Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Voici l’une de mes « premières » expériences, une super aventure, que j’ai adorée, et recommencé ensuite à maintes reprises. Et d’ailleurs, si je pouvais le faire encore, je partirai tout de suite !
Il y a quelques années de cela, j’avais en tête des envies d’exhib… A ce moment-là, je me contentai de remonter très haut ma jupe en voiture, pour le plaisir de voir les routiers me mater, et ensuite en parler à la CB.
Je savais que ca trottait aussi dans la tête d’Hervé, mon mec de l’époque. Il me demandait souvent si je serai d’accord pour une vraie exhib, bien plus poussée. Je lui avais bien sûr dis « oui. »
Un samedi soir de printemps, quand les jours sont longs, il est rentré l’air amusé et coquin, un paquet à la main... Il me le tendit avec un large sourire. Quand je l’ouvris, je découvrais une superbe guêpière noire, avec un porte-jarretelle intégré. Malgré tout, l’emplacement pour les seins me paraissait bien petit. Elle était superbe. Et elle avait la particularité d’être une lingerie ancienne, du début du siècle (le XXème !), et de laisser les seins à l’air….
D’après Hervé, ce genre de guêpière était porté par les filles de joie. Je l’ai essayée, et savoir ça m’émoustillait beaucoup… Combien d’hommes avaient admiré une femme dedans ? L’avaient caressée, embrassée, baisée ?
Comme j’embrassais de façon sauvage mon homme, il me dit :
« Ce n’est pas la seule surprise de la soirée… Ce soir, on va au bois de Verrière. Je vais t‘y livrer aux désirs des mâles. »
J’étais à la fois ravie et inquiète… Mais pas question de me dérober !
Le bois de Verrière est au sud de Paris, moins connu que le bois de Boulogne. Il n’y a pas de professionnel(le)s, juste des hommes, de femmes ou des couples qui s’exhibent ou qui matent. Il parait que maintenant, c’est fermé aux voitures. Ce doit être bien triste !
Je m’habille donc, selon les vœux de mon mec : ma guêpière, pas de culotte, des bas noirs, retenus par les jarretelles, les seins à l’air, et un lainage un peu long. Il faut bien sortir dans la rue sans provoquer une émeute !
Nous sommes silencieux pendant le trajet. Malgré tout, j’appréhende un peu ce qu’il va se passer. Hervé me rassure : les vitres de la voiture restent fermées, et elle est prête à démarrer si les choses tournaient mal.
Nous arrivons sur place. Il y a une grande allée centrale, et plein de petites allées secondaires qui en partent. Presque dans chacune, je vois un ou une deux véhicules bien entourés…
Dans l’une d’elles, des hommes semblent attendre, et pas de voiture en vue. Hervé m’interroge du regard, je fais oui de la tête.
Nous arrivons à vitesse réduite, et j’ôte mon gilet. A peine arrêtés, une grappe humaine se forme autour de nous. Je suis un peu impressionnée !!!
Hervé commence à m’embrasser, à faire durcir mes seins. Il les tète, les pince, fait en sorte que les voyeurs voient bien que je suis excitée. Presque sans m’en rendre compte, ma main glisse vers ma chatte, déjà bien humide… Je vois de plus en plus de bites autour de moi. Je ne vois que ça. Les visages de leurs propriétaires sont quasi invisibles. De toute façon, je n’ai pas envie de voir leurs têtes !
J’essaie de compter, et je ne dénombre pas moins de vingt-deux belles (ou moins belles) queues qui sont vigoureusement astiquées par leur propriétaire. Ca me donne le tournis. Un vrai régal pour mes yeux. Touts ces mecs qui se branlent pour moi… Mon con en bave d’envie !!!
Je supplie Hervé de me caresser. Il incline le siège, attrape un oreiller qu’il avait caché derrière, pour me le passer sous les fesses. Il faut que tout le monde voie bien ce qu’il se passe ! Mes jambes sont relevées, les pieds sur le tableau de bord. Hervé ouvre ma chatte avec ses doigts, les faufile bien partout, agace mon clito du bout de l’index. Il ne tarde pas à surgir de son capuchon, sous le traitement combiné des caresses et de la vison dantesque de tous ces zobs en furie.
