Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Pour changer, une histoire courte, de sexe brut (mais pas brutal…)

Il y a quelques semaines, j’avais vraiment des envies très fortes de sexe. Ca me prend comme ça, par période, où je ne pense qu’à ça : le  sexe, le sexe, le sexe. Je suis alors prête à tout pour me satisfaire. A tout.

J’avais passé une annonce, et reçu un flot énorme de réponses. Quelques-unes se détachaient du lot, dont celle de Serge.


Quelques échanges rapides sur Msn, et il me donne rendez-vous dans un ancien garage désaffecté. Je lui avais fait part de mon envie : du sexe, pas de chichis… Je sais juste de lui qu’il est black et qu’il a une grosse queue épaisse. Aucune photo échangée.

Le scénario a été décidé à l’avance. Je ne vous le dis pas, sinon, vous n’avez plus rien à découvrir !

Rendez-vous est pris à la nuit tombé, le soir même.


Je me rends dans le lieu qu’il m’a indiqué. C’est vieux, sale, crasseux, même Et cet univers glauque m’excite encore davantage.


Je mets ma voiture en plein milieu. Le moteur à peine coupé, il arrive, se range près de moi.

Il semble être pas mal, mais la pénombre m’empêche de voir clairement son visage. Peu importe. Ce n’est pas pour son visage que je ne suis venue ! Je porte une jupe ample, sans culotte. J’ai un haut lâche aussi, et pas de soutien-gorge.

Nous nous trouvons face à face, un peu hésitants. Je prends les choses en main, au sens propre et figuré. Je l’embrasse à pleine bouche, en me saisissant du paquet qui arrondit son pantalon. Joli morceau, j’en salive d’avance ! Je recule vers le capot de ma voiture, et m’assieds dessus, les jambes les plus ouvertes possibles, jupe retroussée sur les hanches. Je mouille déjà beaucoup, j’étais trempée avant même d’arriver au garage.


Cela fait partie des choses décidées avant : il arrive, il me suce. Sans hésiter, il se jette sur ma chatte affamée, comme un chien sur son os. Il me lèche, me suce, m’aspire les lèvres, le clito qui darde bien. Il enfonce sa bonne langue dans tous les replis de mon vagin, il n’oublie pas de mouiller ma rosette qui n’attend que ça. Je jouis très vite une première fois.


Ses caresses, la situation, l’endroit, tout contribue à ce premier orgasme rapide. Il veut se retirer, mais d’un ton impérieux, je lui dis : « encore ». J’ai encore trop envie qu’il me bouffe la chatte. Il est très doué à ce petit jeu là ! Il s’applique tant et si bien que je jouis une nouvelle fois en criant de plaisir.


Je me laisse glisser du capot, je veux être prise, là, tout de suite. Il extirpe de son pantalon un engin de bonne taille. Son gland luit sous la lumière venue de la rue. Il mouille bien…

Je pose le bout de ma langue sur le gland rose et attirant. Je le lèche partout, j’aime cette belle bite large et massive. Il va bien me remplir, je le sens sous ma langue.


Je veux être baisée, bien à fond. Maintenant. Il sort une capote pendant que je joue avec son chibre toujours dressé vers le ciel. Il l’enfile rapidement, et me retourne sur le capot. Les avant-bras en appui sur la tôle, le cul offert à cette bite qui va me défoncer copieusement.


Je sens son gland hésiter, passer sur mes lèvres gorgées de désir. Il trouve l’entrée. Mais il est trop gros pour moi. Il ne peut rentrer d’un coup. Alors, il me besogne en soufflant à chaque fois très fort. Peu à peu, mon étroit vagin s’ouvre sous la poussée du gros mandrin. D’un ultime coup de boutoir, il me pénètre en entier. Son pieu me cloue sur la voiture, littéralement.

