joui hors de moi, pour que tout le monde voit bien le spectacle. Sensation très agréable. Je suis toute propre…
Il me faudra plus de douze heures de sommeil pour me remettre de cette nuit orgiaque !
bisouxx doux, ma puce.