Je suis là, les jambes les plus écartées possible, la chatte ouverte, qui dégouline de mouille. Certains mecs jutent sur la vitre, d’autres essuient comme ils peuvent pour se rincer l’œil à leur tour.
Hervé se penche pour me lécher ma fente, qui n’attend que ça. Il fait en sorte que le plus de gars voient le traitement qu’il m’inflige. Malgré les vitres fermées, j’entends les encouragements de certains :
« Vas-y, mon salaud, astique-là ! »
« Fais-la jouir, cette garce !! »
« Baise-là comme une chienne... »
Ca m’excite plus que je ne l’aurais imaginé. Les mecs continuent de se branler à fond, ca gicle du sperme partout. Hervé se sert de sa langue comme d’une petite bite, et fini par me faire jouir. Il y a encore et toujours des mateurs, on dirait que leur nombre est inépuisable !
Je n’en n’ai pas assez. Pour donner un meilleur spectacle, je me mets en levrette, le cul et la chatte offerts à la vue des vicieux. Je me sens totalement impudique et j’adore ça…
Hervé continue de m’introduire plusieurs doigts dans la chatte, et du pouce, il commence à masser mon petit trou. Il le lubrifie avec ma mouille et sa salive. Il rentre tout seul, tant je suis excitée. Dehors, les mecs criaient encore plus.
« Défonce-là, bourre son cul, baise la salope », j’en passe et des meilleures !
Hervé passe sur la banquette arrière, la bite en avant. Il bandait déjà depuis un moment.
Je le gobe d’un coup. Son gland rouge me faisait très envie ! Et je suis là, offerte à la vue de tous ces maquereaux, la chatte béante, le cul ouvert et offert, et la queue de mon homme qui me baise la bouche… Il y va fort, je m’étrangle presque avec… et toujours autour de nous, sans arrêt, des chibres, des bites qui crachent leur venin blanc. Ca semble inépuisable !
Enfin, il sort son dard de ma bouche et passe derrière moi. Enfin, je sens son pieu me remplir la moule. Il rentre comme dans du beurre, tant je suis excitée.
Il fait de grands mouvements, trop lents à mon gout. Mais il faut bien assurer le spectacle ! Mais j’accélère, je veux jouir encore, et le sentir me remplir la cramouille de son jus épais. C’est comme si je dansais sur son manche dur comme du béton. Je bouge les hanches en tous sens. Dehors, ca s’agite encore plus : les poutres, les gourdins, les zobs de toutes tailles, toutes les formes, toutes couleurs… Vraiment impressionnant !
Et c’est moi, Hervé et moi, qui les faisons bander comme ça ???
Hervé me baise de plus en plus fiévreusement. Il halète, je sens qu’il va cracher son foutre. Je jouis sous les coups de boutoir, en grands cris désordonnés.
Les voyeurs crient aussi :
« elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »
Hervé jouit aussi, il crie comme jamais je n’ai entendu faire avant.
Il se retire, je m’assieds, et nettoie son membre des restes de sperme. Puis je m’allonge à nouveau, pour qu’il en fasse autant avec moi. Il me lèche un peu, enlève le plus gros de son jus. Soudain, il en retire avec sa main, et, stupéfaite, je le vois ouvrir la fenêtre et donner ses doigts à lécher. L’un des mecs se jette dessus, et en redemande ! Puis il supplie à travers le carreau de le laisser me toucher. Hervé m’interroge du regard.
Je ne sais pas quoi faire. Je lui dis que je veux bien voir le mec, mais en privé, car j’ai peur de ne pouvoir maitriser tous ces hommes en rut.
J’y pose mes conditions : d’abord, je veux revoir sa queue, puis son visage. Et ensuite, il me touchera, me caressera, me lèchera, mais pas de pénétration. Mon ami ouvre un peu, lui met le marché en main. Le type semble ok. Il passe de mon côté, me montre une belle hampe bien épaisse comme j’aime, toujours bien bandée. Son visage n’est pas déplaisant.
