Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ce texte éait publié sous le titre "le train de Deauville, par Marie". Il semblerait que j'ai été abusée par un internaute indélicat. Il m'avait envoyé ce texte comme étant le sien. Or, il n'en n'est rien. Il est l'oeuvre d'un charmant couple, dont je vous donne l'adresse du blog.
Je les prie instamment de bien vouloir excuser cette triste erreur....
http://libertinsangers.over-blog.com
Il y a quelques années, nous rentrions de Deauville par le train, le soir, avec mon mari.
En retard, nous avions dû monter dans la première voiture et en traverser trois, bondées, avant d’atteindre la notre.
C'était un train un peu ancien, avec couloirs et compartiments. Un bagage dans chaque main, je me frayais un passage dans le passage étroit. Les hommes s'écartaient à peine, trop contents de savourer le contact de ma poitrine gonflée ou de ma croupe contre leur bas-ventre. Les mains prises, je ne pouvais les repousser, mais à vrai dire, je ne cherchais pas à fuir le contact, appréciant les frôlements furtifs, un sourire innocent aux lèvres.
À la fin du premier wagon, les pointes de mes seins étaient déjà devenues dures comme du bois, semblant vouloir percer mon chemisier blanc malgré son soutien-gorge, attirant comme un aimant le regard des hommes.
Dans le deuxième wagon, certains, qui l’avaient remarqué, se collèrent encore plus à moi. Ma poitrine brûlait et je sentais des mains s'égarer sur mes hanches ou sur mes fesses, savourant discrètement les formes à travers ma jupe blanche.
Encore étonnée de ma propre audace, je ne me dérobais pas ! Un bouton de mon chemisier s'était même ouvert, dévoilant le creux de mes seins et la dentelle de mon balconnet, et je faisais comme si de rien n’était.
A un moment, je dus passer de profil entre deux hommes qui s'écartèrent à peine. Le train eut un cahot, et je perdis l'équilibre, s'appuyant sans le vouloir contre le buste d’un des deux hommes, appréciant au passage la fermeté de sa musculature. Toutefois, je me reculais vivement, mais ce fut pour mieux sentir l'homme derrière elle se coller contre mon cul !
Sous prétexte de m'aider à me redresser, ils laissèrent alors leurs mains traîner sur mon corps, le premier sur mes hanches et mes fesses, le deuxième sur ma taille et les flancs de ma poitrine. Avec un sourire amusé, ils s'excusèrent et s'écartèrent, me laissant finalement passer, rouge de confusion.
Je m’installais dans un compartiment de première classe aux rideaux tirés, seule avec mon mari, encore troublée par ces caresses furtives.
Mais le trouble empira quand je vis les deux hommes venir s'installer tranquillement, l’un en face de moi, l’autre à mes coté. Très décontractés, ils échangèrent quelques banalités, ne se privant pas de me mater ouvertement, manifestement attirés par mes jambes dévoilées par la jupe courte et les bosses opulentes de mes seins gonflés par les frôlements précédents. Me penchant vers mon sac pour prendre un livre, je vis en particulier deux paires d'yeux plonger dans mon décolleté qui, déjà généreux, s'ouvrit sous le poids de mes seins, dévoilant largement mes rondeurs moulées de tulle et de dentelle blanche. Je me suis alors sentie à la fois flattée et gênée par ces regards insistants.
Je fis toutefois semblant de rien, et me plongeais dans mon livre, remarquant malgré tout que leur attention se portait maintenant sur mes jambes.
Incidemment, j’étais excitée, et cette pression me gênait tellement qu’elle me faisait croiser et décroiser nerveusement les jambes. Au gré des cahots du train et de la promiscuité du compartiment, leurs genoux et leurs mollets me frôlaient.
Quand, comme pour être plus à l'aise, le blond qui me faisait face, glissa son pied entre les miens. Profitant des cahots du train, il les écarta lentement, me forçant à ouvrir légèrement le compas de mes cuisses.
