Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Depuis mes sorties en club, où j’avais vu des hommes se sucer, et/ou s’enculer, ces visions excitantes me faisaient toujours autant d’effet. Mais je voulais que mon homme, Bertrand, s’y mette enfin ! Un soir où nous avions fait particulièrement bien l’amour, nous avions fini par une sodomie en levrette. J’étais là, les fesse en l’air, sa bite bien emmanchée dedans, et je lui ai demandé s’il savait ce que c’était de sentir une bite au plus profond de ses entrailles.
Il faisait semblant de ne pas comprendre. Il avait joui, il ne se posait pas de questions. On s'allonge, je suis derrière
lui, innocemment, je joue avec sa bite. Et d'un coup, sans le prévenir, je le pénètre dans l'anus. C'est un gode, un gode bien lubrifié, que j’avais planqué sous le lit. Je le gode, l'encule, le
branle, le fait jouir une deuxième fois. Je suis assez contente de mon coup ! Lui qui disait toujours non, je l’ai bien eu !!! Et en plus, il a joui vraiment très fort.
Depuis ce jour, il me dit qu’il a très envie d'un vrai sexe, dans son cul. Nous avons rencontré des couples, en vacances surtout mais jamais au grand jamais les maris n'ont voulu faire cela. A
mon avis, l'une des meilleures positions, c'est un homme dessous qui prend le cul de la femme, au milieu et devant elle l'autre homme qui la baise dans la vulve. Et la seconde femme, direz-vous,
eh bien, elle se fait lécher par la femme baisée.
J’aime bien cette image, elle me fait souvent jouir.
Mais un jour, l’occasion s’est enfin présentée, vraiment par hasard. J’étais au bureau, et l’un de mes collègues qui me draguait souvent, est encore venu me relancer. Il me semble bien qu’il
bandait… Jamais je ne voulais donner suite. Pas question de tromper mon mec. Mais ce jour-là, alors qu’il me faisait à nouveau des avances, j’ai eu un flash et j’ai pensé : « c’est
maintenant ou jamais ! »
Je lui ai dit de revenir à 18 heures, car je devais finir un dossier avec son aide. Nous serions seuls à ce moment-là. Après sa sortie, j’ai appelé mon ami, lui disant de venir aussi à 18 h.
A 17 h 45, Bertrand arrive, je lui demande de patienter le temps que je finisse. Les locaux sont déserts. Je lui propose de faire un petit tour. Il part, et je le vois aller vers le seul bureau occupé, celui de mon collègue Hervé.
Il me dira plus tard qu’il est entré, et l’a surpris en train de se branler face à la fenêtre (il devait s’exciter à l’idée de me retrouver…) Hervé ne se démonte pas et lui demande tout de go si ça ne lui arrive jamais. Il a répondu que oui, il aime se branler, surtout devant moi.
Hervé lui a alors demandé s’il avait déjà sucé une bite. A sa réponse négative, Hervé s’est approché de lui, la queue à la main :
« Eh bien, c’est le moment où jamais d’essayer… »
De mon côté, j’étais intriguée par le fait de ne pas voir Bertrand ressortir du bureau. Je me suis levée et approchée de la porte, juste à temps pour entendre la dernière phrase d’Hervé. Je passe la tête par l’encadrement, et je vois mon ami, les yeux rivés sur la belle bite de mon collègue (si j’avais vu ça avant, je n’aurais jamais attendu si longtemps…)
Bertrand finit par répondre, d’une voix faible :
« Si tu veux, mais je ne l’ai jamais fait... Guide-moi »
Je n’en crois pas mes oreilles. Hervé m’a vu, mais n’a rien dit. Je rentre doucement dans le bureau, et je vois mon cher et tendre tomber à genoux sous la pression d’Hervé.
Il prend la bite de mon collègue dans la bouche, sans parler. Il aspire, il lèche, la salive coule sur ses lèvres, il gobe les couilles gonflées, il suce partout. Jamais je n’aurai imaginé mon ami dans le rôle d’une telle pompe à bite !!!
Hervé jouit dans sa gorge et il avale tout. Moi, je n’ai pu m’empêcher de porter ma main à mon sexe. Je le sens gonfler, le clito sort tout seul, il se heurte au tissu de mon string, ce qui le fait bander davantage. Je sens que je commence à couler beaucoup...