 

Mes seins sont écrasés, mais il parvient à en attraper un. Il le malaxe durement. J’adore ça ! Comme je lui avais dit que j’aimais qu’on me parle pendant ce genre de baise, il en rajoute :

« Prends ça, sale chienne. Tu n’es qu’une pute qu’on baise à la sauvette ! Ta chatte est un garage à bites, un déversoir de foutre ! Prends-ça, grosse salope, tu n’es qu’une chienne bonne qu’à baiser !!! »


Avec son doigt, il travaille avec ardeur mon petit trou, le lubrifiant avec de la salive. C’est génial, cette grosse queue qui me laboure, et ces doigts qui fouillent mon cul…

Je ne suis pas en reste : « Baise-moi, espèce de cochon vicieux. Ta bite baise tout ce qu’elle trouve. Tu es un salaud vicelard, défonce-moi à fond !!! »


Je sens sa queue secouée de spasmes. Il jouit en râlant, et en cognant encore plus fort au fond de mon sexe martyrisé. Il se retire et je sens un grand vide… Il m’en faut plus ! Je lui demande de me lécher encore, pour calmer le feu qu’il a provoqué. Sous sa langue, je jouis une dernière fois, en lui crachant ma cyprine en plein visage.


Puis chacun retourne dans sa voiture. Fin de l’histoire.


Ce genre de scénario, de temps à autre, j’adoooooooooore !!!!

 

 

Mar 20 avr 2010 17 commentaires
He bien , quand on a fini une telle lecture, on n'a qu'une envie c'est d'en trouver une comme ca aussi de grosse queue !!! bienvenue dans la communaute des blogs persos, c'est un plaisir de t'y retrouver bisous coquins
miss - le 14/07/2009 à 17h33
Merci pour votre passage sur notre blog....
La marquise de R... a encore vécu une bien forte histoire !!!!!!
milene et yv - le 14/07/2009 à 23h17
bonjour, très sympa comme blog.Nous recherchons des témoignages et des infos précises pr finaliser notre livre « Bouquin Coquin et Taquin d’une Catin et d’un Libertin » : essai érotique et réflexif sur la place et l’impact de la sexualité sur nos vies sociales et sentimentales, utilisant des vocabulaires thématiques « neutres » (nature, sports mécaniques, gastronomie, végétaux, sports, musique, drogues) détournés de leur contexte et sens originel pour visualiser des scènes érotiques (l’œuvre reste érotique-chic plutôt que porno-crado !).si vs pouvez ns aider à dire des choses vraies sur le milieu (en ns autorisant à repomper certains textes d'expériences), ce serait cool. Merci
Collectif des 12 Bonobos - le 15/07/2009 à 14h39
mmmmmm!! trop excitant ce serai super de te rencontrer:p et de se faire plaisir:p
sexedu51@live.fr - le 17/07/2009 à 00h23
Ca me ferait un grand plaisir, surtout si on ne se connait pas du tout avant. Mais vu ton pseudo, tu es vraiment très loin de moi !
Sophie de R.
J'aimerai bien que vous osiez me dire vos envies comme celles-là... Je suis sure que vous en avez, hommes ou femmes...
Sophie - le 19/07/2009 à 19h41
On baise quand ? je suis ton homme : j'arrive, je te bouffe la chatte, et je te baise comme une chienne... Tu veux ?
Jack - le 24/09/2009 à 20h43
Si tu es sérieux et discret, écris-moi sur mon mail...
Sophie de R.
Tes histoires m'excitent toujours autant. Celle-ci m'a particulièrement fait bander. Si une femme qui a les memes envies que toi me lis, qu'elle m'écrive, je viens tout de suite !
Armand - le 09/10/2009 à 21h01
J'espère que tu auras des reponses... Ce genre de situations me plait toujours autant...Avis aux amateurs...
Sophie de R.
Je vais dire comme Karl, la prochaine fois que tu as envie d'etre bien baisée, fais-moi signe, j'arrive de suite, la bite en l'air !!!
Matthieu - le 24/10/2009 à 15h54
beau recit c est bien une femme qui reagit comme toi et qui prends le plaisir quand elle en a envie
romain57 - le 19/04/2010 à 11h24

En matière de sexe, je ne supporte pas la frustration.. il faut que ce soit tout de suite !

Sophie de R.
Jolie histoire :) tu gagnes vraiment a être connu ma chère.

Je m'imaginais à la place de cette homme, t'assénant mes coups de bite pour te faire hurler...

Très bien écris comme toujours :)
Majora - le 20/04/2010 à 12h56

Et pourquoi pas un jour.. Qui sait. ? Seules les montagnes ne se rencontrent jamais !

merci de tes compliments, ils me vont droit au coeur.. Et ailleurs... ;-)

Sophie de R.