Rougissante, je regardais mon mari. Plongé dans son journal, il ne se rendait compte de rien. J’étais comme folle, aimantée par l’ambiance électrique et érotique qui s’était, dès l’épisode du couloir, installée entre nous… Je laissais alors mon voisin écarter avec ses pieds plus largement mes jambes, tendant la jupe, dévoilant mes cuisses fuselées. J’imaginais qu’il ne devaient perdre aucune miette de la vision que je lui offrait ainsi, jusqu'au triangle de dentelle fine et blanche moulant ma vulv,e avant de disparaître entre mes globes. Peut être même devinait-il la tache plus sombre de ma toison sous la dentelle. Son copain qui ne perdait pas une miette du manège devait être au supplice. Ils savouraient cette exhibition consentie. Les yeux fixés sur mon livre, je sentais leurs regards comme des caresses sur moi, parfois sur son intimité, gorgeant mes lèvres de sang, tandis que je sentais mon sexe s’humidifier.
Profitant du noir soudain d'un tunnel, une main glissa sur ma cuisse, caressant ma peau. Surprise, je resserrais les cuisses et l'intruse se retira juste avant la fin du tunnel. A la lumière revenue, je fixais les deux hommes, me sentant rouge comme une pivoine, ne pouvant deviner lequel s'était permis ce geste indiscret. Rien ne me permettait de le savoir, et les deux semblaient faire comme si de rien n’était…
Je pensais toutefois à celui qui était à coté de moi, comme si celui-ci tenait là sa revanche…
Il y eut un deuxième tunnel, et cette fois-ci, quand la main se reposa sur le haut de mon genou, je décidais de la laisser glisser sous ma jupe, vers le haut de mes jambes, jusqu'à se plaquer entre mes cuisses… Je frissonnais de plaisir…
La main se retirera prestement, me laissant pensive… Cette situation était tout simplement folle, et j’étais comme en chaleur…
Il y eut une succession de tunnels, et chaque fois la main reprenait son manège, me caressant plus ou moins longuement selon la durée de l'obscurité, faisant monter mon désir.
Je ne savais toujours pas qui des deux hommes me caressait, mais je n'eus plus de doute quand, au cours d'un long tunnel, en plus de la main qui se nichait entre mes cuisses, je sentis deux autres mains empaumer les rondeurs de ma poitrine à travers mon chemisier. Le tunnel étant interminable, ils purent profiter de ce corps que, complaisammen,t je leur offrais.
Les doigts habiles excitaient mon clitoris en le griffant à travers la fine dentelle, tandis que l'autre main glissa dans mon décolleté pour se couler sous la dentelle, soupesant la masse lourde d’un de mes seins, en agaçant la pointe déjà dure. En plein fantasme, je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir de plaisir, folle d'excitation de me soumettre ainsi dans le noir aux caresses perverses deux hommes, à même pas cinquante centimètres de son mari.
Ils se retirèrent, me laissant pantelante, les yeux brillants. Entre mes cuisses maintenant bien ouvertes, je me doutais que la dentelle blanche devait être maintenant trempée, quasi transparente. Elle devait marquer nettement le sillon de mon sexe.
Soudain mon mari, délaissant son journal et n'ayant rien remarqué, me proposa d'aller au wagon-restaurant.
J’hésitais et mais vis l’homme qui me faisait face, le blond, faire fort discrètement « Non » de la tête. Même si je savais à quoi je m'exposais en restant seule, une force obscure me poussa à refuser l'invitation sous un prétexte futile.
Une fois seule, il y eut un moment de gêne et un long silence s’installa… jusqu'au prochain tunnel. À nouveau dans le noir, ils me firent alors me lever, tandis que la bouche du blond se plaqua contre la mienne. Je me surpris à rendre fougueusement le baiser, tandis qu'une main palpait avidement ma poitrine, ouvrant le chemisier, glissant directement contre la dentelle. Deux autres mains glissèrent sous la jupe, remontant plusieurs fois des genoux au bas-ventre, appréciant la douceur soyeuse de la peau nue et la moiteur du sexe à travers la culotte trempée. Les mains finirent par glisser sur mes fesses, remontant la jupe. Le deuxième les palpa délicatement à travers le triangle étroit de dentelle, tentant de le faire glisser entre mes fesses.