Je suis d’accord. Nous disons au type de nous suivre dans un endroit plus calme. Hervé met le moteur en marche, pendant que je continue à me caresser le minou, qui n’en n’a pas eu assez… Les spectateurs protestent, mais j’en veux bien plus, et pas avec tous ces types qui pourraient devenir incontrôlables.
Le gars « recruté » arrive derrière nous avec sa voiture. Nous repartons vers la sortie, et bifurquons dans un petit sous-bois très calme.
Hervé avait prévu son coup. Il sortit du coffre une grande serviette bain, qu’il étend dans l’herbe. Notre invité, qui dit se nommer Laurent, arrive près de nous. Il s’est rhabillé, mais je vois sa queue qui déforme son pantalon. Pas de temps à perdre, nous voulons rester seuls. Hervé me demande de m’allonger sur le dos. Il vient au-dessus de moi, et me présente son engin à pomper, tout en ordonnant à Laurent de me lécher la moule, qui n’attend que ça.
L’homme se débrouille bien, me dévore avec application, avale les restes de sperme de mon mec sans sourciller. Hervé malaxe mes seins, fait durcir les pointes. Je jouis très vite, trop excitée de cette situation, en plein air, avec cette bonne langue qui m’astique bien comme j’aime. Bien que je lui ai craché mon jus dans la bouche, il ne me lâche pas, je continue à jouir, en longues saccades, j’en mords presque mon homme. Prudent, il préfère se retirer.
Il vient devant moi, pousse Laurent, relève mes jambes sur ses épaules, et s’engouffre à fond dans mon con qui crie encore famine. Laurent passe à coté de moi, et vient se branler sous mes yeux avides de ce spectacle. J’ai aimé voir toutes ces bites tout à l’heure, mais il y avait la vitre entre nous. C’était frustrant. Là, je le vois à 20 cms de moi. Un vrai régal.
J’entends du bruit. A quelques mètres, deux types sont là, les yeux hors de la tête. Hervé les voit aussi, et leur crie de ne pas approcher, sinon, il sévira (il faut dire qu’il fait 1.90m et cent kilos de muscles... ça impressionne !). Les gars demandent à mater de loin, je suis ok. Alors, ils restent. Ca me met dans un état second. Je demande à Hervé de me prendre en levrette, Laurent dessous pour me lécher le clito en même temps. En bon petit gars, Laurent obtempère. Il s’allonge à angle droit sous moi, et entreprend de me lubrifier le con, qui n’en n’a pourtant plus besoin ! Hervé me pénètre lentement, mais à fond. Il gémit aussi, car Laurent lui bouffe les couilles, les aspire.
Sa grande langue nous lèche tous les deux en même temps, je suis au septième ciel. Nos voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’est plus très loin. Je les vois se masturber frénétiquement, puis ils se le font mutuellement. S’ils se sucent, je serai aux anges. Hélas non… Mais je les vois cracher leur sperme dans l’herbe. Sous un ultime coup de langue sur mon clito hyper sensible, je jouis en hurlant sous les arbres mon plaisir. Hervé en fait autant, et jute plus dans la bouche de notre compère que dans mon vagin. Laurent semble apprécier, car il continue de me « laver » consciencieusement. Il nous demande de le regarder se branler. On ne peut pas le lui refuser ! Je reste allongée en me caressant les lèvres intimes, pour continuer de l’exciter. Il ne tard pas aussi à cracher son foutre, en longs jets saccadés.
Nous nous relevons, épuisés. Je jette un coup d’œil à la voiture... Elle est couverte de sperme ! J’en suis ahurie !!! Il nous faudra passer au lavage avant de renter à la maison….
J’ai tellement adoré cette soirée, que nous avons recommencé deux ou trois fois par mois, pendant près d’un an. A chaque fois, nous « recrutions » un volontaire …
Ah, si je pouvais recommencer….
As-tu fréquenté cet endroit ? Tu nous racontes ?
En effet, ce furent de super moments, de ma découverte de la sxualité plus "hors normes"...