Je passe la main sous ma jupe, et écarte mon string. C’est brûlant, et très très humide.
Toujours absorbé par la bite d’Hervé, qu’il continue de sucer sans relâche pour la faire rebander, il ne m’a pas encore vue. Je tire doucement un siège, et m’assoie, les jambes posées sur chaque accoudoir. J’offre une vue plongeante de ma chatte excitée à Hervé. Est-ce cette vue, ou le traitement de mon mec ? Mais il rebande bientôt comme un âne.
Bertrand retire le membre épais de sa bouche, et le contemple. Soudain, il lui dit :
« Encule-moi, je n'ai jamais connu que des godes ! Ma femme me gode depuis quelques temps, mais je veux de la chair ! »
« Ok, répond Hervé, mais ensuite, c’est toi qui m'encules, pendant que je baiserai ta femme !
- non, elle ne doit pas savoir ça ! proteste Bertrand.
- trop tard, elle sait tout, tourne la tête… »
Bertrand, se retourne, et me découvre, totalement ahuri. Il me voit assise, les jambes en l’air, la chatte dégoulinante de désir, et moi, en train de la fouiller de mes doigts impatients…
Il rougit, bafouille « mais qu’est-ce que tu fais là ?
- Je ne te voyais pas revenir, alors je suis venue voir ce qu’il se passait. Et on dirait que j’ai bien fait ! Je n’ai pas voulu te déranger mon chéri. C’était trop beau de te voir pomper cette bite à fond… Fais-toi enculer pour de bon, tu me lécheras la chatte en même temps. Ensuite, on fera comme Hervé a dit. »
Dire tout cela m’excite énormément. Parfois, j’aime sortir de mon rôle de femme « bien élevée » et sage, pour prendre celui d’une belle salope, avide de sexe.
Je fais rouler mon fauteuil près des deux hommes et ordonne à Bertrand de se tourner, pantalon baissé, cul en l’air. Hervé doit avoir l’habitude de baiser au bureau, car il sort de son tiroir un gros tube de lubrifiant. Il s’en enduit copieusement deux doigts, qu’il enfourne sans ménagement dans le fondement de mon mec. Il sursaute sous la douleur, plus habitué à la douceur de mes pénétrations. Mais il ne dit rien, il a la bouche remplie de mes lèvres et de ma mouille... Plus mon collègue lui bourre le cul avec la main, plus il enfonce sa grosse langue dans ma chatte offerte. Hervé n’en perd pas une miette, les yeux hors de la tête.
Bertrand agrippe les accoudoirs, à la demande d’Hervé. Ce dernier retire ses doigts, je me soulève, et vois l’anus de mon ami vraiment bien dilaté. Mon collègue prend un préservatif, l’enfile prestement et l’enduit aussi de gel. Le moment fatal approche… Hervé se positionne bien comme il faut, le gland à l’entrée de la rosette distendue de mon chéri. Il me regarde d’un air de défi et dit :
« Tiens, je vais enculer ton mec ! Je vais lui défoncer le cul, et il en redemandera ! »
Il pousse d’un coup son gros mandrin, qui rentre dans les fesses comme dans du beurre. Sous la poussée, Bertrand manque de s’étouffer dans ma chatte. Mais il continue de me lécher avec ardeur, en rythme avec les coups de reins de mon collègue. Je n’en peux plus, et je jouis très fort, sans me soucier des éventuels salariés encore présents dans les autres sociétés…
Hervé jouit assez vite. Mais pour que je vois mieux, il se retire, ôte la capote et envoie de grands jets crémeux sur le dos de mon homme. Le jus blanc se dessine bien sur la peau noire…
Je me dégage de la bouche de mon homme, et vient prendre du sperme du bout des doigts… Je le pose sur mes lèvres et m’approche d’Hervé :
« Embrasse-moi, viens gouter ton foutre…
- Je ne te savais pas aussi salope... Si j’avais su, je t’aurais sauté dessus sans te demander ton avis ! »
Il m’embrasse, lèche le tour de mes lèvres que je couvre de son sperme, cueilli sur le dos de mon ami.