Je me sentais fondre sous la caresse de leurs paume,s mais, quand la lumière revint, affolée d'être ainsi déjà à moitié dénudée, la jupe remontée et mon string partiellement roulé sur les hanches, je minaudais une protestation qu’il ont du prendre pour un assentiment ...
« Vous exagérez… » dis-je l'air innocent.
Mais je me savais déjà vaincue, et eux me savaient consentante. Aussi, je ne bougeais pas, me laissant admirer. Je me voyais par reflet dans la vitre du compartiment : mes seins tendaient à merveille les balconnets délicats de dentelle suffisamment ajourée pour dévoiler les larges aréoles foncées, au centre desquelles dardaient les pointes durcies. Ma jupe troussée sur ses reins dévoilait mes fesses rondes largement dénudées et le délicat bombé de ma vulve moulée par la dentelle, sous laquelle se devinait le contour de ma toison brune.
L'obscurité revint et le manège reprit. Le fait de ne pas les voir me rendait encore plus sensible à leurs caresses. Je me rappelle avoir gémi quand l'un d'entre eux fit glisser les bretelles du soutien-gorge, le dégrafant, glissant délicatement ses paumes sur les globes libérés pour en tester le velouté, soupesant leur lourde masse et griffant les tétons. Je frissonnais quand l'autre fit rouler le string le long de mes jambes. Une main glissa entre mes cuisses et se plaqua contre mon sexe maintenant nu. Cette fois, je ne réagis plus quand le jour revint, continuant d’embrasser mon partenaire, les laissant savourer les rondeurs de mon corps enfin dévoilé.
La blancheur nacrée de mes seins avait commencé à se marbrer de rouge sous la répétition des caresses. J’avais les tétons gros comme des bouts de crayons bien durs.
Le brun plaqua ses mains contre mes fesses rondes, les écartant largement pour dévoiler le mon petit abricot et le puits froncé de mes reins. Ne pouvant résister, il descendit et plaqua sa bouche entre mes cuisses, m’arrachant un petit cri. Cette caresse toute nouvelle me fit chavirer et je me mis à pousser de petits gémissements, toute honte bue, sous le ballet de la langue chaude entre mes cuisses. Instinctivement, je glissai sa main contre la bosse qui frottait durement contre mon pubis. Prometteuse !
La situation était des plus dangereuses. Dès le début, ils avaient tirés les rideaux sur le couloir mais nous n’étions aucunement à l’abri du retour de mon mari, comme de l’entrée fortuite de voyageurs, ou des contrôleurs.
J’étais consciente de cela, mais je pense qu’inconsciemment, vivant là un de mes fantasmes, j’étais prête à tous les excès !
Le blond sursauta quand il sentit mes doigts jouer avec sa braguette, la faire glisser et le libérer. Empoignant son sexe, d’une belle dimension, je commençais à le masturber. Je le fixais… La gène avait changé de camp : il semblait avoir vraiment peine à croire que cette jeune femme qui paraissait tout à l’heure si prude, si inhibée prenne maintenant l'initiative. Toutefois, son étonnement ne dura pas. Il se mit debout sur la banquette et glissa son membre entre mes seins. Je fermais les yeux quand il pressa les masses chaudes et douces de mes globes, emprisonnant sa tige, se branlant au creux de ma poitrine.
Le frottement d’un sexe contre mes seins me rendait toujours folle. Il ne pouvait le savoir, mais avait ciblé une de mes plus sensibles zone érogènes. Mais ce fut pire encore quand je sentis deux doigts me forcer, pénétrant mon vagin que je sentais trempé. Pendant ce temps, une langue fouilla l'entrée de mes reins, titillant mon anneau. C’était exquis ! Je me cambrais, libérant le sexe d'entre mes seins. Je n'avais jamais connu de telles caresses concomitantes et découvrait une sensibilité inconnue au creux de mes reins.
Le sexe du blond vint alors battre contre mon visage. Comme dans un rêve et les films X que nous regardions parfois le soir, je courbais la nuque et vins gober doucement le gland, lui faisant apprécier ma bouche chaude et humide. Je le sentis grossir encore contre mon palais, sous le ballet de ma langue fureteuse.
