Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ce texte a été écrit pour être publié sur un blog de sexe hard : http://mots-crus.over-blog.com/
A vous de savoir si je décris la réalité, ou une fantsmagorie, selon le terme employé par mon ami sur son site...
Aujourd’hui, je les attends. Mes deux étalons vont arriver. Je sais ce qui m’attend. Je vais être baisée, saillie, chevauchée comme la dernière des dernières. Je mouille depuis des heures, je me branle pour soulager le feu qui me ravage depuis que je sais qu’ils vont venir me monter.
Ils arrivent, ils sont là. Ils entrent dans ma chambre. Pas un mot.
Ils se déshabillent rapidement. Leurs bites sont là, dressées contre leurs ventres, dures, insolentes, massives. De vrais pieux, qui me semblent encore plus grands, vus par en-dessous. Je n’aime pas trop les gros sexes. Mais là, j’en bave d’envie.
Je suis une femelle en chaleur, qui va être saillie par ces étalons blacks. Je suis allongée sur le lit, un s’agenouille près de mon visage, et m’enfourne l’énorme mandrin dans la bouche. Il la baise come une chatte, sans ménagement. Je pleure du manque d’air. Il n’en n’a cure. Il force ma bouche, ma gorge.
L’autre fouille ma moule sans ménagement. Il fourrage de ses doigts, m’écartèle, rit en voyant le fond de ma chatte exhibé, impudique, gynécologique. Il enfile une capote, crache sa salive dans ma moule qui frémit. Je suis tétanisée, tant par le manque d’air que par la vision de ce chibre de 24 cms de long, qui me fait peur. Je n’en fais pas le tour avec me doigts. Il est énorme…
L’autre queue viole toujours ma bouche. Ils rient tous les deux. Je ne suis qu’une poupée entre leurs mains. Le second met son monstrueux gland violacé contre ma chatte, et il s’enfonce d’une seule poussée, sans ménagement. Il heurte le fond de mon vagin. Je crie de douleur. Il s’en fiche, il me lime sauvagement, pour son seul plaisir.
Et, curieusement, être traitée comme une chienne m’excite ce soir. Je jouis d’un seul coup, sans m’y attendre. L’orgasme me secoue à tel point que j’éjecte les deux membres qui me besognent. Le premier jute son foutre sur mes cheveux. Le second s’enfonce à nouveau, en me traitant de tous les noms :
« Salope, je vais te baiser, et t’enculer, tu n’es qu’une chienne à bites, un vide-couilles pour de vrais hommes… »
Celui qui a joui se branle avec vigueur à dix centimètres de mes yeux exorbités. Il durcit en quelques trop courtes minutes.
" On va te prendre à deux, m’assènent-ils, deux dans ta chatte de pute."
Deux ??? Ce n’est pas possible, je suis déjà au bord de la déchirure. Il se retire, s’allonge sur le dos, me force à m’empaler sur le pieu qui ne débande pas. De nouveau, ce monstre est comme une lame qui fend mon vagin distendu.
Je me courbe en avant sous la poussée brutale de l’autre. Il pousse son pote, écrase sa bite d’un coté de ma moule déformée. Et s’enfonce. Je suis écartelée, déchirée. C’est comme si j’accouchais. Ces deux bites me défoncent au sens propre du mot. Et j’aime ça ! Un nouvel orgasme phénoménal me prend toute entière. Je hurle comme jamais. Je hurle de plaisir et douleur mélangées.
Ils jouissent presqu’ensemble. Le foutre déborde des capotes comprimées. Ils se retirent, l’un a pitié de moi. Il essuie ma chatte violentée avec un mouchoir, et vient poser sa langue, comme pour me panser.
Entre deux coups de langue, il dit les paroles qui tuent :
« quand un animal a bien servi ses maîtres, on le caresse pour le récompenser. »
J’étais ça, une chienne, une jument qui a servi ses maitres en se faisant saillir. Maintenant, on me récompense d’une caresse.
Suis-je vraiment tombée si bas ?
Le manège recommencera deux fois. Trois saillies par deux étalons en une journée.
Bon score.
Que preferez vous ?
votre réalité qui a inspiré ce texte
ou bien ce texte refletant un fantasme ?
Je raconterai bientôt une expérience à trois, très douce, très excitante, mais avec deux hommes bi.
Tu dois commencer à me connaitre, pourtant... Il y a des choses qui restent du fantasme...