Il est temps de passer à la suite. Bertrand bande tant et plus. Et moi, je suis toujours aussi excitée. Depuis que j’ai vu le beau membre mon collègue, j’en ai très envie au fond de ma chatte bien chaude.
Je m’allonge sur le bureau, les genoux relevés. Hervé met de nouveau une capote, vient m’enduire les lèvres rougies par le désir de salive. Il passe sa langue partout, n’oublie pas mon clito bandé à l’extrême…
Entre deux léchouilles, il ordonne à Bertrand de lui lécher le cul. Il reste un peu interdit, mais obtempère sans broncher. Je suis sidérée : il se laisse donner des ordres comme un chien docile !!! On en reparlera à la maison !
Il écarte les deux globes noirs et musclés, et pointe sa langue dans le cul odorant, me dira-t-il plus tard.
Je le vois qui s’acharne, baise le cul avec sa langue. Il aime ça, le salaud !!!
Hervé lu dit que c’est assez, qu’il veut sa bite. Toujours sans broncher, mon homme, qui bande comme je l’ai rarement vu avant, se relève, enfile une capote, la lubrifie, et se positionne comme Hervé l’avait fait pour lui.
« Attends une minute, je dois d’abord prendre ta femme, et la baisser comme la pute qu’elle est. Son con de garce n’attend que ça ! »
En effet, j’attends avec impatience que ce gros pieu me remplisse à fond…
Il se redresse, vise ma grotte avide, et s’enfonce à grands coup de boutoir dans ma fournaise. Je crie sous le choc. Il est bien plus gros que Bertrand ! Mais j’aime sentir ce gros machin qui me cloue au bureau ! Il me laboure consciencieusement, sans me laisser de répit.
Bertrand vise, et s’enfonce lui aussi d’un coup dans le cul offert, qui a visiblement l’habitude de ce genre de traitement…. Hervé est pris en sandwich entre nous. Je jouis à plusieurs reprises, nous crions tous les trois. Plus rien n’existe, nous sommes hors du temps. Je ne saurais pas dire combien de temps cela a duré. Bertrand a joui le premier, avec un cri sauvage, Hervé le suit de près, mais en se retirant, pour jouir sur mes seins.
Mais je n’en n’ai pas eu assez… Sous le regard un peu effaré des deux hommes, je me branle furieusement avec les doigts, d’une main, l’autre tenant ouverte ma chatte distendue par le gros chibre. J’attrape trois gros feutres, et les enfonce brutalement dans ma grotte. Je demande à Bertrand de venir lécher le foutre de mon collègue sur mes seins. Il obéit une fois de plus, et tourment mes tétons dressés avec sa langue, les enduit de crème. Hervé bande à nouveau, je le vois. Il ne débande jamais, ce mec !!!
Je le supplie de me baiser à nouveau. Ce qu’il fait sans attendre. Je reçois la grosse queue comme une délivrance, ca me fait jouir presque aussitôt. Un orgasme géant me secoue le corps, je crie à m’en déchirer la gorge !
La réalité repend le dessus… Nous nous regardons, un peu hébétés… Comme si nous avions rêvé !
Hervé rompt le premier le silence :
« Vous cachez bien votre jeu, sous vos airs bourgeois, vous êtes de vrais salauds affamés de sexe... mais ça me va. D’ailleurs, je n’ai pas joui, alors, on fait quoi ? »
Sans hésitation, et à mon grand plaisir, Bertrand lui répond : « on continue chez nous… »
Nous avons passé une nuit entière de baise, et bien sur, nous avons recommencé à maintes reprises !
je le lui ai dit. Les autres relations que nous avons eues ensuites etaient plus égales, pas de rapport de soumission ou d'humiliaiton.
J'ai joui comme un fou en m'imaginant dans la position du jambon...
Olga, voilà le type de récit comme j'aime où je truve le plaisir du conjoint
"J'avoue que j'etais un peu déçue de le voir se laisser traiter comme ça, litteralement "dominé".
je le lui ai dit. Les autres relations que nous avons eues ensuites etaient plus égales, pas de rapport de soumission ou d'humiliaiton."
Je comprends ton sentiment, mais pour son initiation, c'est probablement ce qui lui a facilité la chose.
En étant pseudo soumis, il n'avait qu'à se laisser porter, et sa "responsabilité" n'était donc pas engagée . . .
Bisous