J’adore sucer les queues et les sentir vibrer au fond de ma gorge. Mes petits amis, avant mon mari, m’avaient toujours félicité de la qualité des fellations que j’aimais leur prodiguer. Se laissant aller à mes désirs les plus fous, je me mis à le pomper vigoureusement, le membre bien serré dans une main, tandis que de l'autre main je lui palpais les testicules. Ce traitement lui procura un premier orgasme très soudain et électrique. Je m’attachais à garder sa bite dans ma bouche et à déglutir au fur et à mesure que des jets épais de semence venaient tapisser mon palais. Je jouis furtivement à cet instant. Je lui nettoyais le sexe avec application, jusqu’à sentir lui perdre un peu de vigueur …
Sentant que son copain venait de jouir, le brun se redressa alors et je sentis battre son membre épais entre mes cuisses, contre mon sexe. Le gland vint se caler à l'orée de mon vagin. Je sentais qu’il allait me pénétrer, et ne demandais que cela, mais pas comme ça.
Je me libérais, et toujours la croupe tendue vers lui, je fourrageai dans mon sac, dans la petite poche de mon sac où je savais avoir deux/trois préservatifs.
Pas tout à fait oie blanche, j’y avais glissé ces protections il y a fort longtemps. Etaient-ils toujours bons ? Je ne voulus me poser cette question plus longtemps, et décidais que ce serait toujours mieux que rien. Je me retournais, et d’une main experte, déchirait l’emballage pour venir dérouler la capote sur une sexe, ma foi d’une belle taille.
Cela décuplait l’envie de l’avoir en moi et je me re-positionnais comme s’il ne s’était rien passé. D'une seule poussée verticale, il glissa au fond de moi, forçant sans difficulté la fente lubrifiée, me pénétrant lentement mais complètement, son bas-ventre venant s'écraser contre mes fesses. En plein délire érotique, je pris le sexe du blond, qui me faisait face, et le frotta contre mes lèvres encore trempées de sperme et d’envie. Je me remettais à le re-sucer, comme si j’avais fait ça toute ma vie. À son grand plaisir, il rebanda presque tout de suite.
Après quelques minutes, sous l’impulsion du blond qui semblait jalouser son ami, ils changèrent de place. Toutefois, le brun s’assis et je dus me pencher très bas pour le prendre dans ma bouche. Nul doute qu’ainsi, je devais exposer bien impudiquement ma croupe. Le blond se plaça devant les fesses ainsi offertes, ouvertes sur mon sexe luisant. Il s'amusa à faire glisser son gland le long de mon sillon, du clitoris à l'anus. Je cambrais encore sous la caresse, m'offrant encore plus sans aucune pudeur.
Il devait sentir mon anus s'assouplir à chaque passage, comme je le sentais s'entrouvrir légèrement. Il plongea dans mon sexe mais continua à agacer mon anus d'un doigt. Tout excitée, et toujours pompant le brun, je glissais une phalange entre mes lèvres et commençais à me masturber. Je grognais de plaisir quand un doigt força l'anneau étroit et assoupli. Excité, il me raconta la scène qui s’offrait à lui : il décrivait mes lèvres qui épousaient son sexe tendu, tandis que de ses doigts, il écartelait doucement mes reins, me faisant onduler. Il ressortit, fou de désir, et remonta d'un cran.
Je me crispai malgré tout quand je sentis où il voulait en venir. J’avais peur. Aimant pratiquer la sodomie, je ne la mettais en pratique qu’après de vrais et longs, très tendres préliminaires. Mais là, tout allait trop vite. Je m’étais abandonné dans les bras et sur les sexes de ces hommes, et j’étais prise de honte et de peur : allais-je donner cette dernière intimité à d’autres que mon mari, qui en était l’unique bénéficiaire jusqu’alors ? J’avais aussi peur de notre rapidité, de la brutalité qui pouvait s’en dégager
« Doucement s'il vous plaît, je ne l'ai encore jamais fait ainsi ! »
Loin d’avoir l’effet escompté, je ne l’ai réalisé qu’après, cela a dû décupler leur excitation ! Me croire vierge de ce côté les excitait, mais les incitait tout de même à la douceur. Ce qui n’empêcha pas le brun de me prendre fermement par la nuque, me plaquant le visage contre son sexe dressé, tandis que le blond me crocha les hanches, me cambrant encore plus. Le sexe dans ma bouche n'étouffa qu'à moitié mon cri quand le gland disparut lentement entre mes fesses, me brûlant les fesses. Sitôt le gland franchi la barrière du sphincter, il eut tout de même la douceur de s’arrêter afin que mon anus s’habitue à cette pénétration généreuse. Malgré sa taille, et le manque de lubrification, il glissa assez facilement jusqu'à mi-membre, trahissant la souplesse naturelle de mes reins, et de nouveau s’arrêta.
Je ne m'étais jamais sentie aussi bien remplie. D'une main, il titilla mon clitoris tandis que le brun vint empaumer les lourds seins ballants entre ses bras. Son collègue, le pieu fiché au creux de mes reins, bien serré dans le fourreau brûlant, devait certainement se retenir pour ne pas finir de s'enfoncer d'un grand coup de reins. Tournant des hanches pour m'assouplir, il donnait de petites poussées, s'enfonçant un peu plus à chaque fois.
Les larmes aux yeux, mêlant douleur et plaisir, je finis par l'accueillir entièrement au plus profond de moi. Dents serrées pour ne pas crier sous la brûlure, je me cambrais encore plus pour mieux l'accueillir. Il commença à bouger très lentement. Je sentis mes reins s'habituer petit à petit au sexe qui me forçait et la douleur s'atténua, remplacée par une formidable vague de chaleur.
Me sentant m'ouvrir, il accéléra le mouvement, glissant plus facilement dans le conduit serré. Je commençais à gémir bruyamment, avant de gober à nouveau le sexe qui maintenant se dressait fièrement devant moi. Je les vis qui s’échangeaient un regard entendu devant le spectacle de cette bourgeoise qui commençait clairement à apprécier de se faire enculer. Bientôt, je bougeais moi même le bassin pour mieux m’empaler, les sens en feu suçant cette belle verge qui me faisait face. Je me surprenais… j’étais loin de la petite bourge apprêtée, bien que coquine (ce que je revendique), et m’étais transformée en une véritable salope assoiffée de sexe …
Lâchant le sexe que je branlais tout en le suçant, je glissai mes mains dans mon dos, écartant moi-même mes jolies fesses rondes dorées, lui facilitant le passage, le laissant me sodomiser plus profondément. Le brun me reprit la nuque et, doucement me força à l'avaler complètement. Trop excitée, je n’eus pas de phénomène de rejet quand le gland se cala au fond de ma gorge, son pubis plaqué contre mon visage. Au gré de mes mouvements d'avant en arrière, je gardais ainsi toujours un sexe bien enfoncé en moi, soit entre mes fesses, soit dans la bouche. J’eu bientôt, après les prémices du premier tout à l’heure, un nouvel orgasme, cette fois ci hors du commun ! D’une intensité peu de fois égalée, il dura ce qui me sembla une éternité ! Je sentais mon cul se refermer sur la queue de mon chevalier au rythme de mes orgasmes…
L'homme derrière moi se retira, et s'assit sur la banquette opposée. Me prenant par les hanches, il me fit reculer, les jambes de chaque côté des siennes, et me fit s'asseoir lentement sur lui. Je n’eus qu'un petit cri quand il força à nouveau l'anneau délicat de mes reins. Ainsi, les cuisses bien ouvertes par la position, littéralement posée sur le pieu de chair qui avait cette fois forcé mes reins sans encombres, j’étais toute exhibée au brun. Il écarquilla les yeux quand le blond glissa ses mains sous mes cuisses, l'obligeant à les lever.
Je me retrouvais complètement adossée à lui. Ne pouvant plus m'appuyer sur mes jambes pieds, cette position fit que je m'empalais encore plus profondément sur la verge, fesses écrasées contre le ventre et les couilles de l'homme. Le brun devait avoir une vue magnifique, sur mon anneau rectal bien écartelé coulissant sur la verge gonflée de son collègue, juste en dessous de ma fente aux lèvres entrouvertes et luisantes. Je me pris à l’envier ! Il se retourna et fouilla dans sa poche de veston. De son portefeuille, à son tour, il sortit un préservatif qu’il déroula rapidement sur sa verge.
Il se rapprocha, verge pointée, et j’ouvris de nouveau docilement la bouche, prête à le sucer à nouveau. Mais, s'agenouillant entre mes cuisses qu'il écarta encore plus, il vint frôler de son gland ma vulve offerte. Je me figeais, souffle coupé, quand je réalisais qu’ils allaient me prendre tous les deux ! C’était un fantasme de mon mari, que je refoulais intérieurement, et voilà que j’allais le réaliser avec deux parfaits inconnus.
Il pénétra facilement mon vagin détrempé. J’en fus la première surprise. J’eus un cri rauque sous l'exquise sensation de la verge qui glissait facilement dans le fourreau lubrifié, et ma peau, sur mes avant bras, se couvrit de chair de poule. La honte de se laisser ainsi prendre comme une chienne fut vite effacée par l'énorme boule de plaisir qui me nouait le ventre.
Je ne m’étais jamais sentie aussi envahie. Mes halètements se transformèrent en cris aigus quand les deux hommes accélérèrent le rythme en grognant, me défonçant sans retenue, trop heureux de soumettre cette BCBG à une double pénétration. J’enchaînais orgasmes sur orgasmes, devenant folle de plaisir, me livrant sans retenue à leurs fantasmes.
Leurs mains palpaient son corps, griffant mes hanches et pétrissant les globes fermes de ma poitrine tendue. Je bougeais frénétiquement des hanches pour mieux me faire pénétrer, me cambrant quand les deux verges venaient buter ensemble au fond de moi, m'écartelant sauvagement. Ils finirent par exploser violemment, m'inondant de semence brûlante que je sentais malgré la fine protection assurée par les capotes. Cela me fit jouir une dernière fois.
Se réajustant hâtivement, ils me laissèrent me rhabiller, un peu hébétée, et quittèrent le compartiment non sans que le blond m’ait posé un gentil bisou, sur le front.
Sortant l’un après l’autre, ils me gratifièrent également chacun d’un beau sourire.
Pour moi, c’étaient des sentiments mêlés, de honte et de bonheur, d’incrédulité aussi. Je m’étais donné ainsi, en femelle, animale, à deux inconnus dont je ne savais rien, pas même leur prénoms et qui m’avaient quittés avec un beau sourire ! Sonnée, le ventre en feu, je préférais faire semblant de dormir quand mon mari revint du wagon-restaurant pour mieux masquer le trouble certainement encore perceptible.
Je finis par m'endormir réellement, les sens apaisés mais l'esprit toujours traversé d'images crues et érotiques.
Je fus tirée de ma torpeur par la porte du couloir qui coulissait… C’était mon mari qui revenait. Il se pencha sur moi, me fit un tendre bisou sur le front lui aussi, me demanda si j’allais bien tout en s’excusant de m’avoir réveillée.
Bien des années plus tard, et alors que notre vie sexuelle avait été enrichie de multiples aventures, tantôt solo tantôt ensemble, mon mari m’avoua qu’il était revenu assez vite du restaurant, et que s’il n’avait pas tout vu, les gémissements qui s’échappaient du compartiment ne lui avait laissé aucun doute sur ce qui s’y passait. Nullement jaloux, et pensant bien qu’entraînée au-delà de ma morale, je réalisais en fait un des ses phantasmes, il avait protégé la porte des indiscrets, souhaitant nous prévenir si d’aventure les contrôleurs étaient apparus …
C’est ça l’Amour, et bien des années après, je suis toujours autant heureuse et épanouie auprès de cet homme merveilleux qui a su tant me donner et m’apprendre…
et c'est très bien ecrit, ce qui ne gache rien !
En effet, ce texte est genial !
Il faut le faire, et surtout, bien ouvrir les yeux ! On rate souvent plein d'occasions !
Rien de plus, car ca me fait deja plaisir de savoir cela ! bises libertines....
Moi aussi, je l'aime toujours autant !
Il semble que cela plaisait infiniment au mari....
Il était mentionné sur notre blog ...